Abigail, le film de 2024
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Abigail (2024)
Ne pas confondre avec les deux films Abigail de 2023, celui de 2019, et de 2017.
Compte tenu de ses incohérences et de sa méconnaissance de la réalité comme des mythes vampiriques, y compris ceux des récits cités dans les dialogues, ce film a très probablement été écrit avec une intelligence artificielle.
Sorti en Belgique le 17 avril 2024.
Sorti en Allemagne le 18 avril 2024.
Sorti au USA, au Canada, en Angleterre le 19 avril 2024.
Sorti en France le 29 mai 2024.
Annoncé en blu-ray allemand UNIVERSAL le 25 juillet 2024.
De Matt Bettinelli-Olpin et Tyler Gillett, sur un scénario de Stephen Shields et Guy Busick ; avec Melissa Barrera, Dan Stevens, Kathryn Newton, Will Catlett, Kevin Durand, Angus Cloud, Alisha Weir, Giancarlo Esposito.
Pour adultes.
(horreur vampire wokissime toxique) Dans un opéra parfaitement vide et sans aucune supervision, une jeune ballerine répète ses pas sur Le Lac des Cygnes, sans rapport avec la scène pour laquelle la musique a été écrite me semble-t-il. Pendant ce temps, un commando de kidnappeurs s'est assemblé, et après que la ballerine ait été ramené "chez elle" par une limousine au chauffeur invisible et toujours sans personne pour l'accompagner, sans que cela intéresse personne dans l'opéra ou dans la rue, elle est attaquée dans "sa chambre" et apparemment droguée à l'aide d'une seringue.
Le commando se rend dans une grande maison où le commanditaire de l'enlèvement leur demande de ne pas chercher à savoir le nom de la victime ni de sa famille, ni même leurs noms à eux ; il récupère les téléphones portables, parce que c'est tout à fait logique pour des criminels de toujours emporter de quoi les géolocaliser et les identifier à distance avec eux, sans compter qu'un téléphone portable est capable de photographier et filmer de ses quatre caméras partout où vous vous trouvez, et d'enregistrer tout ce qui se dit autour d'eux.
Et à propos de ce qui peut se dire autour des kidnappeurs, voilà-t-y pas que la brunette se propose de tout dévoiler de leur vie et de leur psychologie en public, contre un peu d'argent, aka dialogue d'exposition parce que les scénaristes étaient incapables de procéder moins grossièrement, et parce que le film n'a pas le budget pour les montrer en action avant la presque totalité du film prisonnier dans une seule bicoque, parce qu'en plus ils ont accepté de se faire enfermer dans le manoir où la ballerine est censée être retenue prisonnière le temps que sa rançon soit payée.
Les kidnappeurs s'empressent de violer toutes les règles de savoir-vivre entre bandits et kidnappeurs, ainsi que celles énoncés par leur commanditaire, parce qu'ils sont tous des professionels, sauf celui qui n'en serait pas un, mais qui ne viole aucune des règles précitées parce qu'il est seulement là pour se faire tuer en premier et qu'il lui manquerait des cases selon la brunette wokette omniciente qui s'entend super bien avec la jeune wokette qu'elle séquestre, parce qu'elle est une professionnel de l'attachement, apparemment.
Plus elle lui dit tout ce qui permettrait à la victime et son père apparemment mafieux de retrouver son fils, et quand bien même l'équipe inclurait surtout des policiers et une pirate informatique, personne ne semble avoir réalisé encore ce qu'est internet et comment fonctionne la collecte des données, le recel et comment retrouver n'importe qui avec : ils n'ont pas YouTube, ils n'ont jamais entendu parlé de Snowden, d'ailleurs ils ne savent rien de leur époque, ils n'existent que pour gesticuler et crier du début à la fin du film pendant près d'une heure cinquante, pour enquiller les clichés approximatifs probablement compilés par Chat GPT.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.
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Atlas, le film de 2024
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Atlas (2024)
Probablement écrit avec une intelligence artificielle compte tenu d'un script incohérent et ignorant des références et de la réalité.
Annoncé à l'international le 24 mai 2024 sur NETFLIX INT/FR.
De Brad Peyton (également producteur) sur un scénario de Leo Sardarian et Aron Eli Coleite, avec Jennifer Lopez (également productrice), Simu Liu, Sterling K. Brown, Mark Strong, Lana Parrilla ; notez parmi les producteurs Greg Berlanti (Arrow la série télévisée etc.).
Pour adultes
(intelligence artificielle apocalypse, robot, Mary-Sue wokissime toxique artificiel) Atlas Shepherd, une analyste de données brillante mais misanthrope qui se méfie profondément de l'intelligence artificielle, participe à une mission visant à capturer un robot renégat avec lequel elle partage un passé mystérieux. Lorsque les plans tournent mal, son seul espoir de sauver l'avenir de l'humanité de l'IA est de lui faire confiance.
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Bionic, le film de 2024
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Biônicos (2024)
Titre anglais : Bionic.
Traduction : bionique.
