The Fades S01E01: Les esprits (2011)Feu orange télévision

The Fades S01E01 (2011)
 
Ici l'article de ce blog sur la série télévisée The Fades (2011)

Noter que les épisodes n'ont pas de titre en version originale.

Diffusé en Angleterre le 21 septembre 2011 sur BBC3 UK.
Diffusé en France le 9 octobre 2013 sur SYFY FR.

De Jack Thorne. Avec Iain De Caestecker, Daniel Kaluuya, Sophie Wu, Lily Loveless, Johnny Harris, Natalie Dormer, Tom Ellis, Daniela Nardini.

Pour adultes.

La nuit, une jeune femme blonde – Sarah – marche dans la ruelle d’une zone industrielle, le téléphone portable rivé à son oreille. Elle affirme à un certain Neil qu’ « ils » arrivent, elle l’a vu, et comme Neil lui demande où, elle répond que ce sera au Centre Commercial du chemin de Hinkley. C’est d’ailleurs là-bas qu’elle donne rendez-vous à Neil. Sarah entend alors quelqu’un buter contre une bouteille en verre, et le bruit de la bouteille qui roule. À la gauche de la jeune femme, il y a un sans abri agenouillé contre une benne à ordure, qui se cache sous une couverture. Comme Neil demande à Sarah ce qui se passe, Sarah lui répond de ne pas quitter. Sarah s’approche du sans-abri et lui demande si ça va, s’il est blessé. Comme elle pose elle-même un genou à terre pour voir le visage du sans-abri muet, elle aperçoit ses yeux jaunes orangés et son visage comme maculé de cendres – et hurle comme la créature lui saute dessus.

La même nuit, deux lycéens – Paul et Mac - font la course à vélo dans la zone industrielle délabré. Pour se faire, ils ont franchis un portail grillagé garni de barbelés au sommet. Ils traversent l’immense parking du centre commercial abandonné. Arrivé à l’entrée du centre commercial, Paul hésite, mais Mac le convainct en prétendant qu’il y a une différence entre connaître la voie et marcher sur la voie. Tandis que Mac s’inquiète en entendant les sirènes au loin, Mac descend de son vélo sans hésiter pour repousser les caddies qui bloquent l’entrée. Paul entre alors à vélo dans le couloir, et Mac le suit. Alors Paul s’arrête et demande à Mac ce qu’ils sont censés trouver là-dedans. Mac répond en plaisantant que lui vient pour sucer les aiguilles des drogués goûter à l’héroïne usagée, puis redevient sérieux : il veut récupérer des accessoires pour ses films d’horreur amateurs – n’importe quoi d’étrange, de forme bizarre – des organismes cybernétiques, des rechargeurs en titane, des résidus ectoplasmiques, n’importe quoi qui pourrait…

Paul n’a parcouru que quelques mètres dans le couloir, qu’il laisse tomber son vélo et s’accroupit pour examiner un oiseau mort mort. Mac le félicite d’avoir trouvé un truc mort. Paul suppose que l’oiseau est mort de n’avoir pu ressortir de la galerie marchande, et Mac lui propose de le faire cuire et le lui donner à manger. Mac se met à tâter l’oiseau avec une pointe, et Paul s’indigne : Mac ne devrait pas donner des coups comme cela à l’oiseau, car il pourrait être encore en vie. Puis Mac met au défi Paul de ramasser l’oiseau, et Paul refuse, arguant qu’il n’est plus un gamin. Mac propose alors à Paul de ramasser l’oiseau et de le lui jeter à la figure. Mac le fait en imitant le cri d’un poulet, ce qui énerve Paul, qui ramasse son vélo et part, et comme il disparait en tournant au bout du couloir, Mac promet d’écraser l’oiseau sur les cheveux de Paul. Puis il ramasse à son tour son vélo pour reprendre la course, mais déraille.

