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L'homme de Rio, le film de 1964Feu vert cinéma

Ici la page Amazon.fr du blu-ray français de l'Homme de Rio (1964)

L'homme de Rio (1964)
Autres titres : That Man From Rio.

Sorti en France le 5 février 1964.
Sorti aux USA le 8 juin 1964.
Sorti en Angleterre en 1965.
Sorti en coffret DVD français du 2 novembre 2005 chez MGM.
Sorti du blu-ray français le 15 mai 2013 chez TF1 VIDEO (région B, son français HD MA 2.0, plus audiodescription, image jaunie)
Sorti en coffret blu-ray américain le 14 avril 2015 chez COHEN MEDIA GROUP (région A, son français LPCM 2.0, image jaunie et bonus identiques aux éditions françaises, mais moins compressée).

Ici l'article de ce blog sur le coffret DVD français de 2005 de la MGM.

Ici l'article de ce blog sur le blu-ray français de 2013 de TF1 VIDEO.

Ici l'article de ce blog sur le blu-ray américain de 2015 de COHEN MEDIA GROUP.

De Philippe de Broca (également scénariste), sur un scénario de Jean-Paul Rappeneau, Ariane Mnouchkine, Daniel Boulanger. Avec Jean-Paul Belmondo, Françoise Dorléac, Jean Servais.

Deux soldats, Lebel et Adrien Dufourquet rentrent à Paris en train pour huit jour de permission. Au même moment, le Musée de l’Homme ferme entre midi et deux, et deux gardiens mangent leurs sandwichs sans remarquer l’homme en gabardine et chapeau qui se faufilent entre les vitrines. De la même manière l’homme en gabardine monte un escalier et, dans le dos d’un autre gardien arrive jusqu’au département de l’Amérique du Sud et casse une vitrine. L’un des gardiens qui casse-croutait entend le bruit et arrive au galop, puis s’arrête, apercevant le voleur qui s’ambusquait à un coin de la galerie. Cela laisse le temps au voleur de charger un pistolet lance-fléchettes, et quand le gardien ose à nouveau s’avancer, il est frappé par une fléchette et s’effondre.

On téléphone alors au directeur du Musée, le professeur Norbert Catalan, qui appelle ensuite Agnès de Villermosa, la fille de son associé décédé, pour les prévenir du vol. Pendant ce temps, Lebel et Adrien débarquent sur le quai de la gare : Adrien est surtout inquiet à l’idée que sa petite amie, Agnès, aura filé dans les bras d’un autre, et prétend la corriger si jamais cela était arrivé. D’abord inquiet à l’idée que son camarade bouscule un peu trop sa fiancée, Lebel lui donne rendez-vous dans huit jours, sur le quai, au train de 14H55.

Au Musée de l’Homme, le légiste conclue à la mort du gardien par suite d’une crise cardiaque. L’inspecteur de police est très sarcastique : il s’étonne auprès de Catalan que les voleurs n’aient pas raflé des objets plus précieux, comme un diadème en or repoussé. Puis comme Catalan soutient que la statuette Maltèque était inestimable, dernier vestige d’une civilisation disparue. Comme l’inspecteur réclame des explications et s’entend traité de barbare ayant décimé les Maltèques, il retourne le compliment à Catalan, qui est bien allé là-bas en Amazonie pour rapporter la « bricole », Catalan lui montre une photo : ils étaient trois – Villermosa, mort quelques mois après leur retour ; Di Castro, le brésilien qui finança l’expédition, et Catalan. Alors Catalan accuse les survivants des Maltèques du vol, et affirme qu’il y a une malédiction : Villermosa est mort il y a trois ans d’une piqûre empoisonnée, or le poison était l’arme de prédilection des Maltèques. Catalan présente alors Agnès de Villermosa à l’inspecteur ; la jeune fille, glaciale, précise que son père avait caché sa statuette Maltèque avant d’être assassiné. L’inspecteur veut interroger davantage Agnès, mais Catalan insiste pour la raccompagner, et devant le Musée de l’Homme, il la remercie de sa fidélité, et la complimente sur le fait qu’elle est de plus en plus… femme. La jeune fille le met au défi de la séduire, puis comme il hésite, elle éclate de rire, et repart en voiture décapotable rouge. C’est qu’un homme en gabardine et chapeau mou marche vers Catalan qui s’allume une pipe et qu’une voiture blanche se gare brutalement à proximité : sous les yeux des gardiens du Musée de l’Homme, Catalan est poussé dans la voiture, qui repart en trombe.

De son côté, Adrien se change dans la rue, et débarque chez Agnès au moment même où l’inspecteur vient poursuivre son interrogatoire : Agnès avait 14 ans, ils habitaient Rio, il était trois heures de l’après-midi, tout le monde dormait, Agnès s’était réveillée de la sieste et par la fenêtre, elle avait aperçu son père qui creusait. Agnès est persuadée que si elle revenait sur les lieux, elle retrouverait l’endroit. Alors qu’elle raconte son histoire, la jeune fille ne remarque même pas que par la fenêtre, une voiture blanche pousse la sienne le long du trottoir. La vieille bonne arrive alors pour dire que quelqu’un vient de téléphoner que la voiture d’Agnès gêne pour sortir en face. Agnès est indignée, mais doit constater par la fenêtre que c’est le cas. Elle sort donc bouger sa voiture, tandis que l’inspecteur de police décide d’interroger Adrien, peu confiant. Adrien raconte alors que c’est lui qui a enlevé le professeur Catalan : il prétend qu’il se trouve à la fenêtre, que deux hommes en noir… Et comme il s’est approché de la fenêtre pour de vrai, il aperçoit l’homme à la gabardine et au chapeau mou assommer et enlever Agnès.

En jurant, Adrien saute par la fenêtre, vole la moto d’un policier et poursuit la voiture blanche à travers Paris, puis en direction de l’aéroport d’Orly. Comme il rattrape la voiture blanche dans un virage, celle-ci le chasse hors de la route, et Adrien atterrit dans une mare… et reprend la poursuite à pieds jusqu’à l’aéroport. Dans le hall, il aperçoit Agnès que deux hommes entraînent depuis le stand d’une compagnie brésilienne jusqu’à l’espace d’embarquement.

L'homme de Rio, le film de 1964

L'homme de Rio, le film de 1964

L'homme de Rio, le film de 1964

L'homme de Rio, le film de 1964

L'homme de Rio, le film de 1964

L'homme de Rio, le film de 1964

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L'homme de Rio, le film de 1964

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