Space Trucker, le film de 1996Feu orange cinéma

Space Trucker (1996)
Traduction : Camion de l'Espace.

Sorti le 14 janvier 1997 en Espagne.
Sorti en avril 1997 aux USA.
Sorti le 18 avril 1997 en Italie.
Sorti le 23 mai 1997 en Angleterre.
Sorti en DVD.
Sorti en blu-ray anglais le 14 mai 2018 (son LPCM 2 anglais sous-titré anglais, format non respecté, manque de l'image sur tous les côtés, bonus).

De Stuart Gordon (également scénariste), sur un scénario de Ted Mann ; avec Stephen Dorff, Dennis Hopper, Debi Mazar, Charles Dance.

Pour adultes et adolescents.

Triton, la plus grosse lune de Neptune, son atmosphère enneigée, et au bout d’un de ses canyon, une base en état d’alerte où des soldats s’assemblent et positionnent leur canon pour un tir à courte portée, et se prépare à sceller le hall au bout du compte-à-rebours. Sur une estrade, un commandant trône dans son fauteuil tandis qu’une femme peroxydée annonce au reste de la base que la salle où elle se trouve est scellée. Le patrouilleur 2 lui répond par vidéo qu’un intrus est en approche de la base. La femme ordonne de scanner le secteur du périmètre trois. Le patrouilleur déclare qu’il a repéré l’intrus et qu’il ouvre le feu.

Pendant ce temps, le commandant, un certain Monsieur Saggs, remarque sur un ton badin à son second, un binoclard nommé Nabel, que la chose est déjà repérée et ciblée : franchement il s’attendait à mieux – la compagnie s’attendait à beaucoup plus. Le binoclard lui assure qu’il faut juste qu’il se montre patient. C’est alors que le patrouilleur s’écrie qu’il a dû rater sa cible, qu’il est en train d’essuyer des tirs, qu’il est touché, qu’il lui faut des renforts — et ils perdent le contact avec leur patrouilleur.

Alors que le commandement croie encore avoir seulement perdu contact alors qu’il a perdu ses défenses, on tire sur le poste et les murs tremblent. Monsieur Saggs crie alors que c’est juste dehors. La porte blindée du hall fond, et dans la brèche apparaît un seul robot bipède. L’escouade de soldats posté ouvre le feu. Un premier tir sifflant fait exploser en morceau le premier rang, puis c’est au tour du reste du personnel, excepté Saggs et Nabel qui se sont embusqués.

Le robot bipède à la tête aux trois yeux-canons rouges saute sur l'estrade et va pour les abattre à leur tour quand Nabel appuie sur un bouton de télécommande et le robot se fige. Saggs déclare alors que l’exercice est arrivé à son conclusion et que le reste des troupes doit se mettre au repos. Puis il demande à Nabel combien de personnes sont au courant de cela. Nabel assure qu’il est le seul à avoir une vision complète de la chose — il a séparé les différents éléments du projets entre plusieurs divisions, plusieurs planètes. Voilà pourquoi cela a coûté si cher et Saggs confirme mais ajoute qu’avec suffisamment exemplaires du robot, ils pourraient s’emparer du monde.

Nabel lui demande de quel monde il parle. Saggs parle de la Terre, car cela fait des années que son gouvernement ne pend qu’à un fil : avec une centaine de ces robots. Nabel lui répond qu’ils en ont cinq mille. Ils sont équipés de canons à particules, personne n’aura quelque chose d’aussi puissants avant cinq années... Puis Nabel remet la télécommande à Saggs, ayant programmé les robots pour obéir à sa voix. Saggs lui répond qu’il est un génie et qu’un bonus d’enfer lui aurait été accordé si le projet d’invasion de la Terre ne passait pas avant. Par ailleurs, il n’était pas question que Nabel puisse témoigner... – et Saggs d’ordonner aux robots d’exécuter leur créateur.

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