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- Écrit par David Sicé


G.I. Joe: The Rise Of Cobra (2009)
Traduction du titre original : Fer Galvanisé, L'avènement du Cobra.
Sorti en France le 5 août 2009.
Sorti aux USA le 6 août 2009.
Sorti en Angleterre le 7 août 2009.
Sorti en blu-ray américain le 3 novembre 2009 (multi-régions, français DD 5.1 inclus, Anglais DTS HD MA 5.1)
Sorti en blu-ray français le 10 décembre 2009 (régions A, B, apparemment identique au blu-ray américain).
De Stephen Sommers (également scénariste), sur un scénario de Stuart Beattie, David Elliot, Paul Lovett ; d'après la ligne de jouets de Hasbro ; avec Dennis Quaid, Channing Tatum, Marlon Wayans, Adewale Akinnuoye-Agbaje, Christopher Eccleston, Grégory Fitoussi, Joseph Gordon-Levitt, Leo Howard, Karolina Kurkova, Byung-hun Lee, Sienna Miller, David Murray, Rachel Nichols, Kevin J. O'Connor, Gerald Okamura, Ray Park, Jonathan Pryce, Brandon Soo Hoo, Saïd Taghmaoui, Arnold Vosloo.
Pour adultes et adolescents.
France 1641, un écossais, James Mc Cullen est condamné pour trahison parce qu’il a vendu des armes à l’ennemi des Anglais, le Roi Louis XIII. McCullen rétorque à ses juges que leur roi est un sac d’ordures qui assassine ses propres alliés, et prétend que la destinée véritable d’un McCullen n’est pas simplement de vendre des armes mais de mener les guerres. Comme lui demande s’il a quelque chose à dire avant d’être exécuté, McCullen se vante que son clan est plus grand et plus puissant qu’aucun de ses juges ne pourrait l’imaginer et ses fils continueront leur ascension bien après son départ, ainsi que les fils de ses fils, et les fils de ses fils de ses fils : rien ne s’arrêtera avec sa mort. Son juge lui répond alors qu’ils ne vont pas le tuer, mais faire de lui un exemple, afin qu’aucun homme, aucune femme ni aucun enfant ne puisse voir son visage à nouveau, McCullen portera un masque de fer jusqu’à la fin de sa vie naturelle. Le bourreau sort alors des charbons ardents les deux moitié d’un casque incandescent recouvrant complètement la tête, qui sont alors plaqués sur McCullen.
De nos jours, le siège du Commandement de l’Organisation des Nations-Unies : un descendant de McCullen ouvre son discours en rappelant que depuis quatre siècles, ses ancêtres ont été les plus grands fabriquants d’armes au monde – mais il espère qu’en ce siècle il les dépassera tous. Sur les écrans géants, McCullen présente les Nanomites, des minuscules robots insectoïdes qu’il présente comme de parfaits petits soldats, à l’origine développés pour isoler et tuer les cellules cancéreuses. Mais les industries MARS, avec l’aide du financement des Nations-Unies, ont découvert comment programmer les Nanomites pour faire pratiquement n’importe quoi : par exemple, manger du métal. McCullen présente alors sur les écrans géants le test d’un missile Nanomite tiré sur un char. Chaque tête de missile contient sept millions de nanomites – à l’impact, ils se répandent en une gerbe verdâtre et le tank, rongé, tombe en poussière. Selon McCullen, un seul missile peut dévorer n’importe quoi – d’un simple tank à une ville entière. Une fois lancé, les nanomites ne s’arrêtent jamais : lorsque la cible a été détruite, le responsable du lancement doit utiliser un système d’auto-destruction spécifique à chaque missile, qui court-circuitera les nanomites, les empêchant d’accomplir des destructions non souhaitées. Et McCullen d’annoncer que la première commande de têtes de missile nanomite quittera en bateau son usine au Kyrgystan, sous les applaudissements des spectateurs, à l’exception du général Hawk.
L’usine d’armement de MARS au Kyrgystan. Un homme en combinaison environnementale charge une mallette des têtes de missile en question. Il quitte le laboratoire la mallette à la main escorté de commandos, dont Duke. Ce dernier prend la parole face à son escouade : ils auront des véhicules Panther ouvrant et fermant la marche, et un véhicule RHINO transportera le paquet au milieu, ainsi qu’une couverture aérienne de deux hélicoptères Apache. Puis un employé réclame la signature du capitaine Ripcord pour livrer la valise. Ripcord demande si les têtes de missile pourraient exploser, et l’employé répond que non, et que les dispositifs d’auto-destruction sont dans la valise. Mais il recommande tout de même d’éviter les nids-de-poules. Ripcord confie immédiatement la valise à un membre de son commando nommé Bill, lui demandant de la déposer dans le RHINO.
