Biosphère, le film de 2023Feu rouge cinéma

Biosphere (2023)

Ne pas confondre avec plus d’une douzaines de films intitulés Biosphère.

Sorti aux USA le 7 juillet 2023.

De Mel Eslyn (également scénariste et producteur), sur un scénario de Mark Duplass (également acteur et surtout propriétaire du studio qui produit le film); avec Sterling K. Brown et Mark Duplass.

Pour adultes.

(film covid, prospective woke toxique) Il était une fois… « D’accord, j’ai bossé sur une nouvelle approche. — Okay, écoutons-ça. — Jez suis encore en train de la bricoler. — Mais lors pourquoi tu m’en parles ? » Deux hommes — un noir (Ray) et un blanc (Billy) — font leur jogging à l’intérieur d’une sorte de hall avec baie vitrée géodésique donnant sur une obscurité absolue. Ils sont en tenue de sport. Billy est grisonnant, la barbe négligée, les traits tirés, Ray est pratiquement impeccable, cheveux et barbe d’un noir absolu, parfaitement taillés.

Billy reprend de sa petite voix nasillarde : « Okay, bien. Disons que deux types se soient retrouvés qualifiés pour la finale, et, que ce soient en fait des frères de sang, ou plutôt, des frères nés de différentes mères, des types du genre âmes sœurs, qui forment, un genre d’équipe, tu sais. — Ouaip. — Toutes les équipes ont besoin d’une mascotte et certains diraient même que Mario est peut-être celui qui a un peu plus de charme que l’autre. — Non, ils ont le même visage — Non, ils ne l’ont pas ! — Oui, ils l’ont : Luigi était littéralement le même gars, qui portait juste une couleur différente. — Non, non. Dans le premier, il l’était, mais plus tard, ils sont devenus leur propre individu. — Tu veux dire qu’ils ont étiré en hauteur Mario pour faire Luigi ? C’est sûr. — Mec, peu importe, c’est pas le sujet.

— Okay, mais alors Billy, c’est quoi ton sujet ? — Je suis désolé, t’avais peut-être rendez-vous quelque part ailleurs ? — Non mais… — t’es pressé ? — J’ai seulement les nerfs à fleur de peau, en toute honnêteté. — Le sujet, mon ami Ray, c’est que quelqu’un est encore le porte-parole de l’opération. — Okay, mais pourquoi ? — Parce que quelqu’un doit être le chef. — Ou se faire passer pour le chef. — ça le fera : quelqu’un doit donner l’impression qu’ils sont aux commandes, alors l’un des frères endosse ce rôle, et l’autre, en quelque sorte, devient un genre de… — Quoi, comme un acolyte ? — J’allais dire comme l’ingrédient secret — Ou bien est-ce que tu parles de l’homme caché derrière les rideaux ?

— Eh bien, ils sont, la même chose ; alors, écoute, quoi qu’il en soit, cela m’a fait réfléchir aux relations entre mecs et peut-être ces types pouvaient avoir une dynamique similaire dans la vraie vie, non ? Comme, l’un d’entre eux parle au nom des deux, mais en réalité, dans les coulisses… — l’ingrédient secret, j’ai compris. — Et aussi, tu sais, quand des gens fabriquent quelque chose, et qu’ils n’ont pas réalisé qu’ils se sont en quelque sorte, investis dans le truc ? — Ouais. — Exactement, ces types, ils ne l’ont pas réalisé, n’est-ce pas ? Mais ils ont mis leur relation en jeu, et maintenant, ici, nous on se pose la question « Hé, est-ce que Mario c’est le chef ? »

Un ange passe. Billy reprend « Okay, vas-y, dis-le ; tu penses que c’est stupide. — Ce n’est pas ce que j’ai dit. — Mais tu n’as pas eu besoin de dire. — Je n’ai réellement rien dit ! » Quelque chose bip et ils s’arrêtent de courir. Billy déclare « Je hais quand tu fais ça — Quand je fais quoi ? Okay, écoute : est-ce que c’est toute ta théorie ? Et ça t’a pris deux semaines pour en arriver là ? — Je n’ai pas dis que c’était tout, c’est à moitié fini, tu me l’as fait dire trop tôt : voilà pourquoi ça a l’air débile. — Car il y en a tellement plus à développer, n’est-ce pas ? C’est juste que c’est un filon tellement profond à exploiter ? »

