Retour vers le futur, le film de 1985Feu vert cinéma

Back to The Future (1985)

Sorti aux USA le 3 juillet 1985.
Sorti en France le 30 octobre 1985.
Sorti en Angleterre le 4 décembre 1985.
Sorti en coffret blu-ray americain 25ème anniversaire de la trilogie le 26 octobre 2010.
Sorti en coffret blu-ray français 25ème anniversaire de la trilogie le 3 novembre 2010.

De Robert Zemeckis (également scénariste) sur un scénario de Bob Gale, avec Michael J. Fox, Christopher Lloyd, Lea Thompson, Crispin Glover , Thomas F. Wilson, Claudia Wells, Marc McClure, Wendie Jo Sperber , George DiCenzo, Frances Lee McCain, James Tolkan , J.J. Cohen, Casey Siemaszko , Billy Zane, Harry Waters Jr. .

Il est 7H53. Une collection d’horloges et de pendules en tous genres cliquètent bruyamment. Sur le mur est encadré deux coupures du journal local, le Hill Valley Telegraph. La première, du jeudi 2 août 1962, est à propos de l’incendie de la Résidence Brown. La seconde, possiblement du vendredi 3 août 1962, est à propos de la vente d’un domaine de 435 acres par un inventeur suite à sa banqueroute. La radio se met en marche, avec une publicité à propos du mois d’octobre et des voitures Toyota du modèle 1985 au meilleur prix et avec le meilleur service de tout Hill Valley. Puis c’est une machine à café bricolée qui se met en marche à son tour ; puis la télévision avec le journal du matin avec au sommaire sur dénégations d’un laboratoire de recherche nucléaire sur la rumeur d’un vol de plutonium remontant à deux semaines, malgré la revendication du vol par un groupe de terroristes lybiens, tandis que les autorités officielles déclarent une simple erreur de comptabilité ; quant au FBI, il n’a aucun commentaire.

Un grille-pain éjecte alors deux toasts carbonisés et fumants, puis les fait redescendre, puis les éjecte à nouveau, puis les fait redescendre, puis… Pendant ce temps, un bras robot avec des tas de câbles à l’air récupère une des trois boites de conserve de nourriture pour chien rangées dans une glissière, pivote jusqu’à un ouvre boite automatisé qui découpe le couvercle de la boite, puis récupère la boite pour en vider le contenu dans la gamelle d’un certain Einstein – laquelle gamelle débordait déjà – éclaboussant le sol tout autour de viande en sauce. Enfin le bras pivote à nouveau pour jeter la boite de conserve vide dans une corbeille à papier (sans sac-poubelle).

C’est alors que la porte de la pièce s’ouvre, et qu’un jeune skateur appelle un certain « Doc ». Le skateur remet la clé sous le paillasson, appelle Einstein, mais le chien ne vient pas. Comme il cale son skate contre une table, il ne voit pas une valise jaune fluo marquée « Plutonium, manier avec précaution ». Le skateur va plutôt brancher une guitare électrique sur un gigantesque ampli, et après avoir poussé les volumes, il se place face à l’ampli et gratte un seul accord. La puissance de l’ampli éjecte le skateur qui va s’écraser contre une étagère, tandis que la membrane de l’ampli géant se déchire. Le skateur retire ses lunettes de soleil et dit « Rock’n Roll ».

Le téléphone se met alors à sonner et le skateur – Marty – se relève et décroche. À l’autre bout du fil, Doc, soulagé d’avoir pu le joindre et qui lui donne rendez-vous sur le parking de la galerie marchande des Twin Pines (les Pins Jumeaux) à 1h15, car il a fait une découverte majeure et il a besoin de son assistance. Intrigué, Marty se fait confirmé que Doc parle bien d’1h15 du matin, puis lui demande où il était toute cette semaine et où est Einstein. Doc lui confirme que Einstein est bien avec lui. Puis Doc avertit Marty qu’il ne doit pas brancher sa guitare sur l’ampli car il y a un infime possibilité de surcharge. Marty répond qu’il gardera ce détail à l’esprit. Comme Doc rappelle à Marty de ne pas oublier leur rendez-vous, toutes les horloges de la maison se mettent à sonner 8h00. Alors Doc se réjouie : son expérience a fonctionné, toutes les horloges retardent de 25 minutes exactement. Marty, visiblement troublé, demande confirmation qu’il est donc 8H25 : le garçon est en retard pour le lycée. Il raccroche précipitamment le téléphone, quitte le garage au numéro 1646 qui sert de maison à Doc et s’élance en skate, s’accrochant à l’arrière une voiture pour arriver plus vite au lycée aux murs couverts de tags.

