Green Lantern: méfiez-vous de mon pouvoir, le film animé de 2022
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Green Lantern: Beware My Power (2022)
Traduction du titre : Lanterne Verte: prenez garde à mon pouvoir.
Titre français : Green Lantern: méfiez-vous de mon pouvoir.
Sorti en blu-ray américain le 26 juillet 2022.
De Jeff Wamester, sur un scénario de John Semper et Ernie Altbacker, d’après la bande dessinée All-American Comics #16 de Juillet 1940 de Martin Nodell et Bill Finger ; avec Aldis Hodge, Jimmi Simpson, Ike Amadi, Brian Bloom, Jamie Gray Hyder, Rick D. Wasserman, Nolan North.
Pour adultes.
(Faux D.C; superwoke, toxique raciste) Vue d’un drone américain bombardant des irakiens, libyens, syriens, yéménites, algériens et autres cibles civiles n’ayant pas demandé à figurer en carnage sur une publicité de trafiquants d’armes pour le compte des mêmes ordures de tous les continents qui font chier et empoisonnent le monde depuis des millénaires pour enrichir davantage les super-riches et autres criminels multirécidivistes contre l’Humanité.
Des pôvres jeunes soldats nazricains s’abritent derrière une grosse voiture qui ne devrait pas être capables d’arrêter le moindre pruneau que pourtant des méchants terroristes voilés enturbannés en robes et sandales mitraillent sans apparemment connaître le moindre recul de leurs canons, qui certes, sursautent un peu, mais rien qui se rapproche de leur cadence de tir au son. Un gentil sniper abat un méchant porteur de bazooka qui semble avoir oublié comment on s’en sert et pourquoi on ne s’amuse pas à se traîner en ligne droite à découvert, et le sniper (noir) continue de tirer dans leur dos des méchants terroristes sans qu’aucun ne semble réaliser qu’ils tombent les uns après les autres à côté d’eux.
Notre héros, puisque bien sûr nous sommes en train de regarder un dessin animé de propagande probablement supervisé par l’armée américaine elle-même comme le sont tant de productions américaines, y compris des films et soaps romantiques, car ceux-ci doivent absolument marteler que les militaires et vétérans sont justes des types adorables quand bien même ils auraient encore des viscères de civils dont femmes et d’enfants et des noces entières virtuellement accrochés à leur visage, et qu’ils sont encore radioactifs à cause des munitions à tête d’uranium enrichi dont la poussière tend à s’insinuer jusqu’au tréfonds des culs des snipers.
Notre héros donc, réclame plus de cibles à un certain Jimbo. Ayant pu visionner grâce à Skynews la vidéo passée par le soldat Mannings et fuité par Assange du massacre de civils sur un marché irakien sous les yeux horrifiés des militaires américains arrivés au secours, je peux vous affirmer que la scène est complètement irréaliste : les snipers américains obtiennent leur cible directement de leurs commandements dans leurs oreillettes et demande confirmation exprès. Et puis, imaginez seulement le boucan du champ de bataille et rappelez-vous à quel point l’anglais est une langue équivoque à l’articulation confuse et diverse. Incidemment le héros n’a absolument rien pour se protéger les oreilles et il vient de passer la première scène à tirer sans silencieux sur une dizaine de types. Un seul tir de ce genre d’arme suffit à assourdir.
Comme personne ne lui répond, notre héros lâche un « merde », qui nous indique que DC entend nous vendre un dessin animé pour adulte. Tous les terroristes ayant la peau blanche et le héros ayant la peau noire, je serais en droit d’imaginer que nous n’allons pas tarder à voir déferler la partouze LGBTQVERTY essayant de nous démontrer graphiquement l’authenticité des orientations censées être décrites par leurs étiquettes ? Quelque part, et comme Elon Musk qui demandait quand les séries américaines montrerait un valeureux combattant ukrainien rouler des pelles à un trans noir, je n’y crois pas trop non plus.
Mais tout ça n’était qu’un rêve ! aka un flashback et deux minutes de grattées : le héros noir est apparemment ivre mort de nuit en ville quand un méchant biker blanc lui demande de le laisser passer parce qu’il bloque la sortie de secours. Méchant biker blanc, non mais quel raciste ce suprémaciste ! Et comme notre héros ne réagit pas, le méchant blanc commet l’erreur fatale de lui poser la main sur l’épaule, ce qui offre l’occasion à notre héros noir de tabasser un blanc à l’écran, qui en perd son sac à provision. Il est vrai que le blanc était moustachu, donc c’était sûrement un gay et cela excuse tout.
