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Le prisonnier, la série de 1967Feu vert télévision

Ici la page Amazon.fr du coffret blu-ray français du Prisonnier (1967) intégrale ultime.

The Prisoner S01E01: Arrival (1967)

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Cet épisode existe en au moins deux montages différents.

Ici l'article de ce blog sur la série Le Prisonnier (1967)

Diffusé en Angleterre sur ATV Midlands le 29 septembre 1967.
Diffusé en France le 18 février 1968 sur ORTF 2 FR.
Rediffusé en France en 1983-1984 dans Temps X sur TF1 FR.
Rediffusion sur M6 FR à partir de 1988 puis sur ARTE FR en HD.Sorti en blu-ray anglais coffret intégral le 28 septembre 2009 (chez Network, pas de version française).
Sorti en blu-ray américain coffret intégral le 27 octobre 2009 (chez A&E, pas de VF, région A).
Sorti en blu-ray français coffret intégral le 23 octobre 2013 (chez TF1 vidéo).

De Patrick McGoohan. Avec Patrick McGoohan, Leo McKern, Angelo Muscat.

Un coup de tonnerre. Londres. Un agent secret anglais non identifié arrive en voiture de course dans le parking de son service. Il dit ses quatre vérités à son supérieur hiérarchique et repart, mais cette fois il est suivi par une Rolls-Royce noire. Pendant ce temps, dans les bureaux de son service, son dossier est barré et déposé par un robot dans le tiroir des agents qui ont démissionné. Alors que l’agent secret est rentré chez lui et fait ses bagages pour une destination exotique, un jet de gaz est envoyé à travers la serrure de sa porte d’entrée. Il s’évanouit, puis reprenant conscience, il réalise que les fenêtres de son appartement ne donnent plus sur Londres, mais sur un étrange village désert, aux maisons formant un mélange d’architecture européenne rendant impossible sa localisation. Une cloche se met à sonner, et du haut d’une tour où l’agent est monté, il aperçoit du personnel ouvrir un café : il y court pour interroger la serveuse âgé – il n’y a pas de téléphone, mais elle lui indique qu’il y en a un au coin de la rue.

Sauf qu’au coin de la rue, les téléphones n’ont pas de fil. Une standardiste lui répond néanmoins à son grand étonnement, mais refuse de le renseigner ou lui passer une communication tant qu’il n’aura pas de numéro à lui donner, et il n’en a pas. Elle raccroche, et une seconde plus tard, une jolie conductrice de voiture de golf s’arrête pour l’emmener où il veut. Il demande la ville la plus proche, mais elle lui répond que son service est seulement local. Et il lui demande de l’emmener le plus loin possible. Il ne peut pas payer les deux unités de la course, mais cela est apparemment égale à la jeune fille, et il se retrouve devant une épicerie. L’agent demande à l’épicier une carte, et l’homme lui temps « la carte du Village ». Mais il s’agit seulement d’une carte locale. L’agent demande une carte plus grande, qui n’existe qu’en couleurs. Mais il s’agit seulement de la carte locale en plus grand. L’agent demande une carte montrant une zone plus grande, mais l’épicier répond qu’ils n’ont que des cartes locales, car il n’y a pas de demande pour les cartes montrant une zone plus grande.

Une brute pousse alors la porte de l’épicerie, et l’agent décide de quitter les lieux. Il est alors surpris par la formule que lui lance l’épicier : « Je vous reverrai ! » Comme les annonces par les hauts parleurs dans les rues lui donnent l’impression d’être dans un asile de fou, il presse le pas pour revenir à « son » appartement. Il entend sa propre porte claquer, se précipite à l’intérieur et aperçoit par la fenêtre le dos d’une femme de chambre qui se hâte de quitter les lieux. Il trouve une carte de bienvenue, puis son téléphone fixe se met à sonner. Il y a le numéro 6 écrit sur le téléphone, et la standardiste lui demande s’il est bien le numéro 6. Il répond que oui, et elle lui annonce qu’elle va lui passer le numéro 2. Une voix d’homme lui fixe alors rendez-vous sous le grand dôme vert non loin de là.

Si le hall d’entrée est tout à fait classique, les portes de métal suivantes s’ouvrent sur un décor de Science-fiction, un dome violacé avec des fauteuils ovoïdes futuristes qui sortent du sol, un écran géant psychédélique, un majordome nain qui apparemment sait tout du petit-déjeuner habituel de l’agent secret, et un grand bi qui semble être le symbole de la communauté. L’agent secret finit par obtenir des explications de la part du Numéro 2 : l’agent secret est là parce qu’il a démissionné et que certaines personnes veulent savoir pourquoi quelqu’un avec un dossier aussi parfait que le sien a fait une chose pareille. En clair, ils veulent des informations…

Le Prisonnier (1967) Saison 1 épisode 1 photo

Le Prisonnier (1967) Saison 1 épisode 1 photo

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