Puis Ray pose sa main sur l’épaule de Billy : « C’est moi qui me montre facétieux. Ce qui veux dire que je plaisante. » Billy a l’air soudain très triste et bégaie avec une petite voix : « Ne… Fais pas… fais pas ça ! Je sais, je sais ce que ça veut dire !!! » Ray sourit alors de toutes ses dents : « Vraiment ? » Et il éclate de rire. Billy reprend : « Tu sais quoi ? Tu prononces mal le mot « Capricieux » une fois, une seule fois, une seule fichue fois, tu sais ? »

Ray s’arrête pour regarder son reflet dans la vitre donnant dans l’obscurité totale et répond : « En tout cas, tu leur en as remontré à tous, on dirait… » et il ricane. Ray semble effondré et murmure : « C’est pas drôle… — Un tout petit peu quand même. » Billy fait mine de lui donner un coup de serviette. Ray pousse un grand cri pour rire et répond : « Alors on essaie de se débarrasser de moi ? Jamais tu survivras sans moi ? »

Et après une dispute à coup de serviette vite interrompue par un « Trève ! »

Biosphère, le film de 2023

Biosphère, le film de 2023

Biosphère, le film de 2023

Biosphère, le film de 2023

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My Adventures With Superman, la série animée de 2023Feu rouge télévisionRécit toxique à ne regarder qu'avec prudence et esprit critique

My Adventures With Superman (2023)
Traduction du titre anglais : mes aventures avec Surhomme.

Toxique woke psychopathe schizophrène : vise à imprimer et normaliser chez le spectateur des comportements toxiques facilitant les viols et la violence sous toutes les formes en particulier sexuelle, les conduites à risque et une incapacité totale à identifier un problème y compris de survie et y remédier. Protégez-vous et protégez les enfants.

Une saison animée de 6 épisodes de 22 minutes chaque.

Diffusé aux USA à partir du 7 juillet 2023 (annoncé le 6 juillet) sur ADULT SWIM US, du 8 juillet 2023 (annoncé le 7 juillet) sur HBO MAX US (deux épisodes, puis un par semaine ?).

De Jake Wyatt, d’après la bande dessinée Superman de Jerry Siegel dessinée par Joe Shuster, avec les voix de Jack Quaid, Alice Lee, Ishmel Sahid.

Pour adultes.

(superhéros, fantasy toxique woke psychopathe schizophrène) Le soleil brille dans un ciel bleu d’une campagne verdoyante. Sur la route, un panneau vert liseré de blanc affiche que Smallville n’est plus qu’à quatre miles, Baker à 52 et Metropolis à 198. Nous sommes à deux pas d’une ferme, avec sa grange rouge, un pick-up bleu garé devant une maison blanche devant un grand arbre feuillu, un tracteur garé derrière la remise et un champ de blé haut et doré.

Dans les branches de l’arbre, un cerf-volant rouge est coincé, et au bas de l’arbre, un jeune garçon à grosses lunettes, aux cheveux noirs et au jersey blanc à manches rouges le fixe en faisant la moue. Va-t-il y mettre le feu et embraser l’arbre tout entier avec sa vision laser ou… ? Non, il tente plutôt de sauter plusieurs fois en l’air sans avoir aucune chance de saisir la queue du cert-volant, décorée de trois losanges bleus alternés de deux jaunes. Au moins, il aura fait de l’exercice et se bousillera peut-être un genou en retombant ?

Puis il semble se décider, gratte d’un pied la terre comme un petit poulain sur le point de charger, tend ses bras en l’air, et reste au sol. On se demande vraiment à quoi il s’attendait, en fait.

Soudain il se retourne : arrive une voiture (à essence) qui file à vive allure sur la route juste à côté, dont on n’entend le vrombissement qu’après que le gamin se soit retourné, et encore. La voiture roule apparemment sur une route à deux voies, mais elles ne sont pas indiquées au sol, simplement elle roule à contre-sens du grand panneau qui indique les distances au bord de la route à la hauteur de la ferme.