Le héros noir relâche sa prise d’étranglement et s’excuse : « désolé, c’était un réflexe… » Tiens, pourquoi le flic qui a étranglé avec son genou un drogué noir au crack tabasseur de femmes enceintes qui voulait juste récupérer son arme et descendre quelques policiers n’a pas pensé à cette défense ? Est-ce que le héros va se retrouver lui-aussi dix ans ( ?) à l’ombre et le dessin animé reprendra après la purge d’une peine bien méritée ? On n’arrête pas l’équité.
Le pauvre suprémaciste blanc reprend vite son souffle, comme quoi on peut bien vous écraser violemment la trachée et se relever l’instant d’un charme avec la voix parfaitement haute et claire : alors je ne comprends plus — pourquoi tout le monde raconte alors que George Floyd est mort parce qu’on lui a écrasé le cou ? Les suprémacistes blancs bikers moustachus seraient-ils tellement plus endurants qu’un noir accro au crack ? Possible, le crack c’est encore plus rapide que la coke pour faire des trous partout.
Mais là encore je ne comprends pas non plus : pourquoi les Black Lives Matters ne sont pas soulevés contre le trafic du crack et de toutes les drogues en général, puisque Floyd ne se serait jamais retrouvé dans une situation pareille si on ne lui avait pas vendu du crack ? Et Whitney Houston ne serait pas non plus morte de cette manière, mais bon, prisonnière comme elle l’était de son mariage, elle aurait sans doute sauté par la fenêtre. Mais là encore, personne ne s’est soucié alors du sort de ces vedettes américaines exploitées par leur famille, sauf peut-être les fans de Britney qui eux ont fait bruyamment campagne.
Bref, ce n’est vraiment pas un dessin animé raciste DC de plus produit au kilomètre qui fera avancer les choses. D’ailleurs la scène suivante ne fait que le confirmer : le héros (toujours anonyme) noir a repris sa promenade nocturne le long de poubelles qui débordent parce qu’il n’a que ça à foutre quand il entend se plaindre un sdf bien sûr attaqué par deux brutes à la peau blanche : « laissez-moi tranquille, ce monde disparaîtra dans un flash et vous aussi vous disparaîtrait. »
Je savais que quelque part Barry Allen serait dans le coup : ces saletés de mutants, faut toujours qu’ils participent à la fin du monde. Bref, le sans-abris répète qu’ils disparaîtront tous comme les autres et boit un coup, parce que l’apocalypse et les génocides méritent autant leurs célébrations dans les Bibles que dans la rue. Mais les deux malabars blancs ne l’entendent pas ainsi, probablement parce qu’il s’agit d’une ligue antialcoolique en maraude, à moins qu’il ne s’agisse du plan de lutte du maire de New-York contre l’encombrement des urgences locales par les coma éthyliques.
L’un d’eux arrache au sans-abri sa bouteille, et lui rappelle en le tirant par le col (exactement comme le héros une scène plus tôt) qu’ils lui avaient dit de quitter cette ruelle, parce qu’il y fait trop froid, et qu’il y a un refuge sympa la porte à côté, et que comme le sans-abri est trop vieux et trop moche, il ne se fera pas violer de suite, sauf si bien sûr il n’y a vraiment aucun garçon ou fille sans-abri plus jeune pour y passer tandis que le ou la plouc qui est censé veiller à la sécurité des sans-abris poursuivra sa partie effrénée de Pokemon.
Puis le méchant blanc balance un coup de poing au sans-abri, avant d’ajouter « et maintenant, tu vas payer le prix. » Le camarade méchant blanc s’approche alors avec un bidon d’essence à la main qu’il n’avait pas dans le plan précédent, faut croire que même au prix de l’essence, les vendeurs laissent des échantillons à tous les coins de rue.
Notre héros noir intervient enfin : bien sûr il les a laissé dire et faire tout ce temps, et même déverser l’essence et gratter une allumette — incidemment, les allumettes ne fonctionnent pas dans ce cas, mais on ne va pas reprocher à DC d’induire en erreur les méchants incendiaires : les Black Lives Matter eux savent très bien qu’il faut utiliser (censuré), comme ils l’ont tant et tant de fois démontrer en mettant le feu à tous ces commerces dont des noirs à revenus modestes étaient les propriétaires.
Le grand méchant blanc (il doit être ukrainien du si valeureux Bataillon Azov selon la télévision française) répond au héros anonyme : « tu veux jouer au garde-du-corps pour ce détritus ? ». Il fait alors signe à son blond compagnon (sont-ils gays ? c’est bien connu les homophobes les plus vocaux sont tous des homos refoulés) de foncer dans le tas, ce qui semble être la seule tactique des super-héros comme des super ou pas vilains sur nos écrans.
