Batman Begins, le film de 2005Feu orange cinéma

Batman Begins (2005)
Traduction du titre original : Batman débute.

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Sorti aux USA et en France le 15 juin 2005.
Sorti en Angleterre le 16 juin 2005.
Sorti en blu-ray américain le 8 juin 2005.
Sorti en blu-ray français le 8 août 2008 (multi-régions).

De Christopher Nolan (également scénariste), sur un scénario de David S. Goyer, d'après la bande dessinée de Bob Kane. Avec Christian Bale, Michael Caine, Ken Watanabe, Katie Holmes , Gary Oldman, Cillian Murphy, Tom Wilkinson, Rutger Hauer, Morgan Freeman.

Pour adultes.

Deux enfants se rejoignent dans une serre. La petite fille a trouvé une pointe de flèche ouvragée, qu’elle finit par lui montrer. Le petit Bruce le lui prend et va se cacher dans un puits, dont le couvercle pourri cède sous son poids. Le puits abritait une nuée de Chauve-Souris. Longtemps après, Bruce Wayne est détenu dans un camp d’internement chinois et provoque un prisonnier plus grand et plus gros que lui lors de la distribution de soupe. Comme Bruce a le dessus, la bagarre prend de l’ampleur, tandis que Bruce se débarrasse de chaque nouvel assaillant. Les soldats en armes interviennent pour protéger les autres prisonniers, et il est jeté dans une cellule, en isolation. Dans la cellule l’attend un homme en costume sombre, qui connaît l’identité de Bruce. Il se présente comme l’émissaire de Raz Al Ghul, un personnage redouté des criminels. Bruce a attiré l’attention de Ghul alors qu’il provoquait criminel après criminel. Ghul estime que Bruce s’est égaré, alors qu’il pourrait devenir un véritable justicier, en se dévouant à un idéal – et non un simple partisan de l’auto-justice. L’inconnu lui donne un rendez-vous et un défi : Bruce sera relâché demain, et il devra trouver une fleur bleue et l’amener au sommet de la montagne. Alors il trouvera ce qu’il est venu cherché, au lieu de continuer à perdre son temps à se battre contre des criminels minables.

Alors qu’il commence à neiger, Bruce trouve la fleur bleue, dépasse un village et parvient la porte d’un palais construit au sommet de la montagne. Il frappe à la porte et découvre un sanctuaire. Sur un trône l’attend une sorte de moine rouge, chauve et à barbiche blanche, qui lui demande ce qu’il recherche ; l’homme en costume est également présent et récupère la fleur – et ils sont entourés de soldats. Comme l’homme en costume prétend que Bruce doit d’abord vaincre ses propres peurs, Bruce déclare vouloir d’abord se reposer. Alors l’homme en costume passe Bruce à tabac. L’ayant jeter à terre, il lui demance ce dont il a peur. Et revient le souvenir du moment où, petit, il a été remonté du puits, ramené au manoir Wayne, quand son père lui expliqua que les chauves-souris avait eu peur de lui. Puis il se souvient du voyage en monorail à Gotham City où son père lui parlait de toutes les amélioratoins de la ville qu’il allait apporter, et de la soirée à l’opéra avec son père et sa mère, et comment, ayant eu peur de figurants voltigeurs ressemblant à des chauve-souris, Bruce avait insisté pour qu’ils quittent la représentation avant la fin du spectacle. Alors ses parents et lui sortirent par la sortie de secours, dans une allée recouverte de graffiti – et un voleur armé d’un révolver exigea que les Waynes lui remettent porte-feuille et bijoux. Wayne père s’interposant, le voleur descend les deux parents et abandonne le petit Wayne dans l’allée.

