Inception, le film de 2010Feu vert cinéma

Ici la page Amazon.fr du blu-ray français d'Inception (2010)

Inception (2010)
Traduction du titre original : Enclenchement.

Sorti aux USA et en Angleterre le 16 juillet 2010.
Sorti en France le 21 juillet 2010.
Sorti en blu-ray français le 3 décembre 2010 (multi-régions).
Sorti en blu-ray américain le 7 décembre 2010 (multi-régions, français inclus).
Sorti en blu-ray français coffret malette le 10 décembre 2010 (édition identique, livret et toupie inclus).

De Christopher Nolan (également scénariste), avec Leonardo DiCaprio, Ken Watanabe, Joseph Gordon-Levitt, Marion Cotillard, Cillian Murphy, Ellen Page, Tom Berenger, Tom Hardy, Michael Caine, Lukas Haas, Tai-Li Lee, Dileep Rao.

Pour adultes et adolescents.

Cobb s’est échoué sur une plage de l’océan et croit voir un petit garçon et une petite fille jouer au soleil en riant. Mais la plage est déserte, à part un garde armé qui tâte le dos de l’homme avec le bout du canon, puis en relevant un pan de la chemise, et découvre la crosse d’un pistolet. Le soldat appelle alors un autre garde, lequel comme lui défend le périmètre d’un palais à l’architecture traditionnelle japonaise. Dans une des salles du palais or et rouge, un très vieil homme, Saïto, est assis à un bout d’une longue table vernie. Un soldat annonce à Saïto que Cobb connait son nom et demande à lui parler. Le soldat ajoute que Cobb n’avait que deux objets sur lui, un pistolet automatique, et une petite toupie de métal. On amène Cobb, auquel on donne a donné un bol de riz à manger. Saïto demande à Cobb s’il est venu le tuer. Cobb ne répond pas. Saïto ajoute qu’il sait ce qu’est la toupie, et qu’il l’a déjà vu des années auparavant, il y a très longtemps. Selon le vieillard, la toupie appartenait à un homme aux idées étranges et radicales.

Des années auparavant, au cours d’un repas dans la même salle à manger, le même Cobb, accompagné d’Arthur, son assistant, se présentait à Saïto, beaucoup moins vieux. Cobb avait commencé par demander à Saïto quel était le parasite le plus résistant de l’être humain. Selon Cobb, ce n’était pas un organisme vivant, mais une idée – une idée que Cobb prétendait être le meilleur du marché pour l’extraire : grâce à sa technologie et son expérience, Cobb attaquait les gens dans leur sommeil, ce qui rendait impossible toute défense. Saïto l’interrompt et déclare vouloir réfléchir. Comme Saïto sort de la salle à manger, Arthur se tourne vers Cobb et lui dit que Z sait, tandis qu’un grondement sourd monte, et que les verres et les lustres se mettent à trembler. Sur la terrasse, où se tient une réception où personne ne semble remarquer le grondement et les quelques tuiles qui se décrochent, tombent et se brisent. Arthur demande alors à Cobb ce qui se passe « là-haut ». Cobb regarde sa montre.

Là-haut, Saïto est couché, profondément endormi, tout comme Arthur, assis dans un fauteuil, et Cobb, assis sur une chaise posée au bord d’une table, placée au-dessus d’une baignoire remplie d’eau. Ils sont gardés par deux complices dans un appartement où il fait jour. Dans la rue, il y a une émeute, et une voiture explose. Il y a des cris, des tirs, et d’autres explosions. « En bas », Arthur et Cobb sont sortis de la salle à manger, et Arthur répète que selon lui, Saïto sait et joue avec eux, Cobb affirme qu’il est encore capable de récupérer l’information qui les intéresse. Cependant, Cobb veut d’abord parler à une femme à la terrasse, et son assistant lui demande de faire vite, car ils sont là pour travailler.

