Kamikaze, le film de 1986Feu vert cinéma

Kamikaze (1986)

Sorti en France le 10 décembre 1986.
Sorti en DVD espagnol le 8 février 2013 (version française, sous-titres espagnols pas évident à désactiver, mais désactivables selon le lecteur via la télécommande, image bonne format respecté 2.35:1).
Sorti en DVD français Gaumont le 8 avril 2015 (image moins bonne que le DVD espagnol).
Sorti en blu-ray français le 22 septembre 2021 chez GAUMONT FR.
Sorti en blu-ray allemand le 8 avril 2022 chez SOULFOOD DE.


De Didier Grousset (également scénariste), sur un scénario de Luc Besson (également producteur délégué) ; avec Richard Bohringer, Michel Galabru, Dominique Lavanant, Romane Bohringer, Etienne Chicot, Harry Cleven, Riton Liebman, Kim Massee, Michael Goldman, Geoffrey Carey, Philippe Girard.

Pour adultes et adolescents.

(prospective, techno-thriller, slasher, policier, horreur) Albert, inventeur bonhomme, est viré alors qu’il était en train de faire une découverte lourde de conséquence. Se trouvant enfermé chez lui toute la journée à regarder la télévision, il réalise que sa dernière invention pourrait lui permettre d’éviscérer toute personne qui se trouverait visé par la caméra sur le plateau de télévision lors d’une émission en directe.

Ne supportant plus le ton acidulé des présentatrices et présentateurs, il commet son premier meurtre à distance, et c’est à l’inspecteur Romain Pascot d’arrêter le responsable d’un crime impossible à commettre.

Kamikaze, le film de 1986

Kamikaze, le film de 1986

Kamikaze, le film de 1986

Kamikaze, le film de 1986

Kamikaze, le film de 1986

Kamikaze, le film de 1986

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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Les guerriers du Soleil (1986) posterFeu orange cinéma
Solarbabies (1986)

Autre titre : Solarfighters.

Sorti aux USA le 26 novembre 1986.
Sorti en Allemagne en blu-ray le 25 septembre 2014 (lisible en France, pas de piste française).

L'article de ce blog sur le blu-ray allemand de 2014 se trouve ici.

De Alan Johnson. Avec Richard Jordan, Jami Gertz, Jason Patric, Adrian Pasdar.

Des enfants kidnappés sont endoctrinés dans une "école" tenue par une dictature qui tient la population locale grâce aux réserves d'eaux d'un barrage. Une petite bande de skateurs, les Solarbabies, découvrent une sphère étrange au fond d'une mine, capable de communiquer avec le plus jeunes d'entre eux. Gorgée d'énergie, elle est capable de miracles, comme faire pleuvoir, et à terme rendre à la Terre son climat d'autrefois. Ce qui n'arrangerait pas les affaires de la dictature...

Les guerriers du soleil (1986) photo

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Le fantôme de l'opéra, la comédie musicale de 1986Feu vert cinéma

The Phantom Of The Opera 25th Anniversary (2011)
La comédie musicale.

Première le 9 octobre 1986 au Her Majesty's Theatre (West End, Londres).
Représentation du 25ème anniversaire au Royal Albert Hall de Londres du 2 octobre 2011.
Sorti en blu-ray anglais le 14 novembre 2011 (multi-régions, pas de sous-titres français, anglais DTS HD MA 5.1 et DD 2.0)

De Andrew Lloyd Weber (également scénarfiste), livret de Charles Hart et Richard Stilgoe, d'après le roman de Gaston Leroux "Le fantôme de l'Opéra" (1910) ; avec Ramin Karimloo, Sierra Boggess, Hadley Fraser, Wendy Ferguson, Barry James, Gareth Snook, Liz Robertson, Wynne Evans, Serge Polunin.

Pour tout public.

1905. La scène de l’opéra Populaire. Une petite foule est assemblée pour la vente aux enchères de souvenirs de l’Opéra, aujourd’hui délabré – parmi lesquels un homme riche en chaise roulante : lot 663, une affiche d’une production de cette maison, Hannibal de Chalumeau – vendu 7F au vicomte Raoul de Chagny. Lot 664 : un pistolet de bois et trois crânes de la production de Robert Le Diable de Meyerbeer, adjugés 15 Francs. Lot 665, une boite à musique décorée d’un singe à cymbale découverte dans les cryptes de l’Opéra, en parfait état de marche. En se faisant présenter la boite à musique, Raoul se souvient que sa bien-aimée lui avait décrit cet objet, avec ces exacts détails. Puis vient le lot 666, le grand lustre, ou une partie de celui-ci, équipé de l’électricité pour l’occasion, afin de rappeler sa splendeur du temps de l’affaire du Fantôme de l’Opéra.