Retour vers le futur, le film de 1985

Retour vers le futur, le film de 1985

Retour vers le futur, le film de 1985

Retour vers le futur, le film de 1985

Retour vers le futur, le film de 1985

Retour vers le futur, le film de 1985

Retour vers le futur, le film de 1985

Retour vers le futur, le film de 1985

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Red Sonja: Kalidor, le film de 1985Feu rouge cinéma

Red Sonja (1985)
Traduction du titre anglais : Sonia la Rousse.
Titre français : Kalidor, la légende du Talisman.

Sorti aux USA le 3 juillet 1985,
Sorti en Angleterre le 28 novembre 1985,
Sorti en France le 18 décembre 1985.

Sorti le 11 mai 2010 en blu-ray français ;
Sorti le 20 mai 2010 en blu-ray allemand,
Sorti le 28 juin 2010 en blu-ray anglais ;
Sorti en blu-ray anglais (nouvelle restauration) le 18 juillet 2022,
Sori en coffret blu-ray 4K français le 20 juillet 2022, allemand le 20 juillet 2022.

De Richard Fleischer ; sur un scénario de Clive Exton et George MacDonald Fraser, d’après la nouvelle The Shadow of the Vulture de Robert E. Howard parue dans The Magic Carpet Magazine de janvier 1934 ; avec Brigitte Nielsen, Sandahl Bergman, Paul L. Smith, Ronald Lacey, Arnold Schwarzenegger.

Pour adultes et adolescents.

La montagne, un plateau venteux ensoleillé. Son nom était Sonia la Rouge (Note du Traducteur : Sonja la Rousse). Elle vivait dans un monde sauvage à une époque de violence (Note Du Traducteur: donc au début du 21ème ?)… une guerrière farouche avec des cheveux roux flamboyants. Dans le Royaume Hyborien (Note du Traducteur: Hyperboréen, aka en Scandinavie) sa quête de justice et de vengeance devint une légende. Voici comment la légende commença.

Une maison à grande tour brûlait comme à l’ordinaire en ce temps-là. Ivre morte, une jeune femme rousse sommeillait non loin de là. Cependant, le fantôme d’une femme l’appelait, et Sonia, les tétons libérés pointant hors de sa robe déchirée, releva la tête, l’air un peu encore sous extasy. L’apparition insiste et poursuit l’exposition commencée avec le texte imprimé sur la première image du film : « Tu souffres, Sonja, mais la vengeance sera à toi, la vengeance contre la Reine Gerden qui te voulait pour elle toute seule. Ton dégoût était clair.»

En tout cas, pas par les déclarations de la rouquine, qui se contente lors du flashback de pousser un cri inarticulé et de balafrer la reine avec un couteau obligeamment laissé à disposition de n’importe quel attaquant sur la selle royale, défiant les règles de la physique et de l’anatomie car Sonia parvient à frapper au visage la reine perchée sur son cheval, tout en étant au bas du cheval maintenue par un soldat, faut croire que la reine était penchée bien bas et que le soldat était trop coincé dans son armure pour maintenir quoi que ce soit à sa place.

« Et c’est pourquoi Gerden la vilaine ordonna que ta famille soit tuée, et ton corps violé par ses soldats (qui ne devaient vraiment pas être nombreux, et n’ayant pas ôté leur armure, n’ont rien lui faire de particulièrement pénétrant, sans quoi ils se seraient castrés eux-mêmes au premier coup de rein.

