Trois Jeunes Détectives 1 : Au rendez-vous des revenants, le roman de 1964Feu vert livre / BD

The Three Investigators 1 : The Secret of Terror Castle (1964)

Titre français : Trois jeunes détectives : Au rendez-vous des revenants.

Sorti aux USA en 1964 chez Random House.
Traduit en français en 1969 chez Hachette, collection Idéal Bibliothèque, puis en 1979 collection Bibliothèque Verte.

De Robert Arthur.

Pour tout public.

Dans la petite ville de Rocky, à quelques kilomètres des studios d'Hollywood, le jeune Hannibal Jones commence à être connu pour son habileté à trouver la solution des énigmes les plus improbables — la dernière en date étant la disparition de la bague de fiançailles de la mère de Bob Andy, un camarade bibliophile. Mais le dernier exploit en date d'Hannibal est d'avoir gagné la location pendant trente jours d'une authentique Rolls Royce avec chauffeur en devinant le nombre exact de haricots secs contenus dans une jarre exposée dans une vitrine. Mais que compte-il en faire ?

Bob retrouve Hannibal et Peter Crentch, le sportif de la bande, dans le repaire secret aménagé par Hannibal au fond du Paradis de la Brocante, un bric-à-brac tenu par Titus Jones, l'oncle d'Hannibal. Bob découvre ainsi les cartes de visite qu'Hannibal fait imprimer par Peter Crentch sur une petite presse artisanale - cartes qui présentent leur agence de détectives nouvellement fondée.

Après leur avoir exposé son idée de l'organisation de l'agence, Hannibal annonce à ses deux associés qu'il a déjà trouvé un « mystère à détecter ». Sauf que le client, Alfred Hitchcock lui-même, n'est pas encore au courant qu'il va les embaucher. En effet, le réalisateur recherche dans la région une maison qui soit vraiment hantée…

*

Le texte original de Robert Arthur de 1964 (Random House)

CHAPTER 1
The Three Investigators.

BOB ANDREWS PARKED his bike outside his home in Rocky Beach and entered the house. As he closed the door, his mother called to him from the kitchen.

“Robert? Is that you?”
“Yes, Mom.” He went into the kitchen. His mother, brown-haired and slender, was making doughnuts.

“How was the library?” she asked.
“It was okay,” Bob told her. After all, there was never, any excitement at the library. He worked there part time, sorting returned books and helping with the filing and cataloguing.

“Your friend Jupiter called.” His mother went on rolling out the dough on a board. “He left a message.”
“A message?” Bob yelled with sudden excitement. “What was it?”
“I wrote it down. I’ll get it out of my pocket as soon as I finish with this dough.”
“Can’t you remember what he said?”
“I could remember an ordinary message,” his mother answered, “but Jupiter doesn’t leave ordinary messages. It was something fantastic.”

“Jupiter likes unusual words,” Bob said, controlling his impatience. “He’s read an awful lot of books and sometimes he’s a little hard to understand.”
“Not just sometimes!” his mother retorted. “He’s a very unusual boy. My goodness, how he found my engagement ring, I’ll never know.”

She was referring to the time the previous autumn when she had lost her diamond ring. Jupiter Jones had come to the house and requested her to tell him every move she had made the day the ring was lost. Then he had gone out to the pantry, and found the ring behind a row of bottled tomato pickles. Bob’s mother had taken it off and put it there while she was sterilising the jars.

“I can’t imagine,” Mrs. Andrews said, “how he guessed where that ring was!!”
“He didn’t guess, he figured it out,” Bob explained. “That’s how his mind works
… Mom, can’t you get the message now?”

“In one minute,” his mother said, giving the dough another flattening roll.
“Incidentally, what on earth was that story on the front of yesterday’s paper about Jupiter’s winning the use of a Rolls-Royce sedan for thirty days?”
“It was a contest the Rent-’n-Ride Auto Rental Company had,” Bob told her.

“They put a big jar full of beans in their window and offered the Rolls-Royce and a chauffeur for thirty days to whoever guessed nearest to the right number of beans. Jupiter spent about three days calculating how much space was in the jar, and how many beans it would take to fill that space. And he won … Mom, please, can’t you find the message now?”
“All right,” his mother agreed. She began to wipe the flour from her hands. “But what will Jupiter Jones do with a Rolls-Royce and a chauffeur, even for thirty days?”

“Well, you see, we’re thinking –” Bob began, but by then his mother wasn’t listening.
“These days a person can win almost anything,” she was saying. “Why, I read about a woman who won a houseboat on a television programme. She lives up in the mountains, and she’s almost frantic, not knowing what to do with it.” While she was talking, Mrs. Andrews had taken a slip of paper from her pocket. “Here’s the message,” she said. “It says ‘Green Gate One. The presses are rolling’.”

