Demons S01E03 : Tibbs (2009)
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Ici la page Amazon.fr du blu-ray anglais de la série Demons 2009 sous-titré anglais, pas de version française.
Demons S01E03 : Saving Grace (2009)
Traduction du titre : la grâce salvatrice / pour sauver Grace.
Titre français : Tibbs.
Episode précédent <> Episode suivant.
Ici la page de ce blog consacré à la série Demons de 2009.
Diffusé en Angleterre le 17 janvier 2009 sur ITV 1 UK.
Sorti en blu-ray anglais le 6 avril 2009 (multi-régions, image 1080/50i en HD correcte à médiocre un peu bruitée, détails fins brouillés, artefacts de mouvement, mis à échelle par écran 4K, plutôt bonne, anglais sous-titré LPCM 2.0, pas de version française, réaliste faiblard, musique du générique frontale)
Diffusé en France le 30 novembre 2009 sur TF6 FR.
Pour adultes et adolescents.
De Johnny Capps, Julian Murphy et Peter Tabern ; avec Philip Glenister, Zoë Tapper, Christian Cooke, Holliday Grainger, Mackenzie Crook, Richard Wilson, Paul Vigrass, Saskia Wickham.
(Fantasy urbaine, épouvante) Dans leur quartier général, en ahanant, Luke fait des tractions à une barre sous la supervision de Rupert, qui boit tranquillement son thé. Luke s’exclame : « Tout cet entraînement que vous me faites faire… Avez-vous eu à le faire ? »
Rupert répond avec mépris : « Ne sois pas ridicule ! J’aime me concentrer sur mon agilité mentale… » Luke réplique : « Je devine que c’est ce qui arrive quand on devient vieux ! »
Une sonnette d’alarme retentit, ponctuée de coups violents contre le sas d’entrée du quartier général. De l’autre côté de la porte blindée, dans les égouts par lesquels on y accède, un homme-rat blanc a en effet lancé à l’assaut du vantail trois de ses comparses, et leurs faces grotesques se distingue sur un écran vidéo à l’intérieur du quartier-général.
Le consultant, Luke déclare : « Vous devez le leur accorder : ils ont des couilles. » Rupert lui répond tandis qu’ils se rendent aux bas des marches qui mènent au sas : « Mais tristement, aucune cervelles. »
Rupert arme son pistolet désintégrateur de monstres : « Et ils n’ont aucune chance d’entrer ici ; okay, tu es prêt ? » Luke fait signe à Rupert de passez devant : « Après vous… » Rupert rétorque : « Après toi ! » Luke obtempère et s’élance, ouvre la porte, et commence à taper dans le tas d’hommes rats.
Pendant ce temps, Rupert tranquillement met en joue le chef de la bande, un homme-rat pâle : « C’est une sacrée assemblée : qui vous a envoyé ? » Le chef-rat répond : « Z’avez dit quoi ? — Tu m’as très bien entendu. »
Le chef rat répond : « Soyez bon joueur ! Z’êtes pas bon joueur, mec ! » Rupert rétorque : « Sans blague ! Qui t’as envoyé ? »
Et comme le rat tarde à répondre, il tire sur le bout de sa queue, qui explose en étincelles et se met à flamber tandis que le rat crie, tourne en rond et finit par plonger le bout embrasé dans l’eau de l’égout voisin.
