Horribilis (Slither), le film de 2006 Feu vert cinéma

Slither (2006)

Sorti aux USA le 31 mars 2006.
Sorti en France le 19 avril 2006.
Sorti en Angleterre le 28 avril 2006.
Sorti en blu-ray allemand le 10 juillet 2014 (Région B, Anglais et Allemand DTS HD MA 5.1, sous-titres anglais et allemand, apparemment le meilleur transfert des trois existants)

De James Gunn (également scénariste) ; avec Nathan Fillion, Elizabeth Banks, Michael Rooker, Gregg Henry, Tania Saulnier, Dustin Milligan, Don Thompson, Haig Sutherland, Jennifer Copping, Brenda James, Rob Zombie, Ben Cotton, Dee Jay Jackson, William MacDonald.

Pour adultes.
Âmes sensibles s'abstenir.

Un astéroïde tournoyant dans l’espace descend droit sur la Terre. En bas, il fait nuit et une voiture de police s’est garé sous un panneau publicitaire miteux. Tandis que son assistant sommeille au son de la country jouée par la radio, son supérieur, âgé, mesure au radar la vitesse d’une mouette qui s’en va à tire d’aile : 27 miles par heure.

L’astéroïde s’embrase tandis qu’il pénètre l’atmosphère – et descend droit sur leur ville. Le subordonné du shérif, Bill Pardy retire sa casquette et se redresse, agacé par le soliloque de son supérieur. Puis il annonce qu’il a l’intention de se rendormir, remet sa casquette et se cale dans son fauteuil. Aucun des deux policiers ne remarquent dans le rétroviseur l’astéroïde qui va s’écraser derrière eux dans les bois… Et pourtant, ce qui reste du bloc ressemble à un gros œuf – qui s’ouvre en fumant, l’air méchant.

Le soleil s’est levé et une banderole tendue au-dessus de la rue principale annonce avec fierté le Festival du Salut de la Biche de la Loge à seller de Henenlotter, et sa fête d’ouverture du vendredi soir. Entre les commerces un peu animé et les murs taggés où se posent les clochards et les chômeurs, la petite ville semble particulièrement accueillantes envers les routiers et surtout les chasseurs.

La quiétude de la rue du marchand de fusils est brièvement interrompue par les coups de klaxon répétés d’un quinquagénaire blond irascible qui voudrait faire dégager un chauffeur de quatre quatre haut sur roues stationnés sur la voie – chauffeur qu’il traite de suceur de b…te devant une blonde petite fille et sa mère. La mère salue alors le monsieur très mal élevé, qui n’est autre que le maire de la petite ville. Le maire rougit et souriant largement, salue en retour son électrice. Et le quatre quatre n’est toujours pas parti, tout simplement parce que l’homme insulté n’était pas son chauffeur.

Ce matin-là, dans une classe du Lycée public Earl Bassett, Starla Grant écrit au tableau « La survie du plus adapté » (Survival Of The fittest ») et explique que Darwin ne voulait pas nécessairement décrire par « le plus adapté » comme étant le plus fort ou le plus intelligent. Il voulait seulement dire qu’il existe des organismes mieux préparés à affronter leur environnement que d’autres. Et la professeure reprend tandis que son élève le plus attentif concentre son attention sur les jolies petites fesses de la jeune femme, moulée par sa jupe : nous autres les humains, nous nous considérons comme plus évolués, plus rusés, mais dans les faits, nous ne sommes sur la Terre que depuis plus ou moins deux millions d’années et demi, tandis que le cafard y est depuis trois cents millions d’années. Et à ces mots, un autre élève exprime sa sensibilité artistique en achevant sur son cahier le dessin de sa professeure toute nue, s’attirant la désapprobation de sa voisine de table. Très fière d’elle, Starla Grant achève : si l’on doit se basé sur la longévité, laquelle des deux espèces serait la plus victorieuse ?

A l’entrée du lycée, sur le panneau d’accueil, sont affichées des félicitations aux Pouilleux : leur équipe est arrivée troisièmes de seconde division. Comme la jolie professeure est raccompagnée par son père, Bill Pardy « surveille » la sortie des classes, n’ayant pas quitté une seule fois des yeux Starla Grant, tandis que ses deux collègues plus jeunes font tout le travail. Ces derniers commentent que la jolie jeune professeure a choisi son mari pour être riche. Bill remarque alors à sa collègue féminine, Janene, que si elle avait eu un popaul, elle aurait aussi épousé Grant Grant. Le petit garçon dont s’occupait la collègue de Bill Pardy demande alors ce qu’est un Popaul, et Bill répond, après une hésitation, que c’est un pays d’où vient la famille de Janene. Puis il fait partir le petit garçon d’un coup de pied au derrière parce que selon lui sa maman l’attend.