Et bien sûr, parce qu’il est noir et anonyme et en pleine forme malgré son traumatisme et le fait qu’il ne dorme pas la nuit depuis son retour d’Irak, d’Afghanistan, de Libye, de Syrie, du Yémen, et bientôt d’Algérie, il met à terre en deux secondes les deux malabars qui étrangement ne savent pas ce qu’est une arme de poing ou à distance, et pourtant passent leur nuit à traîner en ville dans des ruelles sombres. C’est ça, ils doivent être gays et notre valeureux héros vient de les tabasser : bien fait pour leur gu.le, ils n’avaient qu’à ne pas lutter contre la misère, l’alcoolisme et le crack, dont la disparition ôterait tous ses charmes au voisinage. Et aussi toutes ses prostitués.
Le héros répond qu’il faut croire qu’il veut jouer au garde-du-corps pour ce détritus (il manque de bons dialoguistes comme à tant d’autres en ce moment). Mais le barbichu méchant blanc se relève frais comme une rose, a le temps de ramasser une bouteille (vide) et brandissant un doigt menaçant décide, comme tous les méchants et beaucoup de gentils, de faire un grand discours : « Alors toi aussi tu es un homme mort ! » à ces mots, le sans-abris au lieu de s’enfiler une troisième goulée de la même bouteille de whisky depuis le début — ou alors il en rachète une à chaque prise, ou alors elles sont mises à disposition dans les ruelles dans le cadre d’une opération publicitaire ? — détale en hurlant qu’ils sont tous morts , mort, mort !
Comme la ruelle commence à ressembler à la Samaritaine, le blond méchant blanc ramasse une barre de fer, et la bagarre reprend comme si de rien n’était dans la ruelle au son des sirène de la police. Alors précisons quand même que le spectateur ne doit pas imaginer que la police interviendra après 18 heures à New-York. Comme en France, ils ont des consignes pour éviter les bains de sang et doivent scrupuleusement attendre que les victimes aient été consciencieusement égorgées ou mitraillées et que les coupables aient dégagés les lieux afin qu’un doute légitime soit admissibles si jamais un procès se tient.
Mais dans ce dessin animé raciste, la police (blanche, dont l’un des deux porte du rouge à lèvre rouge vagin du genre mon uniforme c’est seulement pour vous exciter davantage) n’arrive sur le champ que pour taser le héros noir. Et là, quelque part la chimie de la scène m’intrigue, car si les allumettes c’est pas jojo pour incendier une flaque d’essence à peine renverser, les étincelles continues d’un taser sont simplement parfaites pour embraser les vapeurs d’essence et la flaque dans laquelle les uns et les autres se sont roulés, sans oublier le fond bidon qui aurait dû être encore au milieu — comme le prouve une certaine vidéo où un jeune (accro au crack ?) s’était arrosé de liquide inflammable juste avant que la police ne le taze.
Mais nous n’en sommes même plus au stade de la physique chimie de jeu vidéo, nous sommes au stade de j’anime un dessin animé par ordinateur avant d’avoir un scénario digne de ce nom. Vivement que ces dessins animés le soient par des intelligences artificielles, elles seront peut-être plus compétentes en écriture que les propagandistes pompeurs de cervelles actuels.
D’un autre côté, l’arrestation du héros noir nous permet d’apprendre enfin son nom : John Stewart, aka le fils de Martha. C’est un peu tard. Bien sûr les deux méchants blancs brûleurs de sans-abri alcoolique se sont enfuis : la morale est sauve.
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Z3, Zombie 3, le film de 2022
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Z3 (2022)
Diffusé à partir du 15 juillet 2022 sur DISNEY MOINS.
De Paul Hoen, sur un scénario de David Light et Joseph Raso, d’après Z.O.M.B.I.E.S, le film musical de 2018 et sa suite Z.O.M.B.I.E.S 2 ; avec Milo Manheim, Meg Donnelly, Trevor Tordjman, Chandler Kinney, Ariel Martin, RuPaul Charles.
Pour adultes et adolescents.
(fantastique, comédie musicale) Bon retour à Seabrook. Nous avons commencé en une communauté parfaitement planifiée pleine de joie. Puis les zombies sont arrivés, et puis les loups-garous. Alors, naturellement — pardon, surnaturellement — il y a eu quelques problèmes en chemin. Mais aujourd’hui nous avons tous appris à vovre ensemble, unis. Seabrook est en train de devenir un endroit parfait…
Enfin presque : les monstres ont encore un grand obstacle à abattre, du genre, entrer à l’université. Mais si nous remportons le championnat de football américain ce soir, nous aurons notre premier zombie à être recruté par l’université. Et les portes de l’éducation supérieure seront ouverte à tous les monstres ! Et ensuite, nous serons tous ensemble. Et peut-être, à l’université, une fille spéciale avec ses cheveux tout blanc ne se fera pas remarquer. Et peut-être qu’elle trouvera même un endroit où elle se sentira chez elle : alors gagnons ce soir le championnat de foot et tout à Seabrook sera parfait ! Donc nous ne pouvons vraiment rien laisser nous barrer le chemin.
