
- Détails
- Écrit par David Sicé


Traduction du titre original: les dossiers X.
Diffusé aux USA depuis le 10 septembre 1993 sur FOX US.
Diffusé en France le 12 juin 1994 sur M6 FR.
Diffusion de la saison 10 en France à partir du 25 février 2016 sur M6 FR (épisodes largement censurés)
De Chris Carter. Avec David Duchovny, Gillian Anderson, Mitch Pileggi.




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The X-Files S01E02: Gorge profonde (Deep Throat)
The X-Files S01E03: Compressions (Squeeze)
The X-Files S01E04: L’Enlèvement (Conduit)
The X-Files S01E05: Le Diable du New Jersey (The Jersey Devil)
The X-Files S01E06: L’Ombre de la mort (Shadows)
The X-Files S01E07: Un fantôme dans l'ordinateur (Ghost in the Machine)
The X-Files S01E08: Projet arctique (Ice)
The X-Files S01E09: Espace (Space)
The X-Files S01E10: L’Ange déchu (Fallen Angel)
The X-Files S01E11: Ève (Eve)
The X-Files S01E12: L’Incendiaire (Fire)
The X-Files S01E13: Le Message (Beyond the Sea)
The X-Files S01E14: Masculin féminin (Genderbender)
The X-Files S01E15: Lazare (Lazarus)
The X-Files S01E16: Vengeance d'outre-tombe (Young at Heart)
The X-Files S01E17: Entité biologique extraterrestre (E.B.E.)
The X-Files S01E18: L’Église des miracles (Miracle Man)
The X-Files S01E19: Métamorphoses (Shapes)
The X-Files S01E20: Quand vient la nuit (Darkness Falls)
The X-Files S01E21: Le Retour de Tooms (Tooms)
The X-Files S01E22: Renaissance (Born Again)
The X-Files S01E23: Roland (Roland)
The X-Files S01E24: Les Hybrides (The Erlenmeyer Flask)








Saison 10 (2016 - 6 épisodes)
The X-Files S10E01: Mon combat (My Struggle)
The X-Files S10E02: La mutation de l'investisseur (Founder's Mutation)
The X-Files S10E04: De retour à la maison (Home Again)
The X-Files S10E05: Babylone (Babylon)
The X-Files S10E06: Mon combat II (My Struggle II)
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Saison 11 (2017 - 10 épisodes)
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- Écrit par David Sicé