Alors le rat s’indigne : « Pourquoi vous z’avez fait ça ? Vous avez un problème d’attitude, vous savez ? Oh, mon chef me l’a dit : ‘Rupert Galvin, c’est un tordu !’ »
Rupert répète : « Ton chef ? » L’homme-rat est véhément : « Vous respectez pas ma queue, vous me respectez pas ! » Et Rupert de répondre : « Tu as fichtrement raison, je ne te respectes pas… »
Rupert saisit le rat par le col et l’entraîne contre un mur devant Luke qui a mis en fuite tous ses adversaires : « On reprend depuis le début ! »
Et Rupert met en joue le rat : « Qui t’a envoyé ? » Le rat bégaye : « T… Tibbs ! Monsieur Tibbs pour vous ! — Où est-il ? — Je vais pas vous le dire ! »
Rupert met le canon de son pistolet désintégrateur dans la bouche du rat et compte à rebours : « Trois, deux… » Le rat râle. « J’ai pas vraiment compris… » Il retire le canon de la bouche du rat, qui halète et répond : « Liberty Hall ! Il est à Liberty Hall ! »
Puis l’homme-rat ajoute : « Vous avez dit que vous ne me tueriez pas si je vous le disais ! — Non, je n’ai jamais dis ça ; Luke, est-ce que j’ai dis ça ? » Luke répond, inquiet : « Je ne crois pas. »
Ce à quoi Rupert répond simplement : « Honteux. » et il abat d’une balle en pleine tête l’homme-rat, qui dans un cri bref explose en étincelles, lambeaux et fumées roses.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
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The Monster Club, le film de 1981
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Ici la page Amazon.fr du coffret français blu-ray+dvd ELEPHANT FILMS version anglaise et doublée français.
The Monster Club (1981)
Traduction : Le club des monstres.
Sorti en Angleterre le 2 avril 1981.
Sorti aux USA le 27 mai 1981.
Sorti en Norvège le 30 septembre 1983.
Sorti en Espagne le 16 janvier 1984.
Sorti en blu-ray américain SCORPION US le 1er octobre 2013 (région A, lisible seulement sur un lecteur US ou multi-régions)
Sorti en blu-ray anglais NETWORK UK le 18 août 2014 (anglais sous-titré, pas de version française, inclus version avec musique seulement, région B, lisible seulement en Europe, Japon et Australie ou multi-régions)
Sorti en coffret blu-ray + dvd français ELEPHANT FR le 6 mai 2014.
Sorti en blu-ray allemand PIDAX DE le 10 novembre 2023 (supposé remasterisé, version anglaise originale, allemand et sous-titre allemand, commentaire audio, pdf dossier de presse, interview télé V. Price, région B )
De Roy Ward Baker, sur un scénario de Edward Abraham et Valerie Abraham, d'après le recueil de nouvelles de mars 1976 de R. Chetwynd-Hayes ; avec Vincent Price, Donald Pleasence, John Carradine, Stuart Whitman, Richard Johnson, Barbara Kellerman, Britt Ekland, Simon Ward, Patrick Magee, Anthony Valentine, Anthony Steel, James Laurenson, Neil McCarthy, Lesley Dunlop, Prentis Hancock, Pat Roach, ainsi que les groupes B.A. Robertson, Night, The Pretty Things, The Viewers.
Pour adultes et adolescents.
(film à sketch d'épouvante fantastique en couleur) En ville, la nuit, un couple s'arrête devant la vitrine d'une librairie mettant à l'honneur les livres de R. Chetwynd-Hayes, tels Terreur de nuit, des contes horrifiques d'outre-tombe, mais aussi un roman de Fantasy, The Partaker, ou encore le Démon du Berceau et autres récits de Fantasy et d'Horreur... La vitrine est également décoré d'une grande photo noir et blanc du romancier (NDT de l'acteur qui joue le romancier dans le film, le romancier existe pour de vrai et il est plus jeune que ça à la sortie du film), et d'une tête de zombie décapitée avec goût, comme il se doit.
Et voilà-t-y pas que le romancier lui-même Ronald Chetwynd-Hayes passe à son tour devant la vitrine, très satisfait, quand une main le happe, celle d'un vieil homme moustachu (Eramus) très pâle en imperméable, qui l'arrête et s'appuie sur lui expliquant qu'il est mort de faim : il n'a pas mangé depuis deux semaines. Ronald répond fort aimablement qu'il sera heureux de lui donner de l'argent pour sa nourriture, mais, les yeux toujours baissés, le vieux moustachu se lamente : il ne garde pas la nourriture, il ne l'a jamais pu. Bon samaritain, Ronald répond qu'il fera tout son possible pour l'aider.