Puis c’est le départ : les Apaches décollent, et le convoi sort de la montagne par un tunnel. Au volant, Ripcord essaie à nouveau de convaincre Duke de demander avec lui leur transfert dans les Forces Aériennes des États-Unis, au motif qu’il rêve de voler en avion à réaction depuis l’âge de 13 ans. Duke lui propose plutôt de lui offrir un trampoline s’il tient tant que cela à s’envoyer en l’air. Ripcord affirme avoir déjà rempli le formulaire de candidature, et demande à Duke pourquoi il refuse. Duke répond qu’il veut combattre au sol, par survoler les combats au sol.
Puis la nuit tombe et les Apaches annoncent par radio qu’ils passent en vision de nuit. Tandis qu’ils traversent des bois où broutent des animaux de ferme, Ripcord s’étonne : est-ce qu’ils n’étaient pas censés être rejoints par l’équipe de reconnaissance au kilomètre 40. Duke le confirme, et Ripcord remarque qu’ils viennent de dépasser le kilomètre 41. Duke alerte alors les Apaches, qui répondent qu’il n’y a rien à l’horizon qui puisse les menacer.
A peine le radio de l’hélicoptère a terminé son rapport qu’un engin volant non identifié descend sur eux et décharge une arme inconnue sur le premier Apache, qui explose.
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- Écrit par David Sicé
Aliens in the Attic (2009)
Traduction du titre original, des étrangers dans le grenier.
Sorti aux USA le 31 juillet 2009.
Sorti en Angleterre le 12 août 2009.
Sorti en France le 28 octobre 2009.
Sorti en blu-ray américain le 11 octobre 2011 (région A, pas de version française).
Sorti en blu-ray sud-africain le 22 mars 2009 (région B, C, français inclus)
De John Schultz, sur un scénario de Mark Burton et Adam F. Goldberg. Avec Ashley Tisdale, Robert Hoffman, Austin Butler, Carter Jenkins, Ashley Boettcher, Henri Young, Regan Young, Doris Roberts, Thomas Haden Church, Josh Peck, J.K. Simmons, Kari Wahlgren.
Dans l’espace intersidérale des débris d’astéroïdes fusent, mais pas tant que quatre capsules d’une technologie inconnue sur la terre ; Dans sa chambre, tard le soir, Tom pirate la base de donnée de son lycée au moment même où ses parents consultent ses notes déplorables en ligne. Et sous les yeux de ses parents, les mauvaises notes se changent en bonne note. Juste après, la sœur Bettany entre par la fenêtre après être secrètement sortie avec son petit ami Ricky, que Tom trouve stupide. Hannah, la benjamine de la famille vient alors prévenir les deux adolescents de l’arrivée éminente de leur père, furieux : reprochant à Tom d’être toujours sur son ordinateur et d’être parfaitement capable de réussir en mathématique, étant donné qu’il est assez intelligent pour pirater un ordinateur. Pour résoudre le problème, le père débranche l’ordinateur et emmène toute la famille à la campagne.
Tandis que la radio annonce une pluie de météores dans le ciel, ils découvrent la maison de campagne, dépourvue d’Internet. Tom est persuadé qu’il va s’ennuyer à mourir et monte ses affaires. C’est alors que l’oncle arrive, avec des cousins – un grand blond autoritaire et une paire de jumeaux - et la grand-mère et que Bettany s’installe pour un bain de soleil. Tom déteste son cousin : plus jeune, il est plus grand, fort en math et s’entend parfaitement avec les parents. Mais quand Tom ressort de la maison, il a la désagréable surprise de découvrir que Ricky est arrivé. Il prétexte être venu voir ses parents qui ont une maison sur le lac, mais raconte aussi qu’il a des problèmes de moteur. Et après une tentative ratée de réparation, le père de Tom invite Ricky à passer la nuit. Comme Tom et son cousin sont tombés d’accord pour considéré Ricky comme un être détestable, et invite Tom à protéger l’honneur de sa famille à coup de paint-gun. Pour l’opération, le cousin s’est camouflé, pas Tom. Comme Tom hésite, le cousin qui déclenche le tir, qui s’avère automatisé. Repérée par Bettany, il est immédiatement sermonné par sa sœur, qui confisque l’arme. Ricky, qui va mieux, prétend que Tom n’est qu’un enfant donc il faut le pardonner. Et il se moque dans le dos du père de Tom.