« Mais dans ta quête pour la justice et la vengeance, tu auras besoin d’une grande force, car ton épée bras ne doit pas avoir d’égal. Je te donne cette force. » Et la forme lumineuse fait mine de bénir d’une épée fantôme l’épaule de la jeune femme, debout bien d’aplomb, jambes pratiquement sans écarts et pieds bien parallèles – confirmant le soupçon que l’armée censée l’avoir violée a dû la confondre avec un terrier voisin. Ou alors elle ne porte pas le bon surnom.

Bref, Kalidor (Note du Traducteur: ConanTM) le barbare chevauchait dans la pleine sous les montagnes, ou la toundra etc. afin d’empêcher les spectateurs de quitter dès à présent la salle. Le générique est long, et Kalidor a l’air pressé. Il arrive à un pont suspendu détruit et… fait demi-tour.

Ailleurs, un cône de pierre portée par des statuts semblent abriter une cérémonie singeant avec des épées à sec les chorégraphies d’Esther William. Il semble s’agir d’un salut à la boule à pointes maléfique luisant d’une lueur verte.

En longue tunique blanche décorée d’or et heaumes plus ou moins ailés, des bombasses s’avancent avec une moue prétentieuse, avec en tête une prêtresse encore plus bling-bling, qui demande à une certaine Varna où se trouve le seigneur d’Hyrkania. Varna (une rousse Ligne Roset) lui répond que l’intéressé n’est pas venu (il avait piscine). La prêtresse semble être soucieuse et repasse en mode dialogue d’exposition : il aurait dû être là pour la destruction du Talisman, comme si Varna qui semble préparer la cérémonie, pouvait ne pas être au courant.
La prêtresse poursuit après un soupir : « Mais nous ne pouvons retarder, nous procéderons sans lui. » Alors Varna s’inquiète : mais qui fera l’homme ? »… en fait non, Varna semble être à court de réplique.

La grande prêtresse se plante alors devant la boule pointue verte qui brille, étant ses bras et lève les yeux vers le trou au sommet du cône qui est censé servir de toit, et implore : « Ô Dieu des Dieux Hauts, regarde le talisman avec lequel tu as créé le monde et tous les trucs. »

Pendant ce temps, une petite troupe de cavaliers arrive au cône. Ai-je précisé qu’en cet âge de violence et ces temps si tellement barbares, personne ne fait le guet et strictement aucune troupe ne garde quoi que ce soit ?

La prêtresse poursuit imperturbable, toujours en mode dialogue d’exposition, comme si le temple était insonorisé alors qu’en toute logique, l’arrivée bruyante des cavaliers aurait dû se répercuter à travers tout le temple : « Ô Dieu des Dieux, (ce talisman) est devenu trop puissant pour nous… » (il est vrai que vu la taille de la boule, ce « talisman » ne devait pas être facile à porter autour du cou. « Et nous devons le détruire avant qu’il ne détruise le monde. » Nous supposons alors que quand le Dieu des dieux a créé le monde et tous les trucs, le même talisman n’était pas du tout assez puissant pour ne serait-ce que casser l’aile d’une mouche ?

A la fin de la phrase, il devient claire que les figurantes qui tiennent leurs épées plus ou moins horizontales pointées en direction du centre du temple occupé par la grosse boule verte — commencent à sérieusement fatiguer des bras. Et toujours aussi discrets, quelques cavaliers escaladent la façade tandis que les autres cavalent bruyamment en cercle sous la colonnade qui donne directement dans le Temple. Mais un silence absolu règne toujours dans le Temple.

La prêtresse repose un peu ses bras en les baissant, et toutes les bonnes sœurs qui tenaient une épée font reposer la pointe sur le sol. La prêtresse relève les bras et déclare « Pardonne-nous à présent comme nous l’envoyons hors de la lumière par laquelle elle tire son pouvoir, jusque dans les Ténèbres éternelles.

