Space 1999, la série télévisée de 1975 Feu vert télévision

Space 1999 S01E08: The Gardian of Piri (1975)

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Ici l'article de ce blog sur la série Cosmos 1999 (1975)

Diffusé le 13 novembre 1975 sur ITV 1 UK.
Diffusé le 26 novembre 1977 sur TF1 FR.
Sorti en blu-ray anglais le 1er novembre 2010 chez Network (lisible en France, pas de version française ni de sous-titres français).

De Gerry Anderson et Sylvia Anderson ; réalisé par Charles Crichton sur un scénario de Christopher Penfold ; Avec Martin Landau, Barbara Bain, Barry Morse, Prentis Hancock, Zienia Merton, Anton Phillips, Nick Tate, Catherine Schell, Michael Culver, John Lee-Barber.

Pour adultes et adolescents.

Descendant dans le poste de commandement de la base ALpha, le commandant Koenig interpelle Kano : alors que la Lune s'apprête à entrer en orbite d'une nouvelle planète inconnu, l'ordinateur de la base devrait être submergé de données. Pourquoi n'offre-t-il donc aucune prédiction sur la capacité de l'astre à supporter la vie humaine ? Kano répond laborieusement que l'ordinateur a scanné constamment la planète depuis sa découverte, mais l'ordinateur continue d'indiquer que les données sont insuffisantes. Mais ce que Koenig ne comprend pas, c'est comment leur ordinateur pourrait-il à la fois guider un vol de reconnaissance à la surface de la planète et ignorer si la surface de celle-ci pourrait supporter la vie. Kano répond que dans aucun des deux cas, l'ordinateur ne se montra irrationnel au point de tenter de deviner les bonnes réponses.

Pendant ce temps, un aigle avec deux pilotes à son bord descend en orbite basse de la planète rose et grise et demande la confirmation d'autorisation de Paul depuis le poste de commandement d'Alpha. Paul confirme. Le pilote remarque qu'ils ont fait vite, mais Carter depuis la base remarque que leur ordinateur aura tout aussi bien pu faire une sacrée erreur : ils ont deux heures d'avance sur l'heure prévue. Paul demande à Kano de vérifier les chiffres de l'ordinateur. Kano soupire en souriant et en se demandant quand ils retiendront enfin leur leçon ?

De son côté, l'aigle descend sous un ciel violet en direction d'un plateau rocheux surplombant un océan de brume seulement percé par des récifs. Le plateau rocheux semble surmonté de structures sphériques blanches. Le pilote de l'aigle fait remarquer à Ed son copilote que ce monde-là, c'est un bizarre. Certaines sphères blanches flottent au-dessus du plateau, la majorité semblent fixés à des sortes d'arbres. Les images sont retransmises en direct sur le grand écran du poste de commandement et à leur vue, Koenig se tourne vers le professeur Bergman : est-ce que c'était une chose à laquelle il s'attendait ? Bergman répond honnêtement que l'ordinateur n'a pas l'habitude d'être réticent et qu'il ne savait donc pas à quoi s'attendre. A l'écran, le sol du plateau est un damier rouge et orange croisé de blanc, clairement artificiel, et les sphères blanches semblent avoir poussé au bout d'arbres torsadés orangés, jonchant le sol de petites sphères blanches comme autant de fruits d'allure tout aussi artificiels que le reste du décor.