Alors qu’un orage arrive, la télévision tombe en panne. Ricky propose de réparer l’antenne, mais c’est une fourberie pour obliger Tom à monter lui sur le toit et le narguer encore plus : il se vante d’avoir gagner des points de pitié auprès de ses parents, et d’avoir en plus sa sœur comme infirmière particulière. Ricky ajoute qu’en plus il a menti sur tout : ses parents, la maison du lac, le fait d’avoir 18 ans. Il est bien en dernière année, mais pas au lycée. Puis il ordonne à Tom de monter sur le toit, et Tom obéit. Seulement sur le toit, Tom trouve la parabole déchiquetée et incandescente. Tandis que l’orage menace, il entend de drôle de bruit et commence à explorer le toit. Son cousin le rejoint pour lui faire peur, mais juste après, ils aperçoivent une ombre étrange grandir sur le mur, et l’ombre a quatre bras. Et quand ils se retournent, ils se retrouvent face - enfin, façon de parler - à un véritable extraterrestre…
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- Écrit par Greenheart
S.O.S Fantômes (1984), le blu-ray français de 2009
Sorti en France le 16 juin 2009. Multi-régions.
Ici l'article de ce blog sur le film S.O.S Fantômes (1984)
Sur le film : Une excellente comédie fantastique horrifique devenue culte, par des ex du Saturday Night Live, l'émission de divertissement du samedi soir américaine qui servit de modèle aux premières saisons de Nulle Part Ailleurs sur Canal Plus. Les scénaristes empruntent joyeusement à Lovecraft et mélangent des fantômes cartoonesques avec des éléments beaucoup plus dérangeants (scène de l'agression du personnage de Sigourney Weaver.
Les dialogues sont particulièrement réussis, tout comme la réalisation, avec un univers surnaturel aux lois cohérentes. Le film donnera lieu à une série animée et une suite moins inspirés, ainsi qu'à un jeu de rôles. Un troisième épisode est toujours en préproduction, souffrant vraisemblablement de problème de scénario.
Image : médiocre à correcte 1920x1080p format 2.40:1 - (avec un réglage d'image de contraste fort) Les deux tiers des scènes (en général intérieur ou de nuit) sont bruitées, le bruit étant plus ou moins élevé - dans les toutes premières scènes, c'est carrément de la neige blanche (petits points blancs fourmillants). Les couleurs sont un peu délavées. Quelque soit la scène, la totalité des détails fins est gommée, même si on les devine par intermittence. Sur certains plans, les effets spéciaux se voient trop (scène où un monstre sort dans la rue pour poursuivre sa victime de nuit, la délimitation verte de sa silhouette est parfaitement visible). L'image s'améliore cependant graduellement au fur et à mesure du film, sans jamais atteindre une qualité blu-ray digne de ce nom. En baissant le contraste, vous obtenez une image plus acceptable mais d'allure un peu fatiguée.
Son : correct mais limité - Anglais true HD 5.1 - les dialogues anglais sonnent un peu vieux, frontaux, faiblards et limités, l'image sonore est légèrement trouble, les effets sonores pas toujours très détaillés et si l'immersion existe, elle n'impressionne pas. La version française également true HD 5.1 sonne plus claire.
Bonus : Nombreux - commentaire audio d'Ivan Reitman, Harold Ramis et Joe Medjuck - Slimer Mode (visionner le film avec des commentaires et bonus en incrustations) - La restauration de la voiture du film Ecto 1 (16/9ème HD, image bien meilleure que celle du film) - La production du jeu Ghostbuster (16/9ème HD, image très bonne) ; scènes coupées ; gallerie photo de la voiture ; tournage du film porté des DVD (4/3 image non restaurée, un peu flou et couleurs délavées, son mono) ; interview des acteurs porté des DVD (4/3; image correcte SD) ; les effets spéciaux porté du DVD (4/3 ; image bonne ; avec Richard Edlund, SD) ; multiangles portés des DVD (4/3 image non restaurée très mauvaise, en fait l'image sans les effets spéciaux et avec des animatiques - animations simplifiées remplaçant les plans à effets spéciaux les plus chargés) ; Storyboard comparaison porté des DVD (image 4/3 SD de bonne qualité - en haut l'image du storyboard en bas l'image de qualité tirée du film) ; des bandes annonces HD de plusieurs films. Noter que les menus ne sont pas pratiques à naviguer et que la qualité du film en mode Slimer semble pire encore.
