ImageFeu vert cinéma

Deep Rising (1998)
Traduction du titre original : Émergeant des profondeurs.

Sorti aux USA le 30 janvier 1998.
Sorti en France le 24 juin 1998.
Sorti en Angleterre le 18 septembre 1998.
Sorti en blu-ray américain le 9 octobre 2012 (avec The Puppet Master, multi-régions, version et sous-titres français inclus, très petit prix).

De Stephen Sommers (également scénariste). Avec Treat Williams, Famke Janssen, Anthony Heald, Kevin J. O'Connor, Wes Studi , Derrick O'Connor, Jason Flemyng, Cliff Curtis, Clifton Powell, Trevor Goddard, Djimon Hounsou, Una Damon, Clint Curtis.

Loin sous la Mer de Chine, se trouve un massif montagneux sous-marin avec des canyons assez larges pour cacher l’Himalaya, plus profondément qu’aucun humain ou machine n’ait jamais exploré. A travers les siècles, d’innombrables vaisseaux ont disparus dans ces eaux sans laisser de trace, et leur disparition est demeurée un mystère.

Quelque chose nage dans un champ d’épaves sous l’océan, puis remonte à grande vitesse, tandis qu’un genre de vedette fonce à la surface, de nuit, sous la pluie battante d’un orage. Son capitaine, Finnegan, regarde son employée Leila faire des réparations, trempées jusqu’à l’os, tandis qu’il joue au poker sur l’ordinateur. Puis comme le radar tombe en panne, et avec celui-ci l’ordinateur, le capitaine appelle Pantucci, furieux. L’électronicien reproche à son capitaine d’être trop négatif et de frapper trop souvent les machines. Puis, alors que Leila rentre enfin s’abriter, c’est au tour de l’employeur de Finnegan d’arriver : Finnigan lui confirme qu’ils sont presque arrivés à destination, et quand son employeur lui demande s’il a des questions, Finnigan rappelle qu’il est payé pour fermer sa bouche, comme l’affirme son slogan : tant que l’argent est là, il n’en a rien à battre. Cependant, son client parti, il se demande quand même où il est.

Non loin de là, un gigantesque paquebot vogue tout illuminé, rempli de passagers très riches qui font la fête dans le grand atrium et jouent au casino, avec danseuses tahitiennes et tambour japonais qui annoncent un discours de l’armateur, qui porte un toast à la première croisière de l’Argonautica, en son nom propre et au nom du capitaine Atherton et de son équipage. Selon lui, les centaines de membres d’équipage à bord n’ont qu’un seul objectif, faire de leurs rêves une réalité. Lui-même affirme n’avoir eu qu’un seul rêve, créé le plus grand, le plus luxueux, le plus cher des navire de plaisance jamais construit. Aussi souhaite-t-il à l’Argonautica du bon temps à jamais.

Et tandis que la foule en liesse répond au toast, une jeune femme en robe rouge monte les escaliers, prend une coupe de champagne et fait claquer la bulle de son chewing-gum. Elle se dirige ensuite vers le capitaine Atherton qui prétend que le navire est si performant que le martini des invités ne se ridera jamais. C’est alors que la jeune femme heurte apparemment accidentellement le capitaine. Tout le monde s’excuse et elle poursuit son chemin jusqu’à sortir sur le pont. Elle a en fait volé le porte-feuille du capitaine, pour récupérer la carte à puce qui lui sert de clé électronique. Elle est visiblement déçue de ne pas trouver du cash, et, comme elle va jeter le porte-feuille, elle est surprise par un cri assez horrible d’un animal dans l’orage. Elle jette le porte-feuille et s’en va.

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