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- Écrit par David Sicé
Ici la page Amazon.fr du coffret espagnol El Ministerio del Tiempo 2015 S1-4 (espagnol seulement).
El Ministerio Del Tiempo S04E06: El tiempo vuela (2020)
Traduction : L'envol du Temps / Comme le Temps passe.
Épisode précédent <> Épisode suivant.
Ici l'article de ce blog sur la série télévisée El Ministerio Del Tiempo (2015)
Diffusé en Espagne le 9 juin 2020 sur RTVE ES.
Annoncé à l'international sur NETFLIX FR.
Annoncé pour le 8 juin 2025 sur SYFY FR (PARAMOUNT+, rediffusé le 15 juin 2025)
De Javier Olivares et Pablo Olivares, avec Macarena García, Nacho Fresneda, Hugo Silva.
Pour adultes et adolescents.
(Voyage dans le temps, uchronie) 1980. Un parc, apparemment le rendez-vous favori des amoureux. Un petit jeune homme rondelet arrive un bouquet de roses rouges à la main, visiblement ému. Il vient tapoter dans le dos d’une jeune femme aux cheveux longs et noir à gilet rose pâle : elle voit d’abord les roses rouges, puis le jeune homme et s’émerveille et comme il sourit, aux anges, elle l’embrasse sur la bouche.
1982. La même femme au gilet rose, aux cheveux noirs encore plus longs, dans le même parc. Elle marche vers le même jeune homme replet, qui désormais porte une cravate chic. Elle lui présente un petit boitier qu’elle ouvre et qui contient deux anneaux brillants. Il en prend un et le met à son annulaire, et souriante, elle prend l’autre et le met à son propre annulaire, et s’en vont ensemble.
1985, le même couple croise une autre femme avec un gilet à carreaux bleu marine et vert, qui porte un bébé blond aux yeux bleus. Ils se regardent amoureusement et s’embrassent.
1995, le bébé a grandi en un jeune garçon qui marche avec sa mère dans le même parc, attirant l’attention de la femme brune du début, qui était en train de lire assise sur une couverture étendue sur l’herbe, avec l’homme replet et un panier avec deux verres à vin pratiquement vide. Leurs cheveux grisonnent, et la femme semble soudain très triste, et son compagnon le voit, s’attriste à son tour, et la serre contre lui.
2005. Un adolescent et une adolescente jouent au foot dans le même et passent devant la même femme, aux cheveux blancs, apaisée. Elle sourit en voyant cette jeunesse passer tandis qu’elle et son mari sont de nouveau assis à lire dans le parc, avec leur panier, bouteille de vin et verre à vin. Le mari n’est autre que Salvador Marti, le directeur du Ministère du Temps en 2020, et il observe son épouse qui soupire, et fait sans doute semblant de n’avoir plus aucun regret.
2010. Ils ont encore pris un coup de vieux, mais Madame Marti a surtout perdu ses cheveux et le cache avec un foulard autour de la tête. Elle donne le change en souriant comme à son habitude, et son mari aussi. Mais dès que son mari ne regarde plus, elle grimace de douleur. Sauf que cette fois, ce n’est pas une douleur passagère, et elle crie de douleur et son mari la retient dans ses bras.
2020. Un autre jeune couple passe devant Salvador Marti, seul désormais, avec son bouquet de roses rouges à la main. Marti, visiblement inconsolable, traverse le parc pour se rendre au cimetière et déposer les roses sur la tombe de Maria Sofia Beltran Ruiz, 1955-2010.
« Pourquoi viens-tu ici ? » demande une voix de femme à Marti, qui se retourne : son épouse, avec encore ses cheveux blancs, reprend : « Je ne suis pas sous cette pierre tombale. » Marti répond : « Quarante années depuis que nous nous sommes rencontrés. » Son épouse répond : « Quarante années déjà ? Comme le Temps passe. »
Marti est seul devant la pierre tombale, et une femme âgé qui passe elle aussi avec des fleurs regarde de travers le vieil homme. « Cela me plait que tu te souviennes encore du jour où nous nous sommes rencontrés, et pas du jour où je m’en suis allée. » Marti répond, sans avoir cessé de la regarder : « Tu n’es jamais partie. » Elle lui sourit, de l’air de dire qu’il exagère un peu. Le portable de Marti se met à sonner et son épouse soupire.