Les cheveux verts, la tenue rose de l’équipe des Crevettes joyeuses, le visage blanc avec les cernes rouges et le rouge à lèvres rose que tous les zombies ont coutume de porter dans les films et la réalité, voilà donc le Zombie Zed qui poursuit sa présentation : à Seabrook, les humains, les zombies et les loups-garous sont dans la même équipe (NDR : …mais étrangement la proportion de certaines espèces tend à se réduire au fil des matchs ?).
L’entraîneur des crevettes (je suppose), un petit noir obèse et barbu vient alors taper dans la main de Zed, car grâce à ce dernier, il ne va plus au supermarché en pyjamas et n’habite plus la cave de sa maman — qui est dans le public à l’acclamer. Et l’entraîneur est si gonflé de joie à propos du championnat qu’il a déjà une danse de la victoire — qu’il propose de montrer à Zed, qui accepte avec bonne humeur la démonstration. Puis Zed rappelle que le match de soir est réellement important, alors il a écrit d’avance le scénario de toutes leurs offensives. Son entraineur accepte les notes de Zed avec enthousiasme car cela va tellement les aider !
Zed reprend l’entraînement : il se place face au lourd obstacle à repousser installé sur le terrain, débranche son bracelet – ses veines deviennent très sombre, son visage se creuse et vire en partie au cramoisie, il se met à grimacer et gronder, charge – et sous l’effet de sa force tous les obstacles s’envolent très haut dans les airs. Instantanément redevenu un gentil zombie, il éclate de rire et tape dans la main de ses gentils camarades footballeurs.
Puis l’entrainement s’arrêtant apparemment là, Zed se précipite vers le stand de dopage et distribue les bouteilles parce que ces garçons doivent garder leur énergie pour ce soir : boisson au beurre de cacaouettes pour l’humain, os et bœuf pour le loup-garou, et cervelle mixée pour Zed. (NDR : La cervelle de qui au juste ?)
Zed rejoint une jeune admiratrice qui lui résume ce qu’il a déjà dit au début du film deux fois : c’est sa petite sœur Zoey, qui tient une tablette vidéo à l’écran de laquelle une certaine Eliza, pirate informatique, sa meilleure amie, nous répète alors une quatrième fois ce que nous avons déjà entendu trois fois en l’espace de moins de cinq minutes. Eliza travaille comme stagiaire dans l’entreprise qui fabrique les bracelets Z.
Bref, au tour de la capitaine des Pom-Pom Girls, la petite amie de Zed. une blonde platine nommée Addison, qui a vraiment besoin que Zed gagne le match et rejoigne l’université avec elle. Et ils commencent tous à chanter et danser : « Nous sommes les puissantes crevettes et on veut vous entendre crier de la droite à la gauche… »
Pendant que tout le monde se réjouit d’avance de la fin de l’année et d’aller à l’université, un couple de loup-garou s’inquiètent non pas du météore qui descend en jetant des éclairs et en incendiant les nuages, mais de leur pierre de lune qui semble luire bizarrement. Le loup-garou renchérit : quelque chose de grand est en train d’arriver — et de se retourner en brandissant un fanion Seebrook rose : le plus grand match de football de l’univers…
La nuit est tombée, mais apparemment pas le météore, et l’hystérie gagne tous les supporteurs des crevettes. Comme une louve-garou enfonce la carrosserie d’un bus elle s’inquiète auprès de Zed — est-ce que c’est trop ? Zed hésite, puis répond en bondissant sur place : ce n’est jamais trop ! Un autre météore traverse le ciel dans une série de coup de tonnerre : Zed se tourne vers le spectateur pour expliquer pourquoi personne ne s’inquiète : depuis que les loups-garous ont récupéré les pierres de lune, les pluies de météores sont devenus fréquentes. C’est alors qu’un gigantesque vaisseau spatial illumine le ciel : la panique semble gagner le public — qui se met à chanter et à danser sur un plagiat de Extraterrestrial de Katy Perry.
C’est une invasion extraterrestre s’émerveille Addison, la capitaine des Pom Pom Girls – tandis qu’une voiture explose à côté d’eux, puis une crevasse s’ouvre sous leurs pieds, mais ils se contentent de faire un pas de côté et de chanter en chœur de plus belle, tandis qu’ébahis, ils contemple les extraterrestres aux cheveux bleus qui imitent un groupe de K-Pop et auquel une sonde annonce qu’elle a trouvé la chose la plus précieuse pour eux à Seabrook mais le message s’interrompt, fichier corrompu. Cela n’empêche pas les extraterrestres de danser de plus belles, tout en se communiquant télépathiquement un plan pour obtenir ce qu’ils cherchent sans déclencher davantage de réaction violentes de la part des zombies et des loup-garous.