Tandis que l'aigle semble virer et tanguer, Carter s'inquiète : ils volent trop bas et la gravité là-bas semble augmenter. Kano corrige : selon l'ordinateur, les pilotes se débrouillent très bien. Carter répond que c'est l'ordinateur de la base Alpha qui se trompe. Koenig demande à Pete, le pilote de l'Aigle s'il a entendu ce qui vient d'être dit : Pete répond, très décontracté que tout va parfaitement bien, ils suivent leur trajectoire et s'y tiennent. L'aigle fait un virage au ras des sphères. Carter hausse le ton : ils volent trop près et trop vite. Sandra signal que les divergences entre les données ne cessent de s'accroître. Koenig rejoint Carter et ordonne au pilote de vérifier manuellement ses données. Carter annonce alors que la gravité est désormais sept fois plus élevée que les estimations de l'ordinateur : jamais ils n'arriveront à contrebalancer cela. Koenig ordonne de synchroniser l'ordinateur de la base et l'ordinateur de bord de l'aigle. Kano arrache un ticket que son pupitre vient d'imprimer et se retourne vers Koenig : les deux ordinateurs confirment que la gravité est telle qu'elle a été estimée.

Carter bondit de sa chaise : les ordinateurs ont tort. Et d'interpeller les pilotes : mais qu'est-ce qu'ils fichent là bas ? Dans la cabine de l'Aigle, les deux pilotes Pete et Ed dont hilare : Pete répond qu'ils font un petit vol en rase-motte, Carter serait-il jaloux ? Koenig appelle plusieurs fois Pete et n'entend en retour que des rires tonitruants. Soudain la transmission cesse, et leur aigle disparaît des radars de la base.

Cosmos 1999 S01E08: Le gardien du Piri (1975)

Cosmos 1999 S01E08: Le gardien du Piri (1975)

Cosmos 1999 S01E08: Le gardien du Piri (1975)

Cosmos 1999 S01E08: Le gardien du Piri (1975)

Cosmos 1999 S01E08: Le gardien du Piri (1975)

Cosmos 1999 S01E08: Le gardien du Piri (1975)

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Galaxy, le numéro de novembre 1976 Feu vert livre / BD

Ici la page Amazon.fr de La Grande porte

Gateway (1976)

Traduction du titre original : Passage.

Sorti aux USA de novembre 1976 à août 1977 dans Galaxy Magazine (trois parties plus un épilogue).
Sorti aux USA en 1977 chez ST MARTIN PRESS US (grand format).
Sorti aux USA en 1978 chez DEL REY (poche)
Sorti en France en 1978 chez CALMANN-LEVY (grand format, traduction de C. et L. Meistermann)
Sorti en France en 1981 chez LE LIVRE DE POCHE (poche).
Sorti en France en août 1984 chez J'AI LU (poche).

De Frederick Pohl.

Rob Broadhead est riche à millions à présent: il a les moyens de se payer toutes les filles qu'il désire - et la médication totale qui le gardera éternellement jeune. Et pourtant il ne cesse de visiter son psychiatre informatique, lequel, séance après séance, exhume les causes de son mal-être. Celles-ci sont étroitement liées à l'époque où il avait débarqué sur la Grande Porte, un astéroïde artificiel satellisé entre Venus et la Terre.

Si une banale loterie lui a permis de quitter sa misérable condition de mineur sans avenir, c'est un autre genre de tirage au sort qui l'attend, ainsi que tous ceux qui l'accompagneront à bord des vaisseaux abandonnés par une race extraterrestre disparue sur ce gigantesque astroport...

La Grande Porte, le roman de 1976  La Grande Porte, le roman de 1976

La Grande Porte, le roman de 1976  La Grande Porte, le roman de 1976

La Grande Porte, le roman de 1976   La Grande Porte, le roman de 1976

La Grande Porte, le roman de 1976    La Grande Porte, le roman de 1976

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(traduction au plus proche, version 1977)

1

Mon nom est Robinette Broadhead, en dépit de quoi je suis un homme. Mon psychiatre (que j'appelle Sigfrid von Shrink, bien que cela ne soit pas son nom; il n'a pas de nom, étant une machine) s'amuse beaucoup électroniquement avec ce fait:

"En quoi cela vous importe que certaines personnes pensent que c'est un nom de fille, Rob?"

"Je m'en fiche."

"Alors pourquoi vous n'arrêtez pas d'y revenir?"