Alors le vieux moustachu lève enfin les yeux sur son interlocuteur : "Tout ?" Ronald hoche la tête. Le moustachu s'exclame : "Oh, merci !", et le mord dans le cou et Ronald s'effondre.
Plus tard, dans un recoin de la rue, Ronald semble récupérer, anxieux d'avoir une marque dans le cou, tandis que le moustachu récupère à terre un porte-feuille rempli de billet et un petit objet noir difficile à identifier. Il se relève et, toujours affable, et ayant certainement repris des couleurs, demande à Ronald : "Puis-je être autorisé à me présenter ? Mon nom est Eramus, je suis un vampire."
Ronald ouvre de grands yeux. Eramus rteprend : "Oh mais bien sûr, vous savez cela..." Ronald pointe alors la bouche d'Eramus : "Je veux dire, qu'est-ce qui est arrivé à vos crocs ?" Eramus explique : "Oh, ils sont rétractables, quand ils ne sont pas utilisés." Et comme Ronald porte à nouveau sa main à son propre cou, Eramus précise : "Oh, tout va bien, je n'ai pas mordu profondément : vous ne deviendrez pas l'un d'entre nous." Et d'ajouter, clairement satisfait : "C'était le meilleur sang que j'ai jamais goûté..." Et consultant à nouveau la carte qu'il avait ramassée avec le porte-feuille : "Et d'une source si noble !"
Alors Eramus, visiblement fan, demande : "Vous êtes le grand Ronald Chetwynd-Hayes, l'auteur de ces magnifiques récits d'épouvante ? Vous êtes mon auteur favori !" Et de rendre le porte-feuille et la carte à son propriétaire, qui répond, confus : "Je n'aurais pas pensé que vous auriez eu le besoin de lire des récits d'épouvante..."
Eramus répond d'une voix douce, presque apitoyé : "Oh mon cher monsieur, vous êtes très injuste envers vous-même..." Et avec conviction, il explique : "Tout le monde aime lire à propos de lui-même, de son semblable..."
Ronald va pour se relever, se relève effectivement, s'efforce de ranger son porte-feuille dans la poche intérieure de son manteau : "Oui, eh bien, je suis heureux d'avoir pu vous aider... heureux que vous aimiez mon sang... euh; mes livres... Mais je dois me remettre en route."
Eramus s'interpose : "Oh non, je ne peux pas entendre cela." Ronald se fige, alarmé : "Vous voulez davantage de mon sang ?" Eramus l'assure : "Non, non, vous ne m'avez pas compris : je vous dois quelque chose, je veux vous aider, -- vous payer en retour..." Ronald répond : "Non, ça ira très bien, merci beaucoup, je suis heureux d'avoir pu rendre service."
Ronald se remet à marcher péniblement mais Eramus l'escorte et propos : "Eh bien, je peux vous trouver de l'inspiration pour votre prochain livre..." Ronald s'arrête et répète, vraiment pas rassuré : "De l'inspiration ?" Puis "Quelle sorte d'inspiration ?"
Eramus répond : "Je vais vous mener à un endroit où mes amis se rassemblent : ce sont des vampires, des loups-garous, des goules -- toutes les sortes de monstres que vous pourrez jamais imaginer... Et certains au-delà de l'imagination de simples mortels ! Là-bas vous pourrez trouver des histoires d'une terreur à vous glacer le sang, au point que cela fera frémir vos orteils et dresser vos cheveux sur la tête..."
Ronald demande : "Où est cet endroit ?" Eramus répond en souriant, réajustant son col : "C'est seulement à une courte distance ; ça s'appelle le, euh, le Club des Monstres."
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.