“Gosh, Mom, thanks,” Bob yelled, and was almost out the front door before her voice stopped him.
“Robert, what on earth does the message mean? Is Jupiter using some kind of fantastic code?”
“No, Mom. It’s plain, ordinary English. Well, I’ve got to hurry.”[/quote]

*

Traduction au plus proche

CHAPITRE 1
Les Trois détectives.

BOB ANDREWS gara son vélo devant sa maison à Rocky Beach et entradans la maison. Comme il fermait la porte, sa mère l’appela de la cuisine.
« Robert ? C'est toi ?
— Oui, maman. » Il entra dans la cuisine. Sa mère, brune et élancée, faisait des beignets.

« Comment était la bibliothèque ? elle demanda.
— C'était bien, » lui répondit Bob. Après tout, il n'y avait jamais, jamais d'excitation à la bibliothèque. Il y travaillait à temps partiel, triant les livres retournés et aidant au classement et au catalogage.

« Ton ami Jupiter a appelé. » Sa mère continuait à étaler la pâte sur une planche. « Il a laissé un message.
— Un message ? Bob cria avec une excitation soudaine. C'était quoi ?
— Je l'ai écrit. Je le sortirai de ma poche dès que j'aurai fini avec cette pâte.
— Tu ne peux pas te rappeler ce qu'il a dit ?
— Je pourrais me rappeler d'un message ordinaire, répondit sa mère, mais Jupiter ne laisse pas de messages ordinaires. C'était quelque chose de fantastique.

— Jupiter aime les mots inhabituels, fit Bob en contrôlant son impatience. Il a lu beaucoup de livres et parfois il est un peu difficile à comprendre.
— Pas seulement par fois ! rétorqua sa mère : C'est un garçon très particulier. Mon Dieu, comment il a trouvé ma bague de fiançailles, je ne le saurai jamais.

Elle faisait référence à la fois à l'automne précédent où elle avait perdu sa bague en diamant. Jupiter Jones était venu à la maison et lui avait demandé de lui raconter tous les gestes qu'elle avait faits le jour où elle avait perdu la bague. Puis il était allé dans le garde-manger et avait trouvé la bague derrière une rangée de bouteilles de cornichons à la tomate. La mère de Bob l'avait enlevée et mise là pendant qu'elle stérilisait les bocaux.

« Je ne peux pas imaginer, disait Mme Andrews, comment il a pu deviner où était cette bague !
— Il ne l’a pas deviné, il l’a déduit, expliqua Bob. C'est comme ça que son esprit fonctionne ... Maman, est-ce que tu peux récupérer le message maintenant ?
— Dans une minute", dit sa mère en aplatissant à nouveau la pâte. Au fait, qu'est-ce que c'était que cette histoire en première page du journal d'hier, où Jupiter gagne une Rolls-Royce pour trente jours ?

— C'était un concours organisé par la société de location de voitures Rent-'n-Ride", répondit Bob. Ils ont mis un grand bocal rempli de haricots dans leur vitrine et ont offert la Rolls-Royce et un chauffeur pendant trente jours à celui qui devinerait le plus proche du bon nombre de haricots. Jupiter a passé environ trois jours à calculer l'espace qu'il y avait dans le bocal et le nombre de haricots qu'il fallait pour remplir cet espace. Et il a gagné... Maman, s'il te plaît, tu ne peux pas me passer le message maintenant ?

— Très bien, » fit sa mère. Elle commença à essuyer la farine de ses mains. « Mais que va faire Jupiter Jones d’une Rolls-Royce et d’un chauffeur, même pour trente jours ?
— Eh bien, tu vois, nous avions pensé… » commença Bob, mais sa mère ne l'écoutait plus : « De nos jours, on peut gagner presque tout, elle disait : J'ai lu l'histoire d'une femme qui a gagné une péniche dans une émission de télévision. Elle vit dans les montagnes, et elle est presque devenue folle, à ne pas savoir as quoi en faire. »

Pendant qu'elle parlait, Mme Andrews avait sorti une feuille de papier de sa poche. « Voici le message, elle déclara : C'est écrit ’Porte verte un. Les presses tournent'.
— Mince, maman, merci, » cria Bob, qui était presque déjà dehors sur le perron quand la voix de sa mère l’arrêta : « Robert, que diable signifie ce message ? Est-ce que Jupiter utilise une sorte de code fantastique ?
— Non, maman. C'est juste de l'anglais tout à fait ordinaire. Bien, je dois me dépêcher. »

*

Trois Jeunes Détectives 1 : Au rendez-vous des revenants, le roman de 1964

La traduction française de Vladimir Volkoff (aka le Lieutenant X de 1979)

CHAPITRE PREMIER

LES TROIS JEUNES DETECTIVES

Bob Andy laissa sa bicyclette devant le perron et entra dans la maison.
« C’est toi, Bob ?
— Oui, m’man. »

Bob courut à la cuisine où sa mère, une jeune femme brune et mince, préparait de la pâte à beignets.
« ça a bien marché, à la bibliothèque ?
— Impeccable », répondit Bob.