Il m'embête quand il n'arrête pas de revenir sur ce sur quoi je n'arrête pas de revenir. Je fixe le plafond avec ses mobiles en suspension et ses piñatas, puis je regarde par la fenêtre. Ce n'est pas vraiment une fenêtre. C'est un hologramme animé d'une déferlante sur Kaena Point; la programmation de Sigfrid est plutôt éclectique. Après un temps, je déclare, "Je n'y peut rien à ce que mes parents m'ont appelé. J'ai essayé de l'écrire R, O, B, I, N, E, T, mais ensuite tout le monde le prononçait mal."

"Vous pourriez le remplacer par quelque chose d'autre, vous savez."

"Si je le remplaçais," je répondis, et j'étais sûr que j'avais raison en cela, "vous me raconteriez seulement que je faisaisdes efforts obsessifs pour défendre mes dichotomies intérieures."

***

(Texte original version grand format de 1977)

1

My name is Robinette Broadhead, in spite of which I am male. My analyst (whom I call Sigfrid von Shrink, although that isn't his name; he hasn't got a name, being a machine) has a lot of electronic fun with this fact:

"Why do you care if some people think it's a girl's name, Rob?"

"I don't."

"Then why do you keep bringing it up?"

He annoys me when he keeps bringing up what I keep bringing up. I look at the ceiling with its hanging mobiles and pinatas, then I look out the window. It isn't really a window. It's a moving holopic of surf coming in on Kaena Point; Sigfrid's programming is pretty eclectic. After a while I say, "I can't help what my parents called me. I tried spelling it R-O-B-I-N-E-T, but then everybody pronounces it wrong."

"You could change it to something else, you know."

"If I changed it," I say, and I am sure I am right in this, "you would just tell me I was going to obsessive lengths to defend my inner dichotomies."

"What I would tell you," Sigfrid says, in his heavy mechanical attempt at humor, "is that, please, you shouldn't use technical psychoanalytic terms. I'd appreciate it if you would just say what you feel."

"What I feel," I say, for the thousandth time, "is happy. I got no problems. Why wouldn't I feel happy?"

We play these word games a lot, and I don't like them. I think there's something wrong with his program. He says, "You tell me, Robbie. Why don't you feel happy?"

***

(traduction de C. et L. Meistermann de 1978)

1

Je m'appelle Robinette Broadhead, mais je n'en suis pas moins du sexe masculin. Mon analyste (que j'appelle Siegfried von Shrink, quoique ce ne soit point son nom; il ne possède aucun nom, car c'est une machine) tire un grand plaisir électronique de ce fait:

- Pourquoi te tourmentes-tu si certaines personnes croient que c'est un nom de fille, Bob ?

- Je ne me tourmente pas.

***

Le gentleman des Antipodes, le téléfilm de 1976Feu orange télévision

Le gentleman des Antipodes (1976)
Traduction du titre original : Le gentilhomme des Antipodes.

Diffusé en France le 4 novembre 1976 sur ANTENNE 2.

De Boramy Tioulong ; sur un scénario de Christiane Lamorlette ; d'après le roman de Pierre Very ; avec Gilles Ségal, Marc Fayolle, Paul Le Person, Armand Mestral, Raymond Gérôme, Rosy Varte, Jean Saudray, Jean Martin, Francis Lax, Jean-Paul Zehnacker, Ginette Garcin, Nita Klein, Jean Obé, Hélène Calzarelli, Franck Cabot-David, Jean Laroquette.