Alors un gros lippu perché au niveau de la colonnade qui surplombe l’intérieur du temple fait signe à une complice elle aussi bling bling mais de noir vêtu, et lui montre une étoile ninja, qu’il lance – et vient se ficher selon une trajectoire parfaitement droite dans le pectoral doré de la prêtresse apparemment dix mètres plus bas. C’est l’étoile ninja qui a dû tué Kennedy.

Avec un soupir, la prêtresse tombe lentement là encore dans une direction qui n’a rien à voir avec celle du projectile qui est censé l’avoir tuée, et les portes du temple qui bien sûr n’étaient ni gardée, ni barrée, s’ouvrent en grand sans aucun délai pour laisser passer la charge de quelques cavaliers. Les gardes féminines casquées et cottes de mailles dorées qui attendaient en face à l’intérieur du temps ouvrent de grands yeux : ce n’est pas comme si elles attendaient le seigneur d’Hyrkana sans lequel il était impossible de procéder à la cérémonie à laquelle elles ont quand même procédé, et ce n’est pas non plus comme si un temple se gardait à vingt mètres de ses portes aveugles, à l’intérieur du Temple, alors qu’il y a une galerie juste au-dessus d’elles pour voir venir de très loin n’importe qui.

Et bien sûr, ces garderesses comptent se battre à l’épée longue avec des manches et des voiles encore plus long, et ne connaissent qu’un seul coup, foncer dans le temps en levant le plus haut possible la lame, voire en éborgnant une copine qui se trouveraient dans leur dos — ouvrant au maximum les parties les plus vulnérables de leur corps, par exemple poitrine et gorge. Et chose curieuse, bien que frappant très lentement, elles sont seuls à frapper, et même quand les cavaliers entrent à cheval, le cavalier ne frappe personne, son cheval slalome entre les garderesses pour bien prendre garde à ne pas les bousculer.

Et les garderesses qui n’ont pas de longues manches ont les cuisses complètement exposées, histoire que leurs artères fémorales puissent se trancher au premier coup, même pas levé particulièrement haut. Et bien sûr les attaquants qui sont bien plus baraqués qu’eux et avec des armures d’allure plus logique et solide sont ceux qui reculent ou tombent au premier coup d’épée. J’ai bien dit « allure plus logique » parce qu’apparemment la bedaine n’est pas protégée ni par l’armure et la défense des cavaliers consiste à avancer bras écartés bedaine en avant.

Les vaillantes garderesses repoussent un cavalier survivant en déroute et lui claque la porte au nez. Même pas elles l’achèvent. Mais seulement pour se faire prendre à revers par, euh, quatre cavaliers de plus descendus dans le Temple. L’étoile ninja n’avait pas saigné la grande prêtresse, qui git avec sa robe avec plusieurs traînées ensanglantées alors qu’elle ne se trouvait pas au contact des combats, et qu’elle semblait morte sur le coup, plus le sang ne vient clairement pas de son torse.

Le méchant lippu en profite pour replacer une espèce de sceptre dans le logement creusé à cet effet pour ouvrir et fermer une espèce de cloche censée enfermer le « talisman », et le talisman, qui n’était déjà pas couvert depuis le début, reçoit un peu plus d’air et de lumière, quoi que l’on puisse s’interroger sur comment exactement les rayons du soleil pourraient éclairer le centre d’une salle circulaire recouverte par un cône très haut, quand bien même sa périphérie serait ajourée. Déjà que les éclairages du temple peinent à faire sens.

Parce que le scénariste a dû changer l’avis, les invincibles garderesses d’un coup ne sont plus capables de tuer un seul cavalier, mais Varna, pourtant parfaitement reconnaissable a trouvé moyen de se planquer derrière une colonne et tous les cavaliers qui ont submergé le temple ont trouvé le moyen de s’immobiliser le plus loin possible d’elle. Arrive bien entendu la reine Gerden qui bien entendu se lance dans un dialogue d’exposition de plus : « Alors ceci peut faire des mondes, ou les briser par l’orage et le tremblement de terre. » et de manière tout à fait inattendue, Gerden ordonne que l’on soulève la boule verte lumineuse. Puis elle demande à l’un de ses cavaliers de toucher la boule — et non à quelqu’une des garderesses survivantes. Le benêt disparait. Gerden demande alors à une de ses gardesses à elle en noir de toucher sa boule, et elle ne disparaît pas alors Gerden rit, et balance encore une ligne d’exposition : « Ainsi c’est vrai, seule les femmes peuvent la toucher ».