Pour gagner un peu d’argent de poche, il travaillait quelques heures par semaine à la bibliothèque municipale où il rangeait les livres et faisait les fiches. Ce n’était jamais particulièrement folichon.

« Ton ami Hannibal a téléphoné, s’écria Mme Andy tout en malaxant sa pâte. Il t’ a laissé un message.
— Quel message, m’man ? Raconte vite ! »

Au nom d’Hannibal, Bob avait bondi.
« Je l’ai noté par écrit, répondit sa mère. Je te le donnerai dès que je n’aurai plus les mains pleines de farine.
— Tu ne te rappelles pas ce qu’il a dit ? Il a peut-être besoin de moi immédiatement.
— Les messages ordinaires, je ne les oublie jamais. Mais ceux d’Hannibal sont toujours si farfelus… Impossible de m’en souvenir.
— C’est vrai : Hannibal aime les mots bizarres, reconnut Bob. Il a lu tant de livres que, certains jours, on ne le comprend pas du premier coup.
— Certains jours ! se récria Mme Andy. Tu en as de bonnes. Hannibal est le garçon le plus singulier que je connaisse. Je ne suis pas près d’oublier la façon dont il a retrouvé ma bague de fiançailles. »

En effet, quelques mois plus tôt, elle avait perdu une bague ornée d’un diamant. Hannibal Jones l’avait interrogée minutieusement sur ce qu’elle avait fait le jour de la disparition de la bague. Puis, il s’était calmement rendu à l’office et avait passé il s’était calmement rendu à l’office et avait passé la main derrière une rangée de bocaux de tomates en conserves : la bague avait roulé là pendant que Mme Andy stérilisait d’autres bocaux.

« Je suis encore stupéfaite qu’il ait pu deviner où elle était, remarqua la mère de Bob.
— Hannibal ne devine jamais : il raisonne. Tu ne pourrais pas me donner son message maintenant, m’man ?
— Tout de suite. A propos, quelle était cette histoire que j’ai lue dans le journal d’hier ? Hannibal a gagné la location d’une Rolls pour un mois ?
— Oui, m’man. C’était un concours organisé par une société de location de voitures. Il y avait une jarre pleine de haricots secs dans une vitrine, et il fallait deviner le nombre de haricots. Celui qui donnerait le chiffre le plus proche du chiffre exact aurait droit à une Rolls avec chauffeur pendant trente jours ! Hannibal a fait des calculs sur le volume moyen des haricots, etc. Et il a gagné !... Maman, tu ne veux pas me donner son message ?
— Je te le donne, répondit Mme Andy en commençant à essuyer ses mains couvertes de farine. Je me demande ce qu’Hannibal va faire avec une Rolls et un chauffeur ?
—Vois-tu, fit Bob, nous avions l’intention de… »

Mais sa mère ne l’écoutait pas.
« A notre époque, disait-elle, on peut gagner n’importe quoi. J’ai entendu parler du’ne femme de trappeur qui a gagné des skis nautiques. Elle est devenue folle de rage. »

Tout en parlant, elle retira un morceau de papier de sa poche.
« Voici le message, annonça-t-elle : « Porte Verte numéro 1. La presse tourne. »
— Oh ! merci, m’man. »

Bob était déjà sur le perron. Sa mère eut à peine le temps de le rappeler :
« Dis-moi, que peut vouloir dire un message pareil ? C’est peut-être en code ?
— Oh ! non, m’man. C’est un texte des plus ordinaires. Bon, je file. »

***

Green Lantern: méfiez-vous de mon pouvoir, le film animé de 2022Feu rouge cinémaRécit toxique à ne regarder qu'avec prudence et esprit critique

Green Lantern: Beware My Power (2022)
Traduction du titre : Lanterne Verte: prenez garde à mon pouvoir.
Titre français : Green Lantern: méfiez-vous de mon pouvoir.

Sorti en blu-ray américain le 26 juillet 2022.

De Jeff Wamester, sur un scénario de John Semper et Ernie Altbacker, d’après la bande dessinée All-American Comics #16 de Juillet 1940 de Martin Nodell et Bill Finger ; avec Aldis Hodge, Jimmi Simpson, Ike Amadi, Brian Bloom, Jamie Gray Hyder, Rick D. Wasserman, Nolan North.

Pour adultes.

(Faux D.C; superwoke, toxique raciste) Vue d’un drone américain bombardant des irakiens, libyens, syriens, yéménites, algériens et autres cibles civiles n’ayant pas demandé à figurer en carnage sur une publicité de trafiquants d’armes pour le compte des mêmes ordures de tous les continents qui font chier et empoisonnent le monde depuis des millénaires pour enrichir davantage les super-riches et autres criminels multirécidivistes contre l’Humanité.

