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Trucages et effets spéciaux au cinéma, le livre de 1987

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 28 février 1987
Affichages : 2563

Trucages et effets spéciaux au cinéma, le livre de 1987Feu vert livre / BD

Tricks of the Trade (1987)
Traduction du titre original : Les trucs du métier.

Publié aux USA chez Gallery Books en février 1987.
Publié en France chez Éditions Atlas en septembre 1987.

De Alan McKenzie et Derek Ware.

Consacré aux cascadeurs, maquilleurs, décorateurs et réalisateurs de la seconde équipe de réalisation des films les plus populaires, les auteurs entendent rapporter leurs techniques pour truquer l'action ensuite projetée sur grand écran. Le livre est abondamment illustré et date d'avant l'avènement des trucages numériques.

Les effets spéciaux

Les Aventuriers de l'Arche perdue (1981, Raiders Of The Lost Ark)

Les trucages visuels 1 : animation sur cellulos (dessin animé)

Planète interdite (1956, Forbidden Planet)

Mary Poppins

Les oiseaux

La Guerre des étoiles // Star Wars épisode IV: Un nouvel espoir (1977, Star Wars: Episode IV, A new hope)

Star Trek, le film (1979, Star Trek: The Motion Picture)

Les trucages visuels 2 : animation de maquettes (stop-motion)

The Ghost of Slumber Mountain 1918 ?

Le monde perdu (1925, The Lost World)

King Kong (1933)

Le fils de King Kong (1933, Son of King)

Monsieur Joe (1949, Mighty Joe Young)

Le cirque du docteur Lao (1964, The 7 Faces Of Dr. Lao)

Le septième voyage de Sinbad

L'Empire contre-attaque (1980, Star Wars 5, Star Wars: Episode V - The Empire Strikes Back)

Le Dragon du Lac de Feu (1981, Dragonslayer)

Hurlements (1981, The Howling)

Krull (1982)

Le choc des titans

Les trucages visuels 3 : animation par ordinateur (CGI, effets spéciaux numériques)

La Guerre des étoiles // Star Wars épisode IV: Un nouvel espoir (1977, Star Wars: Episode IV, A new hope)

Alien, le huitième passager (1979, Alien)

Tron (1982)

Les trucages visuels 4: Peinture sur verre

La vie privée d'Hélène de Troie (1927, The Private Life of Helen of Troy)

Le monde perdu (de O'Brien)

Les trucages visuels 5: Cache fixe (Matte Paintings)

King Kong (1933)

La vie future (1936, Things To Come)

Le voleur de Bagdad (1924, The Thief Of Bagdad)

Le trou noir (1980)

Tremblement de Terre (1974)

Les trucages visuels 6: Transparence

Le monstre des temps perdus (1953, The Beast From 20,000 Fathoms)

Lady Hamilton (1929, Divine Lady)

King Kong (1933)

Les trucages visuels 7: Projection frontale

2001, l'odyssée de l'espace (1968, A Space Odyssey)

Superman (1978, Superman The Movie)

Les trucages visuels 8: Cache mobile (écran bleu).

Blade Runner (1982)

2001, l'odyssée de l'espace (1968, A Space Odyssey)

Les trucages visuels 9: Animation sur ordinateur (Travelling Matte)

La Guerre des étoiles // Star Wars épisode IV: Un nouvel espoir (1977, Star Wars: Episode IV, A new hope)

Trou Noir

L'Empire contre-attaque (1980, Star Wars 5, Star Wars: Episode V - The Empire Strikes Back)

Les trucages visuels 10: Tireuse optique (Truca, surimpression)

King Kong (1933)

On The Double

Wonder Man

On The Riviera

Les trucages mécaniques 1: Modèles réduits (maquettes)

L'amour en l'an 2000 (1930, Just Imagine)

Le Dragon du Lac de Feu (1981, Dragonslayer)

Rencontre du Troisième type.

