- Détails
- Écrit par David Sicé
Bob Morane S01E13: La vallée des brontosaures (1964)
Episode précédent <> Episode suivant.
Ici la page de ce blog consacré à la série télévisée Bob Morane (1964)
D'abord diffusée en Suisse début 1964 sur RTS
Ensuite diffusé en Belgique à partir du 17 mai 1964 sur RTBF 1 BE le dimanche vers 16h30.
Diffusée en France le 20 juin 1965 sur ORTF 2 FR le dimanche vers 14h30.
Diffusé au Canada à partir du 7 septembre 1965 sur Télévision Radio-Canada CA.
Rediffusé en France en 1972 sur ORTF 1 FR.
Rediffusé en France en 1988 sur LA CINQ FR.
Rediffusé en France en 1989 sur ANTENNE 2 FR.
Sori en quatre VHS en 2000 chez LCJ FR, réunies en coffret le 17 mai 2001.
Sorti en DVD le 17 mai 2001 chez LCJ FR.
De Robert Vernay, d'après les romans de Henri Vernes (pseudonyme de Charles-Henri Dewisme), réalisation Robert Vernay, adaptation et dialogues de J. M. Arlaud ; avec Claude Titre, Billy Kearns, Ellen Farner, Claude Cerval ; images : Jacques Ledoux, montage : Jacques Mavel, régie générale : Michel Moitessier, musique Louiguy.
Pour tout public.
(aventure, policier) Sur un quai se presse autour d'un petit bateau une petite foule de passagers, avec leurs bagages. Plusieurs belles voitures sont garées tout près ainsi qu'un mini-bus. Un journaliste local en costume de ville interviewe une toute jeune fille blondesouriante qui serre contre elle le bouquet de fleurs qu'on vient sans doute de lui offrir : "Nous vivons une époque où la réussite exige des coups d'éclats : ça peut être le scandale... mais ce n'est pas mon genre !"
A ces mots, le journaliste reprend le micro pour éclater d'un rire forcé, puis rend le micro à la jeune fille : "Un jour au Musée de l'Homme en feuilletant des archives, j'ai découvert le récit d'un aviateur tombé dans cette région..."
De l'autre côté du mur qui défend l'accès au quai, un crissement de pneu : ce sont Ballantine et Morane à bord de leur décapotable (américaine ?) qui se garent en trombe. Morane empoigne les valises, Ballantine un sac, et à la porte, ordonne au planton : "Vous ferez rapporter la voiture à mon Consul, le consul britannique, à côté !" Morane pousse Ballantine : "Oui, allez ! Zou !"
Tandis qu'un gros homme approche en fumant des journalistes, et qu'un coup de sirène en provenance du bateau résonne, la jeune fille continue de pérorer : "Non, pas d'autres projets : (re)joindre la vallée des Watusi et retrouver les traces des Brontosaures..." Le gros hommes s'arrête juste à côté de la jeune fille en lui jetant un regard en biais. "... Et photographier tout ce que je verrai !" Le gros homme repart.
Une série de coup de klaxons et la jeune fille s'exclame : "Au revoir ! Je vais me faire gronder !" Et elle est déjà loin comme le journaliste déclare à son micro : "Merci Mademoiselle Hetzel ; nous vous souhaitons bonne chance et donnons rendez-vous à votre retour !" Et d'ajouter, une fois le micro coupé : "Elle est complètement dingue !"
Radieuse, la demoiselle (Leni) Hetzel fait "au revoir" de la main aux spectateurs restés sur le quai, et alors que la passerelle est déjà relevée, Morane bondit à bord avec ses deux valises et son sac, talonné par Ballantine et son sac.
Les hélices du bateau entrées en action, nous retrouvons la jeune fille en train de prendre des photos de la rive opposée depuis le bastingage. Le gros homme qui l'avait épiée l'accoste, toujours la cigarette à la main, fait mine d'ôter son chapeau en s'inclinant un peu, puis avec un sourire sans montrer les dents, remarque : "Ah, l'Afrique a bien changée..."
