Le mutant, le roman de 1978 d'Alain PageFeu vert livre

Le Mutant, le roman de 1978 d'Alain Page

Sorti chez Albin Michel le 29 mai 1978.
Également adapté pour la télévision en minisérie diffusée à partir du 15 juin 1978 sur TF1.

De Alain Page.

Jean-Claude Masson, biologiste nobelisé est rabattu par six poursuivants aux sourires, vestes et insignes identiques vers une chambre bizarre. A un bureau, il trouve un écran et une cassette vidéo à visionner : une de ses connaissances, Walter, a été prisonnier dans cette même chambre, et dans l'espoir que le prochain occupant ne soit pas l'un de leurs ennemis, il a laissa son journal caché derrière le frigo...


 Puisque Dieu n'existe pas, se disait Masson, et que je l'ai prouvé, je ne peux vraiment compter que sur moi. Tous les couloirs se ressemblaient. De temps à autre, une légère déclivité que rien ne venait jamais comprenser. Bizarre étage, bizarre univers laqué et silencieux. Et devoir courir comme un gamin, se disait encore Masson. C'est peut-être la même porte devant laquelle je ne cesse de repasser...


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The Fury, le film 1978Feu vert cinéma

Ici la page Amazon.fr du blu-ray français de The Fury (1978)

Fury (1978)

Sorti aux USA le 10 mars 1978.
Sorti en Angleterre le 22 septembre 1978.
Sorti en France le 4 janvier 1979.
Sorti en blu-ray américain le 12 mars 2013 (tirage limité épuisé, région A, sans bonus)
Sorti en blu-ray français le 8 novembre 2013 (région B, avec bonus - image granuleuse et son anglais étouffé).
Sorti en blu-ray anglais le 28 octobre 2013 (région B, grande qualité image et son, piste orchestrale isolée, nombreux bonus).

De Brian De Palma, sur un scénario de John Farris d'après son propre roman. Avec Kirk Douglas, Amy Irving, Andrew Stevens, John Cassavetes, Carrie Snodgress, Charles Durning, Fiona Lewis, Carol Eve Rossen.

Moyen-orient, 1977. Un père et son fils profitent d’une plage en Israel pour faire un concours de natation et à leur retour ils se chamaillent, chacun prétextant qu’il a gagné. Un ami de leur père, qui a assisté à la scène les invitent à se restaurer, mais en leur absence passe un coup de téléphone ordonnant l’arrivée rapide d’un groupe de personnes. À la table du restaurant, le père essaie de convaincre son fils de se rendre à l’école de Chicago que recommande son ami, puisque son fils a un talent spécial, qui pourrait aider le reste de l’humanité. Son fils n’est pas d’accord. Puis l’ami du père revient, et demande au fils de s’en aller pour qu’ils parlent ensemble : ils travaillent pour le même service secret, trinquent au fait qu’ils ne vont plus se revoir. Puis son ami lui demande de dire au revoir à son fils, et s’éloigne rapidement. Le père appelle un serveur, mais comme il commande le menu pour deux, la table est mitraillée. Le père n’est que légèrement blessé, le serveur abattu.

Le fils, Robin, veut revenir aider son père – il a remarqué que les terroristes concentrent leur tir sur son père – mais l’ami du père le retient. Pendant ce temps, l’un des terroristes filme le père en train de s’embusquer, puis s’échapper à bord d’un canot à moteur. Un terroriste tire alors sur le canot, dont le moteur explose. L’ami du père met le fils dans une voiture, puis il va féliciter les terroristes et récupérer le film qui a été tourné de la mort du père. Seulement le père n’est pas mort : il s’est embusqué dans les rochers, et voyant l’entente de son « ami » et des terroristes, il récupère la mitraillette d’un des terroristes abattu et mitraille son « ami » et le caméraman, mais son « ami » n’est que blessé au bras.

Plus tard sur une plage américaine, deux jeunes filles en bikini révisent leurs examens. Puis l’une des filles entend que l’autre lui souffle le nom de Raymond Dunwoodie, mais son amie n’a rien dit. C’est en fait le nom d’un détective qui la file et l’observait à ce moment là. Comme les filles repère le détective, dont l’allure est lamentable, celui-ci court à une cabine téléphonique, et dit au père qu’il a lui a trouvé quelqu’un qui pourra retrouver son fils – une jeune fille de 17 ans, qui selon lui est médium. Il demande cependant beaucoup plus d’argent que perdu. Cependant, à deux pas de là, la ligne de la cabine téléphonique est écoutée par les services secrets, qui sont à la recherche du père. Deux agents débarquent à l’hôtel d’où a été passé l’appel et où le père est descendu sous le nom de R .V. Johnson. Le réceptionniste remet immédiatement un passe pour qu’ils n’enfoncent pas la porte. Mais le père avait bloqué la porte, et alors qu’il est surpris en train de faire sa toilette, cela lui donne le temps de s’échapper spectaculairement par la fenêtre, et les agents le perdent. Dans une voiture garée non loin de là, son « ami » écoute le rapport des agents…

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Morts suspectes, le film de 1978Feu vert cinéma

Coma (1978)

Sorti aux USA le 6 janvier 1978.
Sorti en France le 29 juin 1978.
Sorti en Angleterre le 10 novembre 1978.
Sorti en blu-ray américain le 10 juillet 2012 (multi-régions, version et sous-titres français inclus, aucun bonus).