Marti décroche, portant le téléphone mobile à son oreille : « Dis-moi, Ernesto. » Puis, « Faut-il que ce soit aujourd’hui ? » Puis, « D’accord, je repasse par la maison et je viens tout de suite. » Marti est à nouveau seul devant la pierre tombale. Il s’en va.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacré à cet épisode.
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- Écrit par David Sicé
Todd and the Book of Pure Evil S02E02: The Student Body (2011)
Traduction du titre original : Todd et le Livre du Mal Absolu: Quand les élèves font corps (littéralement, jeu de mots sur "le corps étudiant" (ensemble des étudiants) et "le cadavre des étudiants").
Episode précédent <> Episode suivant.
Ici la page de ce blog consacrée à la série télévisée Todd and The Book of Pure Evil 2011.
Diffusé au Canada le 6 novembre 2011 sur SPACE CA.
De Craig David Wallace, Charles Picco, Anthony Leo - d'après le court métrage de 2009 de Craig David Wallace ; avec Alex House, Maggie Castle, Bill Turnbull, Melanie Leishman, Jason Mewes, Chris Leavins.
Pour adultes.
(Comédie satirique fantastique, horreur, musical) (Quand les élèves font corps) Solitaire, Todd trace, traversant le parking du lycée de Crowley High. Il est interpellé par les trois rockers qui squattent en permanence le dit parking : « Le meilleur des matins à toi, p’tit mec » fait le blond en veste de jeans. Todd rétorque en le pointant du doigt « Hé, bouffe ta merde et crève en la bouffant ! » Le rocket aux cheveux noirs et veste de cuir répond en riant : « Waouh, c’est pas une façon de traiter ses amis ! »
Todd se retourne et corrige, indigné : « Z’êtes pas mes amis ! » Le blond répond : « On est les seuls à savoir les épreuves que tu traverses, p’tit mec, et où tu finiras. » Le rockeur asiatique surenchérit : « T’échapperas pas à ta destinée, Tocard l » Et le rockeur aux cheveux et bandana noir surenchérit : « C’est nous ou personne d’autre. »
Ce à quoi Todd répond avec force : « J’ai de vrais amis, du genre qui resteront qyoi qu’il arrive ! » Le rockeur aux cheveux noir lui répond : « Pas pour longtemps… » Todd est outré et revient vers : « C’est une menace ? » Le blond assure : « Waouh waouh, c’est certainement pas nous qui iraient menacer le Destructeurs des Mondes ! Mais une tempête de merde se prépare, mec, et tu es le trouduc au milieu ; et tes amis ? ils vont seulement être balayés au loin et baisé comme si de rien n’était jusqu’à plus exister. »
Obligeamment, le rocket asiatique traduit : « Il dit qu’ils vont tous mourir s’ils continuent à te coller, Tocard. » Todd répond : « Ouais, j’avais compris, Trouduc. » Et de leur faire un doigt en repartant. Le rocket aux cheveux noir crie dans son dos : « Waouh, non, pas le doigt ! T’es trop hardcore pour nous ! »
Dans la cafétéria du lycée, attablée avec Hannah et Curtis, Jenny demande : « Qju’est-ce qu’on va faire au sujet du problème de Todd ? » Curtis répond : « Tu sais qu’il s’est rasé les bourses et que maintenant ça lui gratte un max et qu’il des poils incarnés ? » Hannah demande aussitôt à Curtis : « Les mecs font vraiment ça ? » Curtis répond aussitôt : « Eh bien, pas moi, la barbe à bite me va très bien ! Cela fait ressembler mon épée porcine à un sorcier vieux et sage, et je veux dire, vraiment vieux. »