1881. Au temps de la splendeur de l’Opéra Populaire, une cantatrice grassouillette – la Carlotta incarnant la reine Didon – entre sur la scène avec une tête coupée – célébrant les sauveurs venus de Rome, avec force vocalises et fioritures. La scène est alors envahie d’une foule de danseurs et figurants, puis du chanteur incarnant Hannibal, également grassouillet. La répétition s’interrompt parce que le chanteur ne sait pas prononcer « Rome » - puis reprend la répétition. Le numéro s’achève avec Hannibal qui n’arrive pas à dégainer son épée à la fin du tableau. Arrive alors le propriétaire de l’Opéra Populaire, Reyer, qui confirme qu’il prend sa retraite et présente les nouveaux populaires Richard Firmin et Gilles André. Il leur présente la Signora Carlotta Giudicelli, qui tient la tête d’affiche depuis 19 saisons. Alors l’un des nouveaux propriétaires lui réclame l’air de l’acte 3 de l’opéra Hannibal, « Pense à moi », qu’elle interprète sans âme, et avec force gestes et mimiques suggestifs.

Soudain, un homme pousse un cri, et l’une des toiles du fond tombe, interrompt l’aria. Meg Giry, la fille de Madame Giry, la directrice du Ballet, s'écrit que c'est un coup du Fantôme de l’Opéra. Les propriétaires interpellent le machiniste, qui leur rappelle qu’il est sur la scène et non dans les praticables, et n’est donc pas responsable. Comme l’un des nouveau propriétaire prétend que les accidents arrivent, la Carlotta explose : ils ne sont là que depuis cinq minutes. Qu’en savent-ils ? Et elle quitte la production. L’ancien propriétaire s’en va très vite. Alors Madame Giry, qui dirige le ballet, transmet un message du Fantôme aux nouveaux propriétaires : sa bienvenue, la loge 5 lui est réservé, et 20.000F de rente par mois.

Les anciens propriétaires ignorent le message du Fantôme, et demandent qui est la doublure de la Carlotta. Officiellement il n’y en a pas, mais Madame Giry propose Christine Daaé, qui n’est qu’une choriste danseuse, et qui est incapable de dire le nom de son maître de chant. Alors l’un des propriétaires se souvient qu’elle est la fille d’un violoniste célèbre, et, d’abord terrorisée alors qu’elle chante l’air « Pense à moi », Christine prend confiance… et se retrouve finalement sur la scène le soir même à chanter le rôle, acclamée par le public – et reconnue par le comte Raoul de Chavigny qui assistait à la représentation… Car Christine Daaé n’est autre que l’amour d’enfance de Raoul.

Le fantôme de l'opéra, la comédie musicale de 1986

Le fantôme de l'opéra, la comédie musicale de 1986

Le fantôme de l'opéra, la comédie musicale de 1986

Le fantôme de l'opéra, la comédie musicale de 1986

Le fantôme de l'opéra, la comédie musicale de 1986

Le fantôme de l'opéra, la comédie musicale de 1986

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Le Fantôme de Beatie Bow, le film de 1986Feu vert cinéma

Playing Beatie Bow (1986)

Traduction du titre original : Jouer à Beatie Bow.
Titre français : Le fantôme de Beatie Bow.

Sorti le 7 août 1986 en Australie.
Sorti en blu-ray australien le 9 février 2022.

De Donald Crombie, sur un scénario de Peter Gawler, d’après le roman Playing Beatie Bow de 1980 de Ruth Park.

Pour tout public.

— Mon Dieu qu’est-ce que c’est ?
— Seulement la vache dans la grange ! le chien à la porte ! le vent dans la cheminée !
— Mon Dieu qu’est-ce que c’est ?
— C’est Beatie Bow, d’entre les morts relevée !


Une toute jeune fille pieds nus en tablier descend un escalier trempé. Apercevant au bas de l’escalier une canette de soda écrasée, elle s’en empare lestement. Puis son attention est attirée par les enfants du parce voisin qui jouent à chanter un refrain d’une chanson traditionnel, auquel répond une petite fille depuis le toboggan. Et quand elle répond que c’est Beatie Bow d’entre les morts relevées qui arrive, un enfant déguisé en fantôme avec un simple drap, jaillit de sa cachette et tous les enfants s’enfuient en hurlant, tandis qu’au loin on devine les toits en forme de voiles de l’Opéra de Sidney.

