Fear The Walking Dead S03E15: Les choses tournent mal (2017)

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Écrit par David Sicé

Catégorie : Blog

Publication : 17 octobre 2017

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Fear The Walking Dead S03E15: Things Bad Begun (2017)

Noter que l'épisode S03E16 a été diffusé à la suite le même jour.

Épisode précédent <> Épisode suivant.

Ici l'article de ce blog sur la série Fear The Walking Dead (2015)

Diffusé aux USA le 15 octobre 2017 sur AMC US.
Diffusé en France le 16 octobre 2017 sur CANAL PLUS SERIES FR.

De Robert Kirkman et Dave Erickson, d'après la bande dessinée de Robert Kirkman et la série télévisée The Walking Dead du même ; avec Kim Dickens, Cliff Curtis, Frank Dillane, Alycia Debnam-Carey, Colman Domingo.

Pour adultes.

Résumé à venir.

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Thunderbirds Are Go S02E16: Coup de foudre (2017)

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Écrit par David Sicé

Catégorie : Blog

Publication : 15 octobre 2017

Affichages : 2472

Thunderbirds Are Go S02E16: A Bolt From The Blue (2017)
Traduction du titre original : jeu de mot l'éclair tombé du ciel et l'éclair inattendu.

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Ici l'article de ce blog sur la série Thunderbirds Are Go (2015)

Diffusé en Angleterre sur ITV UK le 14 octobre 2017.

De Rob Hoegee ; d'après la série télévisée de Gerry et Sylvia Anderson ; avec Rosamund Pike,Thomas Brodie-Sangster, David Menkin, Rasmus Hardiker, David Graham, Sandra Dickinson, Kayvan Novak, Andres Williams, Angel Coulby ; effets spéciaux, images de synthèses et maquette de Weta Workshop.

Pour tout public.

En orbite, une station spatiale concentre les rayons du soleil en un faisceau de plasma bleu guidé par une sorte d’énorme pince vers un récepteur à la surface de la terre. Miss Edmonds, représentant l’Énergie Solaire Orbitale, fait la visite des installations orbitales à ses invités : Lady Penelope et son chauffeur, Parker. Miss Edmonds se dit particulièrement ravie de leur présenter leur système photovoltaïque à la pointe la plus acérée qui soit de la technologie : quatre millions de micro-panneaux !

Tandis que Miss Edmonds s’extasie, Parker s’avance pour mettre le nez sur un hologramme flottant de la station et déclare que tout cela lui semble plutôt « technique ». Miss Edmonds répond, tout en surnommant Parker « poussin », que tout ce que ce dernier a besoin de savoir est que l’Énergie Solaire Orbitale transmet à la Terre jusqu’à la dernière petite goutte de l’énergie du Soleil on ne peut plus propre au moyen d’un faisceau focalisé.

Puis Miss Edmonds ajoute à l’attention de Lady Penelope, qu’elle sait très bien que la Commission de Sécurité Environnementale avait quelques sujets de préoccupation, mais une fois qu’ils en auront fini avec l’inspection de ce jour, Miss Edmonds est certaine que la Commission – dont fait partie Lady Penelope, donnera son approbation.

Lady Penelope se penche à son tour sur le pupitre avec son hologramme flottant et répond qu’elle l’espère aussi – mais si elle lit les données du pupitre correctement, la station n’opère qu’à mi-puissance. Immédiatement, Miss Edmonds prend à parti l’unique technicien aux commandes de la station, M. Kinnear : que lui avait-elle déjà dit à propos de laisser la puissance baisser ? Et Edmonds d’ordonner de montrer à leurs invités de quoi cette station est capable. Kinnear s’alarme et se gratte la tête, et à voix basse rappelle à Miss Edmonds d’un certain souci dont ils avaient discuté précédemment.

En guise de réponse, Miss Edmonds lance un regard meurtrier à Kinnear, et le technicien approche sa main d’une manette. Mais comme il semble encore hésiter, Miss Edmonds insiste : pleine puissance. C’est alors que Lady Penelope intervient : elle en a vu assez pour faire son rapport à la Commission. Et de demander à Miss Edmonds de ne pas pousser la station à ses limites pour l’impressionner.

Miss Edmonds retrouve instantanément le sourire et assure Lady Penelope qu’elle ne doit pas troubler sa charmante petite tête : ils ont à bord tout ce qu’il faut en matière de dispositifs de sécurité, afin de garantir qu’absolument rien ne pourrait mal tourner.

Puis Edmonds se retourne avec un air sévère vers son technicien, pointant un index impérieux vers le ciel. Kinnear pousse le levier à fond ; le pupitre se met à bourdonner tandis que le voyant des niveaux monte du bleu au rouge en passant par l’orangé vif.

Immédiatement, une alarme s’allume et bipe. Miss Edmonds s’extasie alors sur le bruit si charmant que fait le pupitre : tout fonctionne à merveille ! ...Et pendant ce temps, la pince qui maintenait le faisceau de plasma pointer sur la surface de la Terre perd un premier, puis deux puis toutes les quatre de ses articulations.

En contrebas, à haute altitude, un avion gros porteur file au-dessus des nuages, avec à son bord une femme-pilote et sa jeune fille Emma, ravie que sa mère l’ait emmenée avec elle dans sa mission : transférer d’un point à l’autre du globe un panda géant très populaire.

Et comme Emma veut désormais voir le panda géant, le copilote propose à sa capitaine d’emmener la jeune fille, permission qu’accorde la femme-pilote... Mais à peine Emma a détaché sa ceinture de sécurité et sauté de son fauteuil qu’un craquement sinistre d’électricité statique monte – et le gros porteur se met à tanguer.

