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- Écrit par David Sicé
Coma (1978)
Sorti aux USA le 6 janvier 1978.
Sorti en France le 29 juin 1978.
Sorti en Angleterre le 10 novembre 1978.
Sorti en blu-ray américain le 10 juillet 2012 (multi-régions, version et sous-titres français inclus, aucun bonus).
De Michael Crichton (également scénariste), d'après le roman de Robin Cook. Avec Geneviève Bujold, Michael Douglas, Rip Torn, Richard Widmark, Lois Chiles, Elizabeth Ashley, Tom Selleck , Lance LeGault, Alan Haufrect, Richard Doyle, Frank Downing, Hari Rhodes.
Il est six heures du matin. Susan arrive au Memorial Hôpital de Boston où elle est interne. Elle participe à la visite du matin, puis se change pour aller en chirurgie. Au même instant Mark se change également pour aller en chirurgie. Le soir elle rentre avec Mark chez eux, alors que celui-ci lui fait part de la politique de l’hôpital quand à l’avancement et l’attribution de poste de chefs de services. Ils ont ensuite une courte dispute quant à qui prendra la douche en premier, et pourquoi Mark estime avoir droit à la bière qu’elle refuse de lui chercher. Comme Mark va se chercher sa propre bière, il maugrée à propos d’une certaine Dorothée qui l’apprécie. Encore sous la douche, Susan lui demande s’il peut réchauffer le repas, alors que lui veut encore lui parler de sa journée. Mark lui reproche alors d’être toujours nue quand ils se disputent, et comme il l’appelle ma chérie, la dispute s’envenime : les discours de politique interne de l’hôpital ne l’intéresse pas, elle lui reproche de ne pas la respecter, de ne pas prendre la moitié des responsabilités de leur couple. Susan décide alors de quitter l’appartement de Mark : pour elle, il ne pense qu’à devenir chef titulaire, et Mark lui reproche de ne pas vouloir s’engager. Dehors, il se met à pleuvoir et quand Susan rentre chez elle, le téléphone sonne et sonne encore. Au moment où elle va décrocher, la sonnerie s’arrête.
Le lendemain, Susan se prend un café en salle de repos, et Mark la salue, puis s’excuse, et elle s’excuse à son tour. Mark veut qu’ils déjeunent ensemble, mais elle a son cours, et refuse de laisser tomber le cours pour leur déjeuner. Il s’agit d’un cours de gym-danse, où elle retrouve sa meilleure amie, Nancy Greenly, qui est enceinte de 10 semaines et va se faire avorter en douce parce que le père est un docteur de l’hôpital, le docteur Richards. Elle est inquiète, et Susan la rassure.
Lors de l’opération, l’anesthésiste explique à deux internes comment fonctionne l’anesthésie. Puis le chirurgien arrive, le docteur Cowans. L’anesthésiste donne du pentothal à Nancy et lui demande de compter à l’envers à partir de 100. Puis comme Nancy s’arrête de compter, l’anesthésiste commente que le pentothal n’est pas un anesthésique : ce qui va vraiment l’endormir et la paralyser est un gaz, qui implique ensuite d’intuber Nancy pour qu’elle puisse continuer de respirer. Il vérifie ensuite les réactions de la pupille : même inconsciente, le cerveau de Nancy doit continuer à réagir, ce qui est le cas. Le docteur Cowans commence à opérer, en musique : il explique qu’il s’agit d’arrêter la grossesse pour éviter un problème avec son mari. L’anesthésiste arrête soudain la musique : il trouve les battements du cœur anormal, alors qu’il n’y rien dans la procédure qui ne devrait poser problème. Les battements de cœur retourne à la normal, et le chirurgien se dépêche de terminer, et l’anesthésiste demande à la réveiller sans délai. Mais Nancy ne répond pas. Puis l’anesthésiste, choqué, annonce que les pupilles de la jeune femme sont fixes et dilatées.
