Le Tour du Monde en 80 jours, le roman de 1872Feu vert livre / BD

Le Tour du Monde en 80 jours (1872)

Douzième roman de la collection Aventures Extraordinaires du même auteur.

Publié en France  en feuilleton dans le journal Le Temps du 6 novembre au 22 décembre 1872
Publié en France le 30 janvier 1873 chez Hetzel plus tard racheté par Hachette.
De très nombreuses fois réédité et traduit dans de très nombreuses langues.

De Jules Verne.

Phileas Fogg, qui a fait le pari d'y parvenir en quatre-vingts jours en tirant partie des innovations technologiques les plus récentes de son époque. Il est accompagné par Jean Passepartout, son serviteur français.

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Le texte original de Jules Verne de 1872

I

Dans lequel phileas fogg et passepartout s’acceptent réciproquement, l’un comme maître, l’autre comme domestique.

En l’année 1872, la maison portant le numéro 7 de Saville-row, Burlington Gardens, — maison dans laquelle Shéridan mourut en 1814, — était habitée par Phileas Fogg, esq., l’un des membres les plus singuliers et les plus remarqués du Reform-Club de Londres, bien qu’il semblât prendre à tâche de ne rien faire qui pût attirer l’attention.

À l’un des plus grands orateurs qui honorent l’Angleterre, succédait donc ce Phileas Fogg, personnage énigmatique, dont on ne savait rien, sinon que c’était un fort galant homme et l’un des plus beaux gentlemen de la haute société anglaise.

On disait qu’il ressemblait à Byron, — par la tête, car il était irréprochable quant aux pieds, — mais un Byron à moustaches et à favoris, un Byron impassible, qui aurait vécu mille ans sans vieillir.

Anglais, à coup sûr, Phileas Fogg n’était peut-être pas Londonner. On ne l’avait jamais vu ni à la Bourse, ni à la Banque, ni dans aucun des comptoirs de la Cité. Ni les bassins ni les docks de Londres n’avaient jamais reçu un navire ayant pour armateur Phileas Fogg. Ce gentleman ne figurait dans aucun comité d’administration. Son nom n’avait jamais retenti dans un collège d’avocats, ni au Temple, ni à Lincoln’s-inn, ni à Gray’s-inn. Jamais il ne plaida ni à la Cour du chancelier, ni au Banc de la Reine, ni à l’Echiquier, ni en Cour ecclésiastique. Il n’était ni industriel, ni négociant, ni marchand, ni agriculteur. Il ne faisait partie ni de l’Institution royale de la Grande-Bretagne, ni de l’Institution de Londres, ni de l’Institution des Artisans, ni de l’Institution Russell, ni de l’Institution littéraire de l’Ouest, ni de l’Institution du Droit, ni de cette Institution des Arts et des Sciences réunis, qui est placée sous le patronage direct de Sa Gracieuse Majesté. Il n’appartenait enfin à aucune des nombreuses sociétés qui pullulent dans la capitale de l’Angleterre, depuis la Société de l’Armonica jusqu’à la Société entomologique, fondée principalement dans le but de détruire les insectes nuisibles.

Phileas Fogg était membre du Reform-Club, et voilà tout.

À qui s’étonnerait de ce qu’un gentleman aussi mystérieux comptât parmi les membres de cette honorable association, on répondra qu’il passa sur la recommandation de MM. Baring frères, chez lesquels il avait un crédit ouvert. De là une certaine « surface », due à ce que ses chèques étaient régulièrement payés à vue par le débit de son compte courant invariablement créditeur.

Ce Phileas Fogg était-il riche ? Incontestablement. Mais comment il avait fait fortune, c’est ce que les mieux informés ne pouvaient dire, et Mr. Fogg était le dernier auquel il convînt de s’adresser pour l’apprendre. En tout cas, il n’était prodigue de rien, mais non avare, car partout où il manquait un appoint pour une chose noble, utile ou généreuse, il l’apportait silencieusement et même anonymement.

En somme, rien de moins communicatif que ce gentleman. Il parlait aussi peu que possible, et semblait d’autant plus mystérieux qu’il était silencieux. Cependant sa vie était à jour, mais ce qu’il faisait était si mathématiquement toujours la même chose, que l’imagination, mécontente, cherchait au-delà.