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Animalia, le film de 2023
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Animalia (2023)
Traduction du latin : les animaux.
Titre français : Parmi nous.
Attention, il semble que les images d'accouchement à la fin soient vraies, mais de toute manière, c'est encore loin de la réalité si la réalité vous choque : écoutez ou réécoutez plutôt la chanson d'Anaïs La plus belle chose au monde 2010 si vous n'avez vraiment aucune idée de la véritable expérience, ou, en moins sexy, (re)voyez le premier film Alien.
Sorti en France le 9 août 2023.
De Sofia Alaoui (également scénariste); avec Oumaïma Barid, Mehdi Dehbi, Fouad Oughaou, Souad Khouyi, Rajaa Essaaidi, Az Elarab Kaghat.
Pour adultes.
(invasion extraterrestre) Une fontaine devant l’entrée d’une maison blanche de style oriental. Les oiseaux chantes, le soleil brille. L’entrée, le soleil irradiant par les jours sur le côté de la double porte. Le coin salon et ses fauteuils de style ancien, le lustre de cristal…
Une domestique à coiffe blanc et à la blouse rose rejoint la cuisine où les cuisinières papotent joyeusement. La maîtresse de maison rejoint sa fille et tout le monde se tait. La jeune fille (Itto) découpe de la viande crue. Plus tard, elle remonte l’escalier, et curieusement, ce n’est que maintenant que l’on peut constater qu’elle est largement enceinte.
Dans sa chambre luxueuse, elle ôte sa robe, et oui, c’est confirmé, elle a un ventre énorme. Puis elle se choisit une robe, se maquille. Au rez-de-chaussée, une voiture klaxonne, deux hommes entre, un vieux et un jeune, que la maîtresse de maison et sa fille rhabillée et re-maquillée accueillent chaleureusement.
Nous retrouvons le jeune barbu (Amine) et la jeune fille enceinte (Itto) au bord de la piscine. Le jeune barbu lui annonce (en français) qu’ils viennent de signer : va-t-elle venir voir les terrains ? elle approuve : ils sont grands, un (bâtiment) pour les poulets, l’autre pour les fruits et légumes (à l’export) pour l’Europe ; ils ont commencé à mettre les panneaux solaires, ils vont être les premiers à faire ça ! (c’est) technologiquement à la pointe.
Le jeune barbu embrasse sur le ventre la jeune fille enceinte : « Je suis trop content : le mec y va nous les laisser là, la semaine prochaine, et à partir de là, ça commence… Tu sais qu’on va être riche ? Très riches ! Tu te rends compte ou pas ? La jeune fille enceinte confirme d’une onomatopée. Le jeune homme insiste : « On va pouvoir construire notre maison ! » Elle répond : « ça c’est bien… » et lui caresse ses cheveux courts. Le téléphone du jeune homme sonne.
Au dîner, la jeune fille fait tomber de la nourriture en sauce rouge sur la table. Le père vante le projet de son fils de devenir le plus grand exploitant de volailles de la raison et explique qu’il a dû « aider » pour obtenir les autorisations légales.
Dans la chambre des jeunes mariés, le jeune barbu explique qu’il doit accompagner son père, et que ce n’est pas comme si elle devait rester toute seule. La jeune fille explique que sa belle-famille la déteste, et le jeune homme de lui répondre s’arrêter avec ses complexes à deux balles.
43 minutes de projection plus tard, la jeune fille enceinte a fugué chez les Berbères pour tenter de rejoindre son mari après la proclamation d’un état d’urgence de cause inconnue, et quand elle tente de rentrer à la ville, son chauffeur Fouad insiste pour passer voir de plus près « le Diable », aka une colonne de fumée émergeant du sol désertique qui tel un orage immobile est parcouru de petits éclairs verts. Fouad tombe à genoux devant. En le rejoignant, la jeune fille se perd dans des visions de flammes, de ressac et d’oiseaux qui crient.
Sans transition, elle se retrouve dans le grand salon où toute sa belle-famille est réunie pour prier et retrouve son jeune mari tête basse, qui semble désespéré, et ne pas la remarquer quand elle vient pour lui caresser les chevaux. Par contre, quand elle se retrouve ensuite face à des moutons en plein désert, l’un des moutons la remarque et vient la trouver. Elle l’étreint et entend la rumeur de voix qui semblent lui parler. Puis elle voit des sortent de gouttes d’eau verte montant dans l’Espace formant comme un matrice au cœur d’une nébuleuse en forme d’œil dans le ciel interstellaire.