Le garçon instantanément se retrouve au bord de la route, sur la même ligne parallèle à la route que le panneau. Il était pourtant au bas de l’arbre sous le cerf-volant, et l’arbre qui est très gros ne pousse pas sur la route ni même au bord. Et pourtant, ce garçon n’a ni marché le temps que la voiture approche en vrombissant au loin, ni couru alors que la voiture déboulait, histoire de maximiser ses chances d’être écrasée en cas de perte de contrôle du véhicule par son chauffeur, ou d’un écart volontaire.

Et comme ce garçon semble brillamment raisonner, il estime que le chauffeur l’entendra et le verra parfaitement en agitant les bras et en criant : « vous devez ralentir, vous roulez trop vite ! ». Étonnamment, il n’ajoute pas que le chauffeur doit se convertir à la voiture électrique pour cause de réchauffement climatique et en conséquence mourir de soif et d’ennui dans le désert parce que l’autonomie est trop faible, et qu’il n’y a ni borne de recharge ni de relais 5G pour lui permettre de regarder HBO ou pas pire, Netflix.

Mais d’un autre côté, ce garçon n’ignore pas l’énorme crevasse dans l’asphalte de la route, à peu près à la hauteur de sa ferme, qui apparaît subitement alors que nous n’avons rien vu avant que la voiture arrive : c’est magique et personne ne pense jamais à reboucher, à moins que ce soit les occupants de la ferme qui aient creusé le trou pour faire partir les usagers en tonneau et piller leurs affaires tandis qu’ils nouriront leurs cochons avec les cadavres et revendront le métal de la carcasse : la sinécure que cela peut-être d’habiter à la campagne…

Contre toute attente, le chauffard est une chauffarde, qui a bien mis sa ceinture ainsi que celle du bébé à l’arrière, mais conduit sans regarder en avant pour agiter un biberon sous le nez du bambin, histoire de le faire pleurer davantage. Elle lui dit « je sais, donne-moi encore quelques minutes et nous serons rentrés chez nous… », suivant une logique à peu près aussi brillante que celle du garçon à lunettes. Sans doute ont-ils grandit en regardant les mêmle dessins animés, séries et films débiles, biologiquement, socialement et physiquement improbables en streaming ?

A peine a-t-elle prononcé ces mots qu’un des pneus (un seul ?) s’enfonce presque entier dans la crevasse, ce qui n’arrête pas la voiture et ne fait même pas éclater le pneu, ce qui est physiquement curieux : la voiture aurait dû immédiatement partir en tonneaux ou se retourner et glisser. La mère de famille se contente d’apparemment lâcher son volant et crier.

Soudain, la route, qui n’était immédiatement bordée que de prés dans les plans précédents, et à perte de vue — est soudain jalonnés de très près d’arbres aux troncs bien épais. Tandis que l’impact (ou pas) semble avoir lieu hors d’écran, je suppose d’abord pour des raisons budgétaires, le garçon à lunettes se met à sprinter pendant de longues secondes, tandis que le ciel s’obscurcit, alors il allume ses yeux un peu comme des phares. Et là, tout le monde se dit, cette fois il va la faire rôtir à point, cette mère indigne et son bébé qui fait chier au volant. Plus il fera exploser le réservoir à essence et la planète sera sauvée du réchauffement climatique.

Mais non, même pas : il se zappe lui-même sur une musique informe censée selon l’AI forcer notre enthousiasme, pour agripper l’arrière de la voiture, ce qui physiquement – à supposer que le garçon ait à la fois une prise, la supervitesse et la superfort, faire partir en tonneaux arrières le véhicule qui semble encore lancé à pleine vitesse… sur la route ? sur de l’herbe poussant sur un terrain parfaitement égal et aussi solide qu’une route ?

Apparemment, c’est de la route car notre garçon freine des talons de ses baskets super-résistante sur de la terre, ne déclenchant qu’un tout petit volute de poussière, aucune projection de cailloux ou de brins d’herbes. Sans doute ces fermiers font bien garde de bien nettoyer les sols tout autour de leurs fermes ?