La nuit est tombé et Grant Grant appelle Starla au lit. Immédiatement celui-ci commence à la cajoler mais elle veut l’arrêter : elle n’est pas d’humeur – Grant Grant répond alors qu’elle n’est jamais d’humeur. Il sort de lit, remet son pantalon et déclare qu’il sort faire un tour.

Ailleurs en ville, c’est soirée karaoké. Grant Grant y va boire une bière dans une salle pratiquement vide tandis qu’une cliente chante une chanson dépressive d’une manière encore plus dépressive. Arrive une jolie rouquine qui se prétende comme Brenda, la petite sœur de Megan. La glace est immédiatement rompu et Brenda amène Grant dans la forêt pour lui montrer le cœur gravé dans l’écorce d’un arbre prouvant qu’elle craquait pour lui depuis l’adolescence. Elle finit par l’embrasser fougueusement, mais il l’arrête : sa femme va s’inquiéter s’il reste dehors trop longtemps. Vexée, Brenda se détourne.

C’est alors que Grant remarque l’œuf extraterrestre par terre, et la traînée blanche qui en part. Il la suit, avec Brenda, jusqu’à une larve énorme qui bouge. Brenda veut partir. La larve s’ouvre, un aiguillon en sort – saute et va s’enfoncer dans le torse de Grant, pour remonter à son cerveau tandis qu’il s’écroule. Brenda appelle plusieurs fois Grant. Il se relève, l’air égaré, puis se met à marcher sans répondre à Brenda.

Grant rentre chez lui, et vide son frigo de la viande qu’il contient. Scarlett se réveille le lendemain, sans personne à son côté, la voiture de son mari dans l’allée : Grant est en train de se faire un nid de feuilles mortes dans le garage. Il s’arrête, son attention attirée par de la musique venant de son salon, où l’attend la jolie Scarlett, bien décidée à se faire pardonner pour son manque de désir sexuel de la veille.

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V pour Vendetta, le film de 2006 Feu vert cinéma

V For Vendetta (2006)

Sorti aux USA et en Angleterre le 17 mars 2006.
Sorti en France le 19 avril 2006.

De James McTeigue ; d'après la bande dessinée de Alan Moore et  David Lloyd ; avec Hugo Weaving, Natalie Portman, Rupert Graves, Stephen Rea, Stephen Fry, John Hurt, Tim Pigott-Smith, Roger Allam, Ben Miles, Sinéad Cusack, Natasha Wightman, John Standing, Eddie Marsan, Clive Ashborn.

Pour adultes.

Souviens-toi, souviens-toi du cinq novembre
De la trahison par la poudre à canon et du complot


Elle ne voit aucune raison pour que la trahison par la poudre à canon soit un jour oubliée. Mais qu’adviendra-t-il de l’homme ? Elle sait que son nom était Guy Fawkes, et je sais qu’en 1605 il tenta de faire sauter le Parlement anglais. Mais qui était-il vraiment ? à quoi ressemblait-il ?

1605. Un homme pousse un chariot rempli d’explosif dans un souterrain. À un bout, la porte s’ouvre brutalement et des gardes avec torches et des chiens se ruent dans le corridor. L’homme tente de s’enfuir… en vain, il est cerné. Il dégaine son épée. Capturé, il est conduit au gibet sous les huées de la foule.

On leur a dit de se souvenir de l’idée et non de l’homme, parce qu’un homme peut échouer. Il peut être capturé, il peut être tué et puis oublié. Mais quatre cents ans plus tard, une idée peut encore changer le monde. Elle a été le témoin direct de la puissance des idées. Elle a vu les gens tuer en leur nom et mourir en leur nom. Mais on n’embrasse pas une idée sur la bouche.