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La maison de tous les cauchemars S01E05 : La maison sanglante (1980)
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La page Amazon.fr du coffret français 5 dvd français ELEPHANT FR le 6 mai 2014 version anglaise et française.
La page Amazon.fr du coffret 3 blu-rays anglais NETWORK UK le 23 octobre 2017 (anglais sous-titré).
La page Amazon.fr du coffret 3 blurays allemand MEDIA TARGET DE le 14 décembre 2018 réédité le 30 octobre 2020 (pas de version française, version anglaise incluse).
Hammer House of Horror S01E05 : The House That Bled to Death (1980)
Traduction : La maison de l'horreur (des studios) de la Hammer* : la maison qui saigna à mort.
* Traduisez Hammer par le maillet des sorcières, référence au Malleus Maleficarum, le manuel de démonologie de 1486 à l'usage des inquisiteurs dans la réalité.
Titre français : La maison de tous les cauchemars : La maison sanglante.
Âmes sensibles s'abstenir.
Toxique : l'épisode inclut des scènes de maltraitance animale.
Episode précédent <> Episode suivant.
Ici la page de ce blog consacrée à la série télévisée Hammer House of Horror 1980.
Diffusé en Angleterre le 11 octobre 1980 sur ITV UK.
Diffusé en France en 1983 sur FR3 FR.
Sorti en coffret 5 dvd français ELEPHANT FR le 6 mai 2014 version anglaise et française https://amzn.to/3zXcyTO
Sorti en coffret 3 blu-rays anglais NETWORK UK le 23 octobre 2017 (anglais sous-titré, image HD de très grande qualité, mise à l'échelle 4K parfaite, son très bon, pas de version française)
Sorti en coffret 3 blurays allemand MEDIA TARGET DE le 14 décembre 2018 réédité le 30 octobre 2020 (pas de version française, version anglaise incluse)
Créé par Roy Skeggs, réalisé par Tom Clegg, sur un scénario de David Lloyd, avec Nicholas Ball, Rachel Davies, Emma Ridley, Joanne White, Brian Croucher, Patricia Maynard, Milton Johns, George Tovey, Una Brandon-Jones.
Pour adultes.
(anthologie d'horreur fantastique, fantôme) Le matin. Un homme dépose une cuillerée de chocolat soluble dans chacune des deux tasses en porcelaine décorée de fruits, qu’il va pour servir. Mais au lieu de servir immédiatement, il cherche dans sa poche un petit sachet bleuté, rempli d’une poudre blanche, et compte tenu du thème de cette anthologie, quelque part, je me doute que cela ne doit pas être du sucre.
L’homme âgé aux cheveux gris, gilet noir, bedonnant, veille à ce que toute la poudre tombe dans la tasse de gauche, puis il ajoute deux grosses cuillères de poudre blanche d’un grand pot. De l’autre côté de la pièce, une vieille femme est occupée à tricoter un pull mauve et n’a apparemment rien remarqué. Elle lève cependant la tête au son du lait qui, bouillant dans la casserole, se soulève et se sauve en partie.
En tremblant, le vieil homme soulève la casserole et verse le lait qui reste dans la première tasse, puis la seconde. Il repose la casserole, touille la première tasse de sa cuillère. Touille la seconde tasse avec la même cuillère. Puis vient s’asseoir à table pour remplir une grille possiblement de paris sur des courses, avec le journal ouvert dessous, posant la seconde tasse au coin de la table le plus proche de celui de la vieille dame concentrée sur son ouvrage. Une maille à l’endroit, une maille à l’envers…
Le vieil homme tourne lentement la tête vers la vieille dame, pour la voire enfin prendre la trace et siroter une gorgée. Il détourne la tête, apparemment tranquillisé. Elle en boit davantage, soupire et repose sa tasse sur la table, reprend son ouvrage et lui coche dans sa grille de paris…
Alors la vieille dame semble gênée, porte la main à sa gorge, hoquette et tend la main vers un flacon posé sur le meuble voisin. Grimaçant, elle appelle : « Pilules ! », posant sa main sur l’épaule de son mari qui alors fait mine d’être absorbé. Elle le pousse, et répète : « Pilules ! »
Mais son mari ne fait que tourner lentement la tête, et revient à sa grille. Les yeux mi-clos, la vieille dame hoquette davantage et sanglote, se dresse, porte à nouveau la main à sa gorge.