La demoiselle Hetzel répond, toujours aussi candide : "Je ne trouve pas !" L'autre lui demande : "Il y a longtemps que vous n'y étiez pas revenue ?" La jeune fille répond "Revenue ? C'est la première fois !" Puis elle explique "Mais tout ressemble tellement aux photos, aux films : c'est merveilleux !" Le gros homme objecte: "De loin, oui ... Au fond, c'est autre chose : c'est devenu dangereux pour vous..."
La jeune fille se détourne avec une moue boudeuse : "Vous ne me faites pas peur..." Il demande à nouveau : "Vous voulez vraiment aller dans votre vallée des brontosaures ?" Mademoiselle Hetzel se retourne, apparemment heureusement surprise : "Vous avez entendu ce que j'ai dit à la radio ? Mission pour le Musée de L'Homme, reportage pour les magazines ? Et vous pensez que je vais rater une chance pareille ?"
L'homme s'exclame : "Une chance ?" Et de ricaner : "Et vous allez faire ça toute seule, comme une grande ?" La jeune fille se vexe : "Je déteste qu'on me prenne pour une gosse ; j'ai préparé mon expédition ! J'ai le meilleur guide de la région : Allan Wood, vous connaissez ?" Et c'est au tour du gros homme de faire la moue : "Un peu..." et il regarde ailleurs.
C'est alors que Morane, qui était assis plus bas lui aussi à prendre des photos, mais avec un appareil plus modeste que celui de la demoiselle Hetzel, intervient : "Veuillez m'excuser Mademoiselle, mais je viens d'entendre par hasard ce que vous disiez à propos d'Allan Wood... Permettez-moi de..." Morane rit nerveusement : "Franchement, ça m'étonnerait !"
Leni Hetzel le prend de haut : "De quoi s'agit-il, Monsieur ?" Morane explique : "Mais je ne pense pas qu'Allan Wood soit libre... parce que mon copain..." Morane désigne Ballantine qui sourit à la jeune fille. "... et moi, nous devons partir en safari avec lui et, pas du tout chez les brontosaures !"
La demoiselle s'indigne : "Vous ne pouvez pas me faire ça !" puis apercevant l'appareil photo de Morane, elle demande : "Vous êtes journaliste ?" Morane répond "Non, non, non, chasseur." La jeune fille rétorque, un brin méprisante : "Avec ça ?" désignant du regard l'appareil photo. Morane rit : "Eh oui : j'adore chasser, mais je déteste tuer les animaux ; alors avec ça, c'est beaucoup plus facile..."
Le gros homme intervient : "Et vous êtes un ami d'Allan ?" Morane répond : "Oh, depuis toujours, ou presque." Le gros homme tire une bouffée de sa cigarette, presque nerveusement.
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- Écrit par David Sicé
Chroniques de la Science-Fiction #2023-08-28 (2023)
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Ici bientôt l'index de toutes les Chroniques de la Science-fiction de 2023
Sorti le 27 août 2023 (première édition).
De David Sicé.
Les Chroniques sont une rubrique du fanzine l’Étoile étrange. Cette rubrique paraîtra désormais séparément pour tenir le rythme hebdomadaire de l'actualité de la Science-fiction même si le numéro complet de l’Étoile étrange n'est pas bouclé. Les numéros ont vocation à sortir rétroactivement et par anticipation, et donc à être mis à jour quand l'activité n'est pas complètement couverte.
Au sommaire, l'actualité de la semaine du 28 août 2023, et les critiques de Justice League Warworld 2023, Star Wars Ahsoka 2023, The Flash 2023, Infinity Pool 2023, Les crimes du futur = Crimes Of The Future 2022, Teen Wolf 1985, Bandits Bandits = Time Bandits 1981, Battlestar Galactica 1978, La stratégie Ender = Ender’s Game 1977.