Paul est ravi d’avoir semé Mac, sauf qu’au bout du parcours, il y a les escalators, et que Paul arrive trop vite pour s’arrêter – et chute avec fracas. Il se relève souffrant terriblement du coude, lorsqu’un homme l’interpelle en le tenant en joue : l’homme demande à Mac s’il est un ami, puis où est Sarah, car il cherche Sarah. Comme Paul est très surpris, l’homme s’énerve et dit qu’il va ouvrir le feu, et Paul lui demande pourquoi. L’homme tire une première fois à côté de Paul, qui s’écrie qu’il n’est même pas censé être là, que c’était son ami qui avait eu cette idée pour une soirée d’enfer. L’homme – Neil – demande alors à Paul qui il est. Mais l’instant d’après, le corps de Sarah passe à travers de la verrière du grand hall et tombe dans le bassin vide dans le dos de Neil. Le corps rebondit hors du bassin. Se retournant, Neil dit alors à Paul de fuir, mais Paul ne fuit pas et même s’approche.

Neil, de son côté, va examiner le corps de Sarah, qui respire encore. Il la soulève et l’emporte sur son dos. Paul ramasse une douille encore chaude, puis court à son tour suivre Neil. Mais Neil est également suivi par quelqu’un d’autre – et ne retrouve pas de sorties. Alors il aperçoit la silhouette d’une jeune fille, qui avance, hésitante à l’autre bout du couloir. Neil tire plusieurs fois dans la direction de la jeune fille, qui ne bronche pas. Alors la créature qui avait attaqué Sarah plus tôt dans la nuit tombe du plafond sur Neil… et Paul, qui était embusqué juste à l’angle, aperçoit le monstre – une sorte de goule chauve aux dents longues acérées – lèche l’œil droit de Neil, qui se met à fumer.
 
The Fades S01E01: Les esprits (2011)
 
The Fades S01E01: Les esprits (2011)
 
The Fades S01E01: Les esprits (2011)
 
The Fades S01E01: Les esprits (2011)
 
The Fades S01E01: Les esprits (2011)
 
The Fades S01E01: Les esprits (2011)

***
 
 
***

 

La guerre des étoiles (1977) le blu-ray de 2012Feu vert blu-ray

Ici la page Amazon de ce coffret chapitre 4 à 6 blu-ray français.

Star Wars (1977), le coffret blu-ray (chapitre 4 à 6) du 14 septembre 2011

Coffret français identique au coffret américain, multi-régions, pas de bonus à part les commentaires audios.

Attention, il s'agit du montage censuré et très altéré (images et sons différents des versions originales)

Ici l'article de ce blog sur la Guerre des étoiles / Star wars épisode IV (1977)

Sur le film : un film culte, extrêmement populaire, appartenant désormais à l'Histoire du Cinéma, conte de fées rhabillé des habits clinquants du Space Opera grand teint à la manière des années 1930, mais avec les effets spéciaux des années 1970/80. C'est jubilatoire parce que c'est tout ce que les spectateurs voulaient voir au cinéma et ne voyaient jamais alors que les studios de l'époque confondaient horreur (kitch ou métaphysique) et science-fiction, et ignoraient superbement l'Aventure dans l'Espace avec un grand A et un grand E qu'offraient pourtant à leurs lecteurs les magazines et les bandes dessinées depuis les années 1930, voire depuis encore plus loin.

En avant donc pour les explosions (des vraies, pas des numériques), les pirates de l'espace au grand cœur, les extraterrestres mignons ou écœurants (là encore, en vraie plastoc, pas en numérique), et toutes ces planètes dont le paysage se résume à un seul climat ou un seul point de vue spectaculaire (éventuellement tournés en paysages naturels s'il vous plaît, presque pas matte-peintés), sans oublier ces nuées d'astéroïdes systématiquement embouteillés qui ignorent superbement le fait que la gravité les forceraient à former une planète dans l'année et non un champ fixe qui sert juste à démontrer l'agilité prétendue du fougueux pilote d'astronef de service - que personne dans la salle ne saurait de toute manière juger, et dont la réussite ne dépend que du bon vouloir des scénaristes. Le vrai talent de George Lucas est d'avoir réussi à avoir forcé Hollywood à projeter sur grand écran ce merveilleux que la caste incompétente bloquait jusque là, et de l'avoir fait en rassemblant une équipe de passionnés vraiment compétents dans leurs domaines, notamment John Dykstra et et Donald E. Trumbull.