Des pôvres jeunes soldats nazricains s’abritent derrière une grosse voiture qui ne devrait pas être capables d’arrêter le moindre pruneau que pourtant des méchants terroristes voilés enturbannés en robes et sandales mitraillent sans apparemment connaître le moindre recul de leurs canons, qui certes, sursautent un peu, mais rien qui se rapproche de leur cadence de tir au son. Un gentil sniper abat un méchant porteur de bazooka qui semble avoir oublié comment on s’en sert et pourquoi on ne s’amuse pas à se traîner en ligne droite à découvert, et le sniper (noir) continue de tirer dans leur dos des méchants terroristes sans qu’aucun ne semble réaliser qu’ils tombent les uns après les autres à côté d’eux.

Notre héros, puisque bien sûr nous sommes en train de regarder un dessin animé de propagande probablement supervisé par l’armée américaine elle-même comme le sont tant de productions américaines, y compris des films et soaps romantiques, car ceux-ci doivent absolument marteler que les militaires et vétérans sont justes des types adorables quand bien même ils auraient encore des viscères de civils dont femmes et d’enfants et des noces entières virtuellement accrochés à leur visage, et qu’ils sont encore radioactifs à cause des munitions à tête d’uranium enrichi dont la poussière tend à s’insinuer jusqu’au tréfonds des culs des snipers.

Notre héros donc, réclame plus de cibles à un certain Jimbo. Ayant pu visionner grâce à Skynews la vidéo passée par le soldat Mannings et fuité par Assange du massacre de civils sur un marché irakien sous les yeux horrifiés des militaires américains arrivés au secours, je peux vous affirmer que la scène est complètement irréaliste : les snipers américains obtiennent leur cible directement de leurs commandements dans leurs oreillettes et demande confirmation exprès. Et puis, imaginez seulement le boucan du champ de bataille et rappelez-vous à quel point l’anglais est une langue équivoque à l’articulation confuse et diverse. Incidemment le héros n’a absolument rien pour se protéger les oreilles et il vient de passer la première scène à tirer sans silencieux sur une dizaine de types. Un seul tir de ce genre d’arme suffit à assourdir.

Comme personne ne lui répond, notre héros lâche un « merde », qui nous indique que DC entend nous vendre un dessin animé pour adulte. Tous les terroristes ayant la peau blanche et le héros ayant la peau noire, je serais en droit d’imaginer que nous n’allons pas tarder à voir déferler la partouze LGBTQVERTY essayant de nous démontrer graphiquement l’authenticité des orientations censées être décrites par leurs étiquettes ? Quelque part, et comme Elon Musk qui demandait quand les séries américaines montrerait un valeureux combattant ukrainien rouler des pelles à un trans noir, je n’y crois pas trop non plus.

Mais tout ça n’était qu’un rêve ! aka un flashback et deux minutes de grattées : le héros noir est apparemment ivre mort de nuit en ville quand un méchant biker blanc lui demande de le laisser passer parce qu’il bloque la sortie de secours. Méchant biker blanc, non mais quel raciste ce suprémaciste ! Et comme notre héros ne réagit pas, le méchant blanc commet l’erreur fatale de lui poser la main sur l’épaule, ce qui offre l’occasion à notre héros noir de tabasser un blanc à l’écran, qui en perd son sac à provision. Il est vrai que le blanc était moustachu, donc c’était sûrement un gay et cela excuse tout.

Le héros noir relâche sa prise d’étranglement et s’excuse : « désolé, c’était un réflexe… » Tiens, pourquoi le flic qui a étranglé avec son genou un drogué noir au crack tabasseur de femmes enceintes qui voulait juste récupérer son arme et descendre quelques policiers n’a pas pensé à cette défense ? Est-ce que le héros va se retrouver lui-aussi dix ans ( ?) à l’ombre et le dessin animé reprendra après la purge d’une peine bien méritée ? On n’arrête pas l’équité.

Le pauvre suprémaciste blanc reprend vite son souffle, comme quoi on peut bien vous écraser violemment la trachée et se relever l’instant d’un charme avec la voix parfaitement haute et claire : alors je ne comprends plus — pourquoi tout le monde raconte alors que George Floyd est mort parce qu’on lui a écrasé le cou ? Les suprémacistes blancs bikers moustachus seraient-ils tellement plus endurants qu’un noir accro au crack ? Possible, le crack c’est encore plus rapide que la coke pour faire des trous partout.

Mais là encore je ne comprends pas non plus : pourquoi les Black Lives Matters ne sont pas soulevés contre le trafic du crack et de toutes les drogues en général, puisque Floyd ne se serait jamais retrouvé dans une situation pareille si on ne lui avait pas vendu du crack ? Et Whitney Houston ne serait pas non plus morte de cette manière, mais bon, prisonnière comme elle l’était de son mariage, elle aurait sans doute sauté par la fenêtre. Mais là encore, personne ne s’est soucié alors du sort de ces vedettes américaines exploitées par leur famille, sauf peut-être les fans de Britney qui eux ont fait bruyamment campagne.