Diffusé à partir du 23 mai 2024 sur NETFLIX INT/ FR (29 mai 2024 NETFLIX US et Brésil)
De Afonso Poyart, sur un scénario de Josefina Trotta, avec Gabz, Jessica Córes, Bruno Gagliasso, Christian Malheiros, Klebber Toledo, Paulo Vilhena, Danton Mello.
(Cyberpunk, woke, probablement artificiel) Nous sommes en 2035: deux sœurs rivalisent dans la discipline du saut en longueur alors que les prothèses bioniques dominent la compétition.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.
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Les mystères de l'Ouest S01E10: La nuit de la ville sans voix (1965)
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The Wild Wild West S01E10: The Night That Terror Stalked the Town
Traduction du titre original : La nuit où la Terreur traqua la ville.
Titre français : La nuit de la ville sans voix.
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Ici l'article de ce blog sur la série Les mystères de l'Ouest (1965)
Diffusé aux USA le 19 novembre 1965 sur CBS US.
Sorti en France en coffret DVD français (anglais sous-titré français)
De Michael Garrison, avec Robert Conrad, Ross Martin, Michael Dunn, Richard Kiel, Jean Hale, Phoebe Dorin, Chuck O'Brien.
Pour adultes et adolescents.
(mystère fantastique, techno-thriller steampunk, espionnage western) La nuit, en ville, Jim West semble rentrer nonchalamment à pied le long de l'avenue, cigare au bec.
Tandis qu'un fiacre le dépasse, et qu'il dépasse lui-même une maison, un homme de grande taille d'allure brutale mais élégamment vêtu se relève de derrière une sorte de caisse derrière laquelle il s'était embusqué, et s'étant avancé à l'angle de la bâtisse suivante, il sort un couteau.
West continue de marcher de l'avant comme si de rien n'était, et comme le tueur arrive dans son dos, il agrippe la colonne de bois qui soutient la marquise de l'entrée éclairée de la bâtisse - et d'un coup contourne la colonne de bois, surprenant le tueur qui se retrouve avec la colonne entre lui et sa cible.
West assène un coup de poing à la tempe du tueur, qui envoie celui-ci rebondir contre le mur de la bâtisse. Le tueur tente de revenir asséner un coup de couteau, mais West le frappe à nouveau aux côtes et le saisissant, le fait pivoter pour le plaquer contre le mur. West assène alors deux coups de poing au bras du tueur qui tient le couteau, puis d'un coup de pied à la cheville droite, fait chuter son agresseur, qui d'un cri s'étale de tout son long.
Juste un peu plus loin, une élégante blonde portant coquet chapeau, cape et éventail, fait remarquer à son cocher moustachu... et balafré debout à son côté -- le cocher du fiacre qui avait dépassé West plus tôt dans la rue : "Je dois dire qu'il est fort."
Pendant ce temps, Artemus Gordon flanqué de trois policiers accourent pour reprocher à West : "Tu avais vraiment besoin de lui tourner le dos ?" et West l'air innocent de répondre : "C'était juste pour quelques instants." Gordon réplique : "L'un des traits charmants à ton sujet est que tu attires la compagnie de gens si intéressants !"
Et tandis que les trois policiers relèvent le tueur, West et Gordon repartent, tandis que Gordon conclue : "James, mon garçon : ce restaurant a le Brandy le plus raffiné de tout Denver !" West répond : "Tu offres ?" et Gordon : "D'accord, j'offre : comme ma vieille grand-tante Maud disait, quitte à acheter quelque chose, achète ce qu'il y a de mieux !"
Ils dépassent alors la blonde élégante qui ajoute à l'attention de son cocher : "Nous verrons bien à quel point il est fort."
Et le cocher d'ôter la cape de la blonde, tandis qu'ils entrent à leur tour dans le restaurant français. Le maître d'hôtel assied la blonde à une table et lui présente le menu. Pendant ce temps au comptoir du bar, Gordon soupire : "Toujours travailler, jamais s'amuser... Ce n'est pas bon pour un homme : toi, bois et réjouis-toi, parce que demain nous pourrions mourir..."
Puis suivant le regard de West fixé sur la blonde apparemment occupée à lire le menu : "Qui voudrait vivre à jamais ?" Et se retournant vers West : "Tu sais, quel que soit l'homme que cette dame attend, il est très chanceux..."
West répond : "Elle n'attend personne : elle est seule." Gordon demande : "Comment tu le sais ?" West répond : "La manière dont elle est assise là, à la façon d'un phare, à ramener tous les navires à la maison." Alors Artemus Gordon jette à nouveau un coup d’œil vers la blonde, se lève en soufflant : "La terre, toute !"
Puis approchant la table de la blonde élégante, il prend un accent français : "Pardon, Mademoiselle : je n'ai pas pu m'empêcher de remarquer... je veux dire, je suis dans ce pays depuis seulement six mois, et durant tout ce temps Mademoiselle, jamais, croyez-moi, jamais je n'ai vu une personne aussi belle que vous, même pas à Rome, Paris, Londres, nulle part ! Mais certainement, je vous connais de quelque part, non ?"