Il sourit, Hannah a l’air fascinée : « On dirait que c’est bien pire. » Jenny hausse le ton : « Je suis en train de parler du plus gros problème de Todd ! Nous devons trouver ce qui arrivera s’il est vraiment l’incarnation du Mal Absolu. » Curtis répond : « ça veut dire qu’il détruira le monde, ou du genre. » Ils se lève et débarrassent leurs assiettes. Hannah déclare : « En ce qui me concerne, je pense que nous devons l’empêcher de faire ça. » Jenny confirme : « Oui, il pourrait être plus dangereux que Livre du Mal Absolu. »
Aucun des trois amis n’a remarqué que Todd lui-même se cachait derrière un pilier voisin de la cafétéria, le regard douloureux. Todd prend alors la fuite dans leurs dos, tandis que Curtis proteste : « Hé, vous êtes en train de parler de mon meilleur ami, là ! Peut-être que tout ce dont il a besoin de notre part est qu’on lui dise qu’on l’aime. » Jenny objecte : « Mmm est-ce qu’on peut pas lui dire seulement qu’on l’aime bien ? C’est pratiquement la même chose. »
Curtis répond : « Amour c’est plus puissant, l’amour conquiert tout. » Hannah glousse : « C’est si mignon ! » Jenny proteste : « On peut revenir au sujet, là ? mon père enquêtait sur le Livre quand ces Satanistes l’ont kidnappé : il doit savoir quelque chose sur cette Prophétie dont ils parlaient… » Curtis répond : « C’est bien dommage qu’il soit dans le coma ; mais il pourrait en sortir n’importe quel jour, du genre… là, maintenant ? » Jenny répond : « Merci, Curtis. » Alors Curtis pointe du doigt : « Regarde. »
Et dans le couloir, dans sa chaise roulante, le père de Jenny reste assis à baver, avec une note scotchée au revers de sa veste. « Papa, qu’est-ce que tu fais ici ! » s’exclame Jenny en se précipitant vers lui. Jenny décroche la note et lit : « Chère Jenny, ton père est un légume, c’est pourquoi je le quitte, et toi avec lui, à jamais ; je t’aime, signé Maman. »
Curtis remarque : « Oui, mais il y a quelque chose au dos. » Il a pris la note et lit à son tour : « Post-Scriptum : à jamais signifie que je ne reviendrais pas. » Il concède : « Dur-dur. »
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
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- Écrit par David Sicé
Murderbot S01E04: Escape Velocity Protocol (2025)
Traduction : Protocole de vitesse de libération.
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Ici la page de ce blog consacrée à la série télévisée Murderbot 2025.
Diffusé à partir du 30 mai 2025 sur APPLE TV MOINS INT/FR.
De Chris Weitz et Paul Weitz (également producteurs exécutifs) d'après la série de romans The Murderbot Diaries de 2017 de Martha Wells ; avec Alexander Skarsgård (également producteur), David Dastmalchian, Noma Dumezweni, Sabrina Wu, Tattiawna Jones, Akshay Khanna, Tamara Podemski ; noter que David S. Goyer est également producteur exécutif.
Pour adultes.
(Prospective, cyberpunk, comédie ? Toxique woke propagandaire) Le centre de fabrication (de robots de sécurité) de Threshold Pass (NDT la passe du seuil, tautologie : les deux mots s'impliquent l'un l'autre) dans l'Anneau de la Corporation. Une foule d'ouvriers bruyants se hâte sous la pluie dans une allée éclairées par des néons glauques.
A un poste de la chaîne de production, on est concentré sur la découpe de plaque de peaux humaines pâles : "Tu as vu le dernier (épisode) de la Lune-Sanctuaire ?" demande l'une (blanche) à l'autre (blanc). "Comment tu peux regarder une telle ânerie ?" répond l'autre. Les ouvriers sont en combinaison environnemental et sont assisté d'un bras robotisé. Et de demander incrédule à l'une : "Ils en font encore des nouveaux ?" L'une répond : "Oh que oui, je les adore, ils m'aident à m'endormir." L'autre répond : "J'ai aucun problème à m'endormir."
