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Braindead, la série télévisée 2016 Feu vert télévision

Braindead S01E05: Back to Work: A Behind-the-Scenes Look at Congress and How It Gets Things Done (and Often Doesn't) (2016)
Traduction du titre original : Mort cérébrale S01E05: De retour au travail : une visite des coulisses du Congrès et comment on règle les problèmes - ou pas, le plus souvent).
Titre français : De concert.

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Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Braindead (2016)

Diffusé aux USA le 24 juillet 2016 sur CBS US.

De Michelle King et Robert King ; Mary Elizabeth Winstead, Danny Pino, Aaron Tveit.

Pour adultes et adolescents.

(invasion extraterrestre satirique) Le lendemain matin, couché dans le lit et les draps de Laurel, l’agent du FBI FBI agent Anthony Onofrio soupire, sourit et se retourne pour ouvrir les yeux sur Laurel elle-même, qui, ayant passé le reste de la nuit sur le divan, épouvantée par ce qu’elle venait de voir aux informations sur son ordinateur portable.

Anthony n’ayant apparemment pas entendu Laurel la première fois, demande : « Quoi ? » Et Laurel répète : « Je disais, désolée d’avoir dormi sur le divan ; je pense que j’ai piqué du nez. »

Au lieu de répondre, Anthony porte la main à son oreille droite pour tenter de la rabattre vers Laurel et mieux l’entendre. Les yeux de Laurel s’agrandissent, elle respire plus vite, puis demande : « Tu ne peux pas m’entendre ? »

Anthony ferme les yeux et répond : « Oh, un peu… Qu’est-ce que tu as dit ? » Et Laurel de répéter une seconde fois, le regard fixe : « Désolé d’avoir dormi sur le divan, je pense que j’ai piqué du nez. »

Anthony semble acquiescer : « Oh, euh… » Laurel demande alors : « Alors cette oreille va mieux ? » Anthony se redresse : « Oh, oui, c’est probablement mon acouphène… » Laurel répond du tac au tac : « Je ne l’avais pas remarqué la nuit dernière… »

Anthony étouffe un bâillement, tripote à nouveau son oreille : « Eh bien, c’est toujours pire le matin. » Puis il demande tendrement à Laurel : « Comment tu as dormi ? »

Evasive ; Laurel répond : « Bien. Toi ? » Anthony répond : « Bien. » Puis : « Il faut que j’aille travailler : ces réunions d’agents sur le terrain, je déteste y être en retard. » Puis, allant pour se lever : « Puis-je utiliser ta salle de bain ? » Et Laurel de répondre d’une petite voix : « Bien sûr ! »

Anthony se lève et va à la salle de bain. Distraitement, Laurel tripote le drap — et sursaute. Elle tire sur le drap, le rabat. Puis appelle, très intriguée : « Anthony ? Est-ce que tu as changé les draps ? »

De la salle de bain, Anthony répond : « Ouais, je, j’espère que ça ne te dérange pas : je travaille un peu de l’anus, et il y avait un… tu sais bien, une tâche. »

Laurel relève la tête et demande : « Où sont les sales à présent ? » Anthony répond : « Dans la buanderie : j’ai vu que tu avais une machine à laver, je les ai juste mis dedans ; à nouveau, j’espère que ça ne te dérange pas ? »

Laurel se détourne, lève les yeux au plafond. Soudain, Anthony ressort de la salle de bain et l’interpelle toujours assise sur le lit : « Laurel ? » Laurel répond enfin, hochant la tête et souriant sans montrer les dents : « Ouais, ouais, c’est bon. »

Anthony arrive au lit : « Bien ! » Puis reniflant le revers de son col : « Urgh, je pue comme un bœuf. » Il s’assied à côté d’elle sur le bord du lit. Elle dépose un baiser sur sa bouche, et il ajoute : « Je te rappelle plus tard, merci pour cette nuit formidable. » Laurel sourit sans rien répondre.

Anthony sort de l’appartement. Laurel tire à nouveau un bout de drap immaculé du lit. Elle soupire sombrement. Et là voilà dans sa buanderie à ouvrir le sèche-linge où se trouve le drap précédent, fraîchement lavé. Elle le renifle. Puis elle revient devant son grand lit, désemparée.