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Chroniques de la Science-fiction, Année 2017, numéro 42 - Semaine du Lundi 16 octobre 2017

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Écrit par David Sicé

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Publication : 16 octobre 2017

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Chroniques de la Science-Fiction #2017-42 (2017)

Téléchargez ici l'exemplaire gratuit .pdf 17 pages A5 couleurs.

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Ici l'index de toutes les Chroniques de la Science-fiction de 2017

Sorti le 16 octobre 2017 (première édition).

De David Sicé.

Les Chroniques sont une rubrique du fanzine l’Étoile étrange. Cette rubrique paraitra désormais séparément pour tenir le rythme hebdomadaire de l'actualité de la Science-fiction même si le numéro complet de l’Étoile étrange n'est pas bouclé. Les numéros ont vocation à sortir rétroactivement et par anticipation, et donc à être mis à jour quand l'activité n'est pas complètement couverte.

Au sommaire, l'actualité de la semaine du 16 octobre 2017, plus les critiques de Le Monde Secret des Emojis 2017, American Gods S1 2017, Christine 1983, Cosmos 1999 S1+S2 1975.

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Superstition S01E01: Chapitre premier (2017)

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Écrit par David Sicé

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Publication : 15 octobre 2017

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Superstition S01E01: Pilot (2017)

Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Superstition (2017)

Diffusé aux USA le 20 octobre 2017 sur SYFY US.
Annoncé en France sur NETFLIX FR.

De Laurence Andries ; avec Mario Van Peebles, Robinne Lee, Brad James, W. Earl Brown, Demetria McKinney, Diamond Dallas Page, Morgana Van Peebles, T.C. Carter, Tatiana Lia Zappardino.

Pour adultes et adolescents

Un orage dans la nuit. Sous la pluie, deux jeunes, Calvin et Arlo Hastings ont pris la fuite à travers les pierres tombales du cimetière. Calvin s’emporte : ils n’auraient jamais dû aller là-bas ; Arlo, qui tient une torche électrique, supplie Calvin de ne pas le dénoncer à leur père et demande s’ils ne peuvent pas tout simplement remettre un certain objet à sa place. Ils sortent du cimetière en franchissant le portail, et se précipitent ensuite en direction d’une grande maison victorienne illuminée, tandis que la foudre s’abat toute proche derrière eux ; ils montent quatre à quatre les marches du perron et entrent.

À l’intérieur, Calvin compose un code et l’on entend quelque chose se déverrouiller : la porte d’une chambre forte, dans laquelle il dépose un anneau. Arlo, qui est resté en arrière conformément à l’ordre du plus âgé, se demande si le bruit qu’ils viennent d’entendre dans la maison a été fait par leur père, mais par la fenêtre, Arlo aperçoit des silhouettes qui convergent en direction de la maison – apparemment des cadavres ambulants. Arlo : est-ce qu’ils peuvent vraiment quitter leurs tombes pour venir les chercher ? est-ce que c’est à cause d’eux ? Le plus âgé lui répond de rester à sa place et de se tenir tranquille à l’étage.

Puis Calvin redescend dans le hall, rejoignant leur père et leur mère, armés jusqu’au dent, tandis qu’on entend une arme électrique monter en charge. Calvin déclare qu’il y en a trop, qu’ils devraient prendre la fuite. Son père, Isaac répond sans se troubler que non : ils improviseront, ils s’adapteront, ils surmonteront. Et comme sa mère Bea arme son propre fusil, Isaac ouvre la porte d’entrée et ordonne à Calvin de remonter à l’étage garder son petit frère. Mais à peine ses parents sortis, Calvin entend le fracas d’une vitre qui explose, et son petit frère Arlo hurler.

Seize ans plus tard.

Calvin rouvre les yeux : habillé en treillis, il est à l’arrière du taxi qui le ramène qui ses parents tandis que le conducteur, Russ, un jeune blondinet chante hilare sur le tube ragamuffin qu’il passe sur sa stéréo. Russ tend alors à Calvin, lugubre, la pochette plastique du CD en lui disant d’y jeter un coup d’œil, parce que c’est lui qui chante dessus. Certes, il est encore à la rue, sans l’industrie cinématographique pour l’appuyer mais... ça va changer. Calvin répond poliment qu’on ne peut pas arrêter le talent, et Russ le confirme. Puis Russ jette un coup d’œil dans son rétroviseur et cesse de sourire, pour demander à Calvin s’il a perdu quelqu’un. Puis comme Calvin ne répond rien, Russ reprend, nerveux : il veut seulement dire que l’adresse à laquelle ils se rendent n’est pas exactement un endroit où l’on danse sur les tables. Il y a vraiment des saletés bizarres qui en sortent, vraiment bizarres.

Calvin répond à Russ qu’il ne faut pas croire tout ce qu’on raconte. Russ répond qu’il est cool quant aux Hastings, si Calvin comprend ce que Russ veut dire – mais ce n’est pas le cas de tout le monde. Le taxi se gare devant l’imposante maison victorienne à la pelouse impeccablement entretenue et au drapeau américain flottant, à contrejour sous le ciel radieux : Russ déclare alors que Calvin est arrivé, et qu’il n’oublie pas de téléphoner quand il faudra lui attribuer le prix aux Grammy Awards. Calvin, qui est sorti et a mis sa casquette assortie à son treillis, ne répond rien, et gravit le perron du Funérarium Hastings – fondé en 1907, une entreprise familiale, comme le proclame la pancarte à l’entrée.

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