Avait-il voyagé ? C’était probable, car personne ne possédait mieux que lui la carte du monde. Il n’était endroit si reculé dont il ne parût avoir une connaissance spéciale. Quelquefois, mais en peu de mots, brefs et clairs, il redressait les mille propos qui circulaient dans le club au sujet des voyageurs perdus ou égarés ; il indiquait les vraies probabilités, et ses paroles s’étaient trouvées souvent comme inspirées par une seconde vue, tant l’événement finissait toujours par les justifier. C’était un homme qui avait dû voyager partout, — en esprit, tout au moins.

Ce qui était certain toutefois, c’est que, depuis de longues années, Phileas Fogg n’avait pas quitté Londres. Ceux qui avaient l’honneur de le connaître un peu plus que les autres attestaient que, — si ce n’est sur ce chemin direct qu’il parcourait chaque jour pour venir de sa maison au club, — personne ne pouvait prétendre l’avoir jamais vu ailleurs. Son seul passe-temps était de lire les journaux et de jouer au whist. À ce jeu du silence, si bien approprié à sa nature, il gagnait souvent, mais ses gains n’entraient jamais dans sa bourse et figuraient pour une somme importante à son budget de charité. D’ailleurs, il faut le remarquer, Mr. Fogg jouait évidemment pour jouer, non pour gagner. Le jeu était pour lui un combat, une lutte contre une difficulté, mais une lutte sans mouvement, sans déplacement, sans fatigue, et cela allait à son caractère.

On ne connaissait à Phileas Fogg ni femme ni enfants, — ce qui peut arriver aux gens les plus honnêtes, — ni parents ni amis, — ce qui est plus rare en vérité. Phileas Fogg vivait seul dans sa maison de Saville-Row, où personne ne pénétrait. De son intérieur, jamais il n’était question. Un seul domestique suffisait à le servir. Déjeunant, dînant au club à des heures chronométriquement déterminées, dans la même salle, à la même table, ne traitant point ses collègues, n’invitant aucun étranger, il ne rentrait chez lui que pour se coucher, à minuit précis, sans jamais user de ces chambres confortables que le Reform-Club tient à la disposition des membres du cercle. Sur vingt-quatre heures, il en passait dix à son domicile, soit qu’il dormît, soit qu’il s’occupât de sa toilette. S’il se promenait, c’était invariablement, d’un pas égal, dans la salle d’entrée parquetée en marqueterie, ou sur la galerie circulaire, au-dessus de laquelle s’arrondit un dôme à vitraux bleus, que supportent vingt colonnes ioniques en porphyre rouge. S’il dînait ou déjeunait, c’étaient les cuisines, le garde-manger, l’office, la poissonnerie, la laiterie du club, qui fournissaient à sa table leurs succulentes réserves ; c’étaient les domestiques du club, graves personnages en habit noir, chaussés de souliers à semelles de molleton, qui le servaient dans une porcelaine spéciale et sur un admirable linge en toile de Saxe ; c’étaient les cristaux à moule perdu du club qui contenaient son sherry, son porto ou son claret mélangé de cannelle, de capillaire et de cinnamome ; c’était enfin la glace du club — glace venue à grands frais des lacs d’Amérique — qui entretenait ses boissons dans un satisfaisant état de fraîcheur.

Si vivre dans ces conditions, c’est être un excentrique, il faut convenir que l’excentricité a du bon !

La maison de Saville-Row, sans être somptueuse, se recommandait par un extrême confort. D’ailleurs, avec les habitudes invariables du locataire, le service s’y réduisait à peu. Toutefois, Phileas Fogg exigeait de son unique domestique une ponctualité, une régularité extraordinaires. Ce jour-là même, 2 octobre, Phileas Fogg avait donné son congé à James Forster, — ce garçon s’étant rendu coupable de lui avoir apporté pour sa barbe de l’eau à quatre-vingt-quatre degrés Fahrenheit au lieu de quatre-vingt-six, — et il attendait son successeur, qui devait se présenter entre onze heures et onze heures et demie.

Phileas Fogg, carrément assis dans son fauteuil, les deux pieds rapprochés comme ceux d’un soldat à la parade, les mains appuyées sur les genoux, le corps droit, la tête haute, regardait marcher l’aiguille de la pendule, — appareil compliqué qui indiquait les heures, les minutes, les secondes, les jours, les quantièmes et l’année. À onze heures et demie sonnant, Mr. Fogg devait, suivant sa quotidienne habitude, quitter la maison et se rendre au Reform-Club.