Elle se retrouve sur Terre debout à côté de Fouad, et ils repartent sur la route désertique passant le troupeau des moutons comme si de rien n’était. Passé les barrages militaires, elle retrouve la ville, sa maison, sa famille en train de prier autour du journal télévisée, qui explique que d’après l’ONU, ces envahisseurs extraterrestres ne seraient pas encore descendus sur Terre.
La jeune femme retrouve son mari pour lui demander comment il peut vivre à côté de la réalité, croire en Dieu, pourquoi il évite de discuter de tout avec elle. Il semblerait que toute à ses débats existentiels, elle n’est pas encore réalisé qu’il évite ainsi de se disputer péniblement avec elle et de la battre comme le lui commanderait la tradition – parce qu’elle est encore enceinte. Gageons qu’après l’accouchement, elle ne tardera pas à avoir ses réponses.
Plus tête, Itto regarde dans le noir la télévision avec un éditorialiste de plus qui raconte n’importe quoi du moment que ses mots se contredisent en permanence, aka multipliant les double-contraintes, comme tous les éditorialistes et autres « journaleux » d’aujourd’hui : sur les extraterrestres, qui cette fois sont censés être descendus sur Terre, incarnés et non incarnés à la fois, s’incarnant au contact des humains sans s’incarner.
A ce stade, cette invasion extraterrestre pourrait bien être une invention de plus du Forum Economique Mondial pour ruiner l’économie et imposer la dictature absolue planétaire qu’il ne cesse de vanter. A 20 minutes de la fin de la projection, la famille a décidé d’aller prier à la mosquée. Itto rechigne notamment après avoir aperçu un homme en train de se vautrer dans les sacs poubelles comme pour les ouvrir avec ses dents.
Puis comme son jeune mari la force à aller du côté où les femmes prient, elle est abordée par une jeune femme souriante non voilée aux cheveux longs lâchés qui tient la main d’une petite fille, celle-ci l’accusant de ne pas être sa mère. La jeune femme dit à Itto qu’elle est enceinte d’une petite fille, et que cette enfant et les autres seront leur espoir à venir. La véritable mère de la petite fille vient la récupérer.
Toutes les femmes s’agenouillent à l’extérieur devant la mosquée pour leur prière. Tandis qu’un oiseau passe et repasse pour crier, Itto jette son chapelet par terre. L’oiseau se pose et s’envole sur les dos des femmes prosternés, parfois effrayées. Itto se met à pleurer, son jeune mari à l’intérieur. Lui aussi entend des oiseaux chanter.
Forcément : les oiseaux entrent de plus en plus nombreux dans la mosquée pour se percher sur les lustres et chanter. Dehors, Itto remarque que sa belle-mère et sa belle-sœur ont des fourmis qui lui court sur elles. Itto en tue une, et comme personne ne lui répond, elle se retourne en direction de son mari qui semble chanceler.
Alors elle entre dans la mosquée pour ramener son mari, et perd ses eaux, la chose tout à fait pure à faire pour une femme dans un lieu islamique où les femmes sont interdites ainsi que les gens sales (« impurs »). Elle déclenche un mouvement d’indignation, mais son mari lui répète que tout ira bien : il y a des forces qui prennent le contrôle et ce qui est en bas est comme ce qui est en haut. Parce que ces choses font le miracle d’une seule chose. Itto demande quoi ? Son mari pose la main sur le gros ventre et Itto crie de douleur.
Et accouche à 1h18 de la projection soit neuf minutes avant la fin du film et juste avant un monologue de conclusion.
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Gandahar, le film animé de 1987
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Gandahar (1987)
Sous-titre : Les années lumières.
Titre anglais : Light Years
Notez que ce film animé existe en deux versions, originale française et Miramax créditant Harvey Weinstein le distributeur comme le réalisateur sans qu'il ait réalisé le film, six minutes censurées, texte "traduit" par Isaac Asimov, montage altéré.
Attention, pour sa distribution aux USA, Harvey Weinstein a fait remonter le film animé, et changé la musique et s'est crédité en tant que réalisateur sans avoir participé à la production. L'auteur J.P. Andrevon lui-même dessinateur et ayant imaginé son roman comme une bande-dessinée, a immédiatement été écarté de la production originale par René Laloux. Lisez impérativement le roman avant de voir ce dessin animé. Ses dessins sont visibles dans le documentaire en bonus du DVD français.
