Voyage au centre de la Terre, le film de 1959
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Ici la page Amazon.fr du DVD français de 2003 ce film.
Journey To The Center Of The Earth (1959)
Sorti aux USA le 16 décembre 1959.
Sorti en France le 11 mai 1960.
Sorti en DVD français le 1er avril 2003.
Sorti en DVD français le 16 février 2005.
Sorti en blu-ray américain limité Twilight Time 8 mai 2012 (master DVD, mauvais format de l'image)
Sorti en blu-ray américain limité Twilight Time 10 mars 2015 (remaster)
Sorti en blu-ray anglais Eureka 18 septembre 2017 (bon format, image excellente, son bon)
Sorti en blu-ray américain le 8 mai 2013 (édition limitée, région A, anglais seulement, master du DVD).
Sortie en blu-ray anglais le 18 septembre 2013 (multirégions, anglais seulement, possiblement identique au blu-ray américain).
Sorti en blu-ray américain le 10 mars 2015 (édition limitée, région A, anglais seulement, apparemment remasterisé).
Sorti en blu-ray anglais le 18 septembre 2017 (Eureka classics, région B, anglais seulement, remastérisé, image et son excellents).
Ici l'article de ce blog sur le blu-ray américain de 2013 (région A édition limité Twilight Time).
Ici l'article de ce blog sur le blu-ray anglais de 2017 (master 4K région B anglais seulement)
Sortie annoncée en blu-ray américain le 10 mars 2015 (édition limitée, région A, anglais seulement, apparemment remasterisé).
De Henry Levin. Avec James Mason, Pat Boone, Arlene Dahl, Diane Baker, Thayer David, Peter Ronson. D'après le roman de Jules Verne.
Le professeur Lindenbruck de l'université d'Edinburgh (James Mason), récemment fait chevalier par la Reine, reçoit en cadeau de ses étudiants un magnifique encrier à cornes de bélier, avec en prime une roche volcanique étonnamment lourde, achetée par le jeune Alec McEwan (Pat Boone) avec ce qui restait de l'argent réuni. Invité par le professeur à dîner, Alec se trouve bien ennuyé car il est trop pauvre pour avoir un costume de soirée en bonne état. C'est la même hésitation qui le retient de courtiser la fille du professeur, la jolie Jenny (Diane Baker). Cependant, son camarade de chambrée lui vole ses vêtements et lui prête son costume. C'est cependant en vain qu'Alec et Jenny attendent Lindenbruck : celui-ci en effet est rester à l'université à expérimenter sur la roche volcanique, bien décidé à découvrir son secret...
La Quatrième dimension S01E11: Individus non identifiés (1959)
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Ici la page Amazon.fr du blu-ray français de la saison 1 de la Quatrième dimension (1959)
The Twilight Zone S01E11: And When The Sky Was Opened (1959)
Traduction du titre original: Et quand le ciel était ouvert.
Autre titre français : Les trois fantômes.
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Ici l'article de ce blog sur la série La quatrième dimension (1959)
Diffusé aux USA le 11 décembre 1959 sur CBS US.
Diffusé en France le 14 août 1965 sur ORTF 1 FR.
Sortie en blu-ray américain de la saison 1 le 14 septembre 2010 (région A seulement).
Sorti en blu-ray français de la saison 1 le 25 octobre 2011 (région B seulement, plus compressé que l'américain, bonus manquants).
De Rod Sterling (également scénariste), d'après une nouvelle de Richard Matheson ; réalisé par Douglas Heyes ; avec Rod Taylor, Jim Hutton, Charles Aidman, Maxine Cooper.
Pour adultes et adolescents.
Son nom est le X-20. Un avion intercepteur expérimental qui vient de s’écraser dans le désert du Mohave après un vol de 31 heures de 900 miles dans l’Espace. Donnée incidente : l’avion et l’équipage qui le pilotait a disparu des radars pendant 24 heures.