En ce moment, on frappa à la porte du petit salon dans lequel se tenait Phileas Fogg.
James Forster, le congédié, apparut.
« Le nouveau domestique, » dit-il.
Un garçon âgé d’une trentaine d’années se montra et salua.

« Vous êtes Français et vous vous nommez John ? lui demanda Phileas Fogg.
— Jean, n’en déplaise à monsieur, répondit le nouveau venu, Jean Passepartout, un surnom qui m’est resté, et que justifiait mon aptitude naturelle à me tirer d’affaire. Je crois être un honnête garçon, monsieur, mais, pour être franc, j’ai fait plusieurs métiers. J’ai été chanteur ambulant, écuyer dans un cirque, faisant de la voltige comme Léotard, et dansant sur la corde comme Blondin ; puis je suis devenu professeur de gymnastique, afin de rendre mes talents plus utiles, et, en dernier lieu, j’étais sergent de pompiers, à Paris. J’ai même dans mon dossier des incendies remarquables. Mais voilà cinq ans que j’ai quitté la France et que, voulant goûter de la vie de famille, je suis valet de chambre en Angleterre. Or, me trouvant sans place et ayant appris que Monsieur Phileas Fogg était l’homme le plus exact et le plus sédentaire du Royaume-Uni, je me suis présenté chez monsieur avec l’espérance d’y vivre tranquille et d’oublier jusqu’à ce nom de Passepartout…

— Passepartout me convient, répondit le gentleman. Vous m’êtes recommandé. J’ai de bons renseignements sur votre compte. Vous connaissez mes conditions ?
— Oui, monsieur.
— Bien. Quelle heure avez-vous ?
— Onze heures vingt-deux, répondit Passepartout, en tirant des profondeurs de son gousset une énorme montre d’argent.
— Vous retardez, dit Mr. Fogg.
— Que monsieur me pardonne, mais c’est impossible.
— Vous retardez de quatre minutes. N’importe. Il suffit de constater l’écart. Donc, à partir de ce moment, onze heures vingt-neuf du matin, ce mercredi 2 octobre 1872, vous êtes à mon service.

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce roman.

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Vermines, le film de 2023Feu rouge cinémaRécit toxique à ne regarder qu'avec prudence et esprit critique

Vermines (2023)
Titre anglais : Infested.

Toxique : le film ne présente aucun modèle positif et pose une suite hallucinantes de jeux de c.ns de tous les protagonistes (humains) comme portrait réaliste de la société actuelle, même réduite aux cités voire à des zones de non droit, strictement le même procédé et la même toxicité que La Tour 2022, la cause de l'enfermement et des conflits étant complètement gratuite et non-sensique, donc abusive dans la Tour. Le spectateur est donc naturellement porté à envisager l'abattage / gazage de tous les habitants ("héros" inclus) comme la meilleure des solutions au problème plus général des cités. Cela revient à provoquer au fascisme et au crime contre l'Humanité, certes tout à fait de saison et très médiatique en ce moment, mais toujours aussi inhumain et toxique, quel que soit la société et le point de l'Histoire de l'Humanité.

Sorti en France le 27 décembre 2023.
Sorti aux USA et en Angleterre le 19 avril 2024.
Annoncé en coffret br+4K français le 2 mai 2024.

De Sébastien Vaniček (également scénariste) et Florent Bernard ; avec Théo Christine, Lisa Nyarko, Jérôme Niel, Finnegan Oldfield, Sofia Lesaffre.

Pour adultes.

(monstre, horreur, toxique woke) Dans un désert rocailleux, une jeep emmène une fine équipe en sandale et vêtements légers partis capturés des araignées extrêmement venimeuses et résistantes au coup, seulement armés de machettes. L'un d'eux en trouve une sous un roc, tente de gazer son nid, se fait piquer et convulse. Les autres récupèrent des araignées et achèvent le blessé en le décapitant à la machette.

Plus tard les araignées sont revendues sous le manteau, notamment en France. Le jeune Kaleb, un woket passif-agressif qui vit dans un grand ensemble de béton avec sa sœur, garce wokette, dans l'appartement de leur mère décédée, collectionne illégalement les petites bêtes dans un vivarium dont la sœur débranche constamment les équipements permettant de maintenir en vie les insectes, sous prétexte d'économie d'électricité. Dans le même temps elle prétend rénover l'appartement toute seule en perçant les murs et ça l'aidera à monter sa petite entreprise.