Batman Begins, le film de 2005

Batman Begins, le film de 2005

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Les aventures de Shark Boy et Lava Girl, le film de 2005 Feu vert cinéma

The Adventures of Sharkboy and Lavagirl 3-D (2005)

Sorti aux USA en 3D anaglyphe (!) le 10 juin 2005.
Sorti en France le 17 août 2005.
Sorti en Angleterre le 26 août 2005.
Sorti en blu-ray américain le 8 novembre 2011 (région A, anglais DTS HD MA 5.1, sous-titré anglais, pas de version française)

De Robert Rodriguez (également scénariste) ; sur un scénario de Racer Rodriguez (Racer Max) et Marcel Rodriguez ; avec Taylor Lautner, Taylor Dooley, Cayden Boyd, Jacob Davich, George Lopez, Kristin Davis, David Arquette, Sasha Pieterse, Rocket Rodriguez, Racer Rodriguez, Rebel Rodriguez, Robert Rodriguez.

Pour tout public.

Tout ce qui est ou était, commença avec un rêve…

Sharkboy (le garçon-requin) n’a pas toujours été moitié requin, moitié garçon. Il était un biologiste marin, ou tout au moins, il s’entraînait à le devenir. Son père étudiait les grands requins blancs, et il avait surnommé son fils Sharkboy à cause du fait qu’il aimait tant s’occuper des requins : il leur faisait des Sushi et leur avait tous donné donné des noms : Goodmilk (bonlait), Peggy, Eggbat et Crackett.

Mais un jour, un incroyable, un mystérieux orage survint, qui emporta la totalité du laboratoire flottant. Grâce à leurs radeaux de sauvetage, Sharkboy et son père survécurent – mais ils survécurent chacun d’un côté différent de l’épave, s’en allant flottant chacun dans une direction opposée : Sharkboy était complètement seul. Presque complètement, car il était encerclé de requins. Mais l’un des requins le reconnut : hé, c’est Sharkboy, dit le requin ; lui mangez pas un morceau les garçons, c’est un ami.

Ils emmenèrent Sharkboy jusqu’à leur maison-grotte où il serait en sécurité et au sec : sa nouvelle famille était des requins. Des centaines de requins. Les requins l’élevèrent comme l’un des leurs, lui enseignant le savoir des requins : il devait continuer d’être en mouvement pour survivre, aller toujours de l’avant, sans jamais reculer – vivre d’instinct, et d’instinct seulement. Il finit par se voir pousser des ouïes, et des serres acérées en guise de griffes. Ses dents devinrent si acérées qu’elles devinrent pointues. Il lui poussa des nageoires, toutes sortes de nageoires.
Mais c’était des années auparavant. Max a rencontré pour la première fois Sharkboy alors qu’il pêchait sur un ponton cet été-là : d’après la nageoire qui avait fait surface, il avait ramené un requin, mais c’est Sharkboy qui émergea. Il paraissait perdu.

Ce jour-là, les parents de Max se disputaient sur les finances de la maison, alors Max fit entrer Sharkboy en douce chez lui, alors que ses parents étaient trop occupés pour remarquer quoi que ce soit. Il le garda nageant dans sa douche transformée en aquarium, et le nourrit. Sharkboy voyageait à travers tout l’univers à la recherche de son père. Il raconta à Max ses dernières aventures sur une planète si cool que vous en auriez bavé. Et il disait que Max aussi un jour pourrait aller sur la planète Bave un jour et Max prenait tout en note sur son carnet.

Puis une nuit, Max fut visité par une lumière luisante : une fille extraordinaire avec des flammes mauve en guise de cheveux et une peau en lave en fusion apparut dans l’embrasure de la porte de la salle de bain. Je l’appelai Lavagirl (Fille de Lave). Elle sourit à Max, parce qu’il semblait que c’était son nom. Elle lui dit qu’elle avait besoin de Sharkboy pour retourner avec elle à la planète Bave, car une grande crise s’y préparait. Elle demanda à Max s’il pouvait venir avec eux. Il lui répondit qu’il avait école le lendemain. Elle jeta un regard triste à Max et s’en alla, en flammes, emmenant Sharkboy avec elle. Et Max n’a plus revu ni Sharkboy, ni Lavagirl depuis…

Et voilà ce que Max dit à l’école qu’il avait fait l’été dernier. La classe entière lui balance alors une tempête de boulettes de papier, tandis que le professeur Electricidad leur crie d’arrêter, sans bouger de son bureau. Puis d’ajouter que quelqu’un va ramasser tout ça par terre et cela ne sera pas lui. L’un des garçons de la classe objecte : ils étaient supposés raconter des histoires vraies. Max rétorque que l’histoire de Sharkboy et Lavagirl est vraie.