Une infirmière salue l’un des trois pilotes, le colonel Clegg Forbes, qui vient rendre visite au major William Gart, immobilisé dans la chambre 15 de l’hôpital. Le major Gart s’impatiente et se déclare prêt à s’enfuir de l’hôpital si on lui met encore un thermomètre. Gart trouve Forbes particulièrement nerveux, mais avant de répondre aux questions du major, il veut en poser lui-même : il veut savoir quand est-ce qu’il a quitté l’hôpital. Il le sait, hier à 9h30 du matin. Ce qu’il veut savoir c’est avec qui il a quitté l’hôpital. Gart répond que Forbes était seul. Alors Forbes lui montre le journal et insiste pour lui faire lire le gros titre : deux astronautes sont de retour après s’être écrasés dans le désert. Alors Forbes demande qui est sur la photo – Forbes et Gart.
Forbes insiste : c’est bien tout ce dont Gart se souvient. Ils ont décollé, quatre heures plus tard, ils perdent conscience, et 24 heures plus tard, ils s’écrasent dans le désert sans savoir ce qui a bien pu leur arriver. Gart confirme. Alors Forbes lui avoue : ils étaient trois bord de l’avion – Forbes, Gart et le colonel Ed Harrington, et Forbes connaissait Harrington depuis 15 ans, et Gart le connaissait depuis 5 ans. Hier, il y avait trois lit dans la chambre.
Mais Gart ne connait personne du nom de Ed Harrington, et affirme qu’ils étaient seulement deux à bord de l’avion, et il n’y a jamais eu que deux lits dans la chambre d’hôpital, celui de Forbes et celui de Gar
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The Angry Red Planet, le film de 1959
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The Angry Red Planet (1959)
Traduction du titre original : La Planète Rouge-Colère.
Autres titres : Invasion of Mars ; Journey to Planet Four.
Attention, les photos promotionnelles du film ne correspondent pas à la réalité de l'image à l'écran : toutes les scènes sur Mars sont virées à l'orange et polarisée et non en couleur comme le reste du film.
Sorti aux USA le 23 novembre 1959.
Annoncé en blu-ray américain pour le 27 juin 2017.
De Ib Melchior (également scénariste) ; sur un scénario de Sidney W. Pink ; avec Gerald Mohr, Naura Hayden, Jack Kruschen, Les Tremayne, Paul Hahn, J. Edward McKinley, Tom Daly, Don Lamond.
Une photo en noir et blanc du Capitole à Washington DC. Un survol du Pentagone. Une voiture précédée d’une escorte de deux motards sirène hurlante qui s’arrête devant l’entrée du bâtiment. Des gradés et quelques civils d’âges murs prenant rapidement place autour d’une étroite table de conférence.
Le militaire – Le Major Général George Treegar – resté debout attend que tout le monde soit assis puis commence son discours : à trois heures du matin, ce matin-là, la fusée X1 d’exploration spatiale perdue depuis 61 jours vient d’être retrouvée à la dérive en orbite par l’observatoire de Mont Paramor. Toutes les tentatives de contacter par radio le vaisseau ont échoué et l’équipage est présumé mort. Le militaire rappelle que la X1 était présumée s’être écrasée sur Mars, mais que cela n’a donc pas été le cas ; il faut donc récupérer la fusée martienne et la ramener intacte sur Terre.
Un général attablé fait remarquer à George que c’est un ordre bien téméraire. George répond qu’il le sait mais que les données des instruments de bord de la fusée doivent être récupérées. Puis George demande au professeur Wiener ( ?) de leur donner une estimation de leurs chances de réussite, (là tout de suite sans calculette ni aucune données).
Sans surprise, le professeur répond que cela dépend de beaucoup de facteur, puis mentionne que le MR1 est équipé de nombreux systèmes de contrôles automatisés que l’on peut diriger à distance depuis la Terre. S’il reste suffisamment de carburant à bord, ils peuvent envoyer le vaisseau jusqu’à une base militaire de l’état du Nevada et atterrir en sécurité. Alors un autre général demande ce qui se passerait s’il y avait encore quelqu’un à bord. L’accélération de la réentrée serait alors dangereuse, voire fatale pour lui. Cela n’émeut pas George, qui ordonne qu’ils s’envolent immédiatement pour le Nevada. Les généraux se pointent donc dans le poste de contrôle de la base, ordonne un compte à rebours, et trente secondes plus tard ils entament la procédure d’enclenchement du téléguidage de la fusée, qui demande de pousser un seul bouton.