Devant le gibet, seule au milieu de la foule haineuse, une jeune femme pleure, tandis que l’on passe la corde au cou de Guy

Fawkes. Puis la trappe s’ouvre sous les pieds du comploteur.
On ne peut pas la toucher, ou la serrer dans ses bras. Les idées ne saignent pas, elles ne ressentent pas la souffrance. Elles ne peuvent pas tomber amoureuses. Et ce n’est pas une idée qui lui manquera. C’est un homme, un homme qui lui a fait se souvenir du cinq novembre. Un homme qu’elle n’oubliera jamais.

Le sermon télévisé d’un présentateur vedette. Celui-ci a lu que les ex-Etats-Unis étaient tellement en manque de fournitures médicales, qu’ils auraient envoyé plusieurs containers rempli de blé et de tabac, en signe de bonne volonté.

Un homme assis devant le miroir d’une une loge de théâtre où la télévision pérore, pose un masque sur son visage – le masque de Guy Fawkes. La télévision poursuit : pour le présentateur, il est grand temps que les anglais fassent savoir aux colonies ce qu’ils pensent réellement d’elles. Le moment est venu pour celles-ci de payer la fête du Thé qu’ils ont osé faire aux anglais il y a quelques centaines d’années.

Ailleurs dans une chambre, une jeune fille assise devant son miroir se met un rouge à lèvre provocateur, tandis que la télévision continue : il est tant pour le présentateur que la foule des anglais descende sur les docks et jettent la m… américaine là où tout ce qui sort du sphincter de l’Amerdique doit aller. L’Amerdique était un pays qui avait tout, absolument tout, et désormais, vingt ans après, qu’en reste-t-il ? La plus grande colonie de lépreux du monde entier. Pourquoi ? L’athéisme. Et le présentateur le répète tandis que la caméra serre encore davantage sur le visage bouffi de l’homme : l’athéisme. Cela n’a pas été la guerre qu’ils ont commencé, ni la peste qu’ils ont créé – cela a été le Jugement Divin qui les a frappé. Personne n’échappe à son passé, personne n’échappe au Jugement Divin.

Et à ces mots, l’homme masqué se lève et se charge de couteaux. Le présentateur à la télévision demande encore : est-ce ses spectateurs pensent que Dieu veille pas sur l’Angleterre ? Comment pourrait-on expliquer autrement ce qui est arrivé ? L’Angleterre a été mise à l’épreuve divine et elle s’en est sortie. L’Angleterre a fait ce qu’elle devait faire : Islington. Enfield. Le présentateur y était. Il a tout vu – les immigrants, les musulmans, les homosexuels, les terroristes, tous ces dégénérés porteurs de maladies – ils devaient tous partir.

Le présentateur hausse le ton : la force vient de l’unité ; l’unité vient de la foi. Il jure qu’il est un anglais redoutant la colère de Dieu et il en est fier. Dans sa chambre, la jeune femme répond que cela suffira et qu’elle le remercie beaucoup. Et elle éteint le téléviseur. Puis elle souffle un juron : sur un ticket, elle a rendez-vous avec un certain Gordon à une certaine adresse, et il est onze heures du soir.

Quand elle sort dans la rue obscure, une voix de femme répète dans les haut-parleurs qu’un couvre-feu jaune est désormais en vigueur, et que toute personne non autorisé pourra être arrêtée et c’est pour la protection des passants. En apercevant un homme sortir d’une maison, la jeune femme se dépêche de prendre une ruelle sombre. Elle butte alors dans un autre homme moustachu, beaucoup plus grand qu’elle, qui la retient. Elle s’excuse, prétend que son oncle est malade. L’autre homme qu’elle avait aperçu, un blond d’allure vicieuse – Willy, arrive dans le dos de la jeune femme, tandis que le moustachu lui demande de ce qu’il pense de l’oncle malade. Willy pense que c’est de la m… en barres.

Alors la jeune femme déclare qu’elle a fait une erreur : elle n’aurait pas dû enfreindre le couvre-feu, elle le sait. Alors le moustachu propose que la jeune femme les « soignent » avant d’aller s’occuper de son oncle, et comme Willy propose que la jeune femme le touche là où il est malade, c’est-à-dire, de l’entrejambe, la jeune femme sort un aérosol et crie de ne pas la toucher.