Alors le vieil homme se lève et attrape le flacon de pilules pour le tenir bien haut devant elle. La vieille femme veut se lever, elle tombe, les yeux et la bouche ouverte, et rend apparemment son dernier soupire. Le vieil homme repose le petit flacon rempli de cachets blancs, attrape ce qui ressemble à une pierre à affûter une lame, et décroche l’un des deux couteaux accrochés croisés au mur. Et commence à affûter la lame du couteau.
Comme quoi l’aide à la fin de vie n’aura pas attendu plusieurs lois votées au Parlement pour s’appliquer, mais nous le savions déjà.
Apparemment plus tard, une gentille famille mononucléaire est débarquée par un binoclard en costume cravate et voiture rouge conduisant à gauche dans un pimpant quartier résidentiel où les oiseaux chantent parce qu’ils sont si bien nourris.
Le mari, grand et blond bras de chemise beige clair quitte la place du passager, l’épouse brune gilet bordeaux descend de la banquette arrière à sa suite, laissant leur petite fille blonde à manger un sablé nappé de chocolat du genre qui non seulement laisse des miettes partout, mais tâche aussi, parce que ce serait dommage de faire les choses à moitié dans une voiture qui ne vous appartient pas.
Le complet veston binoclard dégarnie cravate aux motifs volutés verdâtres quelque part entre vomi et tentacules lovecratiens se plante dans l’allée et déclare au jeune couple mignon tout plein : « Nous y voilà : 42 rue Coleman. » Le mari sourit bêtement. L’épouse réplique froidement : « Il n’y a pas de panneau ‘à vendre’. »
L’homme en costard répond sans se troublé : « Eh bien, c’est resté sur le marché un certain temps ; les hypothèques sont relativement compliquées à régler sur ce genre d’immeubles plus anciens. » Philosophe, le mari répond : « Eh bien, les mendiants ne choisissent pas. » Son épouse lui sourit. Et il achève : « Je pense que ça fera très bien l’affaire. »
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
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Red One, le film de 2024
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Red One (2024)
Traduction : Rouge Un / Un qui est rouge.
Annoncé en Angleterre le 6 novembre 2024.
Annoncé en Allemagne le 7 novembre 2024.
Annoncé aux USA et en Espagne le 15 novembre 2024.
De Jake Kasdan (également producteur), sur un scénario de Chris Morgan (également producteur) et Hiram Garcia (également producteur) ; avec Dwayne Johnson (également producteur), Chris Evans, Lucy Liu, J. K. Simmons.
Pour adultes et adolescents ?
(Comédie fantastique, fantasy urbaine, presse) Lorsque le Père Noël est kidnappé, Callum Drift, le chef de la sécurité du Pôle Nord, doit faire équipe avec Jack O'Malley, un chasseur de primes, pour le retrouver et le sauver.
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Le maître des sorciers, le film de 2008
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Ici la page Amazon.fr du blu-ray français CONDOR FR version et sous-titres français inclus.
Krabat (2008)
Titre français : Le maître des sorciers.
Titre anglais : Krabat, The Satanic Mill (le moulin satanique).
De Marco Kreuzpaintner (également scénariste), sur un scénario de Michael Gutmann, d'après le roman pour la jeunesse de 1971 de Otfried Preußler ; avec David Kross, Daniel Brühl, Christian Redl, Robert Stadlober, Paula Kalenberg, Daniel Steiner, Hanno Koffler.
Sorti en Ukraine le 7 septembre 2008.