A ces mots, la petite fille sourit, comme émerveillée. Puis elle regarde autour d’elle : dans la rue, un fiacre tiré par un cheval arrive, passant devant les voitures modernes garées. Puis un grondement la fait sursauter : au-dessus d’elle, un wagon passe. Et lorsqu’elle baisse les yeux, elle croise le regard d’une petite fille en anorak bleu, pantalon rouge et bottes jaunes. De son âge, elle lui sourit. Un bus passe, et la petite fille en tablier a disparu du palier des escaliers où elle était descendue.

Nous sommes à Sidney dans les années 1980. Abigail Kirk est une jeune fille moderne, très jolie avec ses couettes et l’uniforme de son école, rêvant des garçons – cependant elle choisit pour sortir une robe blanche d’allure désuette. Le soir elle patine en musique avec ses copines, mais elle rejette systématiquement un prétendant, et l’insulte en mettant en doute son expérience sexuelle prétendue. Comme elle raccompagne sa petite sœur Nathalie chez elles, celle-ci lui parle de Beatie Bow. Elles aperçoivent la petite fille en tablier en haut des escaliers et la petite sœur s’inquiète : elle n’a pas de chaussures.

La petite fille a déjà disparu, et Abigail répond à Nathalie qu’elle est en train de tout inventer. Mais alors que la nuit tombe, Nathalie aperçoit la petite fille depuis leur balcon. Comme Nathalie alerte que la petite fille est toujours là, mais que sa mère et sa grande sœur s’en fichent, une boite remplie de vieux trucs tombe, et Nathalie fait remarquer que le col de dentelle qui s’y trouve irait parfaitement avec la robe blanche d’Abigael. Abigael en convient, met le col, va s’admirer devant le miroir de sa salle de bain, et a une étrange vision d’une falaise et de la mer ensanglantée.

Sa mère de retour du dîner avec son père fait remarquer que la dentelle est superbe, tout à fait victorienne. Sa mère lui annonce alors que son père veut revenir avec elle. Abigael est indignée, son père les a quitté pour une autre femme il y a six ans. Sa mère répond qu’Abigael ne sait pas ce qu’est l’amour. Agibael accuse sa mère de n’avoir aucun amour propre et affirme que son père la laissera tomber à nouveau, et qu’il n’est pas question qu’elle se laisse abandonner de nouveau.

Le lendemain matin par grand vent, Abigael passe à la boutique d’antiquité de sa mère pour s’excuser, toujours vêtue de la robe ancienne. Mais comme elle entre, sa mère lâche une porcelaine à cause du coup de vent, et l’entrevue tourne à l’aigre. Pour se calmer, Abigael va faire de la balançoire dans le parc et aperçoit la petite fille au tablier. Celle-ci lui explique qu’elle ne peut pas rentrer chez elle, et du balcon, Nathalie encourage sa grande sœur à la suivre et l’aider. Abigael se lance à la poursuite de la petite fille au tablier, qui semble épouvantée à cause des cloches de l’église : il y a trop de merveilles et elle n’arrive pas à rentrer.

Abigail voulant la rassurer, touche la main de la petite fille qui pousse un cri : elle n’aurait jamais dû faire cela. Quand Abigael regarde à nouveau l’église, il n’y a plus aucun bâtiment ni véhicule moderne autour. La petite fille s’enfuit, Abigaël lui court après et se retrouve dans un quartier d’allure sordide, et comme elle se retourne, un homme barbu s’élance droit sur elle, sabre au clair. Renversée, Abigaël chute, et sa tête heurte le pavé. Elle se réveille à moitié dans un lit, alors que deux femmes s’accordent sur le fait qu’Abigaël est bien l’étrangère, à cause de la dentelle et de la robe.

Puis il fait jour, elle se réveille, blessée à la jambe en chemise de nuit, avec la petite fille en tablier, qui se présente comme s’appelant Beatie Bow, comme dans la comptine mais pour de vrai, et supplie Abigael ne de pas révéler comment elle est arrivée, car elle ne veut pas que sa famille sache qu’elle a le don. Alarmée, Abigael demande la date : le 1er septembre 1873, bien sûr.

Le Fantôme de Beatie Bow, le film de 1986

Le Fantôme de Beatie Bow, le film de 1986

Le Fantôme de Beatie Bow, le film de 1986

Le Fantôme de Beatie Bow, le film de 1986

Le Fantôme de Beatie Bow, le film de 1986

Le Fantôme de Beatie Bow, le film de 1986

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