Last Action Hero (1993)
Sorti aux USA le 18 juin 1993.
Sorti en Angleterre le 30 juillet 1993.
Sorti en France le 11 août 1993.
Sorti en blu-ray américain le 12 janvier 2010.
Sorti en blu-ray français le 24 février 2010.
Pour adultes et adolescents.
De John McTiernan, sur un scénario de Zak Penn, Adam Leff, Shane Black et David Arnott ; avec Arnold Schwarzenegger, Austin O'Brien, Bridgette Wilson-Sampras, Charles Dance, Anthony Quinn, Professor Toru Tanaka, Mercedes Ruehl, Frank McRae, Tom Noonan, Robert Prosky, F. Murray Abraham, Art Carney, Ryan Todd Ryan Todd , Ian McKellen, Joan Plowright, James Belushi, Chevy Chase, Robert Patrick, Sharon Stone, Jean-Claude Van Damme, Tina Turner, Little Richard, M.C. Hammer.
Une centaine, peut-être un millier de voitures de police aux gyrophares tournoyant remplissent le boulevard jusqu’à l’horizon, tandis que les hélicoptères survolent la scène du crime et les commandos de la police accourent le long des trottoirs menant à l’Ecole Elementaire Lincoln. Pour le commissaire Dekker en charge de l’opération, c’est une terrible façon de passer la veillée de Noël. Et il se cache derrière sa voiture de police, car le preneur d’otage, Ripper (le faucheur), la mitraille du haut d’un immeuble. En se relevant, le commissaire Dekker maudit alors Ripper et lui ordonne une fois de plus de relâcher les enfants qu’il détient. Arrive Jack Slater, le héros en bottes de crocodiles. Le commissaire Dekker menace de lui retirer son badge s’il intervient, car Slater est un très mauvais négociateur et la dernière fois qu’il est intervenu, des gens ont perdu des parties de leur corps. En guise de réponse, Slater jette par-dessus son épaule au commissaire son badge. Mme La Maire supplie alors Slater de l’écouter malgré leurs petites dissensions précédentes et lui présente le lieutenant gouverneur. Slater écarte le lieutenant gouverneur d’un coup de poing, répondant à la Maire de l’appeler quand le gouverneur arrivera.
Le commissaire Dekker donne alors l’ordre par radio de ne pas laisser entrer Slater dans l’école. Le commando en faction répond que ce sera très facile ; il se retourne face à Slater, qui lui demande s’il veut devenir un fermier, parce qu’il a quelques acres à lui donner. Et de lui donner un coup de pieds à l’entrejambe qui soulève le commando à deux mètres au-dessus de la terre. Slater rattrape au vol le Talkie-Walkie du commando et déclare à Dekker que le prochain qu’il rencontrera sur son chemin, il lui ferait mal… Comme Dekker veut répondre, Slater broie à mains nues le Talkie et arme son pistolet automatique. Alors que de la rue, Dekker rappelle à ses officiers de vérifier leur cible car il y a un inspecteur en civile dans l’école, on entend les enfants crier depuis le toit du bâtiment, décoré de guirlandes électriques pour la Noël : Slater vient de faire son entrer là-haut – et les enfants sont bien sous la menace de Ripper en ciré jaune et armé d’une hache. Et parmi les enfants, il y a Andy, le fils de Jack Slater, que Ripper tient et menace directement de la pointe de sa hache sous la gorge du petit garçon. Selon Ripper, Andy s’impatientait, et Ripper lui a promis que Slater viendrait et lui a donné sa parole d’honneur que Andy pourrait regarder son père mourir.
Slater demande à Andrew si Ripper lui a fait du mal. Comme le petit garçon fait non de la tête, Ripper se plaint du traumatisme qu’il a subi après avoir passé dix ans en prison à cause de Slater. Ce à quoi Slater répond froidement que Ripper aurait dû être condamné à mort. Alors Ripper se plaint des cafards en prison, puis remarque que c’est la fouille illégale de Slater qui a permis d’écarter la hache ensanglantée des pièces à conviction. Puis Ripper demande à Jack Slater de lâcher son pistolet. Slater, qui à présent se trouve à mi-chemin entre le tueur et la sortie, dépose son pistolet à terre et demande à ce que Ripper relâche le garçon, mais Ripper doute que Slater ait un seul pistolet sur lui. Slater se débarrasse alors d’une dague, et de cinq révolvers. Ripper lui demande alors si c’est tout, et Slater confirme. Ripper lui demande de reculer, puis Slater sort et dégoupille une grenade. Ripper refuse de croire que Slater ferait sauter à la grenade son propre fils. Puis il fait ramasser à Andy la grenade, et l’examine : Ripper déclare alors que ce n’est qu’un jouet, mais Andy et Slater échangent un regard et Andy remarque la pointe dissimulée dans le jouet. Le garçon fait sortir la lame de couteau et frappe Ripper. Ripper veut lancer sa hache sur Slater qui se jette à terre et ramasse son plus gros pistolet et tire sur Ripper et alors…
… Dans le cinéma, l’image du film d’action devient floue et le jeune Danny Madigan, qui est le seul spectateur réveillé de la salle, proteste bruyamment à l’attention du projectionniste, sans résultat. Danny se lève, tente de protester auprès du caissier qui s’en fiche, alors Danny monte à la cabine de projection retrouver le vieux Nick et le réveiller. Mais quand Nick remet la mise au point, c’est le générique. Nick s’excuse – il ne faisait jamais cela avant, mais Danny a déjà vu six fois le film : c’était seulement que le garçon s’inquiétait pour Nick. Alors le vieux projectionniste lui fait remarquer que le nouveau Jack Slater sera sur les écrans à partir de la semaine prochaine au cinéma L’Odyssée. Or, Nick va vérifier la copie ce soir à minuit, et propose à Danny de voir le film avant tout le monde. Mais pour cela, il faut que Danny se dépêche d’aller à l’école, vu que le garçon est déjà en retard de quatre heures.
Dans le hall du vieux cinéma, Danny remarque les silhouettes en carton de Jack Slater, incarné par Arnold Schwarzenegger et d’une nouvelle héroïne, incarnée par Meredith Caprice. Dehors il pleut, la rue est sale, pleine de vendeurs à la sauvette et de voyous. À l’école, la professeure promet de la traitrise, du complot, du sexe, des combats à l’épée, de la folie et des fantômes, et à la fin tout le monde meurt – c’est-à-dire Hamlet de Skakespeare. Selon la professeure, si le héros semble être incapable d’entreprendre la moindre action, il serait en fait le premier héros de film d’action. La professeur propose alors à sa classe de voir une scène d’une version filmée avec , dans la version cinéma avec Laurence Olivier, que ses élèves connaissent peut-être à cause de la publicité polaroid ou de son rôle de Zeus dans le Choc des Titans. Alors que Danny regarde le monologue, il finit par s’écrier de ne pas parler, juste de le faire. Puis il s’imagine la bande-annonce de Hamlet avec dans le rôle principal son héros Jack Slater, exterminant la totalité de ses ennemis y compris au pistolet mitrailleur et à la dynamite. Et Slater de conclure : être ou ne pas être ? ne pas être ! Alors tout le château explose, tandis que Slater s’allume un cigare de plus.