Bref, ce n’est vraiment pas un dessin animé raciste DC de plus produit au kilomètre qui fera avancer les choses. D’ailleurs la scène suivante ne fait que le confirmer : le héros (toujours anonyme) noir a repris sa promenade nocturne le long de poubelles qui débordent parce qu’il n’a que ça à foutre quand il entend se plaindre un sdf bien sûr attaqué par deux brutes à la peau blanche : « laissez-moi tranquille, ce monde disparaîtra dans un flash et vous aussi vous disparaîtrait. »

Je savais que quelque part Barry Allen serait dans le coup : ces saletés de mutants, faut toujours qu’ils participent à la fin du monde. Bref, le sans-abris répète qu’ils disparaîtront tous comme les autres et boit un coup, parce que l’apocalypse et les génocides méritent autant leurs célébrations dans les Bibles que dans la rue. Mais les deux malabars blancs ne l’entendent pas ainsi, probablement parce qu’il s’agit d’une ligue antialcoolique en maraude, à moins qu’il ne s’agisse du plan de lutte du maire de New-York contre l’encombrement des urgences locales par les coma éthyliques.

L’un d’eux arrache au sans-abri sa bouteille, et lui rappelle en le tirant par le col (exactement comme le héros une scène plus tôt) qu’ils lui avaient dit de quitter cette ruelle, parce qu’il y fait trop froid, et qu’il y a un refuge sympa la porte à côté, et que comme le sans-abri est trop vieux et trop moche, il ne se fera pas violer de suite, sauf si bien sûr il n’y a vraiment aucun garçon ou fille sans-abri plus jeune pour y passer tandis que le ou la plouc qui est censé veiller à la sécurité des sans-abris poursuivra sa partie effrénée de Pokemon.

Puis le méchant blanc balance un coup de poing au sans-abri, avant d’ajouter « et maintenant, tu vas payer le prix. » Le camarade méchant blanc s’approche alors avec un bidon d’essence à la main qu’il n’avait pas dans le plan précédent, faut croire que même au prix de l’essence, les vendeurs laissent des échantillons à tous les coins de rue.

Notre héros noir intervient enfin : bien sûr il les a laissé dire et faire tout ce temps, et même déverser l’essence et gratter une allumette — incidemment, les allumettes ne fonctionnent pas dans ce cas, mais on ne va pas reprocher à DC d’induire en erreur les méchants incendiaires : les Black Lives Matter eux savent très bien qu’il faut utiliser (censuré), comme ils l’ont tant et tant de fois démontrer en mettant le feu à tous ces commerces dont des noirs à revenus modestes étaient les propriétaires.

Le grand méchant blanc (il doit être ukrainien du si valeureux Bataillon Azov selon la télévision française) répond au héros anonyme : « tu veux jouer au garde-du-corps pour ce détritus ? ». Il fait alors signe à son blond compagnon (sont-ils gays ? c’est bien connu les homophobes les plus vocaux sont tous des homos refoulés) de foncer dans le tas, ce qui semble être la seule tactique des super-héros comme des super ou pas vilains sur nos écrans.

Et bien sûr, parce qu’il est noir et anonyme et en pleine forme malgré son traumatisme et le fait qu’il ne dorme pas la nuit depuis son retour d’Irak, d’Afghanistan, de Libye, de Syrie, du Yémen, et bientôt d’Algérie, il met à terre en deux secondes les deux malabars qui étrangement ne savent pas ce qu’est une arme de poing ou à distance, et pourtant passent leur nuit à traîner en ville dans des ruelles sombres. C’est ça, ils doivent être gays et notre valeureux héros vient de les tabasser : bien fait pour leur gu.le, ils n’avaient qu’à ne pas lutter contre la misère, l’alcoolisme et le crack, dont la disparition ôterait tous ses charmes au voisinage. Et aussi toutes ses prostitués.

Le héros répond qu’il faut croire qu’il veut jouer au garde-du-corps pour ce détritus (il manque de bons dialoguistes comme à tant d’autres en ce moment). Mais le barbichu méchant blanc se relève frais comme une rose, a le temps de ramasser une bouteille (vide) et brandissant un doigt menaçant décide, comme tous les méchants et beaucoup de gentils, de faire un grand discours : « Alors toi aussi tu es un homme mort ! » à ces mots, le sans-abris au lieu de s’enfiler une troisième goulée de la même bouteille de whisky depuis le début — ou alors il en rachète une à chaque prise, ou alors elles sont mises à disposition dans les ruelles dans le cadre d’une opération publicitaire ? — détale en hurlant qu’ils sont tous morts , mort, mort !

