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Écrit par David Sicé

Onward 2020
Titre français : en avant.

Sorti en France le 4 mars 2020,
Sorti en Angleterre et aux USA le 6 mars 2020.
Sorti en blu-ray 4K américain le 19 mai 2020.
Sorti en blu-ray 4K américain le 1er juin 2020.
Sorti en blu-ray 4K français le 21 octobre 2020.

De Dan Scanlon (également scénariste) ; sur un scénario de Keith Bunin et Jason Headley ; avec Tom Holland, Chris Pratt, Julia Louis-Dreyfus, Octavia Spencer.

Pour tout public.

(Comédie, Fantasy) Sur une planète où la magie a été abandonnée au profit de la technologie, l'elfe Ian Lightfoot (Jean Piedléger) est persuadé que son père aurait su lui enseigner la confiance en soi. Le jour de 16 ans, sa mère lui remet un cadeau de son père à lui et son frère aîné Barley, passionné de jeux de cartes ou de jeux de rôles sur table (les scénaristes semblent confondre les deux). Or, ce cadeau n'est autre qu'un authentique bâton de sorcier et la pierre de Phénix censée l'alimenter en magie jusqu'à l'accomplissement d'un sort de visitation : si ce sort réussi, les deux frères pourront vivre une journée complète avec leur père. Quand Barley tente de lancer le sort, rien ne se passe. Mais lorsque le soir venu, Ian relit à haute voix le sortilège, la pierre de Phénix se met à briller et les objets se mettent à léviter autour de lui.

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Écrit par David Sicé

Achura 2020
Titre français : La nuit des enfants.
Titre anglais : Ashura.

Sorti le 21 février 2020 au Japon,
Sorti aux USA en décembre 2021 sur internet.
Sorti en blu-ray français LE CHAT QUI FUME le 12 décembre 2022.

De Talal Selhami (également scénariste), sur un scénario de Jawad Lahlou, David Villemin ; avec Younes Bouab, Sofiia Manousha, Iván González, Moussa Maaskri, Omar Lofti.

Pour adultes.

(horreur surnaturelle woke artistiquement compromise) Achoura est une fête religieuse célébrée au Maroc. Les enfants s'aspergent d'eau et se rassemblent autour d'un feu de joie. On l'appelle aussi La Nuit des Enfants. Il y a bien longtemps, au Maroc, dans la nuit noire, une bande d'enfants masqués en suit un premier brandissant une torche et hurlant.

Passé une crête, ils rejoignant d'autres enfants et d'adultes réunis autour de deux feux, dont un grand qui danse avec un masque cornu et de la fourrure synthétique. Une petite jeune fille triste attend que cela se passe au côté de son mari vieux grand maigre à la courte barbe grise,hirsute. L'un des jeunes garçon fait de l’œil à la fille sage, et discrètement celle-ci le suit pour aller se cacher avec lui dans un champ voisin : elle lui explique qu'elle ne peut rester trop longtemps car elle a peur que son mari découvre qu'elle est partie. Le jeune garçon répond qu'il hait le mari de la jeune fille car celui-ci n'a pas le droit de la traiter ainsi. La jeune fille lui répond qu'elle le hait aussi, mais c'est son mari et c'est lui qui nourrit sa famille.

Mais le garçon répond qu'il ne laissera pas le mari de la jeune fille lui faire du mal à nouveau. La jeune fille sourit, sans doute à l’idée de faire avec un petit garçon ce qu’elle fait sans doute déjà avec un grand vieux velu, c’est super-romantique et si touchant... Puis la jeune fille présente garçon un instrument de forme suggestive et suspecte en bois ouvrage : c’est un… sifflet qu’elle a fabriqué des elle-même exprès pour le garçon avec une machine et des compétences spécialisées, parce qu’elle bricole à ses heures perdues…

