UltraViolet, le film de 2006Feu orange cinéma

UltraViolet (2006)

Sorti aux USA le 3 mars 2006.
Sorti en Angleterre le 26 juin 2006.
Sorti en France le 14 juin 2006.
Sorti en blu-ray américain le 27 juin (multi-régions, anglais LPCM 5.1 sous-titres et version française inclus).
Sorti en blu-ray français le 9 janvier 2006 (région B, français et allemand LPCM 5.1, anglais DD 5.1)

De Kurt Wimmer (également scénariste) ; avec Milla Jovovich, Cameron Bright, Nick Chinlund, Sebastien Andrieu, William Fichtner, David E. Collier, Steven Calcote.

Pour adultes et adolescents.

Une sorte de jet autogyre noir lâche une série de sphères noires au-dessus d’une ville du futur. Les sphères fracassent la façade d’un gratte-ciel et libèrent des individus en combinaison, cagoule et lunette de vision nocture, qui massacrent à coup de sabres japonais les hommes en blouses blanches du grand hall où ils ont débarqué. Le commando fait sauter une porte blindée, entre dans un nouveau hall mais s’immobilisent lorsqu’ils découvrent un centre de stockage de sang… Soudain une voix leur cri de ne plus bouger, et l’un d’eux s’écrie que c’est un piège. Ils dégainent leurs pistolets mitrailleurs mais sont abattus.

Arrive le chef de la sécurité, aux mains gantés, lequel ordonne de ne rien toucher, et enfile un masque respiratoire. Il commence par examiner les canines proéminentes d’un membre du commando et confirme qu’il s’agit d’hémophages. Puis il sort un sabre japonais de la combinaison d’un des hémophages, semblant sortir du corps même de l’individu : de la technologie Espace Plat, très rare, qui permet de compresser les dimensions d’un objet. Le chef de la sécurité s’interroge alors : quel était leur plan pour sortir du bâtiment ? Comment le commando pensait-t-il emporter le sang stocké dans la chambre-forte ? L’un de ses subordonnés suggère alors qu’il n’y avait pas de plan de sortie : le plan des hémophages était peut-être seulement d’infecter le sang stocké là.

C’est alors que l’un des subordonné constate que l’un des gants du chef de la sécurité est percé et tâché de sang. Il dégaine et abat immédiatement le chef de la sécurité. Les problèmes ont commencé lorsque des militaires américains ont isolé un virus oublié depuis des siècles. Ils tentèrent alors de le modifier, afin de créer des soldats plus rapides et plus forts. Mais à la place, ils obtinrent seulement une forme encore plus contagieuse de la maladie, une variété appelée HGV – le virus hémoglophagique (mangeur d’hémoglobine). Et c’est ainsi que la maladie se répandit. Tout changea : si les époques précédentes étaient définies par le terrorisme, cette époque-là l’était par la peur de la maladie.
Les autorités médicales jurèrent de protéger la population, et dans un premier temps, les victimes durent porter des brassards d’identification. Puis on les rassembla dans des camps de concentration, jusqu’à ce que, finalement, plus personne n’entendit parler d’eux.

Pour Violet, les ennuis commencèrent le jour où elle apprit qu’elle était enceinte. Le même jour, elle perdit son mari, son futur et sa vie : lorsqu’un hémophage attaqua son mari et fut abattu par la sécurité, elle fut éclaboussée par le sang contaminé. Elle attrapa la maladie et perdit le bébé. Avec quelques autres à l’extérieur du camp, elle format un mouvement de résistance clandestin, et commença à rendre les coups. Et ainsi commencèrent les Guerres du Sang. A présent, celui qui dirige cette autorité médicale est le Vice-Cardinal Ferdinand Daxus : pratiquement tous les hémophages sont éliminés, mais le peu qui reste est incroyablement déterminé, et le nombre de leurs attaques terroristes est au plus haut. Cependant pour Daxus, ce n’est pas une question de détermination, mais de désespoir : leur extinction est proche. Cela fait près de dix années que Daxus travaille à une arme qui peut localiser et tuer tous les Hémophages de la planète en quelques jours.

Et cette arme entrera en fonction le jour-même : un courrier vient d’être envoyé pour la ramener de l’Archiministère : XPD-154 arrive en moto à l’entrée du sinistre bâtiment, et passe avec succès le portail d’identification génétique. On lui demande de retirer son casque, ses lunettes. Ses cheveux violets deviennent noirs comme elle entre dans le bâtiment. Elle arrive alors à une salle blanche où des soldats en armes lui demande de s’asseoir dans un fauteuil transparent où elle doit subir des examens plus approfondis : on lui perce les poignets et les globes oculaires, puis on lui demande de se dénuder pour entrer dans le couloir du scanner. Au bout du couloir, on lui annonce que ses habits ont été stérilisés, et qu’elle peut se rhabiller. Pendant ce temps, un guide insiste pour lui donner des informations nécessaires : elle va prendre en charge une valise contenant une arme anti-hémophage, valise qu’elle ne doit ouvrir à aucun prix. Pendant qu’elle livrera l’arme, un convoi armé partira de l’Archiministère et fera diversion.

Dans une nouvelle chambre, on lui demande de signer avec son sang l’accusé du réception sur une tablette. Le contenu de la malette s’auto-détruira sous neuf heures si il n’est pas livrée, le compte-à-rebours défilant à la surface de la malette. Comme Violet veut prendre la malette, l’homme la retient et insiste : est-elle fonctionnelle à 100% ? Au même moment, un autre motard se présente à l’entrée de l’Archiministère : le véritable XPD-154.

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