Toxique : la combinaison des images et des dialogues peut et vise à provoquer des problèmes mentaux et leur décompensation pouvant mener à tous les abus des camisoles chimiques, de l'internement ainsi qu'à la morgue. Ne visionnez pas ce film animé si vous êtes en état de faiblesse, intoxiqué, en proie à des difficultés, si vous avez subi une agression ou si vous êtes menacé, si vous êtes harcelé, sous anti-dépresseur ou si vous êtes enfant ou adolescent ou trop âgé pour supporter des discours pathologiques ou n'importe quoi de dérangeant.
Sorti en France le 11 décembre 1987.
Sorti en VHS.
Sorti en DVD ARTE VIDEO FR le 17 novembre 2006 (image presque bonne, parait souvent flou et terne mais c'est possiblement d'origine, 4:3, français DD 2.0, durée 1 heure 19, bonus : making of "il sera-était une fois", courts-métrages : La prisonnière, d'après Equinoxe la bande-dessinée de Caza image médiocre très artefactée, Comment Wang-Fô fut sauvé, d'après le conte, image médiocre artefactée rayée, couleurs virées pour les deux courts-métrages, galerie de photos et dessins, manque le pilote Les hommes-machines)
Annoncé en blu-ray+4K LE CHAT QUI FUME FR pour le 10 mars 2024.
De René Laloux (également scénariste) sur un scénario de Raphaël Cluzel, d'après le roman Les Hommes-machines contre Gandahar 1969 de Jean-Pierre Andrevon et les dessins de Caza ; avec les voix françaises de Pierre-Marie Escourrou, Catherine Chevallier, Georges Wilson, Anny Duperey, Jean-Pierre Ducos.
Pour adultes.
(planet opera, invasion extraterrestre, mutant, robots, dérangeant) Une jeune femme seins nus à la peau, aux lèvres, aux cheveux longs bleus, joue d’une grande flute sur une barque à voile nervurée à la manière d’une feuille d’arbre géante, sur une eau bleue, sous un ciel bleu. Un poisson volant saute et plonge autour d’elle puis dans la barque.
C’était un piège ! Sur la plage, un jeune homme bleu également torse nu en pagne sort de sa barque échouée une grappe de poissons semblables empalés, qu’il a dû, nous supposons, appâter avec sa propre flûte. Un jeune garçon et une petite fille tous nus courent en riant, la fille tentant d’attraper le garçon tandis que la mère assise devant une maison sphérique également seins nus, semble occupée à saler le poisson dans une grande vasque.
Et là, je suis pris d’un sentiment de déjà vu : non, nous ne sommes pas sur Pandora, mais on se croirait bien sur Mul, dans Valérian et la Cité des Mille planètes 2017. Et Gandahar, c’est pas du Christin, c’est du Caza par Laloux, censé adapter en 1987 un roman de 1969 de Jean-Pierre Andrevon.
Bref, nous découvrons un peu plus le village de Barbapapa si ses épouses étaient des bombasses à poils prodigieusement intéressés par des insectes géants roses pondus par des plantes d’allure carnivore. Oui, on fait extraterrestre ou on ne fait pas.
L’insecte se met à téter le sein de la plantureuse extraterrestre bleue, qui le berce comme un nourrisson, et je réalise que nous sommes dans la séquelle animée du Festin Nu, et que ce dessin animé n’est vraiment pas fait pour les enfants. Bravo René Laloux, encore un classique de la Science-fiction française perverti.
Je n’ose imaginer ce que pompe exactement les escargots à tête aspirante entourée de tentacules sans doute pour une meilleur préhension, mais au contraire de la femme précédente, le berger qui les garde a encore son pagne. Je suppose que les escargots aussi sont aussi pondus par les arbres environnant vu leur queue qui dépasse de l’espèce de globe tacheté au sommet du tronc ou du cou. Curieusement, les « arbres » eux ne rampent pas, mais se dégourdissent-ils les jambes à l’occasion ?
Les escargots gobent des espèces d’aubergines charnues qui poussent à la manière d’un gazon, et là nous réalisons pourquoi le berger a gardé son pagne. Plus loin, d’autres arbres protubérants pompent des espèces de grosses tomates qu’un oiseau d’allure parfaitement terrienne picore, tandis que des extraterrestres presque tous habillés récoltent en les entassant sur des espèces de plateaux ou dans des bassines, ou simplement par terre.
A moins que ces tomates soient adhésives, il est physiquement impossible qu’elles tiennent en tas aussi haut, ou que les divers « réceptacles » les retiennent durant leur transport. Licence artistique… Sauf que ces tomates ne semblent ni coller, ni tâcher quand une cueilleuse (habillée) se les presse contre les seins pour les retenir puis les déposer dans un grand panier.