Les journaux de Wahington font le gros titre sur le retour possible de la fusée et la question de si l’équipage est encore vivant. La télévision pose à nouveau la question du carburant, comme s’il était impossible de lire la jauge alors que la base militaire peut très bien téléguider la fusée. Puis la télévision présente l’équipage disparu à travers un film d’actualité : le colonel pilote Thomas O’Bannion, la jolie zoologue doctoresse Iris « Irish » (l’irlandaise) Ryan, le barbichu professeur Théodore Gattel, concepteur de la fusée X1 et le chef-officier météo Sam Jacobs, expert en électronique et en radar.
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La Quatrième dimension S01E10: La nuit du Jugement (1959)
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Ici la page Amazon.fr du blu-ray français de la saison 1 de la Quatrième dimension (1959)
The Twilight Zone S01E10: Judgement Night (1959)
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Ici l'article de ce blog sur la série La quatrième dimension (1959)
Diffusé aux USA le 4 décembre 1959 sur CBS US.
Sortie en blu-ray américain de la saison 1 le 14 septembre 2010 (région A seulement).
Sorti en blu-ray français de la saison 1 le 25 octobre 2011 (région B seulement, plus compressé que l'américain, bonus manquants).
De Rod Sterling (également scénariste), réalisé par John Brahm ; avec Nehemiah Persoff, Ben Wright, Patrick Macnee, James Franciscus.
Le nom du bateau est le S.S Reine de Glasgow, battant pavillon britannique ; tonnage : 5000, âge indéterminé, a quitté Liverpool pour New-York. Ce qui est consigné dans le journal de bord, ce sont les faits, comme la durée du voyage, les coordonnées, la météo. Mais ce que l’on ne retrouve jamais, c’est la peur qui roule sur un pont comme le brouillard et l’écume de l’océan. Une peur qui bat comme les pistons d’un moteur, jalonnant toutes les heures en des minutes au soufle court à regarder, attendre et redouter. Car c’est l’année 1942, et ce bateau en particulier a perdu son convoi. Il voyage seul comme une vieille chose âgée et aveugle à s’agripper pour avancer à travers les ténèbres hostiles, épié par les périscopes invisibles des tueurs métalliques. Oui, le Reine de Glasgow est un vaisseau effrayé, qui emporte avec lui une prémonition de mort.
Un homme en imperméable reste longuement accoudé au bastingage tandis que le navire traverse de nuit un ban de brouillard impénétrable. Il soupire et finit par lâcher le bastingage. Une voix lance qu’on voit la lumière du salon, et qu’il faut faire le blackout. Aussitôt, un volet est rabattu sur l’unique hublot éclairé face à l’homme. Puis un stewart sort par la porte sur le côté et annonce à l’homme que le dîner va bientôt être servi, et que s’il veut manger, il vaut mieux venir à l’intérieur. L’homme le remercie et lui obéit.
Dans le salon, il n’y a que quelques passagers assis à la table du dîner – un civil et deux militaires, et la lumière s’éteint quand on ouvre la porte qui donne sur le pont, puis se rallume quand on la referme. Le stewart veut lui tirer la chaise libre autour de la table, mais l’homme préfère aller ramasser la poupée qu’une petite fille a faite tomber par terre. Comme il la rend à la petite fille, celle-ci le remercie. Puis le couple et ses deux enfants s’éloignent, et le gros civil assis à la table se lève pour retenir l’homme, lui demandant s’il était Lanser. L’homme répond que oui. Le gros civil se présente comme étant Jerry Potter et lui dit qu’ils l’avaient attendu pour dîner. Ils avaient vu son nom sur la liste des passagers et se demandaient qui il était. Le capitaine n’avait pas non plus pu les joindre ce soir-là, et le gros homme invite alors Lanser à les rejoindre pour le dessert. Mais l’homme décline l’invitation, déclarant qu’il n’a pas faim. Le stewart propose alors une tasse de café, et Lanser accepte.
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Bell, Book and Candle, L'adorable voisine, le film de 1958
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Bell, Book and Candle (1958)
Titre français : L'adorable voisine.
Sorti en Angleterre le 4 décembre 1958.