1941

Le choc des Titans 1981

Coup de cœur (1982, One From The Heart)

James Bond: L'homme au pistolet d'or (1974)

Les trucages mécaniques 2: Trucage par fils

Blade Runner (1982)

Superman

Superman III

C'est un monde fou, fou, fou, fou (1963, It's a Mad, Mad, Mad, Mad World)

Barbarella (1968, Barbarella Queen of the Galaxy)

Christine (1983)

Les trucages mécaniques 3: Les éléments

Poltergeist (1982)

L'Empire contre-attaque (1980, Star Wars 5, Star Wars: Episode V - The Empire Strikes Back)

La Tour infernale (1974, The Towering Inferno)

Les Aventuriers de l'Arche perdue (1981, Raiders Of The Lost Ark)

Les trucages mécaniques 4: Balles et explosions

Les Hors-la-Loi (1935, G-Men)

Le Parrain

Bonnie and Clyde

L'Empire contre-attaque (1980, Star Wars 5, Star Wars: Episode V - The Empire Strikes Back)

L'Emprise

Tonnerre de feu (1983, Blue Thunder)

Les trucages mécaniques 5: Marionnettes

Barbarella (1968, Barbarella Queen of the Galaxy)

Le Crépuscule des Aigles (1966, The Blue Max)

King Kong (1976)

Rencontres du Troisième Type

E.T 1982

Le Monstre est vivant (1974, It's Alive)

La compagnie des loups (1984, The Company Of Wolves)

Les dents de la mer (1975, Jaws)

20.000 Lieues sous les mers (1954, 20.000 Leagues Under The Sea)

La quatrième dimension, le film (1983, Twilight Zone: The Movie)

Les trucages mécaniques 6: L'effet dynamique

Mariage Royal (1951)

2001, l'odyssée de l'espace (1968, A Space Odyssey)

Poltergeist (1982)

Il manque possiblement à la liste les perspectives forcées et le décor disproportionné.

Les cascades

 

La magie du maquillage

 

(Article en cours de rédaction)

 

 

Kamikaze, le film de 1986

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 10 décembre 1986
Affichages : 3708

Kamikaze, le film de 1986Feu vert cinéma

Kamikaze (1986)

Sorti en France le 10 décembre 1986.
Sorti en DVD espagnol le 8 février 2013 (version française, sous-titres espagnols pas évident à désactiver, mais désactivables selon le lecteur via la télécommande, image bonne format respecté 2.35:1).
Sorti en DVD français Gaumont le 8 avril 2015 (image moins bonne que le DVD espagnol).
Sorti en blu-ray français le 22 septembre 2021 chez GAUMONT FR.
Sorti en blu-ray allemand le 8 avril 2022 chez SOULFOOD DE.


De Didier Grousset (également scénariste), sur un scénario de Luc Besson (également producteur délégué) ; avec Richard Bohringer, Michel Galabru, Dominique Lavanant, Romane Bohringer, Etienne Chicot, Harry Cleven, Riton Liebman, Kim Massee, Michael Goldman, Geoffrey Carey, Philippe Girard.

Pour adultes et adolescents.

(prospective, techno-thriller, slasher, policier, horreur) Albert, inventeur bonhomme, est viré alors qu’il était en train de faire une découverte lourde de conséquence. Se trouvant enfermé chez lui toute la journée à regarder la télévision, il réalise que sa dernière invention pourrait lui permettre d’éviscérer toute personne qui se trouverait visé par la caméra sur le plateau de télévision lors d’une émission en directe.

Ne supportant plus le ton acidulé des présentatrices et présentateurs, il commet son premier meurtre à distance, et c’est à l’inspecteur Romain Pascot d’arrêter le responsable d’un crime impossible à commettre.

Kamikaze, le film de 1986

Kamikaze, le film de 1986

Kamikaze, le film de 1986

Kamikaze, le film de 1986

Kamikaze, le film de 1986

Kamikaze, le film de 1986

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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Aliens le retour, le film de 1986

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 18 juillet 1986
Affichages : 3791

Aliens le retour, le film de 1986Feu vert cinéma

Ici la page du coffret français br+4K 20TH CENTURY FR du 24 avril 2024
Ici la page du blu-ray français FOX FR du 5 octobre 2011

Aliens (1986)
Traduction du titre original : Les étrangers.

Film Alien précédent <> Film Alien suivant.

Attention, ce film existe au moins en deux montages : cinéma (court), réalisateur (long).

Sorti aux USA le 18 juillet 1986.
Sorti en Angleterre le 29 août 1986.
Sorti en France le 8 octobre 1986.
Sorti en coffret 6 blu-ray américain Alien Anthology le 26 octobre 2010 (multi-régions, français inclus).
Sorti en coffret 6 blu-ray français Alien Anthology le 27 octobre 2010.
Sorti en blu-ray américain le 10 mai 2011 (multi-régions, français inclus, anglais DTS HD MA 5.1).
Sorti en blu-ray français le 5 octobre 2011 (région B).
Sorti en coffret français br+4K 20TH CENTURY FR (altéré par intelligence artificielle) du 24 avril 2024.