Puis une fille au premier rang demande si Lavagirl a des pouvoirs spéciaux. Le professeur Electricidad intervient : Lavagirl n’existe pas. Mais Max cherche dans son carnet… Elle peut lancer de la lave à partir de ses mains. Electricidad se lève et demande combien de ses élèves pensent que l’histoire de Max est vraie. Seule la fille du premier rang lève la main tandis que les autres répondent, blasés, que ce n’est pas vrai, c’est inventé. Puis Linus, celui qui le premier avait objecté lance que si c’est une histoire vraie, Max devrait pouvoir présenter à la classe Sharkboy et Lavagirl dès le lendemain. Max répond qu’ils sont partis et qu’il ne sait pas où ils sont allés. Alors Electricidad ramène Max à sa place dans la classe. Puis le professeur annonce que c’est à Linus de lire son exposé. Linus bouscule Max de son épaule, faisant tomber le garçon tandis que la classe éclate de rire.

Alors Linus commence : cet été il a rencontré un nouvel ami, qui était à moitié neuneu et à moitié garçon, alors il l’a appelé Neuneu-boy. Toute la classe rit, et Linus s’empresse de préciser que le vrai nom de Neuneu-boy était Max. Il l’a invité à dîner, mais il sentait si mauvais que tout le monde à table s’est mis à vomir. Electricidad intervient enfin, disant que cela suffira – et la sonnerie de la fin du cours retentit. Electricidad demande alors à Linus et Max de rester.

Les autres élèves partis, Electricidad annonce à Linus qu’il vient d’avoir un moins pour sa conduite de ce jour-là : c’est une nouvelle année – et le professeur demande aux deux élèves s’ils pensent qu’ils peuvent être amis. Les deux garçons se regardent et répondent ensemble que non. Electricidad annonce alors que c’est décidé : ils seront les meilleurs des amis, ce qui signifie que Linus ne devra plus harceler Max.

Linus s’en va, et Electricidad s’adresse alors à Max : Max est en quatrième année de primaire ; il y a des enfants bien dans cette classe, à lui de les trouver, de devenir leur ami : rêver empêche Sam de voir ce qui est juste en face de lui. Cette vie n’est pas un rêve, c’est la réalité. Puis le professeur s’arrête car il a perdu son fil, tandis que Max écrit sur la dernière page de son cahier : pas de rêverie. Puis Max déclare qu’il a compris et, refermant son carnet, veut partir. Electricidad demande alors qu’est-ce que tient Max, et Max répond que c’est son journal des rêves, là où il conserve ses rêves les plus précieux, et il ne s’en séparera jamais aussi longtemps qu’il vivra.

Mais alors qu’il sort de l’école, Max est interpellé par Linus, qui lui propose d’être des amis imaginaires : Max n’aura qu’à essayer de traîner avec eux, et ils feront semblant que Max n’existe pas. Puis Linus lui montre un dessin qu’il a fait sur son cahier : Sharkboy électrocuté par des anguilles électriques puis dévoré par celles-ci. Max s’approche, puis déclare commençant comme s’il allait faire un compliment, que Linus est vraiment faible en dessin.

Linus bondit avec deux de ses acolytes et tente d’arracher des mains le carnet de Max, mais celui-ci catapulte le carnet au nez de Linus – le carnet rebondit et Max le récupère. Linus annonce alors qu’il va péter la bulle du Garçon-Rêveur. Max prend la fuite ; Linus et ses acolytes le poursuivent, Linus criant aux autres d’attraper le carnet de Max. Malgré l’adresse de Max, Linus s’empare du carnet et promet une édition révisée pour le lendemain.