La conductrice continue de crier sans toucher à son volant tandis qu’un tronc d’arbre semble foncer dans sa direction. Quels chauffards ces arbres ! on devrait leur retirer un point de temps en temps et leur faire payer un stage pour qu’ils puissent recommencer le plus vite possible.

De manière toujours incroyable, la voiture ralentit petit à petit jusqu’à s’arrêter devant l’arbre. Si la conductrice a apparemment reposé ses mains sur le volant – nous ne l’avons pas vue faire, elle n’a pas retiré ses pieds des pédales, ni coupé le contact et pourtant quand le gamin retire ses propres quenottes de l’arrière de la voiture parfaitement intact, nous n’entendons plus le moteur — l’avons-nous jamais entendu quand la voiture allait droit sur l’arbre ? — et les roues ne tournent plus — ont-elles jamais tourné au même moment ?

Sans un mot pour la mère et son bambin, qui apparemment se sont évanouis dans les airs, le garçon à lunettes repart tranquillement en marchant jusque devant sa maison, et sans se soucier des témoins – la voiture n’est jamais repartie, elle n’a fait aucune manœuvre, les oiseaux chantent sans qu’aucun moteur ne vrombisse — le garçon s’envole d’un bond jusqu’à la branche qui retenait son cerf-volant et s’en empare en souriant.

Puis il semble surpris de léviter dans les airs, alors qu’il n’avait pas été surpris de rattraper instantanément une voiture sortie de route, de l’arrêter simplement en lui collant ses doigts l’arrière-train, pas plus que la conductrice n’avait été surprise à se retrouver avec un gamin dans le rétroviseur en train de se frotter à son coffre. Et pourtant, s’il devait y avoir une explication à son accident, c’en était une toute trouvée : un binoclard a sauté sur l’arrière de son véhicule et lui a fait perdre tout contrôle ! Adieu la ferme et ses terres, bonjour la BMW et les vacances sur la côte mexicaine, sans compter l’occasion de revendre le bébé !

Le garçon à lunettes fait semblant d’être surpris : il doit tourner une vidéo pour un réseau social et n’est pas encore bon acteur. D’un coup, son cerf-volant disparaît et il s’en fiche complètement, il le laissera pendre à la première ligne électrique haute tension sur le chemin sans doute pour que son vieux papa s’occupe de le décrocher. Ou peut-être un autre gamin de son âge ?

Il s’envole comme une flèche pour pousser des cris de petite fille et cabrioler dans le couchant nuageux – d’un coup, alors que le soleil était haut dans le ciel il y a moins d’une minute. Il repart en flèche survolant les exploitations agricoles et sans craindre de vomir ou de destabiliser son oreille internet ou d’attraper un tournis pouvant le faire s’évanouir, il n’arrête pas de faire des vrilles, sans se préoccuper d’entrer en collision avec un petit avion ou une bande d’oiseaux. D’ailleurs c’est bien simple : à la campagne, les animaux et les insectes, ça n’existe pas.

Deux derniers plans pour la route : le garçon en extase regarde dans la direction de la caméra, éclairé sur le côté alors qu’il a le disque solaire complet derrière la tête. Puis il contemple d’en haut a ferme avec l’arbre devant la maison qui se retrouve devant la grange, la route censée être à proximité immédiate visible nulle part et j’en passe — sans oublier qu’il avait seulement l’air d’avancer en continue au-dessus des champs : en fait il faisait du sur-place.

Alors le garçon — qui n’a toujours pas eu l’idée de remettre les pieds sur terre, dès fois que ses batteries aient une limite d’autonomie ou que l’absence de gravité et la propulsion par pets puissent toucher à leurs fins et une chute spectaculaire s’en suivre — se pose plutôt les questions les plus évidentes en ce genre de circonstances : « comment je fais ça ? » et « qui suis-je ? ». Mais pas « est-ce que je rêve ? » et « Qu’est-ce qu’il y avait dans ces cookies que ce gentil monsieur m’a offert avant de m’emmener chez lui ? »

De toute façon, la production s’en fiche de nous donner des réponses — pas le budget — et nous nous retrouvons (beaucoup) plus tard apparemment à Métropolis où le garçon à lunettes est devenu grand et se réveille en tee-shirt rose avec un jeune noir dans un appartement, et casse tout ce qu’il touche, parce qu’il ne maîtrise apparemment pas sa force, ce qui risque d’être un problème si un jour la production se montre capable d’animer deux personnages dont les mains (ou autre chose) se touchent et font des trucs un peu hu-mains sans qu’il leur pousse des doigts supplémentaires.