De James Cameron (également scénariste), sur un scénario de David Giler et Walter Hill, d'après le film Alien (1979) et les personnages créés par Dan O'Bannon et Ronald Shusett ; avec Sigourney Weaver, Michael Biehn, Carrie Henn, Lance Henriksen, Paul Reiser, Bill Paxton, Jenette Goldstein, William Hope, Al Matthews, Mark Rolston , Ricco Ross, Colette Hiller, Daniel Kash, Cynthia Dale Scott, Tip Tipping, Trevor Steedman, Paul Maxwell.

Pour adultes et adolescents.

Une navette file dans l’Espace profond, avec à son bord, une jeune femme – Ripley – endormie avec son chat dans un sarcophage cryogénique. Le silence est rompu par le grésillement d’une lumière scannant son visage, puis la porte du sas saute et un robot avance pour scanner l’habitacle complet de la navette. Le robot recule et deux astronautes entrent en combinaison environnementale, et constate que Ripley est encore vivante : ils ne pourront pas revendre la navette à leur seul profit.

Ripley se réveille dans la station orbitale Gateway au-dessus de la Terre. Selon l’infirmière, cela fait deux ou trois jours qu’elle est là – et elle a un visiteur : Carter Burke, un employé de la Compagnie, arrive avec son chat, Jonesy, lui disant de ne pas s’inquiéter car il est un type bien, et que la faiblesse et la désorientation sont compréhensibles compte tenu du temps anormalement long qu’elle a passé en hibernation – 57 années plus exactement.

Soudain, Ripley est prise de nausées, puis se met à convulser. Comme l’équipe médicale l’entoure, son ventre se déforme et… Ripley se réveille au milieu de la nuit : un mauvais rêve de plus selon l’infirmière, qui lui propose quelque chose pour l’aider à dormir, mais elle refuse – Ripley a dormi suffisamment.

Plus tard, cela fait trois heures et demi qu’un comité de la compagnie fait répéter à Ripley son histoire. Ripley découvre qu’elle est accusée d’avoir causé 43 millions de dollars réévalués de dommage – pour avoir fait sauté son vaisseau et sa cargaison pour des raisons inconnues : aucune trace de la créature qu’elle décrit n’a jamais été retrouvé à bord de la navette, et aucune vie extraterrestre n’a été découverte sur LV-426. Ripley répète qu’il ne s’agissait pas d’une vie indigène, mais d’un vaisseau spatial qui s’était écrasé sur la planète et qui les avait guidé jusqu’à lui grâce à un message. Ripley s’énerve : Kane qui était entré dans le vaisseau avait vu des millions d’œufs, et si ces monstres parviennent jusqu’à la Terre ils peuvent dire au revoir à leurs profits.

Après la réunion, Ripley demande à Van Leuwen, le président du comité, d’aller vérifier ce qui se passe sur LV-426. Van Leuwen répond qu’il n’en a pas besoin : cela fait vingt ans que LV-426 est en cours de terraformation et abrite entre 60 et 70 familles d’ingénieurs qui vivent sur place, travaillant à transformer la planète en nouvelle terre vivable. Ripley est profondément choquée à l’idée que des familles ont été envoyées là-bas. Quelque temps plus tard, Ripley se morfond dans un petit appartement avec Jonesy quand Burke vient frapper à sa porte, flanqué du Lieutenant Gorman, des Marines Coloniaux : ils ont perdu tout contact avec la colonie LV-426.

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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Le Fantôme de Beatie Bow, le film de 1986

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 7 août 1986
Affichages : 1276

Le Fantôme de Beatie Bow, le film de 1986Feu vert cinéma

Playing Beatie Bow (1986)

Traduction du titre original : Jouer à Beatie Bow.
Titre français : Le fantôme de Beatie Bow.

Sorti le 7 août 1986 en Australie.
Sorti en blu-ray australien le 9 février 2022.

De Donald Crombie, sur un scénario de Peter Gawler, d’après le roman Playing Beatie Bow de 1980 de Ruth Park.

Pour tout public.

