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- Écrit par David Sicé
The Adventures Of Buckaroo Banzaï Across The 8th Dimension (1984)
Sorti aux USA le 10 août 1984.
Sorti en blu-ray allemand le 29 novembre 2013 (bons retours).
Sorti annoncée en blu-ray anglais pour le 20 juillet 2015 (anglais et allemand) chez Arrow.
De W.D. Richter, sur un scénario de Earl Mac Rauch. Avec Peter Weller, John Lithgow, Ellen Barkin, Jeff Goldblum, Christopher Lloyd, Lewis Smith, Rosalind Cash, Robert Ito, Clancy Brown.
Buckaroo Banzaï, né d’une mère américaine et d’un père japonais, a de ce fait commencé sa vie comme il était destiné à la vivre… en allant dans plusieurs directions à la fois. Neurochirurgien brillant, ce jeune homme impatient grandit vite frustré à l’idée d’une vie seulement dévouée à la médecine. Il courut la planète entière pour étudier les arts martiaux et la physique des particules, rassemblant autour de lui un groupe d’amis excentriques, les Cavaliers de Hong Kong, scientifiques hard-rockers. Et désormais, avec sa voiture à réaction étonnante prête à l’assaut de la barrière des dimensions, Buckaroo Banzaï fait face au plus grand défi de sa vie turbulente… Tandis que loin au-dessus de la Terre, un vaisseau extraterrestre surveille nerveusement chacun des mouvements de l’Equipe Banzaï.
Sur une base militaire, une équipe de techniciens s’apprête à tester un véhicule antigravitique, mais alors qu’il ne reste plus que six minutes à courir au compte-au-rebours, Banzaï ne s’est pas encore montré, et le Secrétaire à la Défense prétend qu’il a eu peur. En fait Banzaï est en pleine opération du cerveau sur un enfant esquimo atteint d’une tumeur sur la glande pinéale, pendant que le reste de l’équipe médicale mange des nouilles. Ayant réussi l’opération, Banzaï arrive une minute plus tard et monte à bord du véhicule expérimental, censé pouvoir faire de 500 miles à l’heure. Une fois aux commandes, il sort un petit engin d’une boite qu’il avait amené avec lui et le branche sur la tuyauterie derrière lui. Puis il ceint son front de son bandeau rouge et orange, et coiffe son casque. Puis le compte-à-rebours arrive à zéro et il démarre le prototype, filant à toute allure à travers le désert, dépassant déjà les 300 miles. Soudain, il quitte sa trajectoire, et on lui demande d’annuler la phase 2. Banzaï passe le mur du son, les techniciens paniquent mais ses amis semblent tranquilles. Un faisceau bleu jaillit du haut du véhicule, et Banzaï fonce en direction de la paroi de la montagne… Et passe au travers du rocher : Banzaï a franchi la barrière des dimensions, fait voltiger deux humanoïdes apparemment furieux, et ressort de l’autre côté de la montagne, déployant son parachute rouge.
Comme il s’est arrêté, les techniciens lui signalent que son pare-brise est fracturé, mais ce n’est pas le cas. Le panneau est en revanche éclaboussé s’une substance gluante. Quand il examine le dessous du véhicule, il découvre une fuite, et une sorte de cerveau accroché à la structure…
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- Écrit par David Sicé
The Philadelphia Experiment (1984)
Traduction du titre original : L'expérience de Philadelphie.
A ne pas confondre avec le remake de 2012, Le projet Philadelphia.
Sorti aux USA le 3 août 1984.
Sorti en blu-ray allemand Platinum Edition le 15 juillet 2014 (Région B, pas de version française, livret inclus)
Sorti en blu-ray allemand le 14 avril 2015 (Région B, pas de version française, pas de livret)
De Stewart Raffill, sur un scénario de Michael Janover, William Gray, Wallace C. Bennett, Don Jakoby ; d'après le livre "The Philadelphia Experiment - Project Invisibility" de 1979 de Charles Berlitz et William L. Moore ; avec Michael Paré, Nancy Allen, Bobby Di Cicco, Eric Christmas, Louise Latham, Kene Holiday, Kene Holiday, Ralph Manza, Debra Troyer.
Pour adultes et adolescents.
1943, la marine américaine entreprenait une série de tests dont le but était de rendre les navires alliés invisibles aux radars ennemis. Le résultat de ces tests n’a jamais été rendu public. Le test final, qui a mis fin au projet, est connu sous le nom de l’Expérience de Philadelphie.