De son côté, Mark fait la tournée de ses patients., et surprend la conversation de trois médecins autour de Nancy, qui annoncent son transfert à l’unité de soins intensifs, sans aucune explication logique, et l’un des médecins remarque qu’il s’agit d’un autre cas de coma provoqué par l’anesthésie. Mark décide alors de biper Susan, en consultation avec un jeune garçon dont les reins ont un problème. Après le coup de téléphone, Susan annonce à l’infirmière qu’elle doit se rendre en soin intensif : elle y rejoint Mark qui a demandé le diagnostique. Le cerveau de Nancy est mort, elle en état purement végétatif. Susan est bouleversée et ne comprend pas comment une chose pareille a pu arriver : il ne s’est rien passé de particulier durant l’opération selon le rapport, et Susan demande les relevés pour les vérifier. Les deux autres docteurs s’étonnent qu’elle le prenne si bien. Mark essaie ensuite de parler à Susan, qui se mure dans son professionnalisme : ce n’est pas parce qu’elle est une femme, qu’elle doit être troublée par la situation…
Susan commente ensuite froidement qu’il n’y a rien d’extraordinaire, à part que Nancy a été testé pour sa compatibilité cellulaire, et que le relevé ne porte pas de numéro d’identification. Mark remarque que c’est probablement un test fait par erreur, mais Susan veut absolument vérifier sur le champ ce qui se passe au laboratoire qui a fait le test du tissu. Le laboratoire est censé être fermé, mais Nancy y va quand même.
Le laboratoire est fermé, mais la porte est restée ouverte car le laborantin est occupé avec une infirmière… Selon le laboratoire, c’est l’ordinateur qui a ordonné le test. Susan se rend au centre informatique, et l’informaticien lui explique qu’il ne peut sortir aucune liste car l’ordre d’analyser les tissus n’est pas codé. Susan finit alors par demander la liste des patients tombés dans le coma après une anesthésie sur un an. Susan est alors très surprise par la longueur de la liste, mais l’informaticien répond que c’est un grand hôpital.
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- Écrit par David Sicé
Blake 7 S01E01: The Way Out (1978)
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Ici l'article de ce blog sur la série télévisée Blake 7 (1978)
Diffusé en Angleterre le 2 janvier 1978 sur la BBC 1 UK.
Sorti en DVD anglais coffret Saison 1 le 1er mars 2004 (5 DVD, anglais 2.0 sous-titré, pas de version française).
Annoncé en coffret blu-ray anglais BBC UK nouveau transfert, effets spéciaux refaits le 11 novembre 2024.
De Terry Nation ; avec Michael Keating, Paul Darrow, Peter Tuddenham, Jan Chappell, Jacqueline Pearce, Gareth Thomas, Sally Knyvette.
Pour adultes et adolescents.
Dans des couloirs d’un blanc immaculé, sous la surveillance de caméras vidéos, des passants circulent tandis que les haut-parleurs diffusent un message : les corridors du niveau 38 seront fermés durant une heure, tandis que les porteurs d’une carte du niveau 38 devront se présenter au Central immédiatement. L’un des passants se fige un instant, puis reprend sa marche nonchalante. Ce dernier – Roj – est interpellé quelques mètres plus loin par une jeune femme, Ravella, qui l’attendait sous le panneau d’accès du niveau 37.
Ravella prend Roj par le bras, et lui demande avec inquiétude s’il a eu un problème quelconque. Roj répodn que non, l’air surpris. Ravella demande alors si Roj a suivi la route qu’elle lui avait donnée, et Roj le confirme, puis demande à ce que l’on passe à la suite. Ravella l’entraîne alors dans une direction, et lui demande s’il s’est débrouillé sans avoir à manger ni à boire, et Roj répond qu’il s’est passé de nourriture et de boisson depuis 36 heures. Comme Ravella lui demande comment il se sent, Roj répond qu’il se sent évidemment affamé et assoiffé.