Le moustachu se met à rire : le chaton a des griffes ! Willy s’indigne : la jeune femme vient de les menacer, et le moustachu l’admet. Alors il sort sa plaque, marquée d’une croix de Lorraine sanglante sur un rectangle noir bordé d’or : si la jeune femme les a menacés, alors ils ont le droit faire appliquer la Justice de la manière qu’il leur plaira…

Horrifiée, la jeune femme baisse son aérosol, réalisant qu’ils sont les Hommes du Doigt, et elle se répand en excuses. Le moustachu lui répond qu’elle n’est pas si désolée que cela, mais qu’elle le sera pour de vrai sous peu. Et il ajoute que si elle n’aura pas les fesses les plus douloureuses de Londres à la fin de la nuit, elle aura certainement les fesses les plus douloureuses du monde.

La jeune fille veut fuir. Elle est immédiatement saisie par un troisième homme armé d’une matraque. C’est alors qu’une voix s’élève dans la ruelle : c’est l’homme portant le masque de Guy Fawkes, qui déclare que les laideurs de la nature se multipliant, tendent à tourner autour de quelqu’un dont il ne précise pas le nom. Les violeurs du gouvernement lui crient de dégager, mais il sort un couteau, continuant de citer ce qui ressemble au début d’un roman de capes et d’épées : l’homme mystérieux dédaignait la fortune avec son acier brandi qui fumait du sang de ceux qu’il venait d’exécuter…

Le moustachu brandit sa plaque, répétant qu’ils sont les Hommes du Doigt. D’un coup de dague, l’homme au masque de Guy Fawkes coupe la plaque en deux, puis, comme doté d’une force surnaturelle repousse au loin le moustachu qui va s’écraser contre un mur.

V pour Vendetta, le film de 2006

V pour Vendetta, le film de 2006

V pour Vendetta, le film de 2006

V pour Vendetta, le film de 2006

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UltraViolet, le film de 2006Feu orange cinéma

UltraViolet (2006)

Sorti aux USA le 3 mars 2006.
Sorti en Angleterre le 26 juin 2006.
Sorti en France le 14 juin 2006.
Sorti en blu-ray américain le 27 juin (multi-régions, anglais LPCM 5.1 sous-titres et version française inclus).
Sorti en blu-ray français le 9 janvier 2006 (région B, français et allemand LPCM 5.1, anglais DD 5.1)

De Kurt Wimmer (également scénariste) ; avec Milla Jovovich, Cameron Bright, Nick Chinlund, Sebastien Andrieu, William Fichtner, David E. Collier, Steven Calcote.

Pour adultes et adolescents.

Une sorte de jet autogyre noir lâche une série de sphères noires au-dessus d’une ville du futur. Les sphères fracassent la façade d’un gratte-ciel et libèrent des individus en combinaison, cagoule et lunette de vision nocture, qui massacrent à coup de sabres japonais les hommes en blouses blanches du grand hall où ils ont débarqué. Le commando fait sauter une porte blindée, entre dans un nouveau hall mais s’immobilisent lorsqu’ils découvrent un centre de stockage de sang… Soudain une voix leur cri de ne plus bouger, et l’un d’eux s’écrie que c’est un piège. Ils dégainent leurs pistolets mitrailleurs mais sont abattus.

Arrive le chef de la sécurité, aux mains gantés, lequel ordonne de ne rien toucher, et enfile un masque respiratoire. Il commence par examiner les canines proéminentes d’un membre du commando et confirme qu’il s’agit d’hémophages. Puis il sort un sabre japonais de la combinaison d’un des hémophages, semblant sortir du corps même de l’individu : de la technologie Espace Plat, très rare, qui permet de compresser les dimensions d’un objet. Le chef de la sécurité s’interroge alors : quel était leur plan pour sortir du bâtiment ? Comment le commando pensait-t-il emporter le sang stocké dans la chambre-forte ? L’un de ses subordonnés suggère alors qu’il n’y avait pas de plan de sortie : le plan des hémophages était peut-être seulement d’infecter le sang stocké là.

C’est alors que l’un des subordonné constate que l’un des gants du chef de la sécurité est percé et tâché de sang. Il dégaine et abat immédiatement le chef de la sécurité. Les problèmes ont commencé lorsque des militaires américains ont isolé un virus oublié depuis des siècles. Ils tentèrent alors de le modifier, afin de créer des soldats plus rapides et plus forts. Mais à la place, ils obtinrent seulement une forme encore plus contagieuse de la maladie, une variété appelée HGV – le virus hémoglophagique (mangeur d’hémoglobine). Et c’est ainsi que la maladie se répandit. Tout changea : si les époques précédentes étaient définies par le terrorisme, cette époque-là l’était par la peur de la maladie.
Les autorités médicales jurèrent de protéger la population, et dans un premier temps, les victimes durent porter des brassards d’identification. Puis on les rassembla dans des camps de concentration, jusqu’à ce que, finalement, plus personne n’entendit parler d’eux.

