Apocalipsis Z: El principio del fin (2024)
Titre anglais : Apocalypse Z: The Beginning of the End
Titre français : Apocalypse Z: Le début de la fin.
Diffusé à l'international à partir du 31 octobre 2024 sur PRIME INT/FR.
De Carles Torrens, sur un scénario de Ángel Agudo, d'après le roman espagnol Apocalipsis Z 1 El principio del fin 2008 de Manel Loureiro ; avec Francisco Ortiz, José María Yazpik, Berta Vázquez, María Salgueiro, Amalia Gómez, Marta Poveda, Iria del Río, Oriol Ruiz.
Pour adultes et adolescents
(apocalypse zombie) Un marché de Noël la nuit en ville, des feux d'artifices, et avec une vue imprenables sur le feu d'artifice et les illuminations, une petite famille : la mère et le petit garçon blond, et invitée cette nuit là, l'oncle brun et barbu (Manel) et la tante également brune (Julia). Nous sommes le 5 janvier 2024 alors que le petit garçon veut voir Loukoulo, le chat de sa tante et de son oncle sur le téléphone portable de son oncle. L'ayant fait appelé par l'application SmartCat, le jeune garçon veut aussi le nourrir, mais son oncle ne veut pas que le chat enfle comme un ballon. Au lieu de cela, il couche son neveu, assez fier d'avoir réussi à l'endormir ; la mère, sa soeur, lui confie que le gamin se relèvera vite pour lui demander si les Roi Mages sont enfin arrivés : il verra.
L'oncle et la tante veulent repartir cette nuit même pour échapper aux bouchons, malgré la mère qui regrettent qu'ils n'attendent pas son mari Mario, retenu à la station. Son frère répond que sa soeur devra lui dire qu'il est son beau-frère favori. Tous s'embrassent, et ils s'en vont, le frère promettant d'appeler sa soeur plus tard. Sur la route, de nuit, le frère interroge son épouse Julia, qui conduit : Qu'est-ce qui ne va pas ? Va-t-elle enfin le lui dire ?" Elle lui répond d'arrêter. Le frère concède que ce n'est pas le moment, son épouse lui demande quand c'est le bon moment : s'il ne veut pas d'enfants, il n'a qu'à le lui dire, et qu'il arrête de la faire tourner en bourrique. Elle en a assez d'être baladée, et de ses atermoiements : sera-t-il un bon père ? sera-t-elle à la hauteur ?
C'est alors qu'une voiture manque d'entrer en collision avec eux. Il donne un coup de frein, et leur voiture se retrouve en travers de la route : ce n'était effectivement pas le bon moment. C'est alors qu'ils se demandent l'un à l'autre s'ils vont bien, en restant en travers. Le temps que Julia redémarre la voiture, et un camion les dégage d'u milieu et les fait partir en tonneaux.
Un an plus tard. Le petit chat va bien, mais le mari dort désormais seul dans son lit. S'étant enfin réveillé à cause du chat qui protestait contre sa grasse matinée, il descend dans le salon obscur où le journal télévisé évoque les résultats d'une réunion spéciale du conseil de l'Union Européenne où sera débattu la question de la fermeture des frontières. Le présentateur interroge une intervenante sur la question qui répond qu'il faut être prudent et attendre l'avis des experts. Le présentateur interrompt l'intervenante parce qu'ils sont en contact avec Daniel Romero. A l'écran, le bandeau rouge de la dernière minute précise que le virus TSJ s'étend, l'Europe ferme ses frontières avec la Russie.
Blasé le mari possiblement veuf remet de l'eau dans la gamelle du chat, et un distributeur de croquette distribue automatiquement sa dose, et le chat s'empresse de venir la dévorer. Nous sommes le 10 avril 2025 selon l'application Smartpet. Le journal télévisé continue sur l'écran : l'impact du virus TSJ serait absolument dévastateur, avec un échec totale de toutes les mesures de préventions. Pendant ce temps, le mari s'absorbe au tri de son courrier, dont une lettre destinée à Julia Bertran Fernandez, 5 rue de la Slovaquie, 36003 Pontevedra, Espagne. Le mari tique quand le correspondant déclare que compte tenu de ce qui est déjà arrivé avec le COVID 19, ils ne sont qu'à quelques jours de l'annonce de mesures tout aussi drastique : il coupe le son et va avoir ailleurs si les zombies y sont.