Nous sommes en hiver, à Paris. Des pigeons folâtrent dans un parc. Jugonde apporte le dossier de Florrichon à Maître Prosper Lepicq. Celui-ci ironise sur l’affaire lorsqu’ils sont interrompus par la sonnerie de la porte. Lepicq envoie son secrétaire ouvrir : l’homme insiste pour voir Lepicq, et Jugonde insiste pour en savoir plus. Mais lorsque l’homme aperçoit le portrait de Lepicq et reconnait l’avocat-criminologiste, il s’enfuit sur les quais de la Seine. Apprenant cela, Lepicq se met immédiatement à sa poursuite. Lepick file l’inconnu – croisant au passage une femme costumée en pigeon perchée sur un banc – jusqu’à l’entrée d’une cour intérieure, décorée d’étranges sculptures et fresques, où chantent des oiseaux exotiques. Par les vitres d’une véranda, Lepicq peut apercevoir l’inconnu – Jules Blot – enfiler une blouse blanche et se mettre à son travail de sculpteur. En revenant sur ses pas, Lepicq achète France Soir, dont l’un des gros titres concerne le crime du Jardin des Plantes, qui a eu lieu il y a déjà une semaine : selon le journal, l’auteur du crime, qualifié de « monstre », reste insaisissable ; un marchand de crêpe, Albert Cartier, 60 ans, a été sauvagement étranglé dans une allée, et les traces de griffes sur le cou de la victime seraient les seuls éléments dont dispose la Police pour mener son enquête.

Tandis qu’il lit son journal en marchant le long de l’allée, Lepicq est abordé par un grand moustachu, qui se présente comme le commissaire Fronsac, qui prétend remarquer son intérêt pour l’affaire, et le complimente pour sa carrière d’expert en Criminologie. Ils entrent ensemble dans la ménagerie du Jardin des Plantes – et croisent un albinos en gabardine, tandis que Fronsac souligne l’imagination des journalistes : le monstre serait un anthropopithèque à face bestiale aux griffes de félin à moins que cela ne soit des serres de rapace. Fronsac corrige : le meurtrier portait des gants, troué aux bouts, et ce sont ses ongles qui ont laissé les marques. La victime serait sans histoire, il n’y aurait aucun mobile : la caisse du marchand de crêpe était intacte, le portefeuille aussi. Selon Fronsac, ce serait la folie – un crime spontané. Mais Lepicq fait remarquer la précaution du meurtrier de porter des gants. Ils croisent ensuite une femme âgée blonde en pleurs, qu’un jeune homme réconforte, puis un homme qui parle à un aigle royal et lui reproche d’être mal luné, puis un unijambiste qui récupère sa béquille en sautillant jusqu’à un arbre.

Lepicq se rend ensuite à la boutique d’Emile Vigerie, l’homme qui parlait à l’aigle royal. La boutique est remplie d’animaux empaillés, avec une mezzanine donnant sur des rayonnages de vieux livres reliés. Une femme en robe interpelle Vigerie, exigeant de lui son tilleul, et l’appelle encore trois fois sans résultat, avant de s’en aller, furieuse, faute d’une réponse. Vigerie va ensuite refermer le rideau en fer de sa boutique, qui n’est autre que la boutique voisine de l’entrée de la cour du sculpteur Jules Blot. Celui-ci aperçoit alors Lepicq de sa véranda, et Lepicq entre pour lui parler.

Celui-ci lui montre les fenêtres de son voisin, Vigerie, où se tient une étrange réunion autour d’une flamme. Blot lui présente alors les différents membres de l’assemblée, s’aidant de caricatures qu’il a dessiné : Vigerie en aigle – le propriétaire de l’immeuble ; Choucard – un comédien ; le professeur Sainte-Rose, en poisson des grandes profondeurs – sa spécialité ; Abadis en Saint-Bernard, un ex dompteur mis à la retraite par l’une de ses panthères ; Bilig, étudiant vétérinaire, le loup, auquel Vigerie loue une chambre en échange de travaux de documentation, et qui s’intéresse à Colette, la fille de Vigerie, qui ne fait pas partie de la secte ; les sœurs Méline – la souris Agathe et la belette Juliette ; le préparateur de Vigerie, en grillon. Selon Blot, la secte se réunit plusieurs fois par mois : après l’assassinat de père Cartier, Blot s’est imaginé que le monstre du Jardin des Plantes était un demi-humain, et plus Blot regarder la tête des membres de la secte, plus il se disait que c’était peut-être des bêtes qui voulaient se venger des humains, alors Blot a couru chez Lepicq. Lepicq fait alors remarquer que tous les humains sont des animaux, cela se voit seulement plus ou moins. Quelque chose bouge alors dans la cour et ils sortent. Blot veut lui dire alors ce qu’il était venu lui dire ce jour-là, mais Lepicq refuse et demande à ce qu’il le lui dise plus tard.