Kaleb lui vend des baskets de séries limitées aux autres habitants de l'immeuble et est pris pour un trafiquant de drogue par un voisin irascible qui prétend vouloir coincer Kaleb tout en ignorant complètement les règles de procédure qui pourraient faire condamner pour de vrai le jeune homme, si réellement il trafiquait la drogue ou n'importe quoi d'autre. Toujours est-il que pour 100 euro, Kaleb achète une araignée d'importation, sa soeur la stresse en coupant le chauffage, l'araignée fait des petits qui se répandent à travers l'immeuble et commence par piquer le dernier client de Kaleb trop pressé d'enfiler ses Nikes de collection.

Vermines, le film de 2023

Vermines, le film de 2023

Vermines, le film de 2023

Vermines, le film de 2023

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à ce film.

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The Silent Sea, la série télévisée de 2021Feu rouge télévision

The Silent Sea (2021)

Traduction : La mer silencieuse (aka La mer de la Tranquillité)
Autres titres : 고요의 바다, Goyo-eui bada.

Annoncé à l'international le 24 décembre 2021 sur NETFLIX INT / FR.

De Choi Hang-yong (également scénariste), sur un scénario de Park Eun-kyo, d'après le court-métrage, The Sea of Tranquility 2014 du réalisateur-scénariste. Avec Gong Yoo, Bae Doona, Lee Joon, Kim Sun-young.

Pour adultes et adolescents

(prospective) Apparemment des astronautes viennent de s’écraser quelque part et tandis que certains recouvrent la conscience tête en bas encore accrocher et qu’un incendie menace, le capitaine ordonne qu’on lance un SOS. Une femme est dégraphée de ses sangles et tombe brutalement, vitesse de chute qui prouve scientifiquement que nous ne sommes absolument pas sur la Lune, contrairement à ce que raconte la présentation de la série. Plus le vaisseau spatial semble au bord d’un précipice vertigineux jamais observé sur aucune face de la Lune, mais peut-être que quelqu’un daignera nous présenter l’univers de cette série avant de nous balancer à la figure des faits délirants à ce stand.

Juste après on nous présente la Terre à court d’eau à cause des stations de désalinastion, avec une mortalité infantile aggravée par la consommation d’eau contaminée. On fait la chasse aux animaux pour les tuer, et la production ignore visiblement que l’eau est depuis au moins un an dans la réalité ouverte à la spéculation boursière au même titre que l’or ou les denrées alimentaires — c’est ce qui a conduit aux récentes famines et montées en flèche des prix. Un filtre jaune sur l’image est censé nous faire croire que le climat est altéré — et moi qui croyait que les océans étaient censés bouillir à cause du réchauffement climatique, ce qui est impossible car les couches froides et chaudes de l’atmosphère se seraient échangées depuis longtemps, exactement comme dans Le jour d’après.

Dans un zoo sous verre une femme carasse un tigre qui n’est ni joueur ni affamé : c’est le Dr Song une exobiologiste qui affirme qu’il n’y a aucune vie dans l’espace, ignorant visiblement qu’on a découvert il y a quelques années cette vie sur les bêtes astéroïdes de glace et sur Mars, même si les costumes Armani ont tenté après coup de minimiser les déclarations de l’autorité scientifique (les mêmes qui mettent un filtre orange sur les images vidéos en provenance de Mars pour que cela ressemble moins à la Terre). Plus j’adore ces gens qui ne sont jamais allés dans d’autres systèmes solaires et qui affirment des trucs alors que les télescopes ne cessent de détecter des systèmes solaires en formation dont l’image date de millions d’années.

Bref, on s’emm.rde à écouter débiter des dialogues d’exposition parcellaires parce que clichés débités par des espèces de mannequins vedettes — lorsqu’arrivent les sempiternels Laurel et Hardy de ce genre de production asiatique qui rigolent bien fort dans l’espèce de mausolée à la mémoire des 117 morts d’une exposition lunaire — un lieu censé être lugubre. Connaissant la discipline et la piété proverbiale des coréens, la scène parait particulièrement incohérente, tandis que dans le même temps, la constipation de l’exobiologiste semble atteindre un degré nécessitant l’hospitalisation immédiate.