La femme s’appelle Mal et Cobb la connait bien. Elle lui demande si elle survivrait à un saut. Cobb répond qu’en plongeant correctement, ce serait possible. Elle lui demande si elle lui manque, si ses enfants lui manquent. Ils sont alors dans un salon, où il lui demande de s’asseoir. Il attache une corde au pied d’un fauteuil, et prétendant aller prendre l’air, il descend par la fenêtre le long de la façade, puis découpe une vitre des cuisines. Armé, il retourne dans un hall et abat deux gardes, se retrouve dans la salle à manger, où il trouve derrière un panneau coulissant un coffre avec une enveloppe à l’intérieur qu’il échange avec une autre enveloppe, identique. Les lumières s’allument : Saïto et Mal sont entrés, et Mal le met en joue avec un pistolet automatique et lui ordonne de baisser son arme, mais comme il refuse, elle met en joue Arthur que deux soldats leur amène. Cobb baisse son arme, un soldat la prendre, et Cobb lève les mains en l’air et demande si Mal a dit quelque chose à Saïto ou bien s’il savait depuis le début. Saïto se vante alors d’avoir su depuis le début que non seulement Cobb était là pour le voler, mais qu’ils étaient dans un rêve. Saïto veut maintenant savoir qui emploie Cobb.

De ce fait, Cobb répond que les menaces ne comptent pas dans un rêve : Mal répond qu’en mourant dans le rêve, Arthur se réveillera dans la réalité, mais la douleur, elle, est bien réelle pour l’esprit, et que, vu qu’ils sont dans l’esprit d’Arthur, la souffrance d’Arthur sera réelle. Et elle tire une balle dans le genou d’Arthur.

Inception, le film de 2010

Inception, le film de 2010

Inception, le film de 2010

Inception, le film de 2010

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Jason et les Argonautes (1963), le blu-ray de 2006Feu orange blu-ray

Jason and the Argonauts, le blu-ray américain de 2006.

Ici l'article de ce blog sur ce film.

Sorti aux USA le 6 juillet 2010.

Blu-ray américain région A (illisible sur un lecteur français, sauf multi-régions, pas de piste française).

Sur le film : l'aventure avec un grand A, le film de référence pour tout ce qui est Fantasy mythologique, n'a pas pratiquement pas vieilli au contraire du Choc des titans.

Image : 1080p 1.66:1, format original 1.85:1 non respecté (barres noirs sur le côté). Médiocre à très bonne. Les plans truqués sont tous gâchés par le fait qu'il n'a pas été possible de refaire les trucages à partir des plans d'origine - granuleux, détails fins perdus, couleurs virés. L'effet d'origine qui consiste à ajouter une espèce de fumée sur les bords est particulièrement désastreux. Dès que le plan n'est pas truqué et bien éclairé, l'image devient presque superbe, détails fins jusqu'aux cils. Dans les plan sombres, il y a un peu de bruit sur les surfaces plus ou moins visible selon le réglage du contraste de votre image.

Son : Anglais DTS-HD Master Audio 5.1. Correct et Dolby Digital Anglais 2.0 faiblard. Le DTS Anglais sonne daté, un peu étriqué, un peu grinçant, mais bien meilleur que sur le DVD français de 1999. L'immersion est limitée et varie fortement selon la scène : par exemple le premier dialogue entre Zeus et Hera aurait dû résonner dans les hauts-parleurs arrière pour reproduire l'écho de leur palais. La musique ou les effets sonores sont également très limités dans leur réalisme. Les basses, bien que présentes, n'impressionnent pas.