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En conclusion : Clairement un problème de transfert au rabais. Le bruit (ou grain) ou les couleurs délavées ne font pas partie de la projection à sa sortie en salle, je peux le certifier, j'y étais. Je suppose qu'il s'agit d'un transfert (restauré) pour le DVD et certainement pas un scan 4K restauré à partir des éléments d'origines. Si une majorité d'effets spéciaux sont encore très corrects, certaines incrustations sont simplement à refaire.
Depuis cette édition S.O.S Fantômes a connu deux autres transferts : celui 4K de 2013 ne me parait pas tellement plus convaincu. En revanche, j'attends beaucoup du nouveau transfert de 2014 (et du son DTS), mais je ne l'ai pas encore testé.
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- Écrit par David Sicé
Terminator Salvation (2009)
Traduction du titre original : La rédemption du Terminateur.
Autres titres : Terminator 4, Terminator Renaissance.
Noter que ce film existe au moins en deux versions : cinéma (courte) et montage du réalisateur (longue).
Sorti aux USA le 21 mai 2009.
Sorti en France et en Angleterre le 3 juin 2009.
Sorti en blu-ray américain le 1er décembre 2009 (deux blu-rays multi-régions, un pour chaque montage du film, anglais DTS HD MA 5.1, français canadien DD 5.1, espagnol DD 5.1, image et son meilleurs que l'édition française).
Sorti en blu-ray français le 19 novembre 2009 (un seul blu-ray, pour les deux montages, anglais DTS HD MA 5.1, français DTS HD MA 5.1).
De McG ; sur un scénario de John D. Brancato et Michael Ferris , d'après les films Terminator 1 et 2 ; avec Christian Bale, Sam Worthington, Anton Yelchin, Moon Bloodgood, Helena Bonham Carter, Jadagrace, Bryce Dallas Howard, Common, Michael Ironside, Ivan G'Vera, Chris Browning, Dorian Nkono, Beth Bailey.
Pour adultes et adolescents.
Prison d’État de Longview, 2003. La doctoresse Serena Kogan rend visite à un prisonnier, Marcus Wright, lequel, assis sur son lit, attend d’être exécuté dans le Couloir de la Mort. Elle lui demande comment il va, il lui répond de poser la question à nouveau dans une heure. Essoufflée, la doctoresse s’assoie sur le tabouret de la cellule. Elle a le crâne rasé et porte un calepin : elle dit Marcus qu’elle a voulu essayer une dernière fois de le convaincre et Marcus lui répond qu’elle aurait dû rester à San Francisco. Elle lui répond qu’en signant son formulaire de consentement, Marcus donnera son corps à une noble cause : il aura une seconde chance de vivre à travers ses recherches. Marcus répond que Serena Kogan sait ce qu’il a fait : son frère et deux policiers sont morts à cause de lui, donc il ne veut pas d’une seconde chance.
Puis Marcus dévisage la doctoresse et remarque qu’il n’est pas le seul a avoir reçu la peine de mort. Il demande alors si Serena Kogan pense qu’il va soigner son cancer. La doctoresse répond qu’elle ne s’inquiète pas de son propre sort, mais du futur de l’espèce humaine. Marcus propose alors de lui vendre son consentement. Comme Serena lui demande son prix, il répond : un baiser. Puis, comme elle ne répond pas, il l’embrasse sur la bouche, alors qu’il est encore menotté. Puis comme il se retire, il commente que c’est donc ce goût-là qu’a la Mort. Serena Kogan lui tend alors le calepin avec le formulaire, que Marcus signe immédiatement. L’en-tête du document est celle de Cyberdyne Systems, département de l’ingénieurie génétique de San Francisco, Californie.