Fausse bonne idée forcée à ce point du récit par des scénaristes pour préparer une scène ultérieure. — Une minute ! qu’est-ce qu’elle fiche à la nuit noire sur la plage avec son mari à mater d’autres enfants alors qu’elle est mariée ? Et de donner sa consigne : chaque fois que le garçon pense à elle, il n’aura qu’à la siffler avec, comme un chien ou une chienne. Le garçon répond : « Si je faisais cela, répond le garçon, je ne cesserais jamais de souffler dedans ! »

Puis le mari appelle sa petite épouse dans la nuit. Les deux enfants s’enfuient jusqu’à la bâtisse abandonnée la plus sinistre du coin dans une forêt. La porte de devant est fermée mais en forçant quelques planches, les gamins peuvent parachever leur mauvais plan de s’engager dans un cul de sac quand on est poursuivi. Si cela arrange les scénaristes de films d’horreur pas cher, sachez qu’un mouvement tournant est une tactique plus performante, surtout quand on prétend fuir un village, de nuit, sans eau ni nourriture, ni carte bleue.

Bref, le mari cherche évidemment son épouse dans la maison en étant assez aimable pour constamment signaler sa position par des appels tonitruants. Comme il menace de découper — euh, je crois qu’elle s’appelle Nadia, mais rien n’est moins sûr à ce point car nos scénaristes appartiennent à l’école de ceux qui oublient de prononcer le nom de leurs personnages avant le générique de fin — bref, le mari menace de découper sa petite fille d'épouse en petits morceaux.

N’écoutant que… sa débilité profonde, le petit garçon vient sauter sur le dos du méchant mari, sans armes, sans technique de combat particulière, en pesant peut-être un cinquième du poids de son adversaire. Alors le mari jette sans difficulté à terre le gamin puis l’étrangle avec un sourire sadique.

Et le gamin d'étouffer, mais la petite jeune fille n’a qu’à passer par derrière son mari deux fois plus grand qu’elle pour l’assommer ou le tuer d’un coup, sans doute parce que c’est une femme de plus qui fait tout mieux que les hommes plus grands comme plus petits qu’elle. Le mari tombant de sa propre hauteur sur un terrain possiblement semé de divers débris perforants et coupant, il peut aussi s’être tué dans sa chute, mais le réalisateur se fiche d’en informer le spectateur, suivant son scénario linéaire du point A au point B sans se préoccuper de rien.

La petite fille étreint et secoue le corps inanimé, en gros pour le supplier de n’être pas mort, sachant qu’en cas d’étranglement, les cervicales peuvent avoir été déplacées et de la manière dont la fille procède, elle peut tuer net le garçon ou en faire un tétraplégique. Si elle a déjà tué son premier mari, au moins le second ne risquera pas de la fouetter, mais d’un autre côté, cela fait des frais d’entretien et beaucoup de frustration...

C’est alors que, comme un sphincter sur la soupe, un cheveu apparaît au plafond au-dessus de la jeune fille. Pardon, c’est l’inverse. Et bien entendu personne pas même le réalisateur censé ouvrir la scène avec un minimum de présentation des lieux, n’avait remarqué un truc luisant pulsant qui vomit des mouches chaque fois qu’il a un orgasme... Bref, le sphincter avale la fille dans un nuage de particules et une obscurité qui fait tâche, parce qu’apparemment c’est ce que font tous les sphincters (de djinns ?).

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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Écrit par David Sicé

Code 8 (2019)
Autre titre : Code 8, renégats.

> film suivant.

Sorti au Canada le 6 décembre 2019.
Sorti aux USA le 13 décembre 2019.
Sorti en blu-ray allemand le 30 janvier 2020.
Diffusé en France et à l'internationale à partir du 11 avril 2020 sur NETFLIX FR.

De Jeff Chan (également scénariste), sur un scénario de Chris Pare, d'après le court-métrage de 2016 de Jeff Chan ; avec Robbie Amell, Stephen Amell, Sung Kang, Alex Mallari Jr., Aaron Abrams.