Malheureusement pour la jubilation, le film a été depuis altéré, non seulement au montage, mais par l'ajout d'effets spéciaux numériques, deux fois de suite au moins. A chaque fois, la prétendue "restauration" a été incohérente (les détails retouchés ne le sont pas forcément dans le plan suivant et pas forcément de la même manière) et si certaines retouches, à la Star Trek Original destination blu-ray sont très belles et modernise agréablement la copie d'origine, l'immense majorité des changements ne se justifient pas et détériorent l'expérience du film.

George Lucas fait constamment de très mauvais choix et la qualité de la trilogie des chapitres 4 à 6 tient d'une part à une équipe remarquable et aux apports non négligeables des vrais auteurs de science-fiction et concepteurs de maquettes et d'effets spéciaux dont le talent se retrouvera, au contraire de celui de Lucas, dans plusieurs autres productions, sans oublier une masse de copier-coller depuis les albums de Valérian (le Falcon Millénium est un décalque du vaisseau de Valérian, tous les extraterrestres un peu réussis viennent de chez Valérian, notamment de Point-Central) et depuis l'adaptation avortée du Dune de Frank Herbert par Jodorowski et les dessins de Moebius ou même du robot iconique du Métropolis de Fritz Lang. Autant pour le prétendu génie de Lucas quant à l'originalité et le foisonnement des idées, pourtant mille et une fois célébrés par une presse ignare au-delà du tolérable ou lécheuse de bottes au-delà de l'abnégation.

Maintenant, comme l'a expliqué Pierre Christin lui-même, toutes ces idées appartiennent au fond de la science-fiction, quand bien même Lucas lui-même tente et retente encore de le copyrighter. Lucas accusera la production de Battlestar Galactica de plagiat, qui, au procès, l'attaquera en retour pour avoir notamment plagié, à ce compte, Flash Gordon et beaucoup d'autres serials des années 1930. Résultat, Lucas dû renoncer à son action sous peine de se retrouver à payer encore davantage de dommages et intérêts. Mais l'histoire ne s'arrêtera pas là, et la totalité des marques déposées sur chaque personnage et nom de planètes starwars dont la nature n'a rien d'original et le nom est aléatoire n'est que la suite de l'entreprise de main basse sur l'imaginaire et les droits des vrais auteurs de Space Opera. Et comme maintenant, c'est Disney qui est le détenteur de ces droits (celui qui change les règles du domaine public pour garder des droits d'auteurs pour toute l'éternité sur des dessins animés copiant collant les grands illustrateurs du 19ème siècle et les productions antérieures comme She de Merian C. Cooper, Robin des bois de Michael Curtiz et William Keighley, le voleur de Bagdad de Corda, la Belle et la bête de Cocteau, cela promet un avenir digne de l'Empire maléfique décrit dans le film.

***

Image : Excellente mais censurée et altérée - non seulement les versions originales ne sont pas fournies, mais en plus les films sont encore modifiés par rapport aux nouvelles éditions, et pas avec finesse. Par exemple, une texture de rocher de synthèse recouvre R2D2 pour rendre plus plausible sa tentative de se cacher dans une enfractuosité. Non seulement l'image originale de qualité est détruite au 3/4, mais en plus, difficile d'expliquer ensuite comment R2D2 a pu reculer derrière un tel obstacle. Sans doute la fonction "traverser les rochers de synthèse".

Son : Excellent mais censuré et altéré - la bande son a été modifiée, à nouveau grossièrement, en rajoutant par exemple un cri de bête à l'arrivée d'Obi Wan Kenobi, ou encore un "Nooooooooooooooooooon !" ça et là. Non seulement c'est risible, mais cela pose la question de qu'est-ce qu'on fera dire aux acteurs d'alors à la prochaine édition.

Bonus : Amputés. Les bonus de la première trilogie sont seulement dans le coffret de l'intégrale : quelqu'un a essayé de vous forcer à acheter la nouvelle trilogie... Il vous restera toujours les commentaires audio, sans doute trop coûteux à séparer des films lors du pressage.

***

Au total, un véritable crève-cœur : si la qualité du blu-ray ne fait aucun doute, la projection est un supplice, insinuant constamment le doute si, comme moi, vous aviez déjà vu le film dans ses versions originales et nouvelles éditions.