De Michael Crichton (également scénariste), d'après le roman de Robin Cook. Avec Geneviève Bujold, Michael Douglas, Rip Torn, Richard Widmark, Lois Chiles, Elizabeth Ashley, Tom Selleck , Lance LeGault, Alan Haufrect, Richard Doyle, Frank Downing, Hari Rhodes.

Il est six heures du matin. Susan arrive au Memorial Hôpital de Boston où elle est interne. Elle participe à la visite du matin, puis se change pour aller en chirurgie. Au même instant Mark se change également pour aller en chirurgie. Le soir elle rentre avec Mark chez eux, alors que celui-ci lui fait part de la politique de l’hôpital quand à l’avancement et l’attribution de poste de chefs de services. Ils ont ensuite une courte dispute quant à qui prendra la douche en premier, et pourquoi Mark estime avoir droit à la bière qu’elle refuse de lui chercher. Comme Mark va se chercher sa propre bière, il maugrée à propos d’une certaine Dorothée qui l’apprécie. Encore sous la douche, Susan lui demande s’il peut réchauffer le repas, alors que lui veut encore lui parler de sa journée. Mark lui reproche alors d’être toujours nue quand ils se disputent, et comme il l’appelle ma chérie, la dispute s’envenime : les discours de politique interne de l’hôpital ne l’intéresse pas, elle lui reproche de ne pas la respecter, de ne pas prendre la moitié des responsabilités de leur couple. Susan décide alors de quitter l’appartement de Mark : pour elle, il ne pense qu’à devenir chef titulaire, et Mark lui reproche de ne pas vouloir s’engager. Dehors, il se met à pleuvoir et quand Susan rentre chez elle, le téléphone sonne et sonne encore. Au moment où elle va décrocher, la sonnerie s’arrête.

Le lendemain, Susan se prend un café en salle de repos, et Mark la salue, puis s’excuse, et elle s’excuse à son tour. Mark veut qu’ils déjeunent ensemble, mais elle a son cours, et refuse de laisser tomber le cours pour leur déjeuner. Il s’agit d’un cours de gym-danse, où elle retrouve sa meilleure amie, Nancy Greenly, qui est enceinte de 10 semaines et va se faire avorter en douce parce que le père est un docteur de l’hôpital, le docteur Richards. Elle est inquiète, et Susan la rassure.

Lors de l’opération, l’anesthésiste explique à deux internes comment fonctionne l’anesthésie. Puis le chirurgien arrive, le docteur Cowans. L’anesthésiste donne du pentothal à Nancy et lui demande de compter à l’envers à partir de 100. Puis comme Nancy s’arrête de compter, l’anesthésiste commente que le pentothal n’est pas un anesthésique : ce qui va vraiment l’endormir et la paralyser est un gaz, qui implique ensuite d’intuber Nancy pour qu’elle puisse continuer de respirer. Il vérifie ensuite les réactions de la pupille : même inconsciente, le cerveau de Nancy doit continuer à réagir, ce qui est le cas. Le docteur Cowans commence à opérer, en musique : il explique qu’il s’agit d’arrêter la grossesse pour éviter un problème avec son mari. L’anesthésiste arrête soudain la musique : il trouve les battements du cœur anormal, alors qu’il n’y rien dans la procédure qui ne devrait poser problème. Les battements de cœur retourne à la normal, et le chirurgien se dépêche de terminer, et l’anesthésiste demande à la réveiller sans délai. Mais Nancy ne répond pas. Puis l’anesthésiste, choqué, annonce que les pupilles de la jeune femme sont fixes et dilatées.