Pour adultes et adolescents

La cité du futur. On savait tous que certains des ouvriers avaient des pouvoirs, mais du moment qu’ils travaillaient efficacement, peu importait. Quand les robots ont remplacé les ouvriers, il a fallu recenser ceux qui avaient des pouvoirs. Puis une nouvelle drogue extraite de leur moelle épinière a commencé à circuler, provoquant des crises terrifiantes. Connor Reed est l’un de ces ouvriers. Il vit seul chez sa mère Mary, malade. Ce matin-là, elle lui demande au petit-déjeuner quel légume il voudrait être. Connor répond, une tomate parce que c’est un fruit et un légume et qu’il peut ainsi faire différentes choses. Il lui retourne la question et Mary répond qu’elle est un oignon à cause de toutes les différentes couches. Connor rappelle que la santé de Mary ne s’améliore pas, mais elle lui assure qu’elle n’est pas près de travailler.

Plus tard, Connor va chercher et trouve du travail temporaire sur un chantier où tous les ouvriers ont le pouvoir de travailler sans outil comme souder avec leurs doigts. C’est alors qu’un drone survole le chantier et la police débarque : un voisin a dénoncé l’usage de pouvoir. On demande aux ouvriers de s’aligner et on leur interdit de travailler sans permis, impossible à avoir. L’un des ouvriers n’a pas levé le menton vers le drone, et un policier le force sous la menace de son arme et celle des drones. Comme Connor remarque que cela ne changerait rien, il est à son tour menacé. L’ouvrier qui a été arrêté est menotté, mais il se dégage en faisant jaillir des flammes de ces mains jusqu’au visage du policier qui l’avait arrêté. Alors les deux soldats, possiblement robots, tombent du drone et mitraillent le fuyard...

Et du coup, Connor n'est pas payé, et sa mère, dont le pouvoir de congélation se manifeste contre sa volonté, est elle aussi virée. Il ne reste donc plus au jeune homme qu'à offrir ses pouvoirs de contrôle de l'électricité à des criminels. Or, pour rester libre, Connor a menti sur l'étendue de ses pouvoirs.

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Écrit par David Sicé

The blackout (2019)
Traduction du titre original : la panne générale.
Autre titre : avanpost, Аванпост (avant poste), Invasion Earth (Invasion Terre).

Sorti en Russie le 21 novembre 2019.
Sorti en Allemagne le 1er décembre 2019.
Sorti en Angleterre le 6 décembre 2019.
Sorti en blu-ray américain le 2 juin 2020.
Diffusé en France à partir du 16 septembre 2020.
Sorti en blu-ray anglais le 28 décembre 2020.
Sorti de la version série en coffret 2 blu-rays allemand le 27 août 2021.
Sorti en blu-ray italien le 22 septembre 2021.
Sorti en blu-ray allemand le 29 avril 2022.

De Egor Baranov, sur un scénario de Natalya Dubovaya, Ivan Kapitonov, et Svyatoslav Podgaevskiy; avec Elena Lyadovan Svetlana Ivanova, Pyotr Fyodorov, Konstantin Lavronenko, Aleksey Chadov.

Pour adultes et adolescents

Dans un futur proche, Oleg, un militaire, a un rendez-vous galant avec la jolie Alena. Plus tard, ils rentrent chez lui pour jouer à saute-moutons. Après le jeu, Oleg s'arrête devant la baie vitrée qui permet aux voisins et aux satellites de voir tout ce qui se passe chez lui, et curieusement la centaine de drones livreurs stationnent dans les airs, attendant leurs ordres. De fait, toutes les connexions avec le reste du monde au-delà de Moscou, d'une partie de la Biélorussie, de l'Ukraine et de la Finlande sont coupées et à la télévision, la présentatrice du journal télévisée est, comme son public, tremblante, à l'idée que la seule explication plausible serait une apocalypse nucléaire. Mais aucune trace de missiles à l'horizon.

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