Or il me semble que la grande prêtresse dans son invocation du début s’adressait à un dieu mâle censé avoir utilisé le talisman pour créer le monde et ses trucs. Et pendant que Gerden fait balancer les survivantes dans le trou de la boule, Varna la maligne trouve un passage secret dans la muraille, il suffit d’appuyer au hasard sur les blocs de pierres gigantesques et ils reculent pratiquement sans un bruit, et même la lumière du soleil se répandant par la brèche ne semble pas attirer l’attention des méchants qui pourtant avançaient derrière les colonnes où Varna s’était embusquée pour assister au discours de la méchante reine.

Alors Varna s’élance en ligne droite, histoire que les cavaliers à ses trousses armés d’arbalète n’aient qu’à la tirer comme une lapine, mais apparemment ils n’y pensent pas. Arrive enfin Kalidor (NDT : ConanTM), qui voit Varna sautiller dans la toundra poursuivie par quelques arbalétriers qui ont préféré courir tout ce temps plutôt que de poser leur genou à terre à peine sorti du temple conique. Varna se prend un seul carreau (il y avait pourtant quatre ou cinq arbalètes disponibles) alors qu’elle descend un câble du pont cassé suspendue à une poulie, qu’elle ne lâche pas jusqu’à atterrir dans les bras de Kalidor, tout habillé de rouge pour faire une meilleure cible. Etrangement, aucun arbalétrier ne le descend à distance, parce qu’ils préfèrent se battre au contact de sa grande épée.

Red Sonja: Kalidor, le film de 1985

Red Sonja: Kalidor, le film de 1985

Red Sonja: Kalidor, le film de 1985

Red Sonja: Kalidor, le film de 1985

Red Sonja: Kalidor, le film de 1985

Red Sonja: Kalidor, le film de 1985

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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Lifeforce, l'étoile du Mal, le film de 1985Feu vert cinéma

Lifeforce (1985)
Traduction du titre original: La force de vie.
Autres titres : Space Vampires.

Sorti aux USA le 21 juin 1985.
Sorti en France le 18 septembre 1985.
Sorti en Angleterre le 4 octobre 1985.
Sorti en blu-ray américain édition collector 18 juin 2013.
Sorti en blu-ray anglais le 14 octobre 2013 (transfert excellent, très nombreux bonus, pas de version française).
Sorti en blu-ray français le 3 juin 2014 (transfert réputé mauvais, bonus anglais absents).
Sorti en blu-ray américain édition simple 9 septembre 2014.

De Tobe Hooper. Avec Steve Railsback, Mathilda May, Peter Firth, Frank Finlay , Patrick Stewart, Michael Gothard. D'après le roman de Colin Wilson.

9 août 2H30 PM heure de GreenwichSMS Churchill est en route pour intercepter la comète de Halley. Équipé d’un moteur Nerva, il maintient une gravité à bord semblable à celle de la Terre. Ils sont sur le point d’arriver au point de rendez-vous lorsqu’ils détectent un objet de 150 miles de long et 2 miles de haut à la silhouette artificielle, localisé à la tête de la comète. Ils ne peuvent envoyer de message à la Terre à cause du black-out causé par la queue de la comète. Le capitaine décide d’envoyer une expédition sur place, sans quoi l’objet ne reviendra pas avant 76 ans. Ils longent l’étrange objet, quatre membres d’équipage sortent en combinaison et pénètrent le vaisseau extraterrestre à l’endroit d’une brèche. L’intérieur a une allure organique et au fond d’un des boyaux, ils découvrent des centaines, voire des milliers de chauves-souris géantes d’allure desséchées. L’expédition décide d’emballer un spécimen pour le ramener quand soudain, le vaisseau déploie une grande structure et le fond de la caverne où se trouve l’expédition s’illumine. Le commandant et chef de l’expédition décide d’explorer la zone illuminée et le SMS Churchill perd le contact vidéo. Or, à l’intérieur de grotte cristalline, ils découvrent trois corps humains nus – une femme et deux hommes, enfermés dans des espèces de prismes. Cependant les membres de l’expédition ont de plus en plus de mal à réfléchir. Ils décident de ramener les trois prismes et leur contenu.