Comme la ruelle commence à ressembler à la Samaritaine, le blond méchant blanc ramasse une barre de fer, et la bagarre reprend comme si de rien n’était dans la ruelle au son des sirène de la police. Alors précisons quand même que le spectateur ne doit pas imaginer que la police interviendra après 18 heures à New-York. Comme en France, ils ont des consignes pour éviter les bains de sang et doivent scrupuleusement attendre que les victimes aient été consciencieusement égorgées ou mitraillées et que les coupables aient dégagés les lieux afin qu’un doute légitime soit admissibles si jamais un procès se tient.

Mais dans ce dessin animé raciste, la police (blanche, dont l’un des deux porte du rouge à lèvre rouge vagin du genre mon uniforme c’est seulement pour vous exciter davantage) n’arrive sur le champ que pour taser le héros noir. Et là, quelque part la chimie de la scène m’intrigue, car si les allumettes c’est pas jojo pour incendier une flaque d’essence à peine renverser, les étincelles continues d’un taser sont simplement parfaites pour embraser les vapeurs d’essence et la flaque dans laquelle les uns et les autres se sont roulés, sans oublier le fond bidon qui aurait dû être encore au milieu — comme le prouve une certaine vidéo où un jeune (accro au crack ?) s’était arrosé de liquide inflammable juste avant que la police ne le taze.

Mais nous n’en sommes même plus au stade de la physique chimie de jeu vidéo, nous sommes au stade de j’anime un dessin animé par ordinateur avant d’avoir un scénario digne de ce nom. Vivement que ces dessins animés le soient par des intelligences artificielles, elles seront peut-être plus compétentes en écriture que les propagandistes pompeurs de cervelles actuels.

D’un autre côté, l’arrestation du héros noir nous permet d’apprendre enfin son nom : John Stewart, aka le fils de Martha. C’est un peu tard. Bien sûr les deux méchants blancs brûleurs de sans-abri alcoolique se sont enfuis : la morale est sauve.

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film animé.

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Z3, Zombie 3, le film de 2022Feu orange cinéma

Z3 (2022)

Diffusé à partir du 15 juillet 2022 sur DISNEY MOINS.

De Paul Hoen, sur un scénario de David Light et Joseph Raso, d’après Z.O.M.B.I.E.S, le film musical de 2018 et sa suite Z.O.M.B.I.E.S 2 ; avec Milo Manheim, Meg Donnelly, Trevor Tordjman, Chandler Kinney, Ariel Martin, RuPaul Charles.

Pour adultes et adolescents.

(fantastique, comédie musicale) Bon retour à Seabrook. Nous avons commencé en une communauté parfaitement planifiée pleine de joie. Puis les zombies sont arrivés, et puis les loups-garous. Alors, naturellement — pardon, surnaturellement — il y a eu quelques problèmes en chemin. Mais aujourd’hui nous avons tous appris à vovre ensemble, unis. Seabrook est en train de devenir un endroit parfait…

Enfin presque : les monstres ont encore un grand obstacle à abattre, du genre, entrer à l’université. Mais si nous remportons le championnat de football américain ce soir, nous aurons notre premier zombie à être recruté par l’université. Et les portes de l’éducation supérieure seront ouverte à tous les monstres ! Et ensuite, nous serons tous ensemble. Et peut-être, à l’université, une fille spéciale avec ses cheveux tout blanc ne se fera pas remarquer. Et peut-être qu’elle trouvera même un endroit où elle se sentira chez elle : alors gagnons ce soir le championnat de foot et tout à Seabrook sera parfait ! Donc nous ne pouvons vraiment rien laisser nous barrer le chemin.

Les cheveux verts, la tenue rose de l’équipe des Crevettes joyeuses, le visage blanc avec les cernes rouges et le rouge à lèvres rose que tous les zombies ont coutume de porter dans les films et la réalité, voilà donc le Zombie Zed qui poursuit sa présentation : à Seabrook, les humains, les zombies et les loups-garous sont dans la même équipe (NDR : …mais étrangement la proportion de certaines espèces tend à se réduire au fil des matchs ?).

L’entraîneur des crevettes (je suppose), un petit noir obèse et barbu vient alors taper dans la main de Zed, car grâce à ce dernier, il ne va plus au supermarché en pyjamas et n’habite plus la cave de sa maman — qui est dans le public à l’acclamer. Et l’entraîneur est si gonflé de joie à propos du championnat qu’il a déjà une danse de la victoire — qu’il propose de montrer à Zed, qui accepte avec bonne humeur la démonstration. Puis Zed rappelle que le match de soir est réellement important, alors il a écrit d’avance le scénario de toutes leurs offensives. Son entraineur accepte les notes de Zed avec enthousiasme car cela va tellement les aider !

Zed reprend l’entraînement : il se place face au lourd obstacle à repousser installé sur le terrain, débranche son bracelet – ses veines deviennent très sombre, son visage se creuse et vire en partie au cramoisie, il se met à grimacer et gronder, charge – et sous l’effet de sa force tous les obstacles s’envolent très haut dans les airs. Instantanément redevenu un gentil zombie, il éclate de rire et tape dans la main de ses gentils camarades footballeurs.