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Donnez votre avis sur ce film en nous rejoignant sur le forum Philippe-Ebly.fr
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- Écrit par David Sicé


Ici la page Amazon.fr du coffret 2 blu-rays américain KINO LORBER US région A anglais sous-titré anglais.
Wild Palms (1993)
Diffusé aux USA à partir du 16 mai 1993 sur ABC US.
Sorti en DVD américain le 4 octobre 2005.
Sorti en DVD anglais le 31 mars 2008.
Sorti en coffret 2 blu-rays américain KINO LORBER US, région A anglais seulement.
De Oliver Stone et Bruce Wagner (également scénaristes). Avec James Belushi, Dana Delany, Robert Loggia, Kim Cattrall, Angie Dickinson , David Warner, Bebe Neuwirth, Nick Mancuso, Ben Savage , Brad Dourif.
Pour adultes et adolescents.
Los Angeles 2007. Harry Wyckoff est un avocat ambitieux qui a presque tout ce qu'il voudrait dans la vie : une famille parfaite, une maison de rêve, une vie tranquille. Il ne lui manque que sa promotion au rang d'associé de son cabinet, une épouse moins dépressive et une belle-mère moins envahissante pour être heureux. Est-ce pour cela qu'il rêve la nuit d'un rhinocéros dans la piscine vide ? Ou bien qu'il accepte la demande de son amour de jeunesse de retrouver son fils disparu, alors qu'il ne fait pas bon fouiller dans le passé à Los Angeles où les sectes peuvent avoir pignon sur rue et tout faire sans être inquiété ? Et surtout, est-ce que c'est la réalité, ou bien est-ce Mimécom ? 



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Saison 1 (1993, finale)
Wild Palms S01E01: Une vie sans histoire (Everything Must Go, tout doit disparaître)
Wild Palms S01E02: Un monde étrange (The Floating World, le monde flottant)
Wild Palms S01E03: Le Réveil des fils (Rising Sons, La relève des fils)
Wild Palms S01E04: Fantômes (Hungry Ghosts, les fantômes affamés)
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cette série télévisée.
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- Écrit par David Sicé

Honor Harrington 1: On Basilik Station (1993)
Traduction du titre original: Honneur Harrington: Sur la Station Basilik.
Ici l'intégralité de la version originale du roman mis en ligne gratuitement par l'éditeur BAEN US.
Ce roman a été adapté en bande dessinée chez IMAGE US en 2014.
Sorti aux USA en avril 1993 chez BAEN US (poche)
Sorti en France en juin 1999 chez L'ATALANTE FR (grand format, traduction de Arnaud Mousnier-Lompré)
Sorti en France le 12 avril 2006 chez J'AI LU FR (poche)
De David Weber.
Résumé à venir.