Sorti aux USA le 25 décembre 1958.
Sorti en France le 10 mars 1959.
Sorti en blu-ray américain TWILIGHT TIME US limité à 3000 exemplaires, épuisé.
Sorti en blu-ray espagnol RESEN ES le 5 mars 2014.
Sorti en blu-ray américain SONY US le 28 janvier 2020.
Sorti en blu-ray anglais MEDIUMRARE UK le 13 novembre 2023.
De Richard Quine, sur un scénario de Daniel Taradash, d'après la pièce de théâtre de 1950 de John Van Druten avec James Stewart, Kim Novak, Jack Lemmon, Ernie Kovacs, Hermione Gingold, Elsa Lanchester, Janice Rule, Philippe Clay.
Pour adultes et adolescents.
(Comédie romantique fantastique) New-York, la neige tombe drue tandis que les passants se pressent pour leurs préparatifs de Noël, passant sans la remarquer devant la vitrine d’une certaine Gillian Holroyd, antiquaire spécialisée dans l’art primitif de l’Afrique Océanique — la vitrine et la boutique sont remplis de fétiches de toutes tailles et formes. Une tapisserie aux frises d’antilopes blanches sur bandes rouges et noires est pendue au mur et il y a même une tête coupée en terre cuite peinte avec de courtes dreadlocks. D’autres fétiches ont encore leur barbe ou leur pagne de paille… et il y a aussi des instruments de musique, comme un tambour.
Et posé sur une étagère, tel un objet d’art comme un autre, un chat siamois aux yeux bleus clairs, qui ne tarde pas à sauter d’un seul bon depuis son poste d’observation, jusque sur l’épaule d’une jolie femme aux cheveux platines à blouse rouge, pantalon noir, qui se met à marcher le long de ses présentoirs. La femme soupire : « oh, Pye, Pye, Pyewacket, qu’est-ce qui ne va pas avec moi ? pourquoi je me sens comme ça ? C’est tellement routinier ! La même affaire jour après jour, les mêmes gens... »
Elle éteint l’éclairage d’un présentoir en abaissant un interrupteur sur le côté du présentoir. « Oh, je sais que je m’apitoie sur moi-même, mais c’est vrai. » Elle secoue la tête, puis propose : « Pourquoi tu ne m’offirais pas quelque chose pour Noël, Pye ? » Le chat siamois miaule comme pour répondre « oui » tandis qu’ils arrivent à la vitrine donnant sur la rue enneigée. Elle sourit : « Mm… qu’est-ce qui me ferait plaisir ? »
La jeune femme dépose un baiser derrière l’oreille de son chat, qui relève et miaule à nouveau, comme pour encourager d’un « oui ? » ; elle précise : « J’aimerais faire quelque chose de différent : j’aimerais rencontrer quelqu’un de différent… » et elle éteint l’éclairage d’un autre présentoir. Puis comme elle revient sur ses pas et regarde à travers la vitre, elle dit, en pointant le menton en direction de la rue : « Regarde, il y a cet homme, de l’étage d’au-dessus.
L’homme en question en manteau beige et feutre noir vient de descendre d’un taxi jaune à toit rouge, juste devant la vitrine de la jeune femme. Il aperçoit les fétiches cornus dans la vitrine et semble désapprouver, puis, comme il doit prendre la porte juste à côté, salue le grand fétiche de métal au nez d’aigle doigt à la bordure de son feutre, l’air de dire : « tu ne m’impressionnes pas ! »
Comme l’homme passe la porte de l’immeuble, il passe devant la double porte vitrée intérieure de la boutique, qui donne sur l’entrée de l’immeuble – sous les yeux de la jeune femme et de son chat. La jeune femme se retourne vers son chat et lui fait remarquer : « Lui est différent… » Elle pivote et demande encore à son chat : « Pourquoi est-ce que je ne rencontre jamais des gens comme ça ? hein ? » Puis elle ajoute : « Pourquoi tu ne me l’offrirais pas, lui, pour Noël, Pye ? » Et le chat approuve d’un miaulement bref. Mais elle répète, mais sa question ressemble désormais à un ordre : « Pourquoi tu ne me l’offres pas, lui ? »
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.
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