Ravella lui demande alors s’il ne ressent rien d’autre, et Roj lui demande si elle est en train de lui faire une blague. Ravella affirme le contraire. Aucun des deux n’a réalisé que Roj est suivi par un homme blond, l’air assez pressé. Les hauts-parleurs diffusent alors un nouveau message : le président répondra bientôt aux questions concernant les nouvelles mesures relatives au contrôle de la natalité.
Alors que l’homme blond les cherche, Roj et Ravella descendent des marches qui mènent à un couloir de maintenance obscur. Ravella explique de toute la nourriture et toutes les boissons contiennent des suppresseurs de comportement, dont les effets devraient disparaître après un jour et demi de jeûne. Roj s’amuse de cette rumeur.
Ravella présente alors Roj à un autre homme, Daj Richie, qui a entendu dire que la famille de Roj s’est installée sur une colonie des planètes extérieures. Daj demande immédiatement à Roj s’il a des nouvelles de sa famille – un frère et une sœur – sur Ziegler 5. Roj répond qu’il reçoit des vidéos d’eux deux fois par an. Roj demande alors une explication : pour le faire venir, on lui a dit qu’ils avaient des nouvelles de sa famille.
Daj répond que ce n’est pas lui qui a ces nouvelles, mais un troisième homme, qu’ils vont aller voir, et qui voulait le contacter personnellement car il avait séjourné sur Ziegler 5 quelques mois auparavant. Roj demande où est cet homme, et Ravella répond qu’il les attend dehors. Roj est choqué, mais Daj se veut rassurant : l’extérieur n’est pas si mauvais – l’air est frais, mais il sent différemment. Roj lui répond que Daj doit réaliser qu’aller à l’extérieur est un crime de catégorie 4.
Daj lui répond tranquillement qu’ils connaissent tous la loi, et Ravella ajoute qu’en toute logique, Roj devra garder le silence à propos de tout ce qu’il va voir ce soir. Daj demande alors à Roj s’il vient avec eux, et Roj hausse les épaules et se déclare prêt à poursuivre l’aventure.
Daj démonte un cadran au-dessus d’une porte, récupère deux câbles dénudés dans une boite à outil. Très étonné, Roj demande à Daj ce qu’il fait, et Daj répond qu’il est en train de crocheter la serrure. Puis Roj remarque que Ravella fait le guet et s’inquiète, mais Ravella lui répond que tout va bien. Pendant ce temps, l’homme blond qui suivait Roj descend silencieusement les marches de l’escalier derrière eux.
Comme Roj prévient que l’ouverture d’une porte alerte automatiquement l’ordinateur central, Daj réplique qu’il a branché des circuits supplémentaires au mur : ils pourraient voler tout le pan de mur et la machine l’ignorerait. Puis il demande à Roj s’il est prêt. Ravella insiste alors : si Roj rapporte quoi que ce soit aux autorités, il se trouvera impliqué bien davantage qu’il ne l’imagine. Pendant ce temps, Daj tourne la manivelle d’un petit boitier, et la porte dans le mur s’ouvre…
Ils grimpent des escaliers, puis une échelle. Pendant ce temps, l’homme blond les suit à plusieurs mètres de distance. Ils se retrouvent à l’extérieur, dans la nuit, près d’une rivière et à l’orée d’une forêt. Un immense mur illuminé se dressent derrière eux.
Comme ils arrivent au bord de l’eau, Ravella invite Roj à se désaltérer : l’eau de la ville est sans arrêt recyclée et saturée de suppresseurs de comportement. Daj part en éclaireur. Roj répond que seul le goût de l’eau est meilleur, et Ravella s’indigne : cela ne trouble donc pas Roj de passer sa vie à être drogué pour être plus docile ?
Mais ce qui trouble davantage Roj est l’idée d’avoir à traverser à pieds le petit cours d’eau. Et puis, pourquoi l’administration voudrait-elle les droguer ? Ravella répond que l’administration veut garder le contrôle – et qu’ils n’arrêtent plus d’augmenter la dose des suppresseurs parce que le nombre des dissidents ne cessent d’augmenter : ils se rendent compte de ce qui se passe et veule l’arrêter. Roy s’emporte : arrêter quoi ?