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(traduction au plus proche)
Le tic-tac de l'antique horloge de la salle de conférence était assourdissant, alors que le Président Héréditaire de la République Populaire de Haven gardait les yeux fixés sur son cabinet militaire. Le Secrétaire de l’Économie détourna les yeux, mal à l'aise, mais la Secrétaire de la Guerre et ses subordonnés en uniforme avaient presque un air de défi.
"Vous êtes sérieux ?" le Président Harris demanda.
"J'en ai bien peur," répondit le Secrétaire Frankel, contrarié. Il rangea et dérangea ses cartes-mémoires puis se força à croiser les yeux du président. "Les deux derniers trimestres confirment tous la projection, Sid." Il jeta un regard de travers à sa collègue militaire. "C'est le budget de la marine. Nous ne pouvons pas continuer à augmenter le nombre de vaisseaux sans..."
"Si nous ne continuons pas de les augmenter, coupa acerbement Elaine Dumarest, "les roues vont tomber. Nous chevauchons un néo-tigre, Mr. Président. Au moins un tiers des planètes occupées ont encore des groupes de 'libération' cinglés, et même s'ils n'en avaient pas, tout le monde sur nos frontières s'arme jusqu'au dents. C'est seulement une question de temps avant que l'un deux nous saute dessus.
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(texte original)
PROLOGUE
The ticking of the conference room's antique clock was deafening as the Hereditary President of the People's Republic of Haven stared at his military cabinet. The Secretary of the Economy looked away uncomfortably, but the Secretary of War and her uniformed subordinates were almost defiant.
"Are you serious?" President Harris demanded.
"I'm afraid so," Secretary Frankel said unhappily. He shuffled through his memo chips and made himself meet the president's eyes. "The last three quarters all confirm the projection, Sid." He glowered sideways at his military colleague. "It's the naval budget. We can't keep adding ships this way without—"
"If we don't keep adding them," Elaine Dumarest broke in sharply, "the wheels come off. We're riding a neotiger, Mr. President. At least a third of the occupied planets still have crackpot 'liberation' groups, and even if they didn't, everyone on our borders is arming to the teeth. It's only a matter of time until one of them jumps us."
"I think you're overreacting, Elaine," Ronald Bergren put in. The Secretary for Foreign Affairs rubbed his pencil-thin mustache and frowned at her. "Certainly they're arming—I would be, too, in their place—but none of them are strong enough to take us on."
"Perhaps not just now," Admiral Parnell said bleakly, "but if we get tied down elsewhere or any large-scale revolt breaks out, some of them are going to be tempted into trying a smash and grab. That's why we need more ships. And, with all due respect to Mr. Frankel," the CNO added, not sounding particularly respectful, "it isn't the Fleet budget that's breaking the bank. It's the increases in the Basic Living Stipend. We've got to tell the Dolists that any trough has a bottom and get them to stop swilling long enough to get our feet back under us. If we could just get those useless drones off our backs, even for a few years—"
"Oh, that's a wonderful idea!" Frankel snarled. "Those BLS increases are all that's keeping the mob in check! They supported the wars to support their standard of living, and if we don't—"
"That's enough!" President Harris slammed his hand down on the table and glared at them all in the shocked silence. He let the stillness linger a moment, then leaned back and sighed. "We're not going to achieve anything by calling names and pointing fingers," he said more mildly. "Let's face it—the DuQuesene Plan hasn't proved the answer we thought it would."
"I have to disagree, Mr. President," Dumarest said. "The basic plan remains sound, and it's not as if we have any other choice now. We simply failed to make sufficient allowance for the expenses involved."
"And for the revenues it would generate," Frankel added in a gloomy tone. "There's a limit to how hard we can squeeze the planetary economies, but without more income, we can't maintain our BLS expenditures and produce a military powerful enough to hold what we've got."
"How much time do we have?" Harris asked.
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( traduction de Arnaud Mousnier-Lompré)
PROLOGUE
Dans le tic-tac assourdissant de l'antique pendule de la salle de conférence, le président héréditaire de la république populaire de Havre toisait les membres de son cabinet militaire. Le ministre de l'Economie détourna les yeux, l'air mal à l'aise, mais la ministre de la Guerre et son état-major affichaient une expression proche du défi.
"Vous plaisantez? demanda le président Harris d'une voix tendu.
- Malheureusement non", répondit Frankel, la mine sombre. Il fouilla dans ses mémopuces, puis fit un effort pour croiser le regard du président. "Les trois derniers trimestres confirment tous la projection, Sid." De biais, il lança un coup d’œil assassin à sa collègue militaire. "C'est le budget naval. On ne peut pas continuer à construire des bâtiments à la cadence actuelle sans...
- Si on ne continue pas à en construire, le coupa sèchement Elaine Dumarest, tout s'effondre. Nous sommes assis sur un néocheval emballé, monsieur le président. Le tiers au moins des planètes occupées abritent des groupes de cinglés qui exigent la "libération" de leur monde, et, comme si ça ne suffisait pas, tous nos voisins s'arment à outrance. Ce n'est qu'une question de temps avant que l'un d'eux nous tombe dessus...
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