Aliens le retour, le film de 1986Feu vert cinéma

Aliens (1986)
Traduction du titre original : Les étrangers.

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Attention, ce film existe au moins en deux montages : cinéma (court), réalisateur (long).

Sorti aux USA le 18 juillet 1986.
Sorti en Angleterre le 29 août 1986.
Sorti en France le 8 octobre 1986.
Sorti en coffret 6 blu-ray américain Alien Anthology le 26 octobre 2010 (multi-régions, français inclus).
Sorti en coffret 6 blu-ray français Alien Anthology le 27 octobre 2010.
Sorti en blu-ray américain le 10 mai 2011 (multi-régions, français inclus, anglais DTS HD MA 5.1).
Sorti en blu-ray français le 5 octobre 2011 (région B).

De James Cameron (également scénariste), sur un scénario de David Giler et Walter Hill, d'après le film Alien (1979) et les personnages créés par Dan O'Bannon et Ronald Shusett ; avec Sigourney Weaver, Michael Biehn, Carrie Henn, Lance Henriksen, Paul Reiser, Bill Paxton, Jenette Goldstein, William Hope, Al Matthews, Mark Rolston , Ricco Ross, Colette Hiller, Daniel Kash, Cynthia Dale Scott, Tip Tipping, Trevor Steedman, Paul Maxwell.

Pour adultes et adolescents.

Une navette file dans l’Espace profond, avec à son bord, une jeune femme – Ripley – endormie avec son chat dans un sarcophage cryogénique. Le silence est rompu par le grésillement d’une lumière scannant son visage, puis la porte du sas saute et un robot avance pour scanner l’habitacle complet de la navette. Le robot recule et deux astronautes entrent en combinaison environnementale, et constate que Ripley est encore vivante : ils ne pourront pas revendre la navette à leur seul profit.

Ripley se réveille dans la station orbitale Gateway au-dessus de la Terre. Selon l’infirmière, cela fait deux ou trois jours qu’elle est là – et elle a un visiteur : Carter Burke, un employé de la Compagnie, arrive avec son chat, Jonesy, lui disant de ne pas s’inquiéter car il est un type bien, et que la faiblesse et la désorientation sont compréhensibles compte tenu du temps anormalement long qu’elle a passé en hibernation – 57 années plus exactement.

Soudain, Ripley est prise de nausées, puis se met à convulser. Comme l’équipe médicale l’entoure, son ventre se déforme et… Ripley se réveille au milieu de la nuit : un mauvais rêve de plus selon l’infirmière, qui lui propose quelque chose pour l’aider à dormir, mais elle refuse – Ripley a dormi suffisamment.

Plus tard, cela fait trois heures et demi qu’un comité de la compagnie fait répéter à Ripley son histoire. Ripley découvre qu’elle est accusée d’avoir causé 43 millions de dollars réévalués de dommage – pour avoir fait sauté son vaisseau et sa cargaison pour des raisons inconnues : aucune trace de la créature qu’elle décrit n’a jamais été retrouvé à bord de la navette, et aucune vie extraterrestre n’a été découverte sur LV-426. Ripley répète qu’il ne s’agissait pas d’une vie indigène, mais d’un vaisseau spatial qui s’était écrasé sur la planète et qui les avait guidé jusqu’à lui grâce à un message. Ripley s’énerve : Kane qui était entré dans le vaisseau avait vu des millions d’œufs, et si ces monstres parviennent jusqu’à la Terre ils peuvent dire au revoir à leurs profits.

Après la réunion, Ripley demande à Van Leuwen, le président du comité, d’aller vérifier ce qui se passe sur LV-426. Van Leuwen répond qu’il n’en a pas besoin : cela fait vingt ans que LV-426 est en cours de terraformation et abrite entre 60 et 70 familles d’ingénieurs qui vivent sur place, travaillant à transformer la planète en nouvelle terre vivable. Ripley est profondément choquée à l’idée que des familles ont été envoyées là-bas. Quelque temps plus tard, Ripley se morfond dans un petit appartement avec Jonesy quand Burke vient frapper à sa porte, flanqué du Lieutenant Gorman, des Marines Coloniaux : ils ont perdu tout contact avec la colonie LV-426.

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