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Bob Morane S01E12: Les semeurs de foudre (1964)
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Ici la page de ce blog consacré à la série télévisée Bob Morane (1964)
D'abord diffusée en Suisse début 1964 sur RTS
Ensuite diffusé en Belgique à partir du 17 mai 1964 sur RTBF 1 BE le dimanche vers 16h30.
Diffusée en France le 13 juin 1965 sur ORTF 2 FR le dimanche vers 14h30.
Diffusé au Canada à partir du 7 septembre 1965 sur Télévision Radio-Canada CA.
Rediffusé en France en 1972 sur ORTF 1 FR.
Rediffusé en France en 1988 sur LA CINQ FR.
Rediffusé en France en 1989 sur ANTENNE 2 FR.
Sori en quatre VHS en 2000 chez LCJ FR, réunies en coffret le 17 mai 2001.
Sorti en DVD le 17 mai 2001 chez LCJ FR.
De Robert Vernay, d'après les romans de Henri Vernes (pseudonyme de Charles-Henri Dewisme), réalisation Robert Vernay, adaptation et dialogues de Régine Artarit ; avec Claude Titre, Billy Kearns, Harline Respati, Gunter Meissner, Jean Michaud ; images : Marc Fossard, musique Louiguy.
Pour tout public.
(aventure, policier, espionnage, technothriller) Bob Morane raconte : "Il y avait plus d'une semaine que nous avions quitté La Paz. Et nous progressions lentement... beaucoup trop lentement à notre gré. Evidemment, dans un pays qui ne connait guère de moyens de transport intermédiaires entre l'avion et le bourricot..."
"Combien de chances avions-nous de retrouver Pierre Langlois vivant ? Une sur cent ? Une sur mille ? Comment aurait-il pu survivre plus de deux ans, seul, au milieu de cette nature inhospitalière ? Mais même une chance sur mille, quand il s'agit de sauver un homme, cela vaut la peine de tout tenter..."
"La chaleur nous semblait soudain moins accablante : nous approchions enfin de ces monts Madidi qui devaient être le terme de notre voyage. Il nous fallait atteindre avant la nuit Montalba, le dernier village à moins d'un jour de marche de la Muraille Rouge, cette longue muraille infranchissable, que l'on voyait s'étendre d'un bout à l'autre de l'horizon. Au-delà, c'était l'inconnu."
Le vent hurle dans la nuit, et quelques oiseaux nocturnes aussi. Ne trouvant son sommeil, Bob Morane écrase un moustique qui aura franchi les épaisseurs de moustiquaires. Cependant, un intrus se faufile à l'intérieur du refuge, et comme Morane se redresse, il crie "Bill, attention !!!" Dans l'obscurité, Morane maîtrise son adversaire, et s'exclame joyeusement : "J'ai toujours rêvé d'être attaqué par les indiens !"
A l'arrivée des autorités, le ton est certainement moins bon enfant et comme le capitaine de la police hurle aux deux indiens capturés dans ce qu'il présume être leur langue : "¿Quién? ..." Puis comme on ne lui répond rien, le militaire se retourne vers Morane : "Ils ne parleront pas : les Enemigos del Christiano préfèrent mourir que d'adresser la parole à un ennemi : il est clair que pour eux, nous sommes des ennemis."
Morane tente une autre approche, offrant un bol de nourriture à un premier prisonnier : "Toma..." Le prisonnier le regarde, regarde son compagnon... et crache dans le bol. Alors le capitaine empoigne le prisonnier cracheur, grondant : "Hijo de pu..." Mais Morane le retient : "Il ne faut pas tenir ces hommes primitifs pour absolument responsables de leurs actes !" Mais le capitaine s'indigne : "Mais ils ne songent qu'à tuer !" et de pousser les deux prisonniers en direction de son subalterne pour les faire sortir : "Espérame del coche..."
Morane rejoint Ballantine à la fenêtre haussant les épaules de dépit : "J'ai l'impression qu'il se passe ici quelque chose de bizarre : on dirait que le pays tout entier vit tout entier sous le règne de la peur..." Le capitaine revient à Morane et Ballantine : "Monsieur Morane ! Quelqu'un dans ce pays était-il au courant de vos projets ?"