— Mon Dieu qu’est-ce que c’est ?
— Seulement la vache dans la grange ! le chien à la porte ! le vent dans la cheminée !
— Mon Dieu qu’est-ce que c’est ?
— C’est Beatie Bow, d’entre les morts relevée !


Une toute jeune fille pieds nus en tablier descend un escalier trempé. Apercevant au bas de l’escalier une canette de soda écrasée, elle s’en empare lestement. Puis son attention est attirée par les enfants du parce voisin qui jouent à chanter un refrain d’une chanson traditionnel, auquel répond une petite fille depuis le toboggan. Et quand elle répond que c’est Beatie Bow d’entre les morts relevées qui arrive, un enfant déguisé en fantôme avec un simple drap, jaillit de sa cachette et tous les enfants s’enfuient en hurlant, tandis qu’au loin on devine les toits en forme de voiles de l’Opéra de Sidney.

A ces mots, la petite fille sourit, comme émerveillée. Puis elle regarde autour d’elle : dans la rue, un fiacre tiré par un cheval arrive, passant devant les voitures modernes garées. Puis un grondement la fait sursauter : au-dessus d’elle, un wagon passe. Et lorsqu’elle baisse les yeux, elle croise le regard d’une petite fille en anorak bleu, pantalon rouge et bottes jaunes. De son âge, elle lui sourit. Un bus passe, et la petite fille en tablier a disparu du palier des escaliers où elle était descendue.

Nous sommes à Sidney dans les années 1980. Abigail Kirk est une jeune fille moderne, très jolie avec ses couettes et l’uniforme de son école, rêvant des garçons – cependant elle choisit pour sortir une robe blanche d’allure désuette. Le soir elle patine en musique avec ses copines, mais elle rejette systématiquement un prétendant, et l’insulte en mettant en doute son expérience sexuelle prétendue. Comme elle raccompagne sa petite sœur Nathalie chez elles, celle-ci lui parle de Beatie Bow. Elles aperçoivent la petite fille en tablier en haut des escaliers et la petite sœur s’inquiète : elle n’a pas de chaussures.

La petite fille a déjà disparu, et Abigail répond à Nathalie qu’elle est en train de tout inventer. Mais alors que la nuit tombe, Nathalie aperçoit la petite fille depuis leur balcon. Comme Nathalie alerte que la petite fille est toujours là, mais que sa mère et sa grande sœur s’en fichent, une boite remplie de vieux trucs tombe, et Nathalie fait remarquer que le col de dentelle qui s’y trouve irait parfaitement avec la robe blanche d’Abigael. Abigael en convient, met le col, va s’admirer devant le miroir de sa salle de bain, et a une étrange vision d’une falaise et de la mer ensanglantée.

Sa mère de retour du dîner avec son père fait remarquer que la dentelle est superbe, tout à fait victorienne. Sa mère lui annonce alors que son père veut revenir avec elle. Abigael est indignée, son père les a quitté pour une autre femme il y a six ans. Sa mère répond qu’Abigael ne sait pas ce qu’est l’amour. Agibael accuse sa mère de n’avoir aucun amour propre et affirme que son père la laissera tomber à nouveau, et qu’il n’est pas question qu’elle se laisse abandonner de nouveau.

Le lendemain matin par grand vent, Abigael passe à la boutique d’antiquité de sa mère pour s’excuser, toujours vêtue de la robe ancienne. Mais comme elle entre, sa mère lâche une porcelaine à cause du coup de vent, et l’entrevue tourne à l’aigre. Pour se calmer, Abigael va faire de la balançoire dans le parc et aperçoit la petite fille au tablier. Celle-ci lui explique qu’elle ne peut pas rentrer chez elle, et du balcon, Nathalie encourage sa grande sœur à la suivre et l’aider. Abigael se lance à la poursuite de la petite fille au tablier, qui semble épouvantée à cause des cloches de l’église : il y a trop de merveilles et elle n’arrive pas à rentrer.

Abigail voulant la rassurer, touche la main de la petite fille qui pousse un cri : elle n’aurait jamais dû faire cela. Quand Abigael regarde à nouveau l’église, il n’y a plus aucun bâtiment ni véhicule moderne autour. La petite fille s’enfuit, Abigaël lui court après et se retrouve dans un quartier d’allure sordide, et comme elle se retourne, un homme barbu s’élance droit sur elle, sabre au clair. Renversée, Abigaël chute, et sa tête heurte le pavé. Elle se réveille à moitié dans un lit, alors que deux femmes s’accordent sur le fait qu’Abigaël est bien l’étrangère, à cause de la dentelle et de la robe.