24 octobre 1943. Sous une pluie battante, un jeune chercheur, le professeur James Longstreet, écoute les nouvelles à la radio. Son associé vint lui dire d’aller dormir, James s’inquiétant de n’avoir pas tout prévu. Ce soir-là, il y a bal pour les jeunes marins. Parmi eux, l’entreprenant David Herdeg, qui sort avec Doris et le plus timide – déjà futur père de famille, Jim Parke, qui danse avec sa jeune épouse, Pam. Ils échangent leurs partenaires, puis comme arrive la dernière danse, Jim retrouve vite sa jeune épouse.
Le lendemain, il fait un temps superbe sur la baie de Philadelphie. David et Jim sont à bord du convoi de camions qui les transportent jusqu’à leur navire. Ils croisent en chemin Pam qui allait monter dans sa voiture. Puis c’est l’arrivée à l’embarcadère. Tandis que Longstreet observe l’embarquement, David et Jim entrent dans la cabine spécialement équipée pour l’expérience à bord de l'USS Eldridge. Longstreet passe les voir et leur demande si la liaison radio a été vérifié, puis repart comme on demande aux visiteurs de quitter le navire. Et du coup Jim s’inquiète d’un possible problème, mais David lui assure qu’il n’est au courant de rien.
Le compte-à-rebours commence. Longstreet est dans la salle des radars d’un navire voisin avec des gradés, qui ne croient pas vraiment à la réussite de l’expérience. Ils donnent l’ordre de mettre en marche les générateurs du dispositif de camouflage anti-radar, et David enclenche l’interrupteur principale. Dehors, son navire se met à scintiller, et l’USS Eldridge disparait pour de vrai des radars. Comme Longstreet est félicité, David et Jim s’inquiète des drôles de vibrations dans leur cabine. Pour ceux qui sont sur le pont, un brouillard engloutit le navire. Pour le reste du monde, l’USS Eldridge s’efface complètement de la baie.
Longstreet ordonne de couper les générateurs, mais David et Jim ne reçoivent aucun signal. Des étincelles jaillissent. Jim tente de couper le courant, mais se brûle la main. David l’entraîne sur le pont tandis que le navire semble tout entier embrasé. Les deux marins sautent par-dessus le bord, et se retrouve de nuit, en plein désert, poursuivis par un faisceau lumineux et un appareil volant qui leur tire dessus. Comme ils tentent de fuir, ils sont arrêtés par un grillage, et quand Jim s’agrippe au grillage, un arc électrique court de sa main tout le long du grillage, puis va frapper l’hélicoptère qui les poursuivait – et l’hélicoptère explose.
Le lendemain, ils marchent seuls dans le désert, frigorifiés. Selon Jim, ils sont victimes d’une hallucination, qui fait partie de l’expérience à laquelle ils ont participé.
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- Écrit par David Sicé
Krull (1983)
Sorti au cinéma aux USA le 29 juillet 1983.
Sorti au cinéma en France le 8 février 1984.
Sorti en blu-ray américain le 30 septembre 2014 (région A, anglais non sous-titré, aucun bonus, image plutôt bonne 1980/24p, son anglais bon DTS HD MA 5.1).
Sorti en blu-ray français SIDONIS CALYSTA pour le 6 janvier 2022.
De Peter Yates, sur un scénario de Stanford Sherman, avec Ken Marshall, Lysette Anthony, Freddie Jones, Francesca Annis.
Pour adultes et adolescents
Cela, il m’a été donné de le connaître – que beaucoup de mondes avaient été réduits en esclavage pour le Monde de Krull et son armée, les massacreurs, et cela aussi m’a été donné de savoir, que la Bête arriverait sur notre monde, et que sa forteresse noire serait visible sur nos terres, que la fumée noire des villages incendiés obscurcirait le ciel et que les cris des mourants se répercuteraient à travers les vallées désertées. Mais il y a une chose que je ne peux connaître, c’est si la prophétie sera vérifiée, selon laquelle une jeune fille au nom ancien deviendra reine, et qu’elle se choisira un roi afin qu’ensemble ils règnent sur notre monde et que leurs fils, lui, règne sur la galaxie.
Dans l’espace, un astéroïde entre dans l’orbite d’une planète avec deux soleils, puis descend dans l’atmosphère pour finalement se poser sur un plateau désertique, se présentant comme une petite montagne abrupte surmontée de tours. Devant la menace, deux rois se proposent de marier le fils de l'un à la fille de l'autre, mais la fille est enlevée avant la nuit de noces.