La cueilleuse est semble-t-il surprise par le même genre d’oiseau, qui ressemble vaguement à une perruche terrienne vert amande pâle. Le berger caresse une espèce de chien caparaçonné aux allures de cyborg. Puis sans crier garde, la cueilleuse qui s’inquiétait d’un oiseau se fait zapper par un rayon rose.
Les Wokes, ils sont vraiment partout…
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film animé.
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Le loup-garou de Paris, le film de 1997
- Détails
- Écrit par David Sicé
- Catégorie : Blog
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An American Werewolf in Paris (1997)
Traduction du titre : un loup-garou américain à Paris.
Titre français : Le loup-garou de Paris.
Sorti en Angleterre le 31 octobre 1997,
Sorti aux USA le 25 décembre 1997,
Sorti en France le 6 mai 1998.
Sorti en blu-ray allemand le 16 juin 2017, réédité le 26 janvier 2018, le 23 novembre 2018.
Sorti en blu-ray espagnol RESEN ES le 26 janvier 2018.
Réédité en blu-ray allemand le 21 janvier 2022 (trois éditions limitées).
Sorti en coffret blu-ray+4K allemand le 6 mai 2022.
Annoncé en blu-ray anglais FINAL CUT UK le 26 février 2024.
De Anthony Waller (également scénariste), sur un scénario de Tim Burns et Tom Stern ; avec Tom Everett Scott, Julie Delpy, Vince Vieluf, Phil Buckman, Julie Bowen.
Pour adultes et adolescents.
(comédie horrique fantastique) Paris la nuit, sa tour Eiffel illuminée, ses gargouilles, ses coups de tonnerre et ses chœurs chantant à plein poumons en latin sous la pluie. Une plaque d’égout se soulève. En sort un homme barbu en imperméable qui détaille vers le terre-plein appelant un taxi. A l’opéra, l’orchestre s’active. Sur le terre-plein, l’homme est suivi par-dessous les grilles des égout. Il trébuche, appelle le chauffeur de taxi à l’aide, mais quand celui-ci arrive pour le relever, la grille de l’égout se soulève. Le chauffeur prend la fuite, l’homme est happé.
Plus tard de jour dans un train, trois jeunes américains boivent du vin rouge et débattent de point de sexe et du fait que si la jeune fille qui vient de passer devant eux est intéressé par des idiots dans son genre. Andy affirme que non, ses potes le défient d’obtenir un numéro de téléphone et lui demande depuis combien de temps il n’a pas fait l’amour – avec quelqu’un d’autre que lui-même. Andy promet qu’il leur montrera sa force une fois arrivé à Paris.
La nuit suivante, le gardien laisse sortir les derniers visiteurs de la Tour Eiffel et referme derrière eux. Les derniers ? Pas tout à fait, Andy et ses deux camarades se sont caché à l’intérieur, et les voilà à peiner dans l’escalier leurs sacs sur le dos dans l’espoir d’atteindre le dernier étage. Andy y parvient seul et s’accoude à la rambarde. Les deux autres arrivent plus tard – la vue sur la ville obscure et la pleine lune est à couper le souffle, surtout quand on est déjà essoufflé. C’est alors que le gardien coupe la lumière. Andy sort alors une corde de son sac et les autres lui demandent ce qu’il est en train de faire, se demandant s’ils l’ont poussé trop loin. Puis l’un des deux tente de dissuader Andy.. C’est alors qu’ils entendent du bruit, et ils se cachent derrière un pilier. Sauf que la longue corde est au milieu.
Sur le passage menant à l’escalier il est clairement spécifié « interdit au public ». Et c’est une très jolie française en larmes qui vient s’accouder à la rambarde, une lettre à la main. Quand elle commence à escalader la rambarde, Andy se précipite et la supplie de ne pas sauter, mais quand il lui propose de l’aider à redescendre, elle saute – et défiant les lois de la physique élémentaire, parvient à l’attraper par les chevilles. Or il se trouve qu’Andy a encore la corde attachée à son pied… et la dépose comme une fleur sur le sol. Puis la corde se retend, et Andy remonte dans les airs pour se cogner violemment la tête contre une poutre de métal de la tour. Il se réveille à l’hôpital, de jour, avec ses deux potes qui lui apprennent que la jeune fille est partie sans demander son reste. Andy veut la retrouver, parce qu’elle pourrait tenter de recommencer, tandis que les autres pensent qu’une fille suicidaire ne peut que lui poser de gros problèmes. Andy envoie ses deux camarades chercher la lettre de l’inconnue, mais c’est depuis son lit d’hôpital que le jeune américain aperçoit la jolie fille — et c’est une infirmière. Il la rattrape et la hèle dans le couloir, la chaussure perdue de la jeune fille à la main.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.
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