Ravella demande alors à Roy s’il se souvient des traitements qu’on lui a prescrit. Roy répond qu’on ne lui a prescrit aucun traitement. Ravella est déçue : elle aurait cru qu’il lui resterait quelque chose – une trace de ses souvenirs. Roy n’y comprend rien, et ils sont interrompus par le signal de Daj d’avancer. Ils sont toujours suivis par l’homme blond, et le mur qui était derrière eux se révèle en fait être un énorme dome.
Daj leur a ouvert une porte donnant sur un hall rempli de gens de l’extérieur, ce qui indigne Roj : il est illégal pour les gens de la cité d’avoir des contacts en dehors de la cité. Daj confirme que toute la réunion est illégale. Roj est en colère d’avoir été trompé : il ne devait que rencontré un homme qui avait des nouvelles de sa famille.
Daj le retient : il doit écouter Foster, mais Roj ne veut pas, et parle d’alerter l’administration. Ravella lui répond qu’il ne peut pas faire cela, et Daj renchérit : ils ont laissés des faux documents avec la signature de Roj dessus, qui l’implique dans toutes les activités illégales de Daj et Ravella, et Daj rappelle qu’avoir l’air coupable suffit.
C’est alors Bran Foster, un vieil homme aux habits chamarrés, vient serrer la main à Roj avec un grand sourire et affirmant qu’il est heureux de le retrouver après si longtemps. Puis il s’excuse : comment Roj pourrait se souvenir de lui, vu qu’on lui a prescrit le traitement ?
Roj en a assez et veut que Bran Foster lui donne les nouvelles de sa famille qu’on lui a promises. Alors Bran Foster présente ses condoléances : son frère et sa sœur ont été exécutés il y a quatre ans, juste après le procès de Roj ; les vidéos sont fausses et font partie du traitement qui garde les souvenirs de Roj inaccessibles.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
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- Écrit par David Sicé
Voici la liste des articles de ce blog consacrés aux films de Science-fiction, Fantasy, Fantastique et Aventure annoncé pour l'année 1977. Cette liste sera mise à jour au fur et à mesure de la rédaction des articles.
Ici le calendrier cinéma pour 1978.
Ici le calendrier cinéma pour 1976.
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Annoncés pour décembre 1977
En France
Aux USA
En Angleterre
Au Canada
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Annoncés pour novembre 1977
En France
Aux USA
Rencontre du Troisième Type (1977, Close Encounter Of The Third Kind)
En Angleterre
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Annoncés pour octobre 1977
En France
Aux USA
En Angleterre
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Annoncés pour septembre 1977
En France
Aux USA
En Angleterre
En Suède
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Annoncés pour août 1977
En France
Aux USA
En Angleterre
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Annoncés pour juillet 1977
En France :
L'homme qui venait d'ailleurs (6 juillet 1977, The Man Who Fell to Earth)
Frissons d'outre-tombe 1974 (6 juillet 1977, From Beyond The Grave)
L'île du Dr Moreau (13 juillet 1977, Island of Dr Moreau)
La sentinelle des maudits (13 juillet 1977, The Sentinel)
Le portrait de Dorian Gray (27 juillet 1977)
Une si gentille petite fille (27 juillet 1977, Cathy's Curse)
La pluie du Diable 1975 (27 juillet 1977, The Devil's Rain)
Aux USA :
L'île du Dr Moreau (13 juillet 1977, Island of Dr Moreau)
En Angleterre
Au Japon :
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Annoncés pour juin 1977
En France
Jabberwocky (8 juin 1977)
Le pont de Cassandra 1976 (16 juin 1977, The Cassandra Crossing)