Ce qui m’écœure particulièrement est la censure des scènes censées "trop violentes", comme Han Solo qui abat le chasseur de prime avant que ce dernier ait pu dégainer, ou l'attaque du poste de surveillance lorsque Han Solo et Luke s'en vont délivrer Leia. Cette dernière scène, je l'ai vue des centaines de fois parce qu'elle était inclue dans un jouet qui permettait de visionner en super-8 des montages des films à succès du moment. Quand, dans le même temps, Lucas maintient toutes les scènes à monstres, ses critères d'un spectacle violent ou pas paraissent particulièrement hypocrites.

***

Donnez votre avis sur ce blu-ray en nous rejoignant sur le forum Philippe-Ebly.fr, salon Science-fiction.

Image

Le navire étoile (1963), le DVD français de 2011 de l'INA.

Sorti en DVD français chez INA le 6 septembre 2011 (multizone).

Ici l'article de ce blog sur le téléfilm Le navire étoile (1962)

Attention, la jaquette ose spoiler la fin du téléfilm. Ne lisez pas le "résumé" au dos du boitier.

Sur le film : c'est du niveau des productions anglaises de la même époque, c'est à dire intéressant, mais théâtral, à la 1984 ou plus tard en couleur Blake 7. Cependant il y a de nombreuses scènes de bagarres, apparemment tournées quasiment en direct par trois des acteurs principaux et quelques figurants, ce qui est une performance, et fait que le Vaisseau-Etoile n'est pas aussi statique et verbeux que ce que les français ont trop souvent produit pour la télévision ou le cinéma, tous genres confondus et en particulier en dessin animé de science-fiction. Le problème vient du roman d'origine, car il est improbable que les crises et les questionnements racontés ne se soient pas posés dès la première ou la seconde génération des passagers de ce vaisseau, encore que cela puisse se discuter. Certes, certains acteurs bafouillent (pas de seconde prise possible) mais ce n'est pas un problème : ils jouent correctement leurs rôles, et les situations ne sont pas débiles, alors que souvent dans ce genre de production, les acteurs sont à la ramasse et le minimum d'éveil social est carrément absent.

Le vaisseau-étoile n'est pas une véritable réussite, mais atteint cependant un résultat très honorable, parce que la production ne se fiche pas de la figure du spectateur. C'était aussi l'occasion pour les productions de l'époque d'apprendre ce que c'est qu'adapter de la SF ou de la Fantasy pour de vrai, et il est dommage que des dizaines et des dizaines de romans français, anglais ou américain n'aient pas été ensuite adaptés sur une base hebdomadaire ou mensuelle par des équipes françaises, avec des bonnes bagarres, des bonnes idées, des décors tant que cela peu et des dialogues au moins aussi bien joués.

Sur l'image : 4:3 noir et blanc, médiocre. Il faut régler le téléviseur sur le format 4:3 pour ne pas avoir l'image étirée. L'image est poudroyante, le contraste bas, très peu détaillée, avec une déformation prononcée du côté droit comme si cette partie de l'image était filmée de côté. C'est de la vidéo des années 1960, probablement restaurée mais sans les logiciels les plus performants, qui auraient pu rétablir le contraste, faire disparaître les artefacts. Il existe des photos de tournage de grande qualité, qui dans le futur, pourrait servir de base à une bien meilleure restauration, par exemple en recréant les détails fins et la profondeur de champ, et corrigeant la déformation qui affecte la partie droite, mais il faudrait pour se faire un budget de production de dessin animé pas cher et une ingéniosité peu courante en France mais encore possible.

Sur le son : Mono réparti sur stéréo. Là encore, les moyens de la production d'origine étaient minimum (un synthé Bon-tant-pis ?) mais les voix sonnent assez correctement pour que l'on puisse suivre avec attention tout ce qui arrive.