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- Écrit par David Sicé
Electric Dreams (1984)
Sorti aux USA le 20 juillet 1984.
Sorti en France le 17 avril 1985.
Sorti en blu-ray anglais le 7 août 2017 (pas de version française, anglais LPCM 2.0 sous-titré, bonus).
Apparemment inédit en DVD en France.
Ici l'article de ce blog sur le blu-ray de 2017 du film La Belle et l'Ordinateur (1984)
De Steve Barron, sur un scénario de Rusty Lemorande. Avec Lenny von Dohlen, Virginia Madsen, Maxwell Caulfield, Bud Cort, Don Fellows.
Aéroport de Los Angeles. Un jeune homme, Miles, prend à la dernière minute un billet à une machine récalcitrante, juste pour apprendre que son avion a du retard. Il réalise à quel point les ordinateurs sont partout : voiture télécommandée programmable, montre calculette, jouets d’enfants. Lorsqu’une voisine de salle d’attente commence à lui poser des questions, il y répond gentiment, jusqu’à ce qu’elle lui demande si il a une robe bleue et des bananes : la dame était seulement en train d’utiliser une machine pour apprendre l’anglais.
Résultat, Miles, est en retard à son entreprise, architecte faisant des recherches sur la résistance aux tremblements de terre de son projet, et son patron lui fait la remarque. Un collègue lui conseille alors d’acheter un organiseur électronique pour ne plus être en retard. Mais vu la petite taille de l’objet, Miles a peur de le perdre. Toutefois, il se rend dans une boutique informatique, mais l’organisateur Casio est épuisé. La vendeuse lui propose plutôt un ordinateur personnel. Comme il répond qu’il n’y connait rien, la vendeuse lui répond que personne n’y connait rien, mais qu’il le regrettera s’il n’essaie pas d’en savoir plus en en achetant un. Miles se laisse convaincre, mais la vendeuse, qui a choisi un nouveau modèle capable de gérer la maison et de diffuser des programmes de télévision en couleur, fait tomber le carton. Du coup, elle lui propose un rabais. Miles accepte et entreprend de monter l’ordinateur personnel tout seul chez lui.
Quand Mile allume l’ordinateur, il affiche une série de caractères incompréhensibles. Le mode d’emploi lui dit d’entrer son nom au clavier, et Miles fait une erreur, il tape « Moles » (la taupe). Du coup, l’ordinateur l’appelle « Moles » et lui propose de choisir parmi une liste de programme. Il commence par « Machine à café ». La petite animation l’incite à câbler son appartement de manière à ce que l’ordinateur puisse lui faire du café. Et de fil en aiguille, il passe la nuit à connecter tout son appartement. Le lendemain, une jolie voisine emménage dans l’appartement du dessus. Pendant ce temps, Miles essaie de sortir de chez lui, mais trouve la porte close, connexion oblige. Il est alors obligé d’entrer son code de sécurité (Lieutenant Sulu) dans l’ordinateur pour que la porte daigne s’ouvrir, et du coup, il se retrouve nez à nez avec la jolie voisine, qu’il bouscule ensuite pour sortir. Il se trouve que la jeune fille – Madeline – est violoncelliste, depuis l’âge de 12 ans. Pendant qu’elle répète, Miles avance dans son projet de construction anti-sismique, utilisant son ordinateur pour visualiser ses recherches. Du coup, Miles décide d’équiper davantage son ordinateur : modem pour dialoguer avec l’ordinateur de son patron. Alors qu’il cherche le mot de passe pour se connecter, Madeline réalise à l’étage qu’elle entend tout ce que dit son voisin via la grille du chauffage centrale, qu’elle utilisait pour sécher ses cheveux. Ayant trouvé le mot de passe, il demande de tout télécharger, et l’ordinateur semble alors surchauffer – et Miles, pris de panique, utilise le champagne (dont le bouchon a sauté) pour refroidir la machine ( !).
La journée suivante, alors que Madeline s’entraîne au violoncelle, l’ordinateur de Miles réagit à sa musique, et tente alors de moduler les sons qu’il émet, comme il modulait les formes de briques que lui donnait Miles quelques jours plus tôt. Madeline, entendant les premières notes que forme l’ordinateur, se met à dialoguer musicalement avec lui, et peu à peu, le dialogue devient une improvisation complète à partir d’un thème de Jean-Sébastien Bach. Croyant qu’elle fait de la musique avec son nouveau voisin, Madeline est enthousiaste, mais pas autant que l’ordinateur, qui en devient conscient, et surtout, amoureux de la jeune femme…
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