Puis il fait jour, elle se réveille, blessée à la jambe en chemise de nuit, avec la petite fille en tablier, qui se présente comme s’appelant Beatie Bow, comme dans la comptine mais pour de vrai, et supplie Abigael ne de pas révéler comment elle est arrivée, car elle ne veut pas que sa famille sache qu’elle a le don. Alarmée, Abigael demande la date : le 1er septembre 1873, bien sûr.

Le Fantôme de Beatie Bow, le film de 1986

Le Fantôme de Beatie Bow, le film de 1986

Le Fantôme de Beatie Bow, le film de 1986

Le Fantôme de Beatie Bow, le film de 1986

Le Fantôme de Beatie Bow, le film de 1986

Le Fantôme de Beatie Bow, le film de 1986

***

Cordelia Vorkosigan, le roman de 1986

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Écrit par David Sicé
Catégorie : Blog
Publication : 30 juin 1986
Affichages : 465

ImageFeu vert livre / BD

Shards Of Honor (1986)
Traduction du titre anglais : échardes d’honneur.
Titre français : Cordelia Vorkosigan.

Ce roman est le premier de la Vorkosigan Saga et est suivi de The Warrior's Apprentice 1986 (en français, L'Apprentissage du Guerrier.)

Sorti aux USA en juin 1986 chez Baen.
Traduit en français par Michel Deutsch chez J’ai Lu (poche) en avril 1994,
réédité en mai 1994, en janvier 1995, en décembre 1996, en septembre 2001, en août 2005 ;
réuni en intégrale chez J’ai Lu Nouveaux Millénaires en octobre 2011.

De Lois McMaster Bujold.

Pour adultes et adolescents.

(Presse, Space Opera) Cordelia Naismith, capitaine d'un vaisseau d'étude astronomique bêtan, explore une planète récemment découverte lorsque son camp de base est attaqué. Alors qu'elle enquête, elle est surprise par un soldat, se cogne la tête contre un rocher et découvre à son réveil que, si la plupart des membres de son équipage se sont échappés, elle est abandonnée avec un enseigne bétan blessé et le capitaine Lord Aral Vorkosigan de Barrayar, connu comme le "boucher de Komarr", qui a été laissé pour mort par un rival perfide. Au cours de leur randonnée de cinq jours vers une cache secrète de Barrayar, elle découvre que Vorkosigan n'est pas du tout le monstre que sa réputation suggère, et elle est fortement attirée par lui.

Lorsque le trio atteint le camp de base, Vorkosigan reprend le contrôle de son équipage. Il retourne à son vaisseau avec Cordelia et son équipier comme prisonniers nominaux. Elle rencontre le sergent Bothari, un soldat de carrière souffrant de problèmes mentaux qui les contrôle par l'adhésion à des règles et l'attachement à un commandant fort, en mai 1994l'occurrence Vorkosigan. Vorkosigan informe Cordelia qu'à leur arrivée sur Barrayar, elle sera libre de retourner à la colonie Bêta, mais il lui demande de l'épouser et de rester sur Barrayar en tant que Dame Vorkosigan. Avant qu'elle ne puisse prendre en compte sa demande, l'équipage de son vaisseau, qui est revenu contre ses ordres, s'allie aux rivaux de Vorkosigan pour la "sauver"…

*

Le texte original américain de Lois McMaster Bujold publié en 1986 chez BAEN.

CHAPTER ONE

A sea of mist drifted through the cloud forest: soft, grey, luminescent. On the high ridges the fog showed brighter as the morning sun began to warm and lift the moisture, although in the ravine a cool, soundless dimness still counterfeited a pre-dawn twilight.

Commander Cordelia Naismith glanced at her team botanist and adjusted the straps of her biological collecting equipment a bit more comfortably before continuing her breathless climb. She pushed a long tendril of fog-dampened copper hair out of her eyes, clawing it impatiently toward the clasp at the nape of her neck. Their next survey area would definitely be at a lower altitude. The gravity of this planet was slightly lower than their home world of Beta Colony, but it did not quite make up for the physiological strain imposed by the thin mountain air.
Denser vegetation marked the upper boundary of the forest patch. Following the splashy path of the ravine’s brook, they bent and scrambled through the living tunnel, then broke into the open air.