Un orage tonne au loin. Max se réveille. Il est quatre heure du matin. Max aperçoit des traces de pas humides. Puis trouve un verre de lait… fondu, et trouve un cookie à demi dévoré par quelqu’un qui a les dents pointues. Surpris par ses parents qui croient que c’est Max qui a mangé les cookies auquel il n’a pas droit et qui étaient pour les enfants de sa classe, pour qu’il se fasse des amis. Comme Max repart se coucher, ses parents ont une courte dispute : pour son père, les enfants ont besoin de leurs rêves ; pour sa mère – qui regarde alors lourdement son mari, les enfants doivent grandir ; comme elle s’en va, son mari mange un bout de cookies et rétorque que ce n’est pas avec ces gâteaux-là que Max se fera des amis – et il le recrache dans l’évier. Max espère alors qu’il y aura une tempête de neige le lendemain pour qu’il ne soit pas obligé d’aller à l’école…

Le lendemain matin, le père de Max essaie de convaincre son fils de continuer à construire un robot. Max refuse parce que son père lui-même avait dit que cela ne fonctionnerait jamais. Puis comme il sort, sa mère s’étonne des traces de pas brûlés dans le gazon devant la maison, et Max répond que de toute manière le gazon était mort. Sa mère lui demande alors pourquoi il est si morbide, et Max répond qu’il souhaiterait simplement que quelque chose arrive pour qu’il n’ait pas à aller à l’école ce jour-là. Mais sa mère lui répond que cela n’est pas réaliste – c’est suffisamment mal que son père ait la tête dans les nuages, alors pas Max. Qu’il mette de côté ce rêve et aille de l’avant. Max lui demande alors si c’est comme pour le rêve de sa mère, avec lui et son père dedans. Sa mère répond qu’elle a bien un rêve à leur propos, mais comme Max a dû le constater, son père et elle ne sont pas compatibles.

Puis elle s’excuse de lui dire tout cela avant l’école, mais l’école l’attend. Ils habitent juste en face de l’école, et Max demande s’ils avaient vraiment besoin d’habiter si près de l’école. Sa mère lui répond que son père pensait économiser de l’essence. Puis elle demande à Max de revenir à la maison de suite après l’école car ils auront besoin de parler d’un certain nombre de choses. Comme elle s’en va, Max soupire : il souhaiterait que n’importe quoi arrive ce jour-là pour qu’il n’ait pas à rentrer chez lui.

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Doctor Who, la saison 1 de la série télévisée de 2005 Feu vert télévision

Ici la page Amazon.fr du coffret 4 DVD français de la saison 1 de Doctor Who (2005) édité chez FRANCE 4.

Ici la page Amazon.fr du coffret 43 DVD français intégrale saisons 1-8 Doctor Who (2005) chez FRANCE 4.

Ici la page Amazon.fr du coffret 35 Blu-ray anglais intégrale saisons 1-7 Doctor Who (2005) chez 2ENTERTAIN.


Doctor Who 2005 S01E08-09: The Empty Child / The Doctor Dances
Traduction du titre original : L'enfant creux / Le Docteur sait danser.

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Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Doctor Who (2005)


Diffusé en Angleterre le 21-28 mai 2005 sur la BBC 1 UK.
Diffusé en France le 3 décembre 2005 sur FRANCE 4 FR.
Sorti en DVD anglais le 1er août 2005 (troisième partie de la saison 1, sans les bonus).
Sorti en DVD anglais le 21 novembre 2005 (intégrale saison 1, avec les bonus).
Sorti en blu-ray anglais le 4 novembre 2013 (intégrale saison 1 à 7, avec les bonus).

De Russell T. Davies ; épisode réalisé par James Hawes, sur un scénario de Stephen Moffat ; avec Christopher Eccleston, Billie Piper, John Barrowman, Florence Hoath, Richard Wilson.

Pour adultes et adolescents.

Alors que le TARDIS poursuit à travers l’Espace et le Temps une espèce de torpille, Rose demande au Docteur quelle est l’urgence. Le Docteur répond que l’urgence est mauve, ce qui surprend Rose, mais pour le Docteur, mauve est la couleur universellement reconnue pour indiquer le danger. Rose demande alors ce qu’il en est du rouge, et le Docteur répond que le rouge, c’est pour les Humains. Pour les autres espèces, c’est juste une couleur outrée, et le Docteur de se plaindre de tout ces quiproquos – toutes ces alertes rouges et tout le monde qui se met à danser.