Pourtant, l'écran vidéo montre à présent à la date du 11 novembre 2024 à 19h05, un malade isolé dans une salle de soin, agité de spasme alors qu'il est allongé sur l'une des tables. Pendant ce temps, le mari jette l'enveloppe destinée à Julia dans le tiroir d'un bureau, sans l'avoir ouverte. Puis il sort en voiture en ville. A la radio, un député doit donner son avis sur la théorie selon laquelle le virus TSJ serait une arme biologique par rapport à la théorie de l'origine naturelle. Sur la route de campagne, il croise une ambulance sirène hurlante.
Plus loin sur la route il descend vers un petit port de plaisance et passe devant un graffiti sur le mur noirci d'une maison : "Bienvenue au commencement de la fin." Juste en dessous, le panneau de direction routière indique qu'il s'agit de la route du Port de Saint Adrien.
Le mari se rend ensuite à pieds jusqu'au quai pour rejoindre deux femmes qui l'attendait : "Combarro...", achève la brune. "Je pense que c'est lui." répond la plus jeune avec des mèches blondes. Sans même saluer, la jeune demande au mari si c'est bien lui qui vend le Corinto. Elle se dit alors enchantée de le rencontra et lui présente Maria, et la plus jeune veut voir immédiatement le bateau. Elles le suivent jusqu'au bateau tandis qu'il explique que tout était décrit dans l'annonce : c'est un neuf-mètres, le moteur à 9000km mais il a été révisé... Le mari monte sur le voilier : les voiles n'ont pas été utilisées depuis un an mais elles sont dans un état parfait.
Les deux femmes montées à bord, à l'évidence portugaises, la plus jeune lui demande si le mari a les factures. Le mari soupire : il pense que si. Et il descend dans la cabine, récupère le dossier dans un secrétaire, puis se fige à cause d'un flash du passé où Julia disait que sa tenue ne lui plaisait pas : elle voulait l'enlever, et Julia coinçait son bracelet de cordelette dans sa tenue, le bracelet cassait et il accrochait le bracelet à un montant de la cabine.
Le mari est de retour sur la route et tandis qu'il conduit, quelqu'un appelé Belen (sa soeur) l'appelle sur son téléphone portable. Le mari soupire et se concentre sur la route. Nous le retrouvons en train de faire ses courses dans un grand magasin, et son téléphone sonne à nouveau, toujours Belen, et il ne décroche pas davantage. Les annonces dans les haut-parleurs se répètent : "Chers clients, nous travaillons à réapprovisionner nos rayons ; nous vous rappelons que le gouvernement recommandent de ne pas acheter plus de deux unités de chaque produit ; merci beaucoup." Et de contempler une cliente en face de lui en train de vider le rayon des fruits frais."
De retour chez lui, le président fait une annonce à la télévision pour expliquer la situation à laquelle l'Espagne est confrontée, assisté du ministre de la Santé ; première information, deux cas ont été confinés dans la ville de Haro par le gouvernement de la Rioja ; aucun nouveau cas de puis les incidents à Cala Ratjada et Inca, tous les deux à Majorque : la maladie est contenue." Puis le mari dépose des provisions surgelées dans le congélateur de son garage.
Puis retour au salon, visioconférence avec sa sœur et son petit garçon qui réclame le chat. La sœur demande au petit garçon de laisser le chat tranquille, qu'elle puis parler à son oncle, et c'est Mario, le père du garçon qui doit écarter le petit garçon pour que la conversation commence enfin ; la soeur s'étonne de ce que son frère ne réponde pas au téléphone, celui-ci prétend qu'il était occupé à vendre son bateau à un couple. Sa soeur lui demande lui dire qu'il a vendu son bateau et qu'ils ont payé cher. Il répond qu'ils recherchaient quelque chose de plus moderne.