A morning breeze was ribboning away the last of the fog on the golden uplands. They stretched endlessly, rise after rise, culminating at last in the great grey shoulders of a central peak crowned by glittering ice. This world’s sun shone in the deep turquoise sky giving an overwhelming richness to the golden grasses, tiny flowers, tussocks of a silvery plant like powdered lace dotted everywhere. The two explorers gazed entranced at the mountain above, enveloped by the silence.

The botanist, Ensign Dubauer, grinned over his shoulder at Cordelia and fell to his knees beside one of the silvery tussocks. She strolled to the nearest rise for a look at the panorama behind them. The patchy forest grew denser down the gentle slopes. Five hundred meters below, banks of clouds stretched like a white sea to the horizon. Far to the west, their mountain’s smaller sister just broke through the updraft-curdled tops.

Cordelia was just wishing herself on the plains below, to see the novelty of water falling from the sky, when she was jarred from her reverie. “Now what the devil can Rosemont be burning to make a stink like that?” she murmured.

An oily black column of smoke was rising beyond the next spur of the mountain slope, to be smudged, thinned, and dissipated by the upper breezes. It certainly appeared to be coming from the location of their base camp. She studied it intently.

A distant whining, rising to a howl, pierced the silence. Their planetary shuttle burst from behind the ridge and boomed across the sky above them, leaving a sparkling trail of ionized gases.
“What a takeoff!” cried Dubauer, his attention wrenched skyward.

Cordelia keyed her short-range wrist communicator and spoke into it. “Naismith to Base One. Come in, please.”

A small, empty hiss was her sole reply. She called again, twice, with the same result. Ensign Dubauer hovered anxiously at her elbow.

“Try yours,” she said. But his luck was no better. “Pack up your stuff, we’re going back to camp,” she ordered. “Double time.”

They struggled toward the next ridge at a gasping jog, and plunged back into the forest. The spindly bearded trees at this altitude were often fallen, tangled. They had seemed artistically wild on the way up; on the way down they made a menacing obstacle course. Cordelia’s mind ratcheted over a dozen possible disasters, each more bizarre than the last. So the unknown breeds dragons in map margins, she reflected, and suppressed her panic.

They slid down through the last patch of woods for their first clear view of the large glade selected for their primary base camp. Cordelia gaped, shocked. Reality had surpassed imagination.
Smoke was rising from five slagged and lumpy black mounds, formerly a neat ring of tents. A smouldering scar was burned in the grasses where the shuttle had been parked, opposite the camp from the ravine. Smashed equipment was scattered everywhere. Their bacteriologically sealed sanitary facilities had been just downslope; yes, she saw, even the privy had been torched.

“My God,” breathed Ensign Dubauer, and started forward like a sleepwalker. Cordelia collared him.

“Get down and cover me,” she ordered, then walked cautiously toward the silent ruins.

The grass all around the camp was trampled and churned. Her stunned mind struggled to account for the carnage. Previously undetected aborigines? No, nothing short of a plasma arc could have melted the fabric of their tents. The long-looked-for but still undiscovered advanced aliens? Perhaps some unexpected disease outbreak, not forestalled by their month-long robotic microbiological survey and immunizations--could it have been an attempt at sterilization? An attack by some other planetary government? Their attackers could scarcely have come through the same wormhole exit they had discovered, still, they had only mapped about ten percent of the volume of space within a light-month of this system. Aliens?

She was miserably conscious of her mind coming full circle, like one of her team zoologist’s captive animals racing frantically in an exercise wheel. She poked grimly through the rubbish for some clue.

She found it in the high grass halfway to the ravine.

*

La traduction au plus proche.

CHAPITRE UN

Une mer de brume dérivait à travers la forêt de nuages : douce, grise, luminescente. Sur les hautes crêtes, le brouillard s'éclaircissait lorsque le soleil matinal commençait à réchauffer et à faire disparaître l'humidité, bien que dans le ravin, une obscurité fraîche et silencieuse simulait encore un crépuscule d'avant l'aube.