Puis l’entrainement s’arrêtant apparemment là, Zed se précipite vers le stand de dopage et distribue les bouteilles parce que ces garçons doivent garder leur énergie pour ce soir : boisson au beurre de cacaouettes pour l’humain, os et bœuf pour le loup-garou, et cervelle mixée pour Zed. (NDR : La cervelle de qui au juste ?)

Zed rejoint une jeune admiratrice qui lui résume ce qu’il a déjà dit au début du film deux fois : c’est sa petite sœur Zoey, qui tient une tablette vidéo à l’écran de laquelle une certaine Eliza, pirate informatique, sa meilleure amie, nous répète alors une quatrième fois ce que nous avons déjà entendu trois fois en l’espace de moins de cinq minutes. Eliza travaille comme stagiaire dans l’entreprise qui fabrique les bracelets Z.

Bref, au tour de la capitaine des Pom-Pom Girls, la petite amie de Zed. une blonde platine nommée Addison, qui a vraiment besoin que Zed gagne le match et rejoigne l’université avec elle. Et ils commencent tous à chanter et danser : « Nous sommes les puissantes crevettes et on veut vous entendre crier de la droite à la gauche… »

Pendant que tout le monde se réjouit d’avance de la fin de l’année et d’aller à l’université, un couple de loup-garou s’inquiètent non pas du météore qui descend en jetant des éclairs et en incendiant les nuages, mais de leur pierre de lune qui semble luire bizarrement. Le loup-garou renchérit : quelque chose de grand est en train d’arriver — et de se retourner en brandissant un fanion Seebrook rose : le plus grand match de football de l’univers…

La nuit est tombée, mais apparemment pas le météore, et l’hystérie gagne tous les supporteurs des crevettes. Comme une louve-garou enfonce la carrosserie d’un bus elle s’inquiète auprès de Zed — est-ce que c’est trop ? Zed hésite, puis répond en bondissant sur place : ce n’est jamais trop ! Un autre météore traverse le ciel dans une série de coup de tonnerre : Zed se tourne vers le spectateur pour expliquer pourquoi personne ne s’inquiète : depuis que les loups-garous ont récupéré les pierres de lune, les pluies de météores sont devenus fréquentes. C’est alors qu’un gigantesque vaisseau spatial illumine le ciel : la panique semble gagner le public — qui se met à chanter et à danser sur un plagiat de Extraterrestrial de Katy Perry.

C’est une invasion extraterrestre s’émerveille Addison, la capitaine des Pom Pom Girls – tandis qu’une voiture explose à côté d’eux, puis une crevasse s’ouvre sous leurs pieds, mais ils se contentent de faire un pas de côté et de chanter en chœur de plus belle, tandis qu’ébahis, ils contemple les extraterrestres aux cheveux bleus qui imitent un groupe de K-Pop et auquel une sonde annonce qu’elle a trouvé la chose la plus précieuse pour eux à Seabrook mais le message s’interrompt, fichier corrompu. Cela n’empêche pas les extraterrestres de danser de plus belles, tout en se communiquant télépathiquement un plan pour obtenir ce qu’ils cherchent sans déclencher davantage de réaction violentes de la part des zombies et des loup-garous.

Z3, Zombie 3, le film de 2022

Z3, Zombie 3, le film de 2022

Z3, Zombie 3, le film de 2022

Z3, Zombie 3, le film de 2022

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film musical.

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ImageFeu rouge cinémaRécit toxique à ne regarder qu'avec prudence et esprit critique

Gandahar (1987)
Sous-titre : Les années lumières.
Titre anglais : Light Years

Notez que ce film animé existe en deux versions, originale française et Miramax créditant Harvey Weinstein le distributeur comme le réalisateur sans qu'il ait réalisé le film, six minutes censurées, texte "traduit" par Isaac Asimov, montage altéré.

Attention, pour sa distribution aux USA, Harvey Weinstein a fait remonter le film animé, et changé la musique et s'est crédité en tant que réalisateur sans avoir participé à la production. L'auteur J.P. Andrevon lui-même dessinateur et ayant imaginé son roman comme une bande-dessinée, a immédiatement été écarté de la production originale par René Laloux. Lisez impérativement le roman avant de voir ce dessin animé. Ses dessins sont visibles dans le documentaire en bonus du DVD français.


Toxique : la combinaison des images et des dialogues peut et vise à provoquer des problèmes mentaux et leur décompensation pouvant mener à tous les abus des camisoles chimiques, de l'internement ainsi qu'à la morgue. Ne visionnez pas ce film animé si vous êtes en état de faiblesse, intoxiqué, en proie à des difficultés, si vous avez subi une agression ou si vous êtes menacé, si vous êtes harcelé, sous anti-dépresseur ou si vous êtes enfant ou adolescent ou trop âgé pour supporter des discours pathologiques ou n'importe quoi de dérangeant.