Un quadrillage laser vert est projeté sur le carré de peau et le bras robot descend pour se coller comme une ventouse et prélever une pièce de peau humaine. L'autre reprend : "Mon problème c'est que je rêve toute la nuit que je suis au travail." L'une répond sans s'émouvoir : "Eh bien, ça craint." Et l'autre d'éternuer, projetant plein de morve à l'intérieur de son masque facial transparent. L'autre s'exclame : "Beurk !" et l'une grimace de dégoût.
Un superviseur (blanc) annonce alors d'une voix forte : "Nouvelle commande ! On va avoir besoin que tout le monde fasse une vacation de plus." Les deux ouvriers protestent : "Oh non !" fait l'autre. "C'est la seconde fois cette semaine !" fait l'une. Et le superviseur de leur rappeler : "Arrêtez de vous plaindre : le plus d'heures vous travaillez, le plus tôt vous êtes libéré de votre dette ; maintenant, on active : chair et trame, chéri, chair et trame !"
Le bras robot arrache une pièce de peau humaine au carré sur l'établi. L'une dodeline de la tête. L'autre, effaré, a ôté son masque, et son nez dégouline encore ; il constate : "J'ai encore six années à tirer ; dès fois je me dis que je ne m'en sortirai pas vivant !" L'une lui répond : "Six ans ? T'as de la chance : moi j'ai encore douze années sur mes vingt à faire." L'autre répond : "Oh merde... T'as aucune chance de t'en sortir vivante." Et l'une de lui répondre à voix basse : "Merci !"
En voix off, le Meurtrier-Robot (NDT l'Assasynth, blanc et blond) commente : Les fabriques d'unités de sécurité sont vraiment des endroits merveilleux, bien mieux que les hôpitaux humains : parfois dans les feuilletons que je regarde, ils montrent l'intérieur de la crèche, rempli de bébés, des humains miniatures baveux qui aléatoirement vagissent ou défèquent... Si flippant ! Ce doit être dérangeant pour les humains, sachant que leur système de calcul n'est qu'un brassage aléatoire d'A.D.N
Et dans l'usine, un claquement et une partie des équipements s'éteignent. Un opérateur (blanc et roux) devant ses écrans de toute manière illisibles en fonctionnement normal, déclare blasé : "Et on est encore en panne..." Sa collègue (blanche et brune) remarque : "Cette merde n'a pas arrêté de débloquer toute la semaine !" L'opérateur lui répond dans la pénombre : "Eh bien ils faut qu'ils éteignent tout et déboguent le système."
La collègue lui répond tandis que les écrans se rallument couverts de zébrures lumineuses : "Ouais, ces minables trouducs ne veulent pas prendre le temps de tout débrancher." L'opérateur lui répond tranquillement : "Ce n'est pas comme si c'était dangereux ou quoi que ce soit, c'est seulement des unités de sécurité armées jusqu'aux dents que l'on fabrique..." A nouveau un claquement et la collègue constate : "... ça redémarre." Et l'opérateur de répondre sans conviction : "Youpi..."
Retour au commentaire du Meurtrier-Robot en voix off : C'est un soulagement de savoir que quand vous avez été fabriqué, il y avait un contrôle de qualité en bonne forme... Un contrôleur (noir de peau) ramasse un bras cyborg (blanc de peau) qui était posé à côté d'un bras cyborg (noir de peau) : "Qu'est-ce que c'est que ça ? C'est le travail de quel cul merdeux ?" Un opérateur en combinaison environnemental (noir de peau) avoue : "C'est le mien..." et de demander humblement : "Est-ce que je dois recommencer ?" Le contrôleur répond sans relever les yeux : "Non." relève les yeux : "C'est utilisable. Juste apprenez à faire votre boulot." Et brandissant le bras cyborg : "Apprenez à être fier de votre boulot !"
Le meurtrier robot répète en voix off : Ouais, apprenez à être fier de votre boulot : vous ne voudriez pas merder et produire un Meurtrier-Robot chroniquement anxieux et déprimé.