Pendant ce temps la blonde détourne plusieurs fois le regard et agite son éventail, pour finir par répondre : "Non."
Gordon s'exclame : "Ah, Madrid ! Mais bien sûr : les superbes femmes espagnoles... Et vous, êtes la plus magnifique."
La blonde regarde Gordon et sourit : "Je n'ai jamais été en Espagne ; et si vous n'arrêtez pas, j'appellerais le propriétaire." Et de détourner à à nouveau son regard
Parfaitement déconfit, Gordon répond : "Oui... Pardon Mademoiselle." Il se lève pour partir : "... une erreur."
Gordon retrouve West qui a assisté à toute la scène et arbore désormais un air narquois. Comme Gordon soupire, West enfonce le clou : "Je vous connais de quelque part, non ?" et de prendre un air accablé : "Waouh!"
Gordon proteste : "Ecoute, ça n'a jamais raté auparavant avec cet accent ! Elle... attend juste quelqu'un, c'est tout." West répond "Allez, Artémus, partons !" et il se lève, imité par Gordon.
Mais pour sortir, ils doivent passer derrière la table de la blonde élégante, qui perd son éventail juste à l'instant où West arrivait. West ramasse et rend immédiatement l'éventail à la blonde, qui s'écrie, semblant reconnaître West : "Eh bien, Monsieur Jordan !!!"
Puis la blonde semble confuse, dévisageant West : "Oh ! Oh, Excusez-moi, je croyais vous connaître de quelque part..." Et tout sourire, West répond : "En vérité, mon nom est Jordan ; attendez, ne me le dites pas : la Nouvelle-Orléans."
La blonde confirme, également tout sourire : "Eh bien, oui, la Nouvelle-Orléans..." West : "Hélène ? Non, Eléonore !" La blonde répond : "Marie... Marie Pincher." West répond : "Marie Pincher... Et que faites-vous toute seule par ici, Marie ?"
La blonde s'évente et répond, après un coup d'oeil à Artemus Gordon : "Eh bien je pensais vous poser la même question..." Alors West prend la cape de la blonde sur la chaise voisine ; la blonde se lève, West lui met la cape et lance à Gordon, interloqué : "Bonne nuit, Artémus."
Et le couple de sortir du restaurant pour monter dans le fiacre conduit par le coché balafré.
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Cosmos 1999 S01E24: Le testament de l'Arcadie (1975)
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Space 1999 S01E24: Testament of Arkadia (1975)
Titre français : Cosmos 1999 S01E24: Le testament de l'Arcadie.
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Ici l'article de ce blog sur la série Cosmos 1999 (1975)
Diffusé en France le 27 décembre 1975 sur TF1 FR.
Diffusé le 12 février 1976 sur ITV 1 UK.
Sorti en blu-ray anglais le 1er novembre 2010 chez Network (lisible en France, pas de version française ni de sous-titres français).
De Gerry Anderson et Sylvia Anderson ; réalisé par David Tomblin sur un scénario de Johnny Byrne ; avec Martin Landau, Barbara Bain, Barry Morse, Prentis Hancock, Zienia Merton, Anton Phillips, Nick Tate, Orso Maria Guerrini, Lisa Harrow.
Pour adultes et adolescents.
(space opera) Journal du commandant Koenig : « Notre lutte pour survivre dans un univers hostile, a effacé depuis longtemps le souvenir du désastre, qui initialement chassa notre Lune de l’orbite de la Terre. Mais les évènements survenus sur la planète Arkadie ont ravivé ce souvenir pénible, et nous ont forcé à reconsidérer la nature de nos objectifs dans l’Espace. Et quand cela a commencé, cela s’est avéré terrifiant… »
Le combat au kendo du commandant Koenig est interrompu par un appel urgent de Carter. Arrivant en salle de contrôle, Koenig, encore en costume traditionnel japonais, apprend de Sandra la confirmation que la trajectoire de la Lune oblique vers une nouvelle planète au bleu sombre.
Le professeur Bergman confirme que l’attraction n’a rien à voir avec la gravité de la planète en question, ni avec une force magnétique. Koenig veut donc en savoir davantage et donne l’ordre d’activer les senseurs à longue portée.
Seulement le grand écran de la salle de contrôle n’affiche qu’un balayage de zébrures bleutée : Sandra annonce que les senseurs sont en panne et ils ont perdu de la puissance électrique. Kano confirme qu’ils ont un défaut de générateur, une perte de cinq pour cent au total.
Et comme la Lune se rapproche à présent très vite de la planète inconnu, Kano annonce qu’ils ont désormais perdu sept pour cent de leur puissance électrique. C’est alors qu’une secousse les fait s’arc-bouter contre leurs pupitres.
Paul Morrow annonce alors qu’ils ralentissent, mais ils restent écrasés. Sandra confirme que les senseurs ne fonctionnent pas, Kano qu’ils ont encore perdu de l’énergie — et d’un coup les voilà libéré de la force gravitique et tous refluent : pour Koenig, l’impossible vient d’arriver — la Lune vient de s’ancrer dans l’Espace, en orbite de la planète inconnue.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
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