Sorti en France le 11 décembre 1987.
Sorti en VHS.
Sorti en DVD ARTE VIDEO FR le 17 novembre 2006 (image presque bonne, parait souvent flou et terne mais c'est possiblement d'origine, 4:3, français DD 2.0, durée 1 heure 19, bonus : making of "il sera-était une fois", courts-métrages : La prisonnière, d'après Equinoxe la bande-dessinée de Caza image médiocre très artefactée, Comment Wang-Fô fut sauvé, d'après le conte, image médiocre artefactée rayée, couleurs virées pour les deux courts-métrages, galerie de photos et dessins, manque le pilote Les hommes-machines)
Annoncé en blu-ray+4K LE CHAT QUI FUME FR pour le 10 mars 2024.

De René Laloux (également scénariste) sur un scénario de Raphaël Cluzel, d'après le roman Les Hommes-machines contre Gandahar 1969 de Jean-Pierre Andrevon et les dessins de Caza ; avec les voix françaises de Pierre-Marie Escourrou, Catherine Chevallier, Georges Wilson, Anny Duperey, Jean-Pierre Ducos.

Pour adultes.

(planet opera, invasion extraterrestre, mutant, robots, dérangeant) Une jeune femme seins nus à la peau, aux lèvres, aux cheveux longs bleus, joue d’une grande flute sur une barque à voile nervurée à la manière d’une feuille d’arbre géante, sur une eau bleue, sous un ciel bleu. Un poisson volant saute et plonge autour d’elle puis dans la barque.

C’était un piège ! Sur la plage, un jeune homme bleu également torse nu en pagne sort de sa barque échouée une grappe de poissons semblables empalés, qu’il a dû, nous supposons, appâter avec sa propre flûte. Un jeune garçon et une petite fille tous nus courent en riant, la fille tentant d’attraper le garçon tandis que la mère assise devant une maison sphérique également seins nus, semble occupée à saler le poisson dans une grande vasque.

Et là, je suis pris d’un sentiment de déjà vu : non, nous ne sommes pas sur Pandora, mais on se croirait bien sur Mul, dans Valérian et la Cité des Mille planètes 2017. Et Gandahar, c’est pas du Christin, c’est du Caza par Laloux, censé adapter en 1987 un roman de 1969 de Jean-Pierre Andrevon.

Bref, nous découvrons un peu plus le village de Barbapapa si ses épouses étaient des bombasses à poils prodigieusement intéressés par des insectes géants roses pondus par des plantes d’allure carnivore. Oui, on fait extraterrestre ou on ne fait pas.

L’insecte se met à téter le sein de la plantureuse extraterrestre bleue, qui le berce comme un nourrisson, et je réalise que nous sommes dans la séquelle animée du Festin Nu, et que ce dessin animé n’est vraiment pas fait pour les enfants. Bravo René Laloux, encore un classique de la Science-fiction française perverti.

Je n’ose imaginer ce que pompe exactement les escargots à tête aspirante entourée de tentacules sans doute pour une meilleur préhension, mais au contraire de la femme précédente, le berger qui les garde a encore son pagne. Je suppose que les escargots aussi sont aussi pondus par les arbres environnant vu leur queue qui dépasse de l’espèce de globe tacheté au sommet du tronc ou du cou. Curieusement, les « arbres » eux ne rampent pas, mais se dégourdissent-ils les jambes à l’occasion ?

Les escargots gobent des espèces d’aubergines charnues qui poussent à la manière d’un gazon, et là nous réalisons pourquoi le berger a gardé son pagne. Plus loin, d’autres arbres protubérants pompent des espèces de grosses tomates qu’un oiseau d’allure parfaitement terrienne picore, tandis que des extraterrestres presque tous habillés récoltent en les entassant sur des espèces de plateaux ou dans des bassines, ou simplement par terre.

A moins que ces tomates soient adhésives, il est physiquement impossible qu’elles tiennent en tas aussi haut, ou que les divers « réceptacles » les retiennent durant leur transport. Licence artistique… Sauf que ces tomates ne semblent ni coller, ni tâcher quand une cueilleuse (habillée) se les presse contre les seins pour les retenir puis les déposer dans un grand panier.

La cueilleuse est semble-t-il surprise par le même genre d’oiseau, qui ressemble vaguement à une perruche terrienne vert amande pâle. Le berger caresse une espèce de chien caparaçonné aux allures de cyborg. Puis sans crier garde, la cueilleuse qui s’inquiétait d’un oiseau se fait zapper par un rayon rose.

Les Wokes, ils sont vraiment partout…

Gandahar, le film animé de 1987

Gandahar, le film animé de 1987

Gandahar, le film animé de 1987

Gandahar, le film animé de 1987

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film animé.

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