Bonus : nombreux, très bons. Commentaires audios de Ray Harryhausen et du spécialiste de l'histoire du cinéma Tony Dalton; commentaire du réalisateur Peter Jackson et du spécialiste des effets spéciaux Randall William Cook, galerie storyboard original de la scène du combat contre les squelettes, The Harryhausen Legacy (l'héritage d'Harryhausen, documentaire 16/9 SD, image bonne), interview de Ray Harryhausen par le réalisateur John Landis 4:3, image bonne, The Harryhausen chronicles présenté par Leonard Nimoy (4:3, image très bonne, gros plans sur les maquettes et marionnettes), deux bandes annonces d'époque couleur 16/9ème restaurée (image médiocre sur les plans truqués à excellente sur les plans non truqués), bande annonce loterie noir et blanc 16/9ème (image excellente mais seulement quelques images noir et blanc), huit pub télévisée format 4:3 qualité identique à celles des bande annonces cinéma (deux en couleur, six en noir et blanc). Bandes-annonces offertes : Ghostbuster (le blu-ray à l'image médiocre granuleux, piqué et défraîchi), Rencontre du troisième type (blu-ray du 30ème anniversaire, avec les deux versions originale et director's cut, image moyenne à très bonne); 20 million miles to Earth (image noir et blanc, mauvaise piqueté et rayée) : It cames from beneath the Seas (noir et blanc, image mauvaise piquetée et rayée) ; The Seventh Voyage Of Sinbad (image mauvaise granuleuse, piquetée, couleurs virées, rayée).

C'est le seul blu-ray disponible de ce film. L'image ressemble beaucoup au master du DVD français de 1999, nettoyé des coups à l'image et aux couleurs corrigées. Pour mieux faire, il faudrait que les négatifs des rushs aient survécu et investir un minimum pour refaire les trucages et génériques, ce qui ne sera pas évident, voire matériellement impossible. L'éditeur (Sony) a cependant fait l'effort de compiler différents documentaires et les commentaires audios.

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Le dernier maître de l'Air, le film de 2010Feu rouge cinéma

The Last Airbinder (2010)

Ici l'article de ce blog sur la série animée originale Avatar, le dernier maître de l'Air (2005, Avatar, The Last Airbinder)

Sorti aux USA en 3D le 1er juillet 2010.
Sorti en France en 3D le 28 juillet 2010.
Sorti en Angleterre en 3D le 13 août 2010.
Sorti en blu-ray américain 2D le 16 novembre 2010 (région A et B, français inclus).
Sorti en blu-ray français 2D le 30 novembre 2010 (région B, identique à l'édition américaine mais image et son probablement moins bons)
Sorti en blu-ray 3D américain le 1er janvier 2013 (probablement région A et B, coffret blu-ray 3D+blu-ray 2D).

De M. Night Shyamalan (également scénariste), adapté de la série animée Avatar, le dernier maître de l'Air ; avec Noah Ringer, Nicola Peltz, Jackson Rathbone, Dev Patel, Shaun Toub, Aasif Mandvi, Cliff Curtis, Seychelle Gabriel, Katharine Houghton, Francis Guinan, Damon Gupton, Summer Bishil.

Pour adultes et adolescents.

Cent années auparavant tout allait bien avec notre monde. La Prospérité et la Paix remplissaient nos jours. Les Quatre Nations : Eau, Terre, Feu et les Nomades de l’Air, vivaient parmi chacun en harmonie. Un grand respect était accordé à tout ceux qui pouvaient maîtriser leur élément naturel. L’Avatar était la seule personne née parmi toutes les nations qui pouvait maîtriser tous les quatre éléments. Il était le seul à pouvoir communiquer avec le monde des Esprits. Avec le conseil des Esprits, l’Avatar maintenait l’équilibre du monde. Et puis, une centaine d’année auparavant, il a simplement disparu.

Livre Un : L’eau.

Une boule d’eau sort de la mer pour s’élever au-dessus de la banquise tandis qu’une jeune fille vêtue à la manière d’une esquimau, Katara, la guide de ses bras. Mais la boule d’eau explose et douche le jeune homme – son frère, Sokka – qui se trouvait juste en dessous à ce moment-là. Katara s’excuse plusieurs fois tandis que son frère la pousse et fait mine de vouloir la frapper. Sokka se calme instantanément quand elle explique que son pouvoir fonctionnait mieux alors qu’elle pensait à leur mère, et quand elle lui demande si c’est bizarre, Sokka répond que sans doute et se détourne pour ajouter qu’il faut qu’elle arrête de faire ces trucs quand il est à côté, parce qu’il finit toujours trempé.