Le Bus en folie 1976 (15 juin 1977, The Big Bus)
Le dernier dinosaure (20 juin 1977, The Last Dinosaur)
Dinosaurus 1960 (ressortie du 20 juin 1977)
Les frissons de l'Angoisse 1975 (20 juin 1977, Profondo Rosso)
Crash 1976 (29 juin 1977)
Planète interdite 1956 (reprise du 29 juin 1977, Forbidden Planet)
Aux USA
Génération Protéus (8 avril 1977, Demon Seed)
En Angleterre
Trauma (12 juin 1977, Burnt Offering)
Au Japon
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Annoncés pour mai 1977
En France
Suspiria (18 mai 1977)
Soudain les monstres 1976 (18 mai 1977, Food of Gods)
Inframan 1975 (18 mai 1977, The Super Inframan, Zhong guo chao ren)
Les monstres de l'Apocalypse 1966 ( mai 1977, Kairyu Daikessen)
Aux USA
En Angleterre
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Annoncés pour avril 1977
En France
Les sorciers de la Guerre (animé, 6 avril 1977, Wizards)
Godzilla contre Mecanick Monster 1974 (6 avril 1977, Gojira Tai Meka Gojira)
Danger planétaire 1958 (13 avril 1977, The Blob)
Tentacules 1976 (18 avril 1977, Tentacoli)
Carrie au Bal du Diable 1976 (20 avril 1977, Carrie)
Vampyres (20 avril 1977)
Le loup-garou de Washington 1973 (20 avril 1977)
Aux USA
Au Japon
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Annoncés pour mars 1977
En France :
Fin du monde, Nostradamus An 2000 - 1976 (16 mars 1977, Nostradamus no Daiyogen)
Les extraterrestres 1976 (documentaire, 23 mars 1977, Botschaf der Gotter)
Pique-nique à Hanging Rock 1975 (30 mars 1977, Pic-Nic at Hanging Rock)
Une fille pour le Diable 1976 (30 mars 1977, To the devil, A Daughter)
Machines à tuer 1976 (30 mars 1977, Death Machines)
Aux USA :
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Annoncés pour février 1977
En France
Les révoltés de l'An 2000 - 1976 (2 février 1977, ¿Quién puede matar a un niño?, Island of the Damned)
Centre Terre: 7ème continent 1976 (9 février 1977, At The Earth's Core)
Dans les griffes du Loup-Garou 1975 (9 février 1977, La maldicion de la Bestia)
Le 7ème voyage de Sinbad 1958 (reprise du 16 février 1977, The 7th Voyage of Sinbad)
Aux USA
En Angleterre
En Allemagne
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Annoncés pour janvier 1977
En France
L'esprit de la euche (5 janvier 1977, El espiritu de la colmena)
Les rescapés du Futur (19 janvier 1977, FutureWorld)
Alice ou la dernière fugue 1976 (19 janvier 1977)
Le bébé vampire 1972 (19 janvier, Grave of the Vampire)
Aux USA
En Angleterre
Carrie au Bal du Diable (13 janvier 1977, Carrie)
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- Écrit par David Sicé
Close Encounter Of The Third Kind (1977)
Traduction du titre original : Rencontre à courte distance du troisième type.
Attention, ce film existe au moins en trois montages : original cinéma 1977, Special Cut 1980, VHS et Laserdisc 1998.
Sorti aux USA le 16 novembre 1977.
Sorti en France le 28 février 1978.
Sorti en Angleterre le 14 mars 1978.
Sorti en blu-ray français coffret 2 BR 30ème anniversaire le 5 novembre 2007 - 3 montages (probablement identique à l'édition américaine)
Sorti en blu-ray américain coffret 2 BR 30ème anniversaire le 13 novembre 2007 - 3 montages (multi-régions, anglais DTS HD MA 5.1, français Dolby True HD 5.1, image et son excellents).
Sorti en blu-ray français coffret 2 BR 30ème anniversaire le 8 novembre 2010 - 3 montages (probablement identique à l'édition américaine)
Sorti en blu-ray américain simple BR 30ème anniversaire le 14 février 2011 - 3 montages (multi-régions, identique à l'édition précédente, sans le BR de bonus).