Trente jours plus tard, le Churchill ne répond plus. La Terre envoie la navette Columbia, qui aborde le Churchill et amarre un pont flottant. Ils découvrent l’intérieur du Churchill ravagé par un incendie et les cadavres carbonisés des membres de l’équipage flottent à travers les ponts. Toutefois, dans la cale, les prismes extraterrestres contenant les trois corps nus sont eux parfaitement intacts.

Une réunion a lieu subséquemment au Centre Européen de Recherche Spatiale de Londres. Le sarcophage de cristal de la jeune fille s’est ouvert tout seul et ils envisagent la première dissection, mais demande au docteur Fallada de prononcer la mort de la créature extraterrestre, mais ce dernier déclare qu’il n’est pas qualifié pour se faire. Plus tard, un garde comme hypnotisé entre dans la salle de dissection ; comme il effleure la jeune fille, celle-ci ouvre les yeux, puis se relève. Elle embrasse le garde et les lumières clignotes, puis s’éteignent tandis qu’un tourbillon d’énergie se matérialise au plafond. Lorsqu’après avoir aperçu la scène sur les écrans vidéos, le chef du projet Bukowski, arrive sur place, le garde s’écroule, transformé en momie, et la jeune fille s’approche à son tour de lui, lui demandant d’utiliser son corps. Fallada arrivant à son tour dans la salle de surveillance vidéo, il alerte l’équipe et se précipite. Quand il arrive, Bukowski est seul : la jeune femme est partie. Bukowski alerte alors la sécurité…

Lifeforce, l'étoile du Mal, le film de 1985

Lifeforce, l'étoile du Mal, le film de 1985

Lifeforce, l'étoile du Mal, le film de 1985

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Les goonies, le film de 1985Feu vert cinéma

The Goonies (1985)
Traduction du titre original : les petites crapules.

Sorti aux USA le 7 juin 1985.
Sorti en France le 4 décembre 1985.
Sorti du blu-ray français 29 octobre 2008.
Sorti du blu-ray américain le 2 novembre 2010 (25ème anniversaire, multi-régions, version française incluse)
Sorti du blu-ray américain le 18 octobre 2011 (multi-régions, version française incluse).
Sorti du blu-ray français 2 octobre 2013 (édition collector, avec le jeu de société)
Ressortie en France annoncée pour le 1er avril 2015.
Sortie annoncée du blu-ray américain le 2 juin 2015 (30ème anniversaire)

Un second film The Goonies 2 est annoncé pour 2015.

De Richard Donner. Avec Sean Astin, Josh Brolin, Jeff Cohen, Corey Feldman, Kerri Green, Jonathan Ke Quan.
Scénario de Chris Columbus et Steven Spielberg.


Pour adultes et adolescents.

C'est l'heure du repas dans une prison d'état. Jake Fratelli s'évade en simulant un suicide par pendaison. Cependant, le cerveau derrière cette évasion n'est autre que Maman Fratelli, une odieuse vieille dame qui utilise Jack et son frère Francis pour commettre des crimes crapuleux. Habitant le quartier de Goon d'Astoria, une petite ville portuaire de l'Orégon, les Goonies sont une bande de gamins dont les maisons sont sur le point d'être saisies par les banquiers, quand l'un d'eux découvre une ancienne carte au trésor. La carte les mènent droit dans un vieux restaurant abandonné, celui-là même que Maman Fratelli et ses fils ont choisi comme planque.

Les Goonies (1985) photo

Les Goonies (1985) photo

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