Puis sans transition, briefing d’une mission lunaire militaire pour récupérer un échantillon sur la lune : personne ne sait ce que contient la capsule, donc les précautions les plus élémentaires pour la récupérer et la ramener, ni si cette capsule mettra subséquemment fin à toute vie sur Terre comme dans la Variété Andromède. Le Dr Song s’inquiète, et sa supérieure hiérarchique lui répond que c’est à elle de gérer vu qu’elle est exobiologiste. Puis comme elle semble croire (« sic ») qu’on lui cache des informations; ce qui est exactement ce qui se passe à cette scène, le fait de faire partie de la mission est censée lui confirmer que non.

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cette série télévisée.

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The Green Hornet S01E05: The Time Bomb (1940)Feu vert télévision

The Green Hornet S01E05: The Time Bomb (1940)
Traduction du titre : le frelon vert, la bombe à retardement.

Episode précédent <> Episode suivant.

Ici la page de ce blog consacré au serial The Green Hornet 1940.

Sorti au cinéma aux USA à partir du 6 février 1940.

De Ford Beebe et Ray Taylor sur un scénario de Fran Striker, George H. Plympton, Basil Dickey, Morrison Wood, Lyonel Margolies, d’après le feuilleton radiophonique de 1936 de Fran Striker et George W. Trendle ; avec Gordon Jones, Wade Boteler, Keye Luke, Anne Nagel.

Pour adultes et adolescents

(mystère, justicier, super-héros, techno-thriller) Chapitre cinq.

Britt Reid, déterminé à anéantir le gang des voleurs de voitures, laisse prendre son propre véhicule dans un parking payant qu’il suspecte de faire partie de l’organisation, puis il remonte sa trace jusqu’au Garage Meadows où le véhicule a mystérieusement disparu. Reid reconnaît Pete, l’un des ex employé de l’école de pilotage Barlett parmi les mécaniciens du garage ; et cette nuit-là, en tant que le Frelon Vert, il rend visite à Pete au garage pour l’interroger. Alarmé à la vue du Frelon Vert, Pete prend précipitamment la fuite, poursuivi et rattrapé par la Beauté Noire du Frelon, pilotée par Kato, et…

Kato double la décapotable de Pete en franchissant la ligne blanche de la route et le Frelon Vert profite de la ligne droite pour sauter à bord, atterrissant sur le siège arrière. Comme il tente de passer à l’avant, Pete tente de le repousser alors qu’ils arrivent en vue d’une station service. Pete ramasse une clé anglaise au plancher de son véhicule et sonne le Frelon Vert qui s’affale à l’arrière du véhicule.

Pete saute alors de la voiture en marche, la laissant filer droit sur la station service et ses pompes à essence. La voiture culbute les pompes et va s’encastrer dans la façade en bois de la station. Pete manque de se relever dans les buissons de l’autre côté de la route, mais aperçoit la Beauté Noire du Frelon Vert arriver, et s’aplatit au sol.

Kato s’arrête, descend et file sortir Reid de la décapotable encastrée dans la station service. Pendant ce temps, Pete se relève, ramasse son chapeau et le remet, et tandis que la sirène de la police résonne, Pete sourit largement : le Frelon Vert a l’air d’avoir son compte, tandis que Kato charge son patron dans la Beauté Noire, puis démarre.

Etendant le bourdonnement caractéristique de la voiture du Frelon Vert, les deux policiers à bord de la patrouille prennent immédiatement Kato en chasse, et le rattrapant, le policier côté passager dégaine son arme de service et ouvre le feu.

Sans se troubler, Kato passe une vitesse et prend une route en lacet, roulant sur la ligne blanche. Le policier au volant se lamente : cela ne sert à rien (de poursuivre le Frelon Vert), il ne rattrapera pas ce bolide. Et son acolyte de renchérir : « L’attraper ? Ce truc va plus vite que les balles que je lui ai tirées dessus ! »

The Green Hornet S01E05: The Time Bomb (1940)

The Green Hornet S01E05: The Time Bomb (1940)

The Green Hornet S01E05: The Time Bomb (1940)

The Green Hornet S01E05: The Time Bomb (1940)

The Green Hornet S01E05: The Time Bomb (1940)

The Green Hornet S01E05: The Time Bomb (1940)

The Green Hornet S01E05: The Time Bomb (1940)

The Green Hornet S01E05: The Time Bomb (1940)

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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.

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