Pour Violet, les ennuis commencèrent le jour où elle apprit qu’elle était enceinte. Le même jour, elle perdit son mari, son futur et sa vie : lorsqu’un hémophage attaqua son mari et fut abattu par la sécurité, elle fut éclaboussée par le sang contaminé. Elle attrapa la maladie et perdit le bébé. Avec quelques autres à l’extérieur du camp, elle format un mouvement de résistance clandestin, et commença à rendre les coups. Et ainsi commencèrent les Guerres du Sang. A présent, celui qui dirige cette autorité médicale est le Vice-Cardinal Ferdinand Daxus : pratiquement tous les hémophages sont éliminés, mais le peu qui reste est incroyablement déterminé, et le nombre de leurs attaques terroristes est au plus haut. Cependant pour Daxus, ce n’est pas une question de détermination, mais de désespoir : leur extinction est proche. Cela fait près de dix années que Daxus travaille à une arme qui peut localiser et tuer tous les Hémophages de la planète en quelques jours.

Et cette arme entrera en fonction le jour-même : un courrier vient d’être envoyé pour la ramener de l’Archiministère : XPD-154 arrive en moto à l’entrée du sinistre bâtiment, et passe avec succès le portail d’identification génétique. On lui demande de retirer son casque, ses lunettes. Ses cheveux violets deviennent noirs comme elle entre dans le bâtiment. Elle arrive alors à une salle blanche où des soldats en armes lui demande de s’asseoir dans un fauteuil transparent où elle doit subir des examens plus approfondis : on lui perce les poignets et les globes oculaires, puis on lui demande de se dénuder pour entrer dans le couloir du scanner. Au bout du couloir, on lui annonce que ses habits ont été stérilisés, et qu’elle peut se rhabiller. Pendant ce temps, un guide insiste pour lui donner des informations nécessaires : elle va prendre en charge une valise contenant une arme anti-hémophage, valise qu’elle ne doit ouvrir à aucun prix. Pendant qu’elle livrera l’arme, un convoi armé partira de l’Archiministère et fera diversion.

Dans une nouvelle chambre, on lui demande de signer avec son sang l’accusé du réception sur une tablette. Le contenu de la malette s’auto-détruira sous neuf heures si il n’est pas livrée, le compte-à-rebours défilant à la surface de la malette. Comme Violet veut prendre la malette, l’homme la retient et insiste : est-elle fonctionnelle à 100% ? Au même moment, un autre motard se présente à l’entrée de l’Archiministère : le véritable XPD-154.

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Le voleur de Venise (2006) posterFeu vert cinéma

Le voleur de Venise, le film de 2006

Titre original : The Thief Lord.

Sorti en Allemagne le 5 janvier 2006.
Sorti en Angleterre le 26 mai 2006.
Sorti en DVD anglais le 16 octobre 2006.
Sorti en DVD allemand le 9 mars 2007 (version anglaise incluse).
Sorti en blu-ray français le 2 novembre 2012 (pas de bonus, version française et anglaise)

Ici l'article de ce blog sur le blu-ray français de 2012.

De Richard Claus. Avec Aaron Tyler-Johnson, Jasper Harris et Jim Carter.
D'après le roman de Cornelia Funke.

Deux frères orphelins ont été séparés : l'aîné, Prosper, s'échappe de l'orphelinat pour enlever son petit frère Bo, confié à des parents odieux. Prosper décide d'emmener son petit frère à Venise, la ville que leur mère adorait.

Mais arrivés sur place, ils sont à la rue et Bo a attrapé une mauvaise toux. C'est alors qu'un garçon masqué se prétendant le roi des Voleurs leur vient en aide, les emmenant se cacher dans un cinéma abandonné, avec toute une bande d'orphelins qui sont à son service. Pendant ce temps, les parents adoptifs de Bo débarquent à leur tour à Venise et recrute un détective privé pour retrouver Bo et mettre Prosper en prison.

Le voleur de Venise (2006) photo

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