Le lendemain, Lepicq entre dans la boutique de taxidermie de Vigerie, occupé à dicter une lettre sur la naturalisation de têtes, s’interrompt, et Lepicq prétend chercher un ouvrage sur les oiseaux de nuit. S’en suit un étrange dialogue de gestes, regards et postures comme entre deux oiseaux qui s’observeraient. Lepicq est alors admis dans les réunions de chez Vigerie : Lepick prétend travailler sur le passage de l’homme à l’animal, mais pour Vigerie, il n’y a pas de passage chez certains individus, mais un état. Et sous l’influence d’un champ magnétique, Vigerie prétend démontrer que le comportement du loup surgit en Billig – mais Billig a-t-il été un loup, ou bien le devient-il ?

Le gentleman des Antipodes, le téléfilm de 1976

Le gentleman des Antipodes, le téléfilm de 1976

Le gentleman des Antipodes, le téléfilm de 1976

Le gentleman des Antipodes, le téléfilm de 1976

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Le gentleman des Antipodes, le téléfilm de 1976

Le gentleman des Antipodes, le téléfilm de 1976

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Le collectionneur de cerveaux, le téléfilm de 1976Feu orange télévision

Le collectionneur de cerveaux (1976)

Diffusé en France le 23 octobre 1976 sur ANTENNE 2 FR.
Diffusé en téléchargement et en DVD à la demande par INA FR (image non restaurée endommagée, virée, floue).
Sorti en DVD français le 3 juin 2014 (qualité d'image inconnue).

De Michel Subiela (également scénariste). Avec Claude Jade, François Dunoyer, André Reybaz.
D'après George Langelaan (la nouvelle Robots pensants). Musique de Vladimir Cosma.


Le Comte de Saint-Germain vient se présenter à la jeune pianiste Penny Vanderwood alors qu'elle répète avant un récital. Il lui confesse son admiration sans borne pour son jeu pianistique, et se présente comme un créateur d'automates et qu'il voudrait travailler pour créer avec elle un automate pianiste qui aurait le même jeu pianistique qu'elle. Surprise, Penny demande à réfléchir, et le Comte lui remet sa carte. Le lendemain, elle lit dans le journal non seulement le compte-rendu élogieux de son propre récital, mais également l'annonce du spectacle du comte de Saint-Germain. Sa curiosité piquée, elle se rend à la salle attenante à un café où a lieu le spectacle. Là, effectivement, un public dans la pénombre assiste captivé à une partie d'échec entre un automate de style Roccoco et un joueur d'échec local. Réalisant que l'automate a un tic qu'elle connait bien, Penny étouffe un cri, qui fait se figer, puis se retourner l'automate.

Le lendemain, Penny ne peut plus s'arrêter de repenser à ce qu'elle a vu, et elle téléphone à l'ambassade de Grande-Bretagne pour parler à Lewis Armeigh. Elle le retrouve plus tard dans une brasserie sous une coupole art-déco. Là ils commencent à parler de Robert Tournon, le fiancée de Penny, décédé récemment dans un accident de voiture, que Lewis connaissait bien et avait laissé courtiser Penny alors que lui-même était amoureux d'elle... Penny affirme alors à Lewis que Robert est encore vivant.

Le collectionneur de cerveaux (1976) photo

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Le collectionneur de cerveaux (1976) photo

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