Une autre chambre à l'ambiance bleutée, avec une espèce de présentoir sous verre contenant un manège de visages à enfiler sur des têtes de cyborg, dont l'un bien en vue (blanc et blond) qui nous rappellera définitivement quelqu'un. Une contrôleuse (blanche) rejoint un jeune opérateur (blanc) et lui demande : "Okay, quel est l'équilibre du pH (NDT acidité) ?" Le jeune répond : "Euhhh..." Il se penche sur son pupitre : "Dans les limites de l'acceptable ?" La contrôleuse se détourne et tapote sur les écrans tactiles devant elle.
Le jeune jette alors un coup d’œil au manège de visages sous verre derrière eux, puis se penche pour demander à voix basse à l'oreille de sa contrôleuse : "J'ai une question." Elle répond : "Balance." Se penchant à nouveau, et toujours à voix basse : "Pourquoi ils ont tous l'air différents ? Leurs visages ?" La contrôleuse grimace et secoue la tête : "J'en sais rien !" Puis elle répond : "Si l'un devient fou ou une autre merdre, c'est plus facile à traquer..."
Le jeune se détourne, impressionné : "... ça a du sens." Puis une nouvelle question lui vient : "Ils deviennent fous souvent ?" Blasée, sa contrôleuse répond : "Oh, tout le temps ; tu ne suis pas le fil des infos ?" Le jeune secoue la tête, alors elle précise : "Parfois, ils reviennent et tuent l'apprenti qui a aidé à le fabriquer..."
Et de faire le geste de s'égorger elle-même en faisant entendre un râle. Le jeune ouvre de grands yeux, pas rassuré. Puis il rit très brièvement et fait un grand sourire : "Ouais..." Sa contrôleuse s'en va. Il se détourne, pas vraiment convaincu : "Tout à fait..." Et de masser sa propre gorge.
Puis le manège sous vitrine pivote d'un cran : c'est au tour de la tête au visage blanc et blond bien connu d'être implanté. Le jeune opérateur s'approche du manège et regarde dans les yeux le futur Meurtrier-robot, et murmure : "Qu'est-ce que tu regardes, la chienne ? Je te botterai le cul..."
Et le Meurtrier-Robot de commenter en voix off : Les humains... Quelque part ils doivent savoir à quel point ils sont bizarres.
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
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- Écrit par David Sicé
L'étoile étrange du 5 mai 2025.
Numéro précédent <> Numéro suivant.
Ici l'exemplaire .pdf gratuit de 126 pages couleurs.
Sorti le 2 juin 2025.
De David Sicé.
(fanzine de Science-fiction) Ce numéro comprend les Chroniques de la Science-fiction de la même semaine, un cour de conversation du 17ème siècle traduit en latin simple, un cour de conversation anglais-français-latin de 1860 et le guide des épisodes de la première saison de The Almighty Johnsons 2011 plus une nouvelle d'aventure horrifique inspirée du film Les chasses du Comte Zaroff 1932 de Ernest B. Schoedsack et Irving Pichel d'après la nouvelle de Richard Connell.
Ce numéro ne contient pas de texte ou d'image créé par intelligence artificielle.
Une édition anglaise sera éventuellement mise en ligne séparément.
Au sommaire.
p. 2 : Edito / Essai : Rêve de fer.
p. 19 : Chroniques de la Science-fiction de la semaine du 5 mai 2025.
p. 24 : Zaroff (nouvelle d'aventure horrifique, librement adapté du film de Ernest B. Schoedsack et Irving Pichel d'après la nouvelle de Richard Connell.
p. 80 : The Almighty Johnsons, guide des épisodes de la saison 1 de 2011 de la série de Fantasy urbaine comique.
p. 111 : Conversation à l'auberge 34, latin, français et anglais du 17eme siècle et latin simple.
p. 115 : Conversations français anglais latin 1860 - 1.
p. 120 : Le plus dangereux des gibiers 1924 (The Most Dangerous Game), la nouvelle de Richard Connell.
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