De son côté, Mark fait la tournée de ses patients., et surprend la conversation de trois médecins autour de Nancy, qui annoncent son transfert à l’unité de soins intensifs, sans aucune explication logique, et l’un des médecins remarque qu’il s’agit d’un autre cas de coma provoqué par l’anesthésie. Mark décide alors de biper Susan, en consultation avec un jeune garçon dont les reins ont un problème. Après le coup de téléphone, Susan annonce à l’infirmière qu’elle doit se rendre en soin intensif : elle y rejoint Mark qui a demandé le diagnostique. Le cerveau de Nancy est mort, elle en état purement végétatif. Susan est bouleversée et ne comprend pas comment une chose pareille a pu arriver : il ne s’est rien passé de particulier durant l’opération selon le rapport, et Susan demande les relevés pour les vérifier. Les deux autres docteurs s’étonnent qu’elle le prenne si bien. Mark essaie ensuite de parler à Susan, qui se mure dans son professionnalisme : ce n’est pas parce qu’elle est une femme, qu’elle doit être troublée par la situation…

Susan commente ensuite froidement qu’il n’y a rien d’extraordinaire, à part que Nancy a été testé pour sa compatibilité cellulaire, et que le relevé ne porte pas de numéro d’identification. Mark remarque que c’est probablement un test fait par erreur, mais Susan veut absolument vérifier sur le champ ce qui se passe au laboratoire qui a fait le test du tissu. Le laboratoire est censé être fermé, mais Nancy y va quand même.

Le laboratoire est fermé, mais la porte est restée ouverte car le laborantin est occupé avec une infirmière… Selon le laboratoire, c’est l’ordinateur qui a ordonné le test. Susan se rend au centre informatique, et l’informaticien lui explique qu’il ne peut sortir aucune liste car l’ordre d’analyser les tissus n’est pas codé. Susan finit alors par demander la liste des patients tombés dans le coma après une anesthésie sur un an. Susan est alors très surprise par la longueur de la liste, mais l’informaticien répond que c’est un grand hôpital.

Morts suspectes, le film de 1978

Morts suspectes, le film de 1978

Morts suspectes, le film de 1978

Morts suspectes, le film de 1978

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Blake 7, la série télévisée de 1978Feu orange télévision

Blake 7 S01E01: The Way Out (1978)

> Épisode suivant.

Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Blake 7 (1978)

Diffusé en Angleterre le 2 janvier 1978 sur la BBC 1 UK.
Sorti en DVD anglais coffret Saison 1 le 1er mars 2004 (5 DVD, anglais 2.0 sous-titré, pas de version française).

De Terry Nation ; avec Michael Keating, Paul Darrow, Peter Tuddenham, Jan Chappell, Jacqueline Pearce, Gareth Thomas, Sally Knyvette.

Pour adultes et adolescents.

Dans des couloirs d’un blanc immaculé, sous la surveillance de caméras vidéos, des passants circulent tandis que les haut-parleurs diffusent un message : les corridors du niveau 38 seront fermés durant une heure, tandis que les porteurs d’une carte du niveau 38 devront se présenter au Central immédiatement. L’un des passants se fige un instant, puis reprend sa marche nonchalante. Ce dernier – Roj – est interpellé quelques mètres plus loin par une jeune femme, Ravella, qui l’attendait sous le panneau d’accès du niveau 37.

Ravella prend Roj par le bras, et lui demande avec inquiétude s’il a eu un problème quelconque. Roj répodn que non, l’air surpris. Ravella demande alors si Roj a suivi la route qu’elle lui avait donnée, et Roj le confirme, puis demande à ce que l’on passe à la suite. Ravella l’entraîne alors dans une direction, et lui demande s’il s’est débrouillé sans avoir à manger ni à boire, et Roj répond qu’il s’est passé de nourriture et de boisson depuis 36 heures. Comme Ravella lui demande comment il se sent, Roj répond qu’il se sent évidemment affamé et assoiffé. Ravella lui demande alors s’il ne ressent rien d’autre, et Roj lui demande si elle est en train de lui faire une blague. Ravella affirme le contraire. Aucun des deux n’a réalisé que Roj est suivi par un homme blond, l’air assez pressé. Les hauts-parleurs diffusent alors un nouveau message : le président répondra bientôt aux questions concernant les nouvelles mesures relatives au contrôle de la natalité. Alors que l’homme blond les cherche, Roj et Ravella descendent des marches qui mènent à un couloir de maintenance obscur. Ravella explique de toute la nourriture et toutes les boissons contiennent des suppresseurs de comportement, dont les effets devraient disparaître après un jour et demi de jeûne. Roj s’amuse de cette rumeur.

Ravella présente alors Roj à un autre homme, Daj Richie, qui a entendu dire que la famille de Roj s’est installée sur une colonie des planètes extérieures. Daj demande immédiatement à Roj s’il a des nouvelles de sa famille – un frère et une sœur – sur Ziegler 5. Roj répond qu’il reçoit des vidéos d’eux deux fois par an. Roj demande alors une explication : pour le faire venir, on lui a dit qu’ils avaient des nouvelles de sa famille. Daj répond que ce n’est pas lui qui a ces nouvelles, mais un troisième homme, qu’ils vont aller voir, et qui voulait le contacter personnellement car il avait séjourné sur Ziegler 5 quelques mois auparavant. Roj demande où est cet homme, et Ravella répond qu’il les attend dehors. Roj est choqué, mais Daj se veut rassurant : l’extérieur n’est pas si mauvais – l’air est frais, mais il sent différemment. Roj lui répond que Daj doit réaliser qu’aller à l’extérieur est un crime de catégorie 4. Daj lui répond tranquillement qu’ils connaissent tous la loi, et Ravella ajoute qu’en toute logique, Roj devra garder le silence à propos de tout ce qu’il va voir ce soir. Daj demande alors à Roj s’il vient avec eux, et Roj hausse les épaules et se déclare prêt à poursuivre l’aventure.