Sa sœur lui demande ensuite de l'écouter parce qu'elle a une proposition à lui faire.. Elle referme la porte du bureau et revient expliquer : ce matin ils ont parlé à Mario, ils les transfèrent vers les îles Canari à cause de tout ce qui arrive. Mario pense que c'est pour l'entretien des systèmes d'informatique, mais ils ne lui ont pas dit grand-chose. Son frère lui demande quand ils partent : ce soir-même. Le frère s'étonne : après les avoir informé le jour même ? Sa sœur confirme, puis lui propose de partir avec eux, on leur donne une maison. Son frère refuse. Elle insiste : elle l'a vérifié, il peut prendre un vol demains depuis Vigo, il ne sera pas laissé en arrière. Son frère lui répond qu'il ira bien. Elle insiste encore, qu'il vienne seulement pour quelque chose, attendre que les choses se calment et ensuite, s'il veut revenir... Son frère la coupe : qu'elle n'insiste pas. Sa sœur s'inquiète d'un confinement, il répond qu'il ne sera pas seul, il sera avec son chat. Sa sœur lui demande de le faire pour elle. Elle le supplie.
Le lendemain très tôt il est réveillé par les aboiements des chiens, et constate qu'une famille de ses voisins quitte le quartier. Et il prend sa décision, il part en voiture avec son chat. En fait, c'est tous ses voisins qui s'en vont. A la radio, l'animatrice est clairement nerveuse : de multiples sources confirment à présent des nouvelles alarmantes, l'émergence d'un nouveau variant du virus TSJ... Cette mutation sans nom officiel semble redéfinir ce qu'ils savaient du virus : la période d'incubation est désormais réduite à quelques minutes, entre le moment de la contagion et l'apparence des symptômes graves."
Sur l'autoroute, quelqu'un a pendu à une voie suspendue une banderole ssur laquelle il est écrit "Pardonnez-nous (Seigneur)" ; la radio poursuit, "la transmission peut se faire par contact avec le sang, en particulier par des blessures entaillant la peau et des morsures, ce qui écarte la transmission par voie aérienne..."
L'aéroport, tout semble calme et le mari attend son vol en faisant la conversation à son chat, quand une nouvelle annonce est faite dans les hauts-parleurs : les passagers du vol VTL290J à destination de la grande île des Canaris doivent embarquer à la porte numéro trois. Il profite de l'attente pour laisser un message à sa soeur pour dire qu'il va embarquer, quand le ticket d'un passager déclenche un feu rouge. L'hôtesse explique qu'elle ne sait pas ce qui se passe. Elle demande au passager de s'écarter mais le feu rouge retentit à nouveau pour la passagère suivante.
Les gens commencent à s'agiter. Le nom du vol s'éteint au-dessus du portail d'embarquement, et au tableau général, tous les vols sont annulés. Et comme un passager s'énerve, soudain tous les téléphones portables se mettent à sonner. C'est une alerte de la protection civile annonçant l'état d'alerte sur tout le territoire nationale du à la propagation du virus TSJ : tout le monde doit se confiner à son domicile, verrouiller ses portes et ses fenêtres... Le passager qui s'était énervé craque et force le portail, poursuivi par un garde de l'aéroport.
Le téléphone du mari sonne à nouveau, c'est sa sœur : elle confirme que l'espace aérien est clos, que c'est à cause du nouveau variant, qu'il doit retourner chez lui et s'enfermer jusqu'à nouvel ordre. Pendant ce temps le passager énervé a voler l'arme du garde et c'est la panique. Et l'embouteillage général sur les routes. Le mari finit par descendre de sa voiture, prendre la cage de son chat et sa valise sur roulette pour tenter de rentrer à pieds chez lui.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.
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