Sorti en blu-ray français coffret 2 BR Ultimate Metal 30ème anniversaire le 24 février 2016 - 3 montages (probablement identique à l'édition américaine)
De Steven Spielberg (également scénariste) ; avec Richard Dreyfuss, François Truffaut, Teri Garr, Melinda Dillon, Bob Balaban, J. Patrick McNamara, Warren J. Kemmerling, Lance Henriksen, Justin Dreyfuss.
Pour adultes et adolescents.
Une tempête de sable dans le désert de la Sonora au Mexique, de nos jours. Des hommes descendus d’un 4x4 et se protégeant la bouche marchent le long d’une clôture rudimentaire. L’un d’eux, un français nommé Lacombe, demande en anglais à des policiers mexicains s’ils sont les premiers arrivés. Ils ne le comprennent pas. Lacombe tente alors de s’exprimer en espagnol et le policier (édenté) se met à parler très vite. Il finit par le suivre jusqu’à un portail.
Ils sont rejoints par d’autres hommes et Lacombe arrivé leur demande s’ils ont un interprète avec eux. Un barbu s’avance, mais explique qu’il est seulement cartographe. Lacombe lui demande s’il peut traduire du français à l’anglais, puis de l’anglais au français. Le barbu confirme : il vient d’ailleurs d’expliquer au chef d’équipe à la villa Hermosa qu’ils avaient été pris par surprise. Le premier homme demande cette fois en français s’il est monsieur Logli, et l’autre confirme : Laughlin. Lacombe demande ensuite depuis combien de temps Laughlin travaille sur le projet. Avec un fort accent canadien, Laughlin répond depuis le début – et qu’en fait il a vu Lacombe à la conférence Montsoreau qui se termina bien, surtout pour Lacombe. Puis li présente au français ses félicitations, si ce n’est pas trop tard.
Un militaire arrive pour les alerter qu’ « ils » sont tous là. Tous les hommes convergent vers le portail, qui donne sur une casse automobile. Ils accourent auprès d’un avion posé au milieu, à la cocarde états-unienne, à la recherche de traces d’atterrissage – puis inspectent deux autres avions identiques posés à côté, puis un quatrième et un cinquième. Lacombe crie alors qu’il veut que les numéros de moteurs soient relevés, et Laughlin traduit. Des militaires grimpent sur l’épaule d’autres pour regarder derrière l’hélice de chaque avion.
Finalement, Laughlin demande à Lacombe ce qui se passe. Lacombe répond que c’est le vol 19 – une mission d’entrainement aérien décollé de Fort Lauderdale – ils tiraient sur un vieux navire. Laughlin s’étonne : qui vole encore à bord de tels coucous ? Lacombe répond : personne – ces avions ont disparu en 1945. Laughlin objecte : mais tous les avions ont l’air flambant neuf ! Et comme Lacombe ouvre le cockpit et découvre des photos neuves d’une épouse et d’enfants des années 1940 glissés dans le tableau de bord, Laughlin demande où sont les pilotes. Lacombe fouille sous le tableau de bord et trouve un calendrier de 1945 d’une société de Pensacola en Floride, ouvert au mois de mai. Puis quelqu’un enclenche le contact : la batterie fonctionne, il y a du carburant – l’hélice se met à tourner.
Le policier mexicain vient alors chercher Lacombe pour le conduire auprès du vieux patron de la casse, qui semble en état de choc ; Lacombe proteste : il ne comprend pas l’espagnol. Mais un membre de son équipe traduit : le patron a vu ce qui s’est passé la nuit d’avant. Le petit vieux ne répond pas, mais Lacombe examine son visage : il est bronzé d’un côté et pas de l’autre. Lacombe s’interroge : un coup de soleil. Alors le vieux se met à répéter que le soleil s’est levé la nuit d’avant, et qu’il a chanté pour lui…
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