Morane répond :" Bah, jusqu'à présent, nous n'avions aucune raison particulière de les cacher..." Et Ballantine d'ajouter : "Il fallait bien qu'on se renseigne sur ce sacré bled !"
Et comme les deux prisonniers sont sortis, le capitaine dit à Morane et Ballantine : "Maintenant je vais vous donner un conseil : ne vous approchez pas de la Muraille Rouge, c'est une région extrêmement dangereuse: depuis longtemps personne n'ose plus s'y aventurer !"
Morane répond : "J'ai remarqué en effet qu'on ne peut pas prononcer le nom de la Muraille Rouge dans ce pays, sans qu'immédiatement tout le monde se mette à trembler..." Ballantine surenchérit : "Et quand on veut savoir pourquoi, rien (à) faire ! bouche cousue !"
Le capitaine leur répond : "Les dieux indiens se réveillent quelque fois. Si l'on en croit la population, ce sont eux qui sèment la terreur du côté de la Muraille Rouge. Enfin, ce qu'il y a de certain, c'est que depuis quelques temps, il est arrivé malheur à tous ceux qui se sont approchés de cette montagne."
Morane va à son bagage et en sort une photographie, portrait d'un homme, qu'il montre au capitaine qui l'a suivi : "Vous connaissez ce jeune homme ?" Le capitaine répond : "Si je le connais ? C'est moi qui ai dirigé les recherches..." Et comme Morane se relève, le capitaine déclare, avec raideur : "Mon opinion est faite : Monsieur Pierre Langlois s'est noyé il y a deux ans dans les grands marécages qui interdisent l'accès de la vallée du fleuve Madidi." Il rend la photographie à Morane : "Affaire classée."
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Ici la page du forum Philippe-Ebly.fr consacrée à cet épisode.
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- Écrit par David Sicé
Bob Morane S01E11: Échec à la main noire (1964)
Episode précédent <> Episode suivant.
Ici la page de ce blog consacré à la série télévisée Bob Morane (1964)
D'abord diffusée en Suisse début 1964 sur RTS
Ensuite diffusé en Belgique à partir du 17 mai 1964 sur RTBF 1 BE le dimanche vers 16h30.
Diffusée en France le 6 juin 1965 sur ORTF 2 FR le dimanche vers 14h30.
Diffusé au Canada à partir du 7 septembre 1965 sur Télévision Radio-Canada CA.
Rediffusé en France en 1972 sur ORTF 1 FR.
Rediffusé en France en 1988 sur LA CINQ FR.
Rediffusé en France en 1989 sur ANTENNE 2 FR.
Sori en quatre VHS en 2000 chez LCJ FR, réunies en coffret le 17 mai 2001.
Sorti en DVD le 17 mai 2001 chez LCJ FR.
De Robert Vernay, d'après les romans de Henri Vernes (pseudonyme de Charles-Henri Dewisme), réalisation Robert Vernay (également scénariste), adaptation et dialogues de Solange Terac ; avec Claude Titre, Billy Kearns, Anne Corelli, Reinhard Kollderhoff ; images : Marcel Combes, montage : Jacques Mavel ; musique Louiguy.
Pour tout public.
Les berges de la Seine sur une voie le long de laquelle sont garées de nombreuses voiture... Une femme appelle au secours : deux brutes en imperméables sont en train de l'enlever, l'un la ceinturant, l'autre lui plaquant sa grosse main sur sa bouche. L'un finit par la soulever, la charger sur son épaule, et l'emporter. Comme les deux se précipitent vers leur voiture toute proche, voilà qu'accourent Bill Ballantine et Bob Morane. Ballantine se jette sur le kidnappeur qui porte un imperméable clair, le plaquant sur le capot de sa voiture, et Morane commence à boxer l'autre, à l'imperméable plus sombre.