Daj démonte un cadran au-dessus d’une porte, récupère deux câbles dénudés dans une boite à outil. Très étonné, Roj demande à Daj ce qu’il fait, et Daj répond qu’il est en train de crocheter la serrure. Puis Roj remarque que Ravella fait le guet et s’inquiète, mais Ravella lui répond que tout va bien. Pendant ce temps, l’homme blond qui suivait Roj descend silencieusement les marches de l’escalier derrière eux. Comme Roj prévient que l’ouverture d’une porte alerte automatiquement l’ordinateur central, Daj réplique qu’il a branché des circuits supplémentaires au mur : ils pourraient voler tout le pan de mur et la machine l’ignorerait. Puis il demande à Roj s’il est prêt. Ravella insiste alors : si Roj rapporte quoi que ce soit aux autorités, il se trouvera impliqué bien davantage qu’il ne l’imagine. Pendant ce temps, Daj tourne la manivelle d’un petit boitier, et la porte dans le mur s’ouvre…

Ils grimpent des escaliers, puis une échelle. Pendant ce temps, l’homme blond les suit à plusieurs mètres de distance. Ils se retrouvent à l’extérieur, dans la nuit, près d’une rivière et à l’orée d’une forêt. Un immense mur illuminé se dressent derrière eux. Comme ils arrivent au bord de l’eau, Ravella invite Roj à se désaltérer : l’eau de la ville est sans arrêt recyclée et saturée de suppresseurs de comportement. Daj part en éclaireur. Roj répond que seul le goût de l’eau est meilleur, et Ravella s’indigne : cela ne trouble donc pas Roj de passer sa vie à être drogué pour être plus docile ? Mais ce qui trouble davantage Roj est l’idée d’avoir à traverser à pieds le petit cours d’eau. Et puis, pourquoi l’administration voudrait-elle les droguer ? Ravella répond que l’administration veut garder le contrôle – et qu’ils n’arrêtent plus d’augmenter la dose des suppresseurs parce que le nombre des dissidents ne cessent d’augmenter : ils se rendent compte de ce qui se passe et veule l’arrêter. Roy s’emporte : arrêter quoi ?

Ravella demande alors à Roy s’il se souvient des traitements qu’on lui a prescrit. Roy répond qu’on ne lui a prescrit aucun traitement. Ravella est déçue : elle aurait cru qu’il lui resterait quelque chose – une trace de ses souvenirs. Roy n’y comprend rien, et ils sont interrompus par le signal de Daj d’avancer. Ils sont toujours suivis par l’homme blond, et le mur qui était derrière eux se révèle en fait être un énorme dome. Daj leur a ouvert une porte donnant sur un hall rempli de gens de l’extérieur, ce qui indigne Roj : il est illégal pour les gens de la cité d’avoir des contacts en dehors de la cité. Daj confirme que toute la réunion est illégale. Roj est en colère d’avoir été trompé : il ne devait que rencontré un homme qui avait des nouvelles de sa famille. Daj le retient : il doit écouter Foster, mais Roj ne veut pas, et parle d’alerter l’administration. Ravella lui répond qu’il ne peut pas faire cela, et Daj renchérit : ils ont laissés des faux documents avec la signature de Roj dessus, qui l’implique dans toutes les activités illégales de Daj et Ravella, et Daj rappelle qu’avoir l’air coupable suffit.

C’est alors Bran Foster, un vieil homme aux habits chamarrés, vient serrer la main à Roj avec un grand sourire et affirmant qu’il est heureux de le retrouver après si longtemps. Puis il s’excuse : comment Roj pourrait se souvenir de lui, vu qu’on lui a prescrit le traitement ? Roj en a assez et veut que Bran Foster lui donne les nouvelles de sa famille qu’on lui a promises. Alors Bran Foster présente ses condoléances : son frère et sa sœur ont été exécutés il y a quatre ans, juste après le procès de Roj ; les vidéos sont fausses et font partie du traitement qui garde les souvenirs de Roj inaccessibles.

Blake 7 S01E01: Le chemin du retour (1978)

Blake 7 S01E01: Le chemin du retour (1978)

Blake 7 S01E01: Le chemin du retour (1978)

Blake 7 S01E01: Le chemin du retour (1978)

Blake 7 S01E01: Le chemin du retour (1978)

Blake 7 S01E01: Le chemin du retour (1978)

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