L’engin qu’ils poursuivent a, selon le Docteur, un ordinateur de vol très basique, qu’il a piraté et asservi au Tardis : où que la torpille ira, le Tardis ira. Rose demande alors si c’est sans danger. Le Docteur répond que c’est absolument sans danger. Alors la console du Tardis explose en gerbes d’étincelles, et le Docteur corrige : raisonnablement sans danger, c’est ce qu’il aurait dû dire. Puis le Docteur s’écrie que la torpille saute des lignes temporelles et s’éloigne du Tardis. Rose demande alors ce qu’est exactement cette chose ; le Docteur n’en a aucune idée. Alors Rose demande pourquoi exactement ils la poursuivent. Le Docteur répond que c’est mauve, dangereux, et que cela frappera dans trente secondes le centre de Londres.

Le Tardis se matérialise de nuit dans une ruelle. Comme le Docteur demande à Rose en sortant combien de temps il faudrait pour se retrouver par hasard sur la Terre quand on voyage dans l’Espace, Rose répond qu’il faudrait cinq jours, sauf s’ils sont à court de lait. Le Docteur s’indigne alors que Rose ait déclaré que cela dépende d’une vache, avec toutes les espèces qui existent dans l’Univers… Ni le Docteur, ni Rose n’ont remarqué que quelqu’un les observe d’un toit voisin, à travers du verre abîmé. Selon le Docteur, l’engin qu’ils poursuivaient a dû tomber tout près, dans un rayon de moins d’un mile. Et cela a dû arriver pas plus de quelques semaines auparavant, peut-être un mois. Rose s’étonne : ils étaient juste derrière lui. Mais selon le Docteur, c’était forcé qu’ils soient un peu à côté de leur but, vu que l’engin n’arrêtait pas de sauter les lignes temporelles où qu’il aille. Puis, tandis qu’ils descendent la ruelle, le Docteur demande à Rose si elle voudrait conduire le Tardis, et Rose répond que oui. Rose s’inquiète alors de ce que le Docteur entend par « un peu à côté », sans davantage de précision, Rose demande au Docteur s’il va scanner la zone pour trouver des traces de technologie extraterrestre, ou quelque chose dans le genre.

Le Docteur répond que l’engin a frappé le centre de Londres en faisant un grand « bang » : tout ce qu’il lui reste à faire est de poser la question aux habitants. Et de sortir un portefeuille et de faire lire la carte qui s’y trouve à Rose : Mr John Smith, Ministère des Astéroïdes. Le Docteur explique alors à Rose qu’il s’agit d’un papier télépathe qui dit… Mais Rose s’en souvient et complète sa phrase : ce que vous avez envie de lire, elle s’en souvient. Ils arrivent devant une entrée de service avec une lumière masquée au-dessus. Rose fait alors remarquer que ce n’est pas vraiment le style de Spock de juste poser la question aux autres. Le Docteur entend pour sa part de la musique et des gens derrière la porte de service et demande son avis à Rose. Rose répond qu’elle pense que le Docteur devrait scanner la zone en vue de trouver de la technologie extraterrestre – que le Docteur lui fasse un peu du Spock, cela ne le tuerait pas. Au lieu de lui répondre, le Docteur critique le choix de tee-shirt de Rose – L’Union Jack. Rose avoue que c’est un peu trop tôt pour le dire, elle a décidé de tester ce look. Rose entend alors un petit enfant appeler sa maman et s’écarte de quelques pas. Pendant ce temps, le Docteur a réussi à ouvrir la porte de service et lui dit d’entrer si elle veut venir avec lui – cela ne prendra qu’une minute. Mais Rose entend encore l’enfant qui appelle et fait quelques pas en arrière, la tête levée vers les toits, où elle croit avoir vu une ombre projetée contre un mur.