Sur les bonus : Très limités. C'est une bonne idée d'avoir inclus la présentation d'époque aux spectateurs, par quelqu'un qui s'efforce de rassurer le spectateur et donner de la stature à la production "première en son genre à la télévision française" - ce qui reste à vérifier. Même si le présentateur spoile un peu le début du téléfilm, ce qu'il dit est vrai, le Navire Étoile est bien un petit évènement, et un effort à saluer. Le coffret DVD inclus un flyer sur la collection "Les inédits fantastiques", mais celle-ci n'en est qu'à ses débuts alors, donc le catalogue présenté est mince. Ensuite il y a un livret épais pour présenter les DVD de l'INA non SF. J'aurais franchement préféré une présentation plus complète de la série, et par exemple, l'interview du scénariste, apparemment encore vivant aujourd'hui.

Au total : Ce DVD est définitivement mieux que rien et se laisse regarder sans inconfort majeur. La collection "Les inédits fantastiques" est pour moi un must à cause de l'intérêt historique, et du travail accompli par ces productions d'époque, et peu importe que les productions d'alors ne sont pas du niveau des productions anglo-saxonnes d'aujourd'hui.

En revanche, ces "inédits" sont très supérieurs en général aux productions de SF française télévisées d'aujourd'hui, qui sont tout simplement absentes, illettrées, ou bien pseudo-comiques (Merlin sur TF1, Peplum sur M6, Camelot sur M6), ou pseudo-horrifiques, mais presque toujours honteusement minables, mal jouées, mal écrites, et ignorantes du domaine de la SF et de la Fantasy, inclus les sommets du film fantastique et d'aventure français des années 1930 à 1960. Donc un grand merci à l'INA en espérant que j'aurais assez de sous pour m'offrir la collection avant qu'elle soit épuisée.

***

Teen Wolf, la série télévisée de 2011 Feu vert télévision

Teen Wolf S01E12: Code Breaker.
Traduction du titre : Celui qui enfreint le code // celui qui déchiffre le code = celui qui résout l'énigme.

 

Ici l'article de ce blog sur la série Teen Wolf (2011)

Cet épisode existe en deux versions : courte pour la télévision, longue pour le DVD.

Diffusé aux USA le 15 août 2011 sur MTV.
Diffusé en France sur MTV France et sur France 4.
Diffusé sur Netflix France.
Actuellement rediffusé sur MTV France.
Le DVD américain lisible en France avec la version française est sorti le 22 mai 2012 (avec des chansons en fond parfois différentes).
Également disponible en coffret DVD saison 1+2.

De Jeff Davis. Avec Tyler Posey, Dylan O'Brien, Tyler Hoechlin.
D'après la comédie fantastique de 1985 avec Michael J. Fox.


Pour adultes et adolescents.

Cette fois Alyson sait vraiment tout. Scott s'enfuit, désespéré. Mais c'est un drame autrement plus grave qui se joue du côté de Stiles qui vient de faire une découverte atroce et se retrouve pris en otage par l'Alpha : celui-ci veut absolument récupérer Derek et estime, à raison, que l'intelligence de Stiles permettra de retrouver le loup-garou. Stiles est sidéré par le cynisme de l'Alpha, et faute d'autre choix, suit les consignes de l'Alpha.

Du côté des Argents, le père de Alyson est furieux contre Kate : il sait que Kate a, contre sa volonté, aiguillé Alyson vers leur secret. Par ailleurs il trouve désormais très suspect le fait que Kate ait proposé de le rejoindre de sa propre initiative. Il annonce à Kate qu'il sait également que le sherif a connecté les différents meurtres avec l'incendie infernal qui a frappé la famille de Derek, et à la grande indignation de Kate, il veut les envoyer elle et Alyson à Washington pour les éloigner d'une situation qu'il ne semble plus contrôler. De son côté, Scott réalise qu'il avait depuis le début le moyen de retrouver Derek et à l'hôpital, le Shérif, perd de Stiles, s'en prend à Jackson, mais Jackson lui fait remarquer que Stiles lui-même a disparu, et le shérif réalise que son fils est probablement en danger mortel.

Teen Wolf (2011) Saison 1 épisode 12, photo

Teen Wolf (2011) Saison 1 épisode 12, photo

Teen Wolf (2011) Saison 1 épisode 12, photo

Teen Wolf (2011) Saison 1 épisode 12, photo

Donnez votre avis sur cet épisode en nous rejoignant sur le forum Philippe-Ebly.fr, salon Science-fiction.