Le commandant Cordelia Naismith jeta un coup d'œil au botaniste de son équipe et ajusta un peu plus confortablement les sangles de son équipement de collecte biologique avant de poursuivre son ascension à bout de souffle. Elle repoussa de ses yeux une longue mèche de cheveux cuivrés humides de brouillard, qu'elle tendit avec impatience vers le fermoir de sa nuque. Leur prochaine zone d'étude serait certainement à une altitude plus basse. La gravité de cette planète était légèrement inférieure à celle de leur monde d'origine, la colonie Bêta, mais elle ne compensait pas tout à fait la pression physiologique imposée par l'air raréfié des montagnes.

Une végétation plus dense marque la limite supérieure de la forêt. Suivant le chemin éclaboussant du ruisseau du ravin, ils se penchèrent et se frayèrent un chemin à travers le tunnel vivant, puis débouchèrent à l'air libre.

Une brise matinale chassait en ruban le dernier brouillard sur les hautes terres dorées. Elles s'étendaient à l'infini, montant après montant, culminant enfin dans les grandes épaules grises d'un pic central couronné de glace scintillante. Le soleil de ce monde brillait dans un ciel d'un turquoise profond, donnant une richesse incroyable aux herbes dorées, aux petites fleurs, aux touffes d'une plante argentée semblable à de la dentelle en poudre, parsemées partout. Les deux explorateurs regardent la montagne avec fascination, enveloppés par le silence.

Le botaniste, l'enseigne Dubauer, sourit à Cordelia par-dessus son épaule et s'agenouille à côté d'une des touffes argentées. Elle se dirigea vers l'élévation la plus proche pour jeter un coup d'œil au panorama derrière eux. La forêt éparse se densifiait le long des pentes douces. Cinq cents mètres plus bas, des bancs de nuages s'étendaient comme une mer blanche jusqu'à l'horizon. Loin à l'ouest, la petite sœur de leur montagne venait de percer les sommets encombrés de courants ascendants.

Cordelia souhaitait se rendre dans les plaines en contrebas, pour voir la nouveauté de l'eau tomber du ciel, quand elle fut tirée de sa rêverie. « Maintenant, que diable peut bien brûler Rosemont pour faire une telle puanteur ? » murmura-t-elle.

Une colonne de fumée noire et huileuse s'élevait au-delà de l'éperon suivant du versant de la montagne, pour être étouffée, amincie et dissipée par les brises supérieures. Elle semblait certainement provenir de l'emplacement de leur camp de base. Elle l étudia attentivement.

Un gémissement distant, s'élevant jusqu'à un hurlement, a percé le silence. Leur navette planétaire surgit de derrière la crête et traversa le ciel en trombe, laissant une traînée étincelante de gaz ionisés.

« Quel décollage ! » s'est écrié Dubauer, son attention tournée vers le ciel.
Cordelia manipule son communicateur de poignet à courte portée et parle dedans. « Naismith à Base One. Répondez, s'il vous plaît. »

Un petit sifflement vide fut sa seule réponse. Elle a appelé à nouveau, deux fois, avec le même résultat. L'enseigne Dubauer s'est mise à rôder anxieusement autour de son coude.
« Essayez le vôtre, » elle dit. Mais sa chance ne fut pas meilleure. « Rangez vos affaires, on retourne au camp , elle ordonna. "Double cadence. »

Ils se dirigèrent vers la crête suivante à un rythme haletant, et replongèrent dans la forêt. Les arbres barbus à cette altitude étaient souvent tombés, enchevêtrés. Ils avaient semblé artistiquement sauvages à la montée, mais à la descente, ils formaient une menaçante course d'obstacles. L'esprit de Cordelia fit défiler une douzaine de catastrophes possibles, toutes plus bizarres les unes que les autres. Ainsi l'inconnu engendre des dragons dans les marges des cartes, se disait-elle, et elle réprima sa panique.

Ils se glissèrent à travers la dernière parcelle de bois pour avoir une première vue claire de la grande clairière choisie pour leur camp de base principal. Cordelia est restée bouche bée, choquée. La réalité avait dépassé l'imagination.

De la fumée s'élevait de cinq monticules noirs couverts de scories et de grumeaux, qui formaient autrefois un cercle de tentes bien ordonné. Une cicatrice fumante brûlait dans les herbes à l'endroit où la navette avait été garée, à l'opposé du camp par rapport au ravin. Des équipements brisés étaient éparpillés partout. Leurs installations sanitaires scellées bactériologiquement avaient été juste en bas de la pente ; oui, vit-elle, même les toilettes avaient été incendiées.