C’est alors qu’elle le voit : un petit enfant blond portant un masque à gaz, qui la regarde du haut d’un toit. Alarmée, Rose appelle le Docteur, mais celui-ci ne l’entend pas : il est déjà entré dans les coulisses d’un Club de Jazz, suit un serveur apportant des coupes de champagne dans une salle pleine de clients, où une chanteuse années 1940 chante que « cela devait être lui ». De son côté, Rose est revenu sur leurs pas et appelle l’enfant, lui demandant si tout va bien là-haut. L’enfant appelle encore sa maman. Et pendant que Docteur est sous le charme de la chanteuse et applaudit à deux mains, Rose grimpe quatre à quatre les marches d’un escalier en fer. Dans le Club, le Docteur profite de la fin du numéro et des applaudissements nourris pour monter sur la scène et demander l’attention de tout le monde juste une minute. Il commence par dire que cela paraîtra peut-être comme une question stupide, puis demande si quoi que ce soit aurait pu tomber du ciel récemment. Un silence de mort lui répond, puis soudain, tout le monde se met à rire. Le Docteur se demande alors ce qu’il a pu dire de si drôle.

Quant à Rose, elle est arrivée sur un toit, mais l’enfant se trouve maintenant encore plus haut, sur le cube abritant la mécanique d’entraînement d’un ascenseur. Alarmée, Rose demande à l’enfant, qui appelle encore sa mère, de ne plus bouger. Comme la jeune fille aperçoit alors une corde qui se balance devant elle, Rose l’attrape – et grimpe. De son côté, le Docteur insiste, mais plus il insiste, plus les spectateurs rient. Alors les sirènes de la Défense Anti-Aérienne se mettent à hurler : plus personne ne rit, et plus personne n’écoute le Docteur – tout le monde s’en va. Le Docteur voit enfin les affiches sur les murs, avec des bombardiers et la légende « Hitler ne vous enverra pas d’avertissement »… Et le personnel du Club rappelle aux clients qu’ils doivent descendre le plus vite possible aux abris. Quant à Rose, elle est presque arrivée à l’enfant tandis que les sirènes hurlent tout autour d’eux. C’est alors que l’enfant pointe son doigt vers le ciel et dit « ballon » : la corde à laquelle Rose est accrochée est en fait attachée à un ballon dirigeable qui dérive au-dessus de la ville de Londres pour empêcher les avions nazis de survoler de trop près la ville.

Et d’un coup, le ballon de la Défense Anti-Aérienne dérive, et Rose est entraînée au-dessus du vide.

Doctor Who S01E09 : Drôle de mort (2005)

Doctor Who S01E09 : Drôle de mort (2005)

Doctor Who S01E09 : Drôle de mort (2005)

Doctor Who S01E09 : Drôle de mort (2005)

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Doctor Who, la saison 1 de la série télévisée de 2005 Feu vert télévision

Ici la page Amazon.fr du coffret 4 DVD français de la saison 1 de Doctor Who (2005) édité chez FRANCE 4.

Ici la page Amazon.fr du coffret 43 DVD français intégrale saisons 1-8 Doctor Who (2005) chez FRANCE 4.

Ici la page Amazon.fr du coffret 35 Blu-ray anglais intégrale saisons 1-7 Doctor Who (2005) chez 2ENTERTAIN.

Doctor Who 2005 S01E08: Father's Day
Traduction du titre original : La fête du père.

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Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Doctor Who (2005)

Diffusé en Angleterre le 14 mai 2005 sur la BBC 1 UK.
Diffusé en France le 26 novembre 2005 sur FRANCE 4 FR.
Sorti en DVD anglais le 1er août 2005 (troisième partie de la saison 1, sans les bonus).
Sorti en DVD anglais le 21 novembre 2005 (intégrale saison 1, avec les bonus).
Sorti en blu-ray anglais le 4 novembre 2013 (intégrale saison 1 à 7, avec les bonus).

De Russell T. Davies ; épisode réalisé par Paul Cornell ; avec Christopher Eccleston, Billie Piper, Camille Coduri, Shaun Dingwall, Julia Joyce.