Sorti en Allemagne le 9 octobre 2008.
Sorti en Autriche le 28 novembre 2008.
Sorti en Russie le 28 mai 2009.
Sorti aux Pays-Bas le 17 décembre 2009.
Sorti en Belgique le 27 janvier 2010.
Sorti en blu-ray allemand 20TH CENTURY FOX le 25 mars 2009.
Sorti en blu-ray français CONDOR FR le 1er juin 2011, version originale allemande, doublage français et sous-titres français à la traduction approximative, image et son bons malgré les panneaux et menus pixelisés.
Sorti en coffret blu-ray + dvd espagnol QUALITY FILMS ES le 16 mars 2012.
Sorti en blu-ray allemand STUDIO CANAL le 8 décembre 2022.
Pour adultes et adolescents.
(conte fantastique, romance de fantasy urbaine) En l'an de grâce 1646, les contrées germaniques étaient en proie à une terrible guerre, connue sous le nom de Guerre de Trente Ans. L'Europe entière en fut dévastée et des centaines de milliers d'hommes périrent. Ceux qui furent épargner par la guerre et la famille durent affronter un autre ennemi, invisible celui-là : la Peste.
Un vol de corbeaux noirs au-dessus de la montagne forestière enneigée. Trois garçons aux vêtements déchirés et aux capes trouées cheminent sur la crête, le premier portant une couronne de paille tressée. Le vent se lève, soulevant de la poussière de neige sous leurs pas.
C'était entre le Nouvel An et l'Epiphanie (NDT : entre le 1er janvier et le 6 janvier). Krabat, un orphelin de 14 ans, prenait la route avec deux amis, pour chanter Noël de village en village. La piètre monnaie qu'on leur donnait leur permettait de survivre.
La nuit est tombée et les trois garçons se sont blottis tremblant contre le mur, à l'intérieur d'une cabane.
Cette nuit-là, Krabat fit un rêve, qu'il avait déjà fait plusieurs fois : onze corbeaux sur des poteaux le fixaient du regard. Un dernier poteau était vide. Et tandis que le soleil se lève, la voix d'un vieil homme ordonne à Krabat encore sommeillant : "Va au moulin de Pointenoire, tu ne le regretteras pas : tu es destiné à de grandes choses, tu ne devrais pas mourir de faim... Viens, obéis à la voix du Maître."
Et malgré le serment qu'ils avaient prêté de toujours rester ensemble, Krabat abandonna Baro et le petit Lobosch, et écouta l'appel des corbeaux pour suivre leur vol, franchir un col et descendre dans la vallée le long d'une haie. Mais ce ne fut pas avant la tombée de la nuit suivante qu'il arriva au dit-moulin à eau. A la lueur de la pleine lune, il pousse le portail du domaine à l'air abandonné, pousse la porte de l'une des maisons, découvre une autre porte après l'antichambre derrière laquelle brîle un feu, s'approche.
Mais comme il épiait aux fentes de la porte, il sursaute et se retourne, surpris par un vieil homme borgne à la barbe blanche qui vient d'entrer dans l'anti-chambre et lui déclare : "Tu es arrivé."
Puis l'homme, une longue baguette au bout enflammé à la main, ajoute : "Tu peux être mon apprenti, j'en cherche un..." Il allume une lampe au mur et se tourne vers Krabat : "... ça te plairait ?" L'adolescent ne répond rien. Le borgne le considère puis l'invite : "Approche..." Puis reprend : "Et que devrais-je t'enseigner ? Le moulin, ou toutes autres choses ?"
Krabat s'est avancé, et finit par répondre : "Toutes autres choses." Le borgne fait un pas vers l'adolescent, resté à mi-distance, et lui tend la paume de sa main : "Tope-là, Krabat... ou auraits-tu peur ?"
Krabat avance jusqu'à se tenir droit à moins d'un bras du borgne, et déclare fièrement : "Je n'ai aucune peur."
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.
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