« Mon Dieu, souffla l'enseigne Dubauer, qui avançait comme un somnambule. Cordelia le rattrapa.
— Baisse-toi et couvre-moi, » ordonna-t-elle, puis elle marcha prudemment vers les ruines silencieuses.

L'herbe tout autour du camp était piétinée et retournée. Son esprit abasourdi lutta pour expliquer ce carnage. Des aborigènes non détectés auparavant ? Non, rien de moins qu'un arc de plasma aurait pu faire fondre le tissu de leurs tentes. Les extraterrestres avancés tant recherchés mais toujours pas découverts ? Peut-être une épidémie inattendue, qui n'aurait pas été évitée par leur enquête microbiologique robotisée d'un mois et leurs vaccinations - aurait-il pu s'agir d'une tentative de stérilisation ? Une attaque d'un autre gouvernement planétaire ? Leurs agresseurs auraient difficilement pu passer par la même sortie de vortex qu'ils avaient découverte, mais ils n'avaient cartographié qu'environ dix pour cent du volume de l'espace à un mois-lumière de ce système. Des extraterrestres ?

Elle était misérablement consciente que son esprit tournait en rond, comme l'un des animaux captifs du zoologiste de son équipe qui courait frénétiquement dans une roue d'exercice. Elle fouilla sinistrement dans les ordures à la recherche d'un indice.

Elle le trouva dans les hautes herbes à mi-chemin du ravin.

*

Image

La traduction de Michel Deutsch pour J’AI LU en 1994

1

Des écharpes de brume grises et impalpables flottaient à travers la forêt. Sur les hauteurs, le brouillard que commençait à réchauffer le soleil naissant devenait plus lumineux, mais au fond du ravin silencieux régnait encore la fraîche pénombre de l’aurore.

Le capitaine Cordelia Naismith, le souffle court, s’arrêta un instant pour rajuster les bretelles de son sac à dos. Après avoir jeté un coup d’œil vers son botaniste, elle reprit l’ascension en repoussant d’un geste impatient une mèche humide qui lui tombait dans les yeux. La prochaine fois, elle choisirait sur zone d’exploration à basse altitude. Certes, sur cette planète, la gravité était un peu plus faible que sur les colonies de Beta, la sienne, mais en hauteur, l’air était quand même trop raréfié pour diminuer la contrainte physiologique.

A l’approche de la lisière de la forêt, la végétation se faisait plus dense. Pliés en deux, ils grimpaient, pataugeant dans le ruisseau boueux qui serpentait le long du ravin.
Enfin, la forêt prit fin et ils émergèrent à l’air libre.

La brise matinale chassait les dernières nappes de brume flottant encore ici et là sur les contreforts ensoleillés qui se succédaient à perte de vue jusqu’aux flancs grisâtres d’un pic couronné de glace miroitante. Le soleil flamboyant dans le ciel bleu turquoise conférait une beauté somptueuse aux hautes herbes dorées aux minuscules fleurs et à la dentelle argentée d’une plante fourragère omniprésente. Les deux explorateurs contemplaient avec ravissement le paysage montagneux écrasé de silence.

L’enseigne Dubauer, le botaniste, se retourna pour adresser un large sourire à Cordélia et s’agenouilla devant une de ces plantes argentées. La jeune femme gagna la butte la plus proche pour observer le panorama qui s’étendait derrière eux. La forêt était plus touffue le long des pentes. Cinq cents mètres plus bas, des bancs de nuages faisaient comme une mer blanche qui se perdait à l’horizon. Très loin vers l’ouest, on apercevait tout juste la cime d’une autre crête, plus petite.

Cordelia aurait bien voulu se trouver dans la plaine pour voir cette chose étonnante, de l’eau tombant du ciel !, mais quelque chose d’inattendu la ramena brutalement à la réalité.
— Qu’est-ce que Rosemont fait brûler qui pue comme ça ? murmura-t-elle.

En effet, derrière la crête voisine s’élevait une épaisse colonne de fumée noire et grasse que le vent dispersait. Elle venait visiblement du camp de base. Cordelia l’examina avec attention.
Un grondement lointain qui se mua en rugissement déchira le silence. Leur navette planétaire jaillit soudain de derrière le piton et se rua dans leur direction, laissant dans son sillage une étincelante traînée de gaz ionisés.

— Mais ils décollent ! s’exclama Dubauer, les yeux levés vers le ciel. Qu’est-ce que ça veut dire ?

***

Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce roman.

 

***

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