Le garçon a beau avoir grandi, mais nous ignorons toujours son nom — typique des films et séries en streaming des années 2020, le spectateur n’a qu’à regarder les sous-titres ou la bulle-information pendant la diffusion, et la reprise de la projection comptera pour une vue de plus. Mais il sort apparemment pour faire un jogging vu sa tenue, en répétant à haute voix claire et intelligible sans doute à l’attention de tous les passants — invisibles, faute de budget — qu’il peut y arriver et être un homme ordinaire durant un jour ordinaire et cacher ses pouvoir, à partir de… maintenant.

My Adventures With Superman, la série animée de 2023

My Adventures With Superman, la série animée de 2023

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My Adventures With Superman, la série animée de 2023

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Resident Evil: Death Island, le film animé de 2023Feu vert cinéma

Resident Evil: Death Island (2023)

Sorti au Japon le 7 juillet 2023.
Sorti en VOD et blu-ray SONY américain le 25 juillet 2023 (version française incluse).

De Eiichirō Hasumi, sur un scénario de Makoto Fukami d'après le jeu vidéo de Capcom ; avec Nicole Tompkins, Kevin Dorman, Matthew Mercer, Stephanie Panisello, Erin Cahill, Salli Saffioti.

Pour adultes et adolescents.

(zombie, prospective, horreur) Huit hommes en tenue paramilitaire, certains casqués d’autres encore têtes nues sont assis à l’arrière d’un fourgon, se cramponnant à leur fusil d’assaut. Dans l’interphone, une voix les interpelle : « Unité 6, parlez, quel est votre T.E.A (Temps Estimé d’Arrivée) ? » Le chef répond qu’ils seront là dans cinq minutes et qu’ils traversent le  pont à présent. « Quand vous arriverez, déposez l’équipe et attendez les ordres. ». Le chef accuse réception.

A l’arrière, l’un des paramilitaires (Dylan) demande à son voisin (J.J.) pourquoi à son avis on leur a demandé de s’équiper de cette manière. J.J. soupire : « quoi que ce soit, c’est suffisamment grave pour faire rappeler des gars en permission comme nous. » Puis J.J. lâche un juron : ils pourraient être à San Francisco en ce moment-même, à manger du crabe et à boire de la bière.

Tous les soldats portent sur leur tenue l’écusson de la Corporation de l’Ombrelle. Dylan répond que Frisco n’ira nulle part dans l’immédiat : ils ont juste à en finir avec cette mission. Le chef annonce alors dans le haut-parleur qu’ils sont pratiquement arrivés à Raton-laveur Ville, alors qu’ils écoutent bien : la ville est confinée. Les ordres sont d’aider à évacuation des cadres de la Corporation de l’Ombrelle et des officiels du gouvernement seulement : pas de civils. Le chef répète : pas de civils

J.J. demande alors ce qu’ils auront à faire si les civils tentent de forcer leurs rangs. Son chef répond qu’ils ont la permission de les abattre. Dylan est choqué. Puis le fourgon s’arrête et le chef ordonne qu’il veut deux rangées devant leur véhicule et qu’ils se dépêchent.

Dehors, un hélicoptère survole la zone et diffuse le message : « C’est une alerte à tous les citoyens : retournez chez vous et aux abris là-bas. » Les soldats se retrouvent à l’entrée du pont, dont l’accès est défendu par des barrières derrière lesquels les habitants de la ville sont en train de se masser pour fuir.

Au premier rang et casqué, J.J. souffle à Dylan : « Mais qu’est-ce qui se passe ? » et Dylan lui répond « C’est ce que je voudrais bien savoir. » Puis la radio annonce qu’un cadre de l’Ombrelle passe le barrage. Et une limousine faisant une embardée se précipite en klaxonnant tandis que les gardes écartent une barrière pour la ramener aussitôt le passage. La radio ordonne de fermer les rangs et rester attentif. Or les hommes qui étaient massé aux barrières se jettent sur les soldats, et la radio annonce que c’est une émeute, les soldats doivent ôter la sécurité de leurs armes et faire feu à l’ordre de leur chef.