La jeune femme profite de la diversion pour redescendre de la voiture et s'enfuir, et les deux kidnapeurs remontent précipitamment dans leur véhicule au volant duquel un chauffeur les attendait. La voiture démarre en trombe, laissant Ballantine et Morane interloqués. Puis Ballantine pointe du doigt le sol et Morane ramasse un pistolet automatique. Puis tous les deux cherchent des yeux la jeune femme, et l'aperçoivent à quelques pas, s'appuyant contre un arbre, visiblement émue.
Morane demande à la jeune femme : "Vous êtes blessée ?" Elle répond que non. Il se présente : "Bob Morane..." et pointant son acolyte : "... mon ami Bill Ballantine." La jeune femme se présente à son tour : "Sabrina Alferi. Je ne sais comment vous remercier..." Tenant toujours le pistolet, Morane remarque : "Un Smith et Wesson 9 mm, c'est pas un joujou d'amateur..."
La jeune femme bredouille : "Excusez-moi, je voudrais..." mais comme elle semble vouloir se frayer un chemin entre Ballantine et Morane, une concierge un peu grasse aux cheveux blancs arrive et l'interrompt : "On a téléphoné à la police." La jeune femme répond immédiatement : "C'était pas la peine !" Mais la concierge insiste : "Ils ont dit qu'ils venaient !"
Morane s'interpose : "Vous ne voulez pas voir la police ?" Comme elle répond, confuse : "Non, je préfèrerais...", Morane propose immédiatement : "La station taxi est au coin de la rue..." Elle répond : "Mais je ne peux pas rentrer chez moi : ils m'attaqueront encore..." Un petit vieux à casquettes se colle à Morane, qui l'écarte agacé et dit à Ballantine : "Pas de taxi, plus de domicile... eh bien je ne vois plus qu'une solution..." Il écarte encore le même petit vieux, pour proposer à nouveau : "Venez chez moi, mon appartement est à deux pas." Et constatant la mine déconfite de Ballantine, Morane ajoute en tapotant l'épaule de ce dernier : "Et mon ami Bill habite avec moi."
Sabrina Alferi répond, soulagée : "Je vous fais confiance." Morane répond tandis qu'une sirène de police se rapproche : "Alors filons !" Puis donnant le pistolet par le canon à la concierge : "Tenez, vous donnerez ça aux flics : comme ça, ils se seront pas dérangés pour rien !"
Ils s'en vont, plantant là la concierge qui soupire en les regardant s'éloigner en hâtant le pas : "Oh ben ça alors..." Cependant, la concierge n'est pas la seule à les avoir vu partir dans cette direction : un homme à gabardine noire et chapeau mou s'allume tranquillement une cigarette et se met à les suivre.
Comme Morane ouvre la porte et éclaire l'entrée de son appartement, Sabrina Alfieri s'exclame : "C'est le ciel qui vous envoie à mon secours !" Ballantine répond aussitôt : "Je parie que vous êtes orpheline." Surprise, la jeune femme confirme et demande : "Oui, pourquoi ?" Ballantine explique, amusé : "Oh, le Ciel envoie toujours les veuves et les orphelines en détresse à Bob."
Croyant à une plaisanterie, Sabrina Alfieri rit de bon cœur, et Morane allume les lumières du salon. Ballantine propose : "Tiens, je vais faire du thé : ça vous remettra." Morane entraîne la jeune femme dans le salon et la fait asseoir à côté d'une petite table décorée d'un grand vase, tout en demandant, l'air de n'y pas y toucher : "Vous connaissiez vos agresseurs ?" Elle répond en ouvrant son sac à main : "Non, mais je sais pourquoi ils voulaient m'enlever..."
Ballantine rapparait à l'entrée du salon pour demander : "Vous aimez duthé au moins ?" Sabrina Alfieri confirme, fouillant dans son sac à main : "Oui, oui..." Elle sort un rouleau de papier aux extrémités abîmées : "C'est à cause de ça : le testament de mon ancêtre Tancrède Alfieri, mort en 1765 dans les Pays-Bas où il s'était installé..."
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