Plus tard, dans son bureau, Laurel retrouve Rochelle Daudier et Gustav Triplett a.k.a. Dr. Bob, le brillant conspirationniste qui l’a rejoint elle et Rochelle Daudier dans l’enquête sur la mort identique du père de Rochelle et du partenaire aux échecs de Triplett.

Gustav demande : « Pourquoi ? Qu’est-ce qu’il a fait ? » Laurel se détourne et répond : « Rien du tout, il avait juste des difficultés à entendre avec l’une de ses oreilles. »

Gustav s’exclame aussitôt : « Oh mon dieu, c’est un homme-insecte ! » ; Laurel proteste : « Non ! Arrête ! » Mais Gustav répète : « Il a lavé tes draps pendant que tu dormais ? » Et prenant à témoin Rochelle : « Sérieusement, est-ce que c’est quelque chose que les gars ont l’habitude de faire ? »

Laurel baisse les yeux et annonce : « Je retourne au travail. » Mais Gustav insiste d’une voix douce mais ferme : « Laurel, c’est un homme-insecte : il pourrait te tuer. »

Rochelle intervient : « Qu’est-ce qu’il a dit ? » Laurel répond : « Rien, il était pressé. » Gustav complète : « Tout à fait, pour communier avec les autres types-insectes. » Puis regardant Rochelle puis Laurel, il accuse : « Vous me regardez comme si j’étais timbré : c’est moi qui parle logiquement ici. »

Rochelle objecte : « S’il a été infecté, pourquoi Laurel ne l’a pas été ? » Mais Gustav a réponse a tout, regardant Laurel : « Parce que tu as dormi sur le divan, ou du moins, c’est ce que tu as dit, donc les insectes l’ont eu lui seul. »

Laurel répond : « D’accord, est-ce qu’on peut revenir à l’important ? » Mais Gustav rétorque : « C’est l’important. » Alors Laurel se tourne vers Rochelle : « Que faisons-nous à propos du Centres pour le contrôle des maladies. »

Rochelle répond : « J’ai rappelé Wu, il veut nous aider, mais il est aux prises avec des vents politiques contraires au travail. » Laurel demande immédiatement : « …ça veut dire quoi ? »

Rochelle répète : « …ça veut dire quoi ? Qu’il a besoin de quelqu’un pour faire pression sur son chef au Centre pour le contrôle des maladies. » Laurel demande : « Comment nous pouvons faire ça ? » Rochelle répond du tac au tac : « Nous ne faisons pas ça. » Puis regardant Laurel avec un sourire entendu : « Tu fais ça. »

Laurel est choquée : « Non… non ! Je ne peux pas parler à mon frère de ce truc-là, c’est un esprit très matérialiste, il va penser que nous sommes dingues ! » Rochelle confirme : « Oui, si tu lui dis que nous enquêtons sur des insectes mangeurs de cerveaux ! Mais la maladie de Lyme et Zyka sont aussi bizarres que ce truc-là, nous avons fini par l’admettre mais c’est le même genre de parasites. »

Laurel capitule : « D’accord, d’accord : je vais y réfléchir. » Alors Gustav répond : « Bien. » et sort de sa poche : « Et je te laisse ça. » Il pose sur la table et pousse en direction de Laurel un petit sachet plastique transparent contenant deux petits cachets blancs.

Laurel demande : « Qu’est-ce que c’est que ça ? » Gustav répond : « Des somnifères à donner à ton homme-insecte. » Laurel refuse : « Je ne lui donnerai pas de somnifères ! » Gustav rappelle : « La seule manière de savoir s’il est sain est de lui faire passer un scanner, et nous savons que les hommes-insectes n’en veulent pas… Et aussi… »

Gustav sort de son autre poche un objet métallique qu’il laisse tomber sur la table à côté des cachets : « Voilà aussi un coup-de-poing américain. »

Laurel rougit fortement, lève une main et insiste : « Je dois retourner travailler, maintenant ! » Elle se lève et ajoute à l’attention de Gustav : « Peux-tu arrêter de les appeler des hommes-insectes, s’il te plait ? »

Braindead S01E05: De concert (2016)

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Braindead S01E05: De concert (2016)

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.

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