La doctoresse s’empresse alors de sortir de la cellule, puis la porte de la cellule rabattue, elle se retourne et de l’autre côté des barreaux, déclare que Marcus a fait un geste très noble. Marcus répond que non, il est coupable : qu’ils le découpent jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien. Plus tard, Marcus est sanglé à la couchette de la salle d’exécution et on lui enfonce une perfusion dans l’avant-bras. On lui demande s’il a des derniers mots à dire, puis un technicien déclenche les pistons qui vont lui injecter le poison. La dernière chose que Marcus voit alors, c’est le visage de la doctoresse Serena Kogan qui se penche sur lui, tandis que le monde devient blanc.
Au début du 21ème siècle, Skynet, un programme militaire de Défense, est devenu conscient. Voyant l’Humanité comme une menace pour son existence, Skynet décida de frapper le premier. Les survivants de l’holocauste nucléaire appelèrent l’évènement le Jour du Jugement. Ils ne survécurent que pour faire face à un nouveau cauchemar… la guerre contre les Machines : pour chasser et éradiquer les humains, Skynet construisit les Terminateurs. Et comme la guerre faisait rage, les meneurs de la Résistance Humaine se désespéraient. Certains croient qu’un seul homme tient en main la clé de la Rédemption. D’autres croient que cet homme n’est qu’un faux prophète. Son nom est John Connor.
Nous sommes en 2018. Un drone approche d’un site de recherche et développement de Skynet entouré d’antennes paraboliques géantes. Comme le drone approche, un canon de défense anti-aérienne ouvre le feu et le drone s’écrase au milieu des antennes, dans une énorme explosion. Le corps d’un Terminateur calciné rebondit au milieu des antennes déchiquetées, tandis qu’un autre drone passe en rase-motte au-dessus, avant de s’écraser à son tour. Un hélicoptère dépose alors quatre soldats humains, suivi de cinq autres hélicoptères. L’un des hélicoptères se pose sur le corps du Terminateur, et le soldat qui en descend tire dans le crâne de métal du robot tueur. Ce soldat n’est autre que John Connor, qui rappelle leur mission : leur commandement veut qu’ils entrent dans le site, prennent les données des ordinateurs et repartent aussitôt.
Connor descend dans un énorme puits industriel suspendu à un cable – allume une torche, puis descend avec le reste de son escouade dans un couloir inondé. Comme les soldats progressent avec de l’eau jusqu’à la taille, l’un d’eux fait remarquer qu’il n’y a aucun signe des Machines et que c’est beaucoup trop calme comme endroit, comme si les Machines les attendaient. Ils accèdent alors à une sorte de laboratoire inondé, avec des cadavres sur des tables. L’un deux est celui de Marc Wright, les yeux ouverts et en parfait état de conservation. Après la salle aux cadavres, Connor entend un bruit étrange, utilise son pistolet à fusées éclairante, et déclare alors à sa radio qu’ils ont leur objectif en vue – et aussi autre chose, qu’il faut qu’ils voient, à savoir des dizaines de civils en cage, incapables de parler.
En examinant les ordinateurs, l’un des soldats de Connor constate que les civils prisonniers doivent être emmenés à San Francisco pour un projet Recherche et Développement de mise au point d’un nouveau Terminateur. Le soldat informaticien dit qu’il a besoin de deux minutes pour récupérer les données, mais Connor s’approche et demande à ce que l’informaticien revienne en arrière dans ses recherches : s’affichent alors les plans du T-800, un nouveau Terminateur, et un autre soldat fait remarquer que ce dernier est exactement comme l’avait prédit Connor – mais en pire, selon Connor.
Mais Olsen, le chef de la mission lui ordonne de ne plus s’occuper de cela : ce n’est pas Connor qui commande. Et Olsen ordonne ensuite de libérer les prisonniers, faisant remarquer à Connor que les soldats sous son commandement ont l’obligation de répondre à la radio quand on les appelle, même s’ils sont morts. Du coup, Connor remonte à la surface, et découvre ses soldats morts. Un drone ennemi vient de décoller, et Olsen lui ordonne de le poursuivre. Connor débarrasse un hélicoptère de son pilote mort et prend sa place. Puis la radio annonce que le transfert des données est achevé et qu’ils le rejoignent à la surface. Alors il y a une explosion : l’hélicoptère de Connor se met à tournoyer, puis retombe au sol. Connor sort de l’hélicoptère, et appelle en vain Olsen. Alors un Terminateur cul-de-jatte agrippe Connor.
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