Pour adultes et adolescents.

Peter Alan Tyler, le père de Rose Tyler – selon elle, l’homme le plus merveilleux du monde, né le 15 septembre 1954. Quand Rose était encore petite fille, sa mère lui avait montré un album de photo. Rose n’avait alors pas reconnu son père : elle était trop jeune pour se souvenir du jour où son père est mort – le 7 novembre 1987, le jour où Stuart Hoskins et Sarah Clark se sont mariés. C’était un homme aventureux, et selon Jackie, la mère de Rose, il aurait adoré voir comme elle avait grandi depuis. Et c’est ce souvenir que raconte à présent Rose au Docteur, à bord du TARDIS. D’où la requête de Rose : leur serait-il possible de remonter le temps voir le père de Rose, quand il était encore vivant ? Le Docteur s’étonne et demande d’où est venu à Rose cette envie soudaine. Rose répond que si c’est contre les lois du Temps ou quelque chose dans le genre, cela ira quand même. Le Docteur répond qu’il peut tout faire, mais qu’il s’inquiète seulement pour Rose, et Rose confirme qu’elle veut voir son père. Le Docteur répond alors que les désirs de Rose sont ses ordres, mais qu’il faut prendre garde à ce que l’on souhaite.

Dans un premier temps, Rose et le Docteur assiste au mariage des parents de Rose, et constatent la déception de Jackie, la mère de Rose quand Peter bafouille sur les prénoms de sa future femme au moment de prononcer ses vœux. Comme la mère de Rose dit au prêtre de poursuivre la cérémonie, car le même genre de bafouille avait convenu à Lady Di, Rose est déçue… parce qu’elle croyait son père plus grand. Et quand le prêtre achève la cérémonie en déclarant qu’ils seront mariés jusqu’à ce que la mort les sépare, Rose se souvient des mots de sa mère, selon lesquels son père est mort tout près de leur maison, et qu’elle n’était même pas à ses côtés, que personne n’était à ses côtés : son père avait été renversé par un chauffard, qui avait ensuite pris la fuite, et qu’ils n’ont jamais su qui l’avait tué. Peter était mort à l’arrivée de l’ambulance, et la mère de Rose aurait seulement souhaité que quelqu’un soit là auprès de Peter avant qu’il ne décède.

Le souhait suivant de Rose au Docteur est donc d’être la personne qui sera au côté de Peter après son accident, afin qu’il ne meurt pas dans la solitude. Le Docteur se fait simplement confirmer la date du 7 novembre 1987 et lance le TARDIS. Le voyage est court, et à nouveau, Rose s’étonne : elle croyait que 7 novembre 1987 devait être un jour triste et pluvieux, alors que ce n’est qu’un jour ordinaire. Le Docteur répond alors que le Passé est un autre pays, puis il s’inquiète à nouveau : est-ce que Rose est vraiment sûre de ce qu’elle veut. Rose l’affirme. Ils marchent alors jusqu’à une intersection – Jordan Road, Rose est certaine que cela arrivera là. Selon elle, son père était en retard. Il était allé chercher un cadeau de mariage, un vase – ce stupide vase, comme le répétera ensuite la mère de Rose.

Et comme Rose le raconte, Peter Tyler arrive au volant d’une petite voiture verte, se gare. Rose interrompt son récit, et comme hypnotisée, regarde fixement la scène. Le Docteur lui prend la main. Une autre voiture beige vient de tourner dans Jordan Road, derrière Peter qui est sorti côté route et referme sa portière. Rose détourne les yeux – un crissement de pneu, un choc, le bruit du vase qui se casse. Quand Rose rouvre les yeux, son père est à terre, la voiture beige fuit. Le Docteur lui dit d’y aller maintenant, mais Rose n’y va pas. Elle entraîne le Docteur à l’angle, et quand ils entendent l’ambulance arriver, Rose se met à pleurer parce qu’il est trop tard, son père est mort sans personne à ses côtés.

Et elle demande alors au Docteur de pouvoir essayer à nouveau…

 

Doctor Who 2005 S01E08: Fêtes des pères

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