Sokka et Katara vivent dans la tribu des Eaux du Sud, qui était autrefois une grande ville. Leur père est parti se battre à la Guerre. Leur mère a été emprisonnée et tuée. En ces temps de guerre, la nourriture est rare. Sokka et elle partent souvent chasser, mais Sokka n’est pas le meilleur chasseur du monde. Alors qu’ils marchent dans la neige, Sokka s’arrête, pose un genou à terre et sourit : ils suivent la piste d’un phoque-tigre, selon lui. Katara lui demande alors s’il en est bien sûr. Ils suivent un petit défilé et se retrouve face à une étendue déserte, où la glace semble fine. Tandis que Katara sourit, moqueuse, Sokka se justifie : il a fait tout ce que son père disait de faire – il a regardé de quel côté les traces des nageoires étaient le plus dentées, ce qui monte dans quelle direction la bête allait. Il a vérifié la longueur des traces, ce qui montre à quelle vitesse ils vont.

Tremblant de colère, Sokka se retourne vers sa sœur, mais celle-ci fixe la glace sous leurs pieds : il y a une lumière qui brille de plus en plus fort sous eux. Sokka donne un coup de pioche et fendille la surface de la glace. C’est alors qu’un grondement se fait entendre, et Sokka écarte vivement Katara de l’endroit en criant que le sol est en train de s’effondrer. De fait la glace se brise et une énorme sphère de glace émerge, tandis qu’ils aperçoivent un instant une silhouette assise en tailleur dans la sphère, dont les yeux brillent. Sokka murmure alors à Katara de ne pas s’approcher parce que c’est très certainement un piège d’un membre de la Nation du Feu : il leur faut seulement se reculer très lentement.

Mais Katara échappe à son frère et va frapper la sphère de son piolet. Alors la sphère se brise et une colonne de feu bleu monte alors jusqu’au ciel – remarquée par les passagers d’un vapeur brise-glace qui naviguait plus loin. Le frère et la sœur s’approchent alors du cratère de glace laissé par l’explosion, et découvrent au milieu un jeune garçon l’air évanoui et une grosse bête à fourrure – sa monture, endormie. Sokka demande au jeune garçon, Aang, s’il a vu la colonne de lumière, mais Katara fait remarquer que l’enfant est épuisé. Sokka va alors tâter de la lance les flancs de l’énorme bête, qui d’un mouvement de la queue, renverse le jeune homme.

Comme ils ont ramené Aang à leur village, Katara remarque les tatouages très fins qui dessinent avec des flèches sur le corps du garçon qui renfile sa chemise après un brin de toilette. Comme elle lui demande comment il est arrivé jusque là-bas, le garçon explique qu’il s’était enfui de chez lui, il a été pris dans un orage et a été poussé sous l’eau de l’océan, et il conçoit que ce n’était pas très intelligent de sa part de partir comme cela, mais il était en colère. Arrive Sokka qui annonce que la Nation du Feu arrive, et il demande à tous les enfants qu’il fait entrer dans l’igloo, et auxquels il demande de rester caché. Comme Sokka repart, Katara le suit en demandant au garçon de l’attendre lui-aussi dans l’igloo.

Le dernier maître de l'Air, le film de 2010

Le dernier maître de l'Air, le film de 2010

Le dernier maître de l'Air, le film de 2010

Le dernier maître de l'Air, le film de 2010

Le dernier maître de l'Air, le film de 2010

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Flash Gordon (1980), le blu-ray américain de 2010Feu vert blu-ray

Flash Gordon (1980, le blu-ray américain de 2010.

Sorti en blu-ray le 15 juin 2010, multi-régions, sous-titré français.

Ici l'article de ce blog sur le film Flash Gordon (1980)

Sur le film : Il s'agit d'une production Dino De Laurentiis, souvent capable du pire. La production ne sait pas ce qu'elle veut ou ce qu'elle dit, et prétend à la fois faire une parodie tout en étant graphiquement fidèle à la bande-dessinée, oser un érotisme de pacotille déplacé tout en vendant le film comme de l'aventure pour la jeunesse, bref c'est du grand n'importe quoi. Avant, il y avait le bazar du bizarre Barbarella, après il y aura l'excellent Conan le Barbare (scénario d'Oliver Stone, ceci explique cela) et l'horrible Dune. En tout cas, dans les années 1980, Flash Gordon le film est vendu comme le nouveau Star Wars - ou plutôt le nouveau Battlestar Galactica : même album de figurine Panini offert en cadeau dans Pif Gadget (puisqu'on vous dit que c'est pour les gamins !). Plus, il y a des séquences violentes (comme dans la bande dessinée des années 1930) et des morts atroces, et on est vite loin du compte du simple divertissement. Le talent de Queen aidant, le film est devenu "culte" mais passe aussi comme une grosse daube à regarder avant tout pour les accents grotesques, et les excès visuels de la production, et en attendant que quelqu'un se décide à produire une véritable adaptation talentueuse et formidable de Flash Gordon // Guy l'Eclair.

Sur l'image : 1080p 24 images par secondes. 2.35:1. Excellente. L'image du blu-ray américain est conforme à mon souvenir au cinéma. Les détails fins y sont jusqu'aux cils, et malgré la débauche d'effets spéciaux d'avant l'ère du numérique, les couleurs flashy et tout ce qui conduirait habituellement à la catastrophe en HD, l'image est quasi cristalline, aucun artefact ne vient déranger, les textures de peaux survivent au maquillage et les horribles textures toc des costumes et des décors sont fidèlement reproduites. C'est simplement remarquable, en particulier si vous avez subi juste avant l'atroce transfert des Studio Canal / Network (blu-ray français et probablement anglais).

Sur le son : Anglais HD MA 5.1. Bon fort et tonique mais encore un peu étouffé et légèrement flou malgré l'indéniable haute-définition (les percussions à l'orchestre). L'immersion est très timide malgré l'abondance des effets sonores. Ceux-ci ont beau être aussi clinquants et percutants qu'un flipper, ils demeurent localisés dans la sphère avant. La comparaison avec le CD est claire, nous sommes encore en-dessous du son studio. Cependant le son du blu-ray français est beaucoup moins bon en comparaison, et là encore il n'y a aucun doute sur qui a édité le meilleur transfert : les américains.

Bonus : SD porté du DVD américain. Alex Ross (illustrateur) à propos du film Flash Gordon, qu'il considère le film le plus coloré de sa jeunesse - un simple compliment ; interview du scénariste Lorenzo Semple Jr, d'où vient visiblement le gros problème de scénario : avant même avoir lu la bande dessinée, et sans en connaître le contexte, il était déjà parti pour rédiger des dialogues "campy" (ridicules). Imaginez simplement que George Lucas et compagnie aient procédé avec la même désinvolture pour Star Wars, Indiana Jones etc. Étonnamment, le producteur et d'une manière en Italie, on adorait Flash Gordon d'après le propre aveu du scénariste, qui ne s'est même pas posé la question de savoir pourquoi (le merveilleux du space opera, le styling et les décors spectaculaires et vertigineux, le feuilletonnisme, l'action pure et l'héroïsme à puissance maximum, les visuels remarquables, le sens de la composition, l'aspect sculptural des héros et héroïnes etc.) ; premier épisode du serial Flash Gordon Space Soldiers (13 épisodes) The Planet Of Peril // La planète maudite, qu'il faut voir pour le croire (Le pilote : "nous n'arriverons pas à atterrir, dites aux passagers de tenter leur chance avec leurs parachutes..." et tous les passagers de l'avion qui sautent en parachute en hurlant...). Vivement d'ailleurs que le serial sorte en blu-ray.

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