Plus tard, apparemment, nous retrouvons les mêmes soldats dans la salle frigorifiée d’un abattoir où sont pendus des quartiers de viande ensanglantés. Les néons au plafond clignotent. Un des soldats se plaint d’avoir mal, un autre crie qu’on a bousillé le chef et se demande qu’est ce que ces gens ont comme problème… ils l’ont équarri ! Ils ont la rage ou quelque chose du genre !

Dylan, indemne, fait des bandages, arrêtant l’hémorragie d’un de ses camarades. J. J. est derrière la baie vitrée du fond et parle à un talkie-walkie. Dylan assure le blessé qu’ils sont en train de demander une évacuation. Puis il réalise qu’un certain Carl vient de perdre conscience, et se précipite auprès de lui pour tenter de le ranimer.

De l’autre côté de la baie vitrée, J.J. informe son commandement qu’ils ont réussi à mettre à l’abri les blessés et qu’ils ont besoin d’être évacués. On lui répond que les blessés sont infectés. J. J. ne comprend pas, alors son commandement confirme : il doit mettre en quarantaine les blessés et attendre les ordres.

Resident Evil: Death Island, le film animé de 2023

Resident Evil: Death Island, le film animé de 2023

Resident Evil: Death Island, le film animé de 2023

Resident Evil: Death Island, le film animé de 2023

Resident Evil: Death Island, le film animé de 2023

Resident Evil: Death Island, le film animé de 2023

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Ici la page du site Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film animé.

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Chroniques de la Science-fiction du 3 juillet 2023

Chroniques de la Science-Fiction #2023-07-03 (2023)

Numéro précédent <> Numéro suivant.

Téléchargez ici l'exemplaire gratuit .pdf 97 pages A5 couleurs.

Ici l'index de toutes les Chroniques de la Science-fiction de 2023.

Sorti le 6 juillet 2023 (première édition).

De David Sicé.

Les Chroniques sont une rubrique du fanzine l’Étoile étrange. Cette rubrique paraîtra désormais séparément pour tenir le rythme hebdomadaire de l'actualité de la Science-fiction même si le numéro complet de l’Étoile étrange n'est pas bouclé. Les numéros ont vocation à sortir rétroactivement et par anticipation, et donc à être mis à jour quand l'activité n'est pas complètement couverte.

Au sommaire, l'actualité de la semaine du 3 juillet 2023, et les critiques de Knights Of The Zodiac = Les chevaliers du Zodiaque 2023, The Black Demon 2023, Piove = Flowing 2022, The Vesper Chronicles 2022, Upgrade 2018, Blade Runner 2049 - 2017, Tintin et le mystère de la toison d'or 1961, Les royaumes oubliés: la trilogie des Avatars 1: Valombre 1989.

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Les sorties de la semaine du 3 juillet 2023
Noter que cette actualité ne couvre pas les films d’exploitation.
Noter que les dates de diffusion et titres d'épisodes peuvent changer jusqu'au dernier moment.


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LUNDI 3 JUILLET 2023

CINEMA UK
Ziggy Stardust and the Spiders from Mars 1979 / 2023 (musical, version restaurée et augmentée, 3/6, ciné UK)

BLU-RAY UK
The Truman SHow 1998*** (dystopie, br+4K, 3/7, PARAMOUNT UK)
Cinderella 1950** (animé, fantasy, br+4K, 3/7, DISNEY UK)
The Walking Dead 2010* S11* (série zombies, 6 br, 3/7, ENTERTAINMENT UK)
Love After World Domination 2022 S1 (série animée 2br, 3/7, CRUNCHY UK)
The Dawn of the Witch: 2022 S1 (série animée, 2br, 3/7, CRUNCHY ROLL UK)
Cybercity Oedo 808 1990** (série ani, 3 OVA, br, 3/7, remaster, ANIME LDT)

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MARDI 4 JUILLET 2023

TÉLÉVISION US
Gotham Knights 2023* S1E13: Night of the Owls (woke, 27/6, CW US) Fin de série Superman & Lois 2023* S03E13: What Kills You Only Makes You Stronger (woke, 27/6, CW US) fin de saison renouvelé pour une saison 4.

BLU-RAY FR
Dragon Ball Super: Super Hero 2022 (ani, br4/7, fr dolbyatmos CRUNCHY FR)

BLU-RAY US
Upgrade 2018*** (cyberpunk, horreur, br+4K, 4/7, PARAMOUNT UK)
The Truman Show 1998*** (dystopie, br+4K, 4/7, PARAMOUNT UK)
Star Pilot 1966 (2+5: Missione Hydra, br, 4/7, remaster RAROVIDEO U.S. US)
Tintin et le mystère de la toison d’or 1961**** (aventure, + Oranges bleues 1964**, br, 4/7, KINO LORBER US)

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MERCREDI 5 JUILLET 2023

CINEMA FR
Kizazi Moto 2023 (anthologie animée, 5/7, DISNEY MOINS INT / FR)

TELEVISION US+INT
Marvel: Secret Invasion 2023* S01E03 (superwoke ET, 5/7, DISNEY INT/FR)
Nancy Drew 2023* S4E06: The Web of Yesterdays (fant. woke, 5/7, CW US)
Riverdale 2023** S07E14: Archie the Musical (fant. Woke, 5/7, CW US)

BLU-RAY FR
Blade Runner 2049 - 2017* (cyberpunk, 2 br+4K, 28/6, SONY FR)

BANDES DESSINEES FR
X-Men Marauders 2019 T2 : Conséquences (Duggan / Lolli, 5/7) chez PANINI COMICS FR)

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JEUDI 6 JUILLET 2023

CINE DE
Indiana Jones 5 2023* (av. fantast. woke, 29/6, ciné DE)

TELEVISION US+ INT
Strange New Worlds 2023* S2E04: Among the Lotus Eaters (faux trek woke, 6/7, PARAMOUNT+)
My Adventure With Superman 2023* S01E01 (6/7, ADULT SWIM US, HBO+1)

BLU-RAY DE
Avatar II 2023** (planet opera, 2br+3D ou 4K, 6/7, DISNEY DE)

BANDES DESSINEES FR
Strom 2023 T2 : Le collectionneur (Lylian / Christ, 6/7, NATHAN FR)

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VENDREDI 7 JUILLET 2023

CINE ES+US
Return Of The Dark 2023 (fantasy?; 7/6, ciné FR/DE
Biosphere 2023* (comédie postapocalyptique, 7/6 sortie limitée ciné US)
The Breach 2023 (horreur fantastique, 7/6 sortie limitée ciné US, VOD 11/6)
Insidious: The Red Door 2023 (horreur, 7/6, ciné US)
The Black Demon 2023** (monstre, 7/6, ciné ES)
Vesper Chronicles 2022* (prospective, postapo, 7/6, ciné ES)

TÉLÉVISION US/ INT
Outlander 2014** S07E03: Death Be Not Proud (romance tempo, 30/6, STARZ US)

BLU-RAY FR
Antman & The Wasp 2023* (superwoke, br+4K, 30/6, DISNEY FR)
The Walking Dead 2010* S11 (série, apocazombie, 6br, 30/6, UNIVERSAL FR)

BLU-RAY DE
Cryo 2022* (prospective covid, br, 7/7, TIBERIUS DE)
The Mummy’s Tomb 1942 (monstre fantastique, br+CD; 7/7, OSTALGICA DE)

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SAMEDI 8 JUILLET 2023 & DIMANCHE 9 JUILLET 2023

TÉLÉVISION US / INT
The Walking Dead City 2023* S01E04: Everybody Wins a Prize (9/7, AMC US)

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LE TEXTE DE LA SEMAINE

Advanced Donjons et Dragons : Forgotten Realms, Shadowdale 1989** (fantasy, Les Royaumes Oubliés, La Trilogie des Avatars 1